Histoire Erotique

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L'armoire

Emilie a convaincu des colocotaires d'installer l'armoire de sa grand mère dans leur appartement. Mais ce qu'ils découvrent dans un tiroir secret au fond de leur armoire leur réserve une surprise magique.

Proposée le 10/09/2020 par Méchant Lapin

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Thème: SM, bondage
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


L’armoire
- Émilie, essaie de te tourner un peu par-là, je vais essayer de la faire rentrer.
- Je ne peux j’ai la jambe bloquée. C’est Jean qui me coince.
- Ah, j’ai bon dos tiens, depuis le début je dis qu’on ne peut pas faire ça à trois.
- Mais si bouge un peu sur ta droite … Jean … l’autre droite
- Elle est trop grosse, ça ne rentrera pas.
- Romain, essaie de soulever un peu par-là, je sens que ça se débloque.
- Émilie, toi et tes délires, on avait vraiment besoin de faire ça ?
- Eh, moi ça me fait plaisir, et puis tu n’as pas dit non quand j’en ai parlé, hein ?
- Je ne pensais pas qu’on allait autant galérer, quand les autres le fond ça a l’air facile.
- En attendant, remue-toi et essaie de la rentrer, moi je ne vais plus pouvoir tenir longtemps avant de tout lâcher. Essaie en bougeant la jambe par là.
- Oui, oui, ça y est, c’est bon, elle est rentrée !
- Vas-y fait la glisser jusqu’au fond, … ouais encore … ah, je sens que ça touche là. C’est bon.
- On peut y aller ?
- Allez-y les garçons, lâchez tout, c’est bon là.
- Bon à trois on lâche.
- Un … deux … merde ! On avait dit à trois ! J’ai failli tout prendre dans la figure.
- J’espère qu’on ne l’a pas cassée
- Non, ça va l’armoire est solide.
Le trio souffle en regardant la grosse armoire finalement à sa place dans le salon.
- En attendant quelle idée de vouloir monter l’armoire de ta grand-mère dans la coloc. Avec l’escalier en colimaçon, j’ai cru qu’on n’y arriverait jamais.
- Avoue que ça donne du cachet à l’appart. Elle est trop classe.
- J’avoue surtout qu’on aurait dû prendre cette armoire Ikea, elle avait l’air carrément plus facile à bouger
- Non mais Ikea, ça pète en un rien de temps et puis c’est plein de vapeurs toxiques. Là on est dans l’authentique, du costaud !
- Hum, costaud, j’ai quand même un doute, pendant qu’on la montait, il m’a semblé entendre un truc qui bougeait dedans.
- Impossible ! On a tout vidé, même les tablettes et les portes. Tu penses, elle était déjà bien assez lourde comme ça.
- Si je t’assure, ça venait du bas, on aurait un truc qui roulait.
- Hé regardez la moulure en bas, on dirait qu’elle a un peu bougé dans on l’a laissé tom… enfin, posée délicatement par terre.
Jean se penche sur le bas de l’armoire pour faire jouer la moulure qui semble s’être désolidarisée du reste.
- Ah oui, attends ça bouge. C’est un tiroir secret !
- Il y a une sorte de poignée ronde en bois verni dedans …
- Fait voir, euh …. Attends, euh, ta « poignée ronde » je pense que c’est un godemichet …
- Quoi ! Mais non, c’est en plastique rose ces trucs normalement, pas en bois.
- Jean, tu es trop candide, c’est un gode vintage en bois. Tu penses vraiment que les femmes ont attendu l’invention du plastique pour avoir des envies solitaires ? Fait voir.
- Émilie, attends, c’est super gênant.
- Dit le gars qui est en train de tripoter le gode de ma grand-mère ou peut-être même arrière-grand-mère. Tu es en train de faire des nœuds à ton petit cerveau en essayant d’imaginer des trucs que tu ne devrais pas. Allez, donne-le-moi.
Jean tend le jouet sexuel présumé à Émilie, il est en bois sombre patiné rehaussé de gravures dorées sur toute sa surface.
- Mmm, Il est super beau en fait. Ça m’a l’air plutôt ancien. Il y a des sortes de gravures. On dirait des runes, vous ne trouvez pas qu’elles reflètent la lumière bizarrement ?
- Moi, je trouve surtout que j’ai soif après avoir trimbalé ce truc sur trois étages avec cette chaleur.
- Sacré Jean, un petit effort et tu es en vrac.
- Hé, si ça se trouve c’est un gode magique !
- Émilie faut que tu arrêtes avec tes bouquins de fantasy et tous ces trucs, les baguettes magiques encore ça pourrait passer, mais un gode magique, franchement ?
Émilie tournoie et fait de grands gestes en tenant le gode à bout de bras.
- Abracadabra, gode magique ! Ouvre un portail vers le pays du stupre et de la luxure !
Une sorte de courant d’air balaie et la pièce. Émilie s’arrête de bouger et fait face aux garçons qui se sont immobilisés et la fixent d’un air interdit.
- C’était quoi ce courant d’air ? On a laissé une fenêtre ouverte ? Quoi ? Pourquoi vous avez la bouche ouverte comme ça les gars, j’ai dit un truc ?
- …
- Vous devenez flippant à me regarder comme ça sans rien dire.
- Ce n’est pas toi qu’on regarde, c’est l’armoire… retourne-toi
- Quoi l’armoire ? … Rôôô pute borgne c’est quoi ce truc ! Il y a de l’eau dans le fond de l’armoire.
Le fond de l’armoire a été remplacé par une surface légèrement brillante et qui semble liquide. Le liquide clapote paisiblement sans bruit et renvoyant une image déformée de la pièce.
- Ouais de l’eau … verticale … qui fait des petites vagues … verticales … et qui reste comme ça sans couler … ouais de l’eau qui ne coule pas … tout à fait normal … voilà, voilà
- Bon, je crois que je vais allez boire moi, mais pas de l’eau.
- Ramène la bouteille …

===

- Ça fait combien de temps maintenant ?
- Vingt bonnes minutes
- Et ça n’a pas bougé
- Il faut faire un truc, on ne peut pas rester avec un portail dimensionnel dans le fond de l’armoire. Je ne vais pas arriver à dormir moi.
- Surtout qu’on a fini la bouteille…
- Quoi ? Tu penses que c’est un portail ?
- C’est ce que tu as dit en agitant la bag ... enfin le god ... le truc en bois quoi, « ouvre un portail vers le machin chose »
- Le pays du stupre et de la luxure, Je ne sais pas, ça m’est venu comme ça
- Sacrée inspiration
- Et vous pensez que de l’autre côté …
- Il y a des chances, oui.
- Je vous préviens, moi je ne mets pas les pieds dans ce truc !
- Tu as peur pour ta petite vertu, Jean
- Mes parents m’ont toujours dit de ne pas passer dans des portails dimensionnels inconnus.
- Sacrément prévoyants tes parents pour te dire un truc pareil.
- Tu n’as pas idée …
- Non, mais on n’est pas obligé de passer dedans. Romain, fait voir ton téléphone
- Mon téléphone ? Mais pourquoi pas le tien.
- Le mien ? Non, j’ai pété la caméra l’autre jour dans la salle de bain. Allez, fait voir !
- C’est sûr ça me met en confiance. Bon, fait chier, tiens, le voilà.
- Jean passe-moi le balai et du scotch.

===

Les trois amis sont penchés devant l’armoire avec le téléphone scotché au bout du balai. Émilie est sur le point de faire rentrer le téléphone dans la surface liquide. Romain, l’arrête d’une main sur son épaule.
- Attends, attends, attends … tu es absolument sûre que tu veux mettre mon téléphone dans l’eau ?
- Mais on a déjà vérifié, ce n’est pas de l’eau. On a mis le balai dedans et il n’est pas ressorti mouillé.
- C’est peut-être pire que de l’eau …
- En tout cas, le balai était intact …
- Mon téléphone est un peu plus fragile qu’un balai.
- Allez, vas-y lance l’enregistrement.
- C’est bon.
- Bon, je mets le balai dans le portail
- Fait tourner le manche pour faire un panoramique
- … et sa potion magique
- Jean, tu es lourd !
- Allez, je fais un tour complet et je le ramène
- Tu vois, il n’a rien ton téléphone. Vas-y fait jouer la vidéo
- C’est sombre
- De ce coté il y a des torches, on y voit un peu mieux.
- On dirait une sorte de château, il y a des chaines au mur.
- Le donjon des plaisirs !
- Plutôt sinistre pour un donjon des plaisirs
- Il n’a personne en vue.
- Et qui allume les torches ?
- Ce sont peut-être des torches magiques ? Ça irait bien avec le reste.
- Ça ne nous avance pas beaucoup
- Je n’ai pas vu de bouton d’arrêt de portail en tout cas
- Bon, allez moi j’y vais, il faut que je sache !
- Ne déconne pas, Émilie, c’est peut-être super dangereux !
- Mais c’est un putain de truc unique, je ne vais pas rester là éternellement à le regarder faire flic floc dans notre salon.
- Faut avouer que c’est décoratif.
- Avoue aussi que le pays du stupre et de la luxure ça te branche bien aussi, non ?
- Ouais, aussi… J’ai une idée : Jean va chercher la sangle qu’on avait pris pour attacher l’armoire sur le toit de la voiture. On va faire une ligne de sécurité.

===

- Bon j’ai attaché la sangle autour de ma taille. Vous l’avez attachée aussi ? Si je tire dessus vous me ramenez, OK ? A trois, j’y vais.
- Stop, stop, stop … Attends, trois et tu y vas ou tu y vas à trois ?
- Jean, tu fais chier ! Trois !

===

Ils gisent tous trois sur le sol dallé de pierre au milieu du donjon.
- Romain ça te dérangerait d’enlever ton genou de mes côtes ?
- Sacrenouille, vous avez fait quoi les garçons, j’étais à peine passée vous avez déboulés et vous m’êtes tombé dessus.
- Je ne sais pas, dès que tu as passé la paroi, ça s’est mis à tirer super fort sur la corde et on a été aspirés avec toi.
Romain pose un regard circulaire sur la pièce où ils ont atterri.
- On a un autre problème, je ne vois pas de portail de ce côté.
- Quoi ! nononononon, c’est ne pas possible ça !
- Du calme, je vais essayer de le rouvrir d’ici, passe-moi le gode.
- Eh, mais je ne l’ai pas moi !
- Il est où ?
- Sur la table je crois …
- La table ?
- La table du salon, dans l’appart …
- OK, je peux paniquer maintenant ?
- J’avais dit que c’était un mauvais plan, je n’ai jamais entendu parler d’un truc comme ça qui se serait passé avec une armoire Ikéa.
- Il y a peut-être quelqu’un qui va venir nous chercher et qui va rouvrir le portail depuis l’appart.
- Oui et après on va gagner au loto trois fois d’affilé.
Jean s’agite dans la pièce avec son téléphone à bout de bras.
- Je crois que je n’ai pas de réseau …
- Promis, dés qu’on se sort de là, je lance une pétition sur Internet pour faire installer des antennes relais dans les dimensions parallèle les plus fréquentées.
- Et puis c’est quoi ces fringues tous les deux, on dirait Conan le barbare, vous faites du cosplay maintenant ?
En effet les garçons sont habillés d’une sorte de harnais en cuir marron avec moult chaines, clous et boucles. La tenue est complétée par des bottes en cuir marron qui leur montent à mi-cuisse.
- Tu peux parler, et toi tu as vu comme tu es … hab …
- Comment, je suis hab … ? Retournez-vous tout de suite espèce de pervers !
Elle porte des bottes hautes et un body en cuir verni noir. Le body est largement ouvert au niveau de la poitrine et un fin tissu en résille ne dissimule pas vraiment le reste de son corps.
- Je crois que je comprends c’est le portail qui a dû faire ça. En tout cas ça correspondrait parfaitement avec la dimension du stupre et la luxure.
- Dites les garçons vous avez poussé un peu de la fonte en douce récemment parce que vous êtes quand même bien baraqués habillés comme ça.
- Je crois que ça aussi c’est le portail, il arrange d’autre chose que les fringues, et toi ça va tu gardes l’équilibre, tu ne te sens pas tomber en avant ?
- Tomber en avant ? … Oh sainte Marie, c’est un miracle ! Regardez comme ils ont grossi ! J’ai toujours voulu les avoir comme ça, mais c’est énorme, regardez comme je peux jouer avec. J’arrive à peine à les tenir dans mes mains. Hé, je suis sûre que si que je sors la langue comme ça je peux arriver à lécher mon tet…
- Émilie ! Déjà, premièrement je ne pense pas que la vierge Marie soit vraiment responsable de la chose et deuxièmement est-ce que tu peux arrêter de tripoter tes seins comme ça, avec les fringues que tu portes c’est … c’est … très perturbant.
- Pff, Jean, tu es un rabat joie …
- Bon, ben ce n’est pas tout ça mais on fait quoi maintenant
- On trouve un autre gode
- Et une autre armoire
- Vraisemblablement, c’est le pays du cul, ici. Ça ne devrait pas être trop dur de trouver un gode.
- Il faut qu’il soit magique aussi.
- Tu es devenue exigeante maintenant.

===

- Fait chier ! Il est immense ce château ça fait des heures qu’on cherche
- On a déjà trouvé trois donjons.
- … et plein de godes.
- … normaux, aucun ne me semblait plus magique que ça. En tout cas pas comme l’autre. Mais Émilie comment tu savais à quoi servait tout ces trucs qu’on a trouvés ? La chaine, là avec les petites pinces, je n’aurai jamais cru qu’on pouvait faire ça avec.
- Ah, hum, oui …. J’aime me documenter sur tout … voilà … c’est fou ce qu’on trouve comme documentaires sur Internet. Tiens, d’ailleurs, tu sais comment on fabrique le grillage ?
- Tu noies le poisson là.
- On n’a pas trouvé de cuisine non plus.
- Mais, Jean, tu ne penses qu’à manger ?
- Pas qu’à ça, mais là je ne serai pas contre l’idée. Dites, on ne l’a pas déjà vue cette tapisserie ?
- Non, sur celle-là ce sont les jeunes vierges qui poursuivent les faunes, sur l’autre c’était le contraire.
- J’ai bien aimé celle de l’orgie lesbienne. Plutôt réaliste.
- Pourquoi ça ne m’étonne pas, Romain.
- Et cette porte-là, on ne l’a jamais ouverte ?
- Non, allez hop, je la sens bien ce coup-ci
- Bingo ! C’est un autre donjon. Hé, regardez là le long du mur c’est la même armoire que la nôtre ! Cherchez bien il doit surement y avoir un gode magique qui va avec.
Ils se dispersent pour fouiller le donjon avec des nombreux bruits métalliques alors qu’ils cherchent dans les tiroirs. Un petit cri de Jean suit de près un brusque claquement de métal.
- C’est bon, je n’ai rien …
- Je l’ai trouvé !
- Donne, c’est moi l’experte en gode magique ici
- Comment ça c’est toi l’experte ?
- Ben oui, j’ai ouvert bien plus de portails que toi. Ça m’a l’air d’être ça, il y a les mêmes runes gravées dessus
Émilie tend le gode devant elle et fait de grands gestes vers l’armoire qui ressemble à la leur.
- Abracadabra, Gode magique ! Ouvre un portail vers notre appart !
- …
- Et alors « l’experte », il est où notre portail ?
- Attends je n’ai pas dû faire comme il faut
Elle recommence avec des gestes plus amples en tournant sur elle-même et elle finit avec une posture élégante une jambe a demi levée.
- Abracadabra, Gode magique ! Ouvre un portail vers notre appart !
- Nan … toujours pas …
- Il est peut-être en panne
- Tu as vérifié les piles ?
- Ah, c’est malin, ça n’aide pas du tout ce genre de remarque.
- Jean n’a peut-être pas tort, regardez les runes elles sont toutes ternes, alors qu’elles étaient brillantes sur l’autre. Il est déchargé, il n’a plus de pouvoir magique.
- Ok, nouvelle mission, on cherche un bloc sur un mur avec marqué « chargeur de gode magique »

===

Émilie est penchée sur le gode qui est posé droit sur une table avec des sangles à chaque extrémité. Elle pose un regard concentré sur le gode qui ne le lui rend pas du tout. Elle joue distraitement avec un fouet qu’elle a trouvé.
- Tu sais, ce n’est pas en restant penché sur la table les yeux fixés dessus que tu vas le recharger.
- Hmm ? … Hé, attendez, il y a une rune qui a brillé !
- Quoi ?
- J’étais penché sur la table et j’ai vu une lumière qui pulsait sur une rune. C’était plutôt faible mais je suis sûre d’avoir vu un truc.
- Sérieux, mais tu as fait quoi pour que ça change.
- Euh … rien de plus et vous vous faisiez quoi ?
- Comme on a tout retourné sans rien trouver, on te regardait.
- Alors, vous étiez tous les deux là-bas, et moi j’étais penchée ici … mais … mais vous étiez en train de mater mon cul !
- Ah, non, non pas du tout
- Euh, si, Jean, là, on matait son cul. C’est vrai qu’il est … avec ce truc en cuir en plus ça fait ressortir les … enfin tu vois quoi ça tire l’œil.
- Mais oui ! C’est ça il faut de l’énergie sexuelle pour le recharger ! C’est logique en plus, ici, il y a tout ce qu’il faut.
- Alors quoi ? On reste à regarder ton cul jusqu’à que la rune 100% soit allumée ?
- Non, elle a tout juste brillé et ça s’est éteint tout de suite après, je pensais à quelque chose de plus fort.
- Plus fort dans quel sens ?
- Non, mais c’est quoi ce délire, ça fait presque un an qu’on est en collocation et vous allez me dire qu’aucun de vous deux n’y a jamais pensé peut-être ? Quoi, je ne suis pas assez bien pour vous c’est ça ?
- Ah si, on y a pensé tout de suite, mais on a fait un pacte pour qu’aucun de nous deux ne tente sa chance. Déjà ça aurait été le gros malaise pour l’autre et puis aussi …
- Aussi quoi ?!
- C’est que …
- Tu nous fais un peu peur …
- Comment ça peur ! Vous me prenez pour quoi ? Une furie ? Putain, mais c’est devenu quoi les mecs aujourd’hui ! On ne peut pas s’affirmer un peu sans terroriser ces pauvres petits choupinou à leur maman !
- Tu vois c’est précisément ce genre de réaction dont on parlait, quand tu t’énerves comme …
- Je ne suis – pas ? énervée !
- Là, si un peu quand même …
- Vous allez faire avec ! Allez, on ne va pas y passer 10 ans, on recharge ce truc et on se casse, foutez vous à poil ! Avec les fringues que vous avez ça ne sera pas long.
- Tu pourrais poser ce fouet d’abord ?
- Non !
Les garçons se déshabillent, mal à l’aise, sous la surveillance d’Émilie qui fait tapote impatiemment son fouet le long de sa cuisse. Quand ils ont fini, elle s’approche, attrape leurs deux membres chacun dans une main et commence à les masturber.
- Et tu fais quoi là ?
- Je vous mets en condition, ça ne vous plait pas que je caresse vos queues comme ça ? Et puis c’était un truc que voulais absolument vérifier, les muscles, les gros seins, je me disais que d’autres choses avaient dû changer en conséquence.
- Tudieu, tu as raison, j’ai une bite de star du X !
- Vous savez moi aussi, depuis le premier jour j’ai eu envie d’un truc, avec tous les deux. Mais vous ne faisiez jamais rien. J’ai même pensé que vous étiez en couple tous les deux.
- En couple avec Jean ? Naaaan, il n’est pas mon genre ...
Elle s’agenouille et commence à sucer les garçons tour à tour. Elle commence par leur lécher le gland, tout en caressant leurs testicules. Alors qu’elle accélère le rythme, elle force les queues de plus en plus loin dans sa gorge.
- La vache comment tu fais pour tout avaler comme ça ?
- Mmm mmmm mmmm
- Ah, oui, OK, c’est drôlement bon en tout cas.
- Hé, on dirait que ça marche, le gode commence à briller !
- Attachez-moi !
- Quoi ?
- C’est un donjon, ici, j’ai toujours rêvé de me faire baiser entravée. Sur le chevalet là-bas, attachez-moi et baisez-moi à fond, un dans le vagin, un dans la bouche. Ce n’est pas avec des petites pipes de collégienne qu’on va recharger ce truc.
- A tes ordres, maitresse !
Elle s’installe sur le chevalet pendant qu’ils serrent les sangles ils en profitent pour caresser son corps qui commence à s’enflammer et à transpirer.
- Tant que vous y êtes prenez ce gode magique et mettez-le-moi dans le cul. Attendez, pas à sec quand même, ce truc-là, c’est du lubrifiant je crois. On va le recharger à fond ce petit bonhomme, il va être aux premières loges. Je n’ai pas envie de tomber en panne sèche en plein transfert dimensionnel.
- C’est bon tu le sens bien le gode dans ton cul ? Prête pour la décharge de recharge ? Mais c’est que ta chatte est déjà toute mouillée, ma queue rentre comme dans du beurre. Pourtant, c’est un sacré engin que j’ai là, non ?
- Mmm mmm mmm
- Elle ne peut pas parler la bouche pleine. Mais elle a l’air d’apprécier. Donne-lui une bonne fessée, avec un cul comme le sien, elle le mérite.
- Ah ce cul rebondi, c’est trop bon
Romain donne de violents coups de boutoirs sur le corps entravé d’Émilie, les mains attirant ses hanches pour donner plus d’impact. Il les lâche de temps pour fesser sa croupe nue. Émilie gémit en suçant la queue de Jean. Il lui a placé une main derrière la tête pour l’attirer au plus profond de se gorge.
- Laisse-moi ta place, je veux la baiser aussi, tu vas voir elle suce comme une déesse
- OK, on change
Les garçons échangent leurs places pendant qu’Émilie reprend son souffle, des gouttes perlent de son vagin et d’autres descendent du coin de sa bouche et coulent le long de son menton. Jean introduit sa verge alors que son ami présente son sexe à la bouche d’Émilie qui l’avale sans se faire prier. Ils reprennent rapidement un rythme soutenu et ils finissent même par synchroniser leur cadence.
- Ce petit vagin ! c’est que tu es excitée comme un puce pour être serrée comme ça
- Et ce que tu fais avec ta langue, ça aussi c’est de la magie, je crois que je vais jouir !
- Moi aussi, son vagin est trop serré, je vais tout envoyer !
Jean est secoué de spasme, il finit par se retirer, son gland libère une coulée de sperme qui glisse le long des cuisses d’Émilie. Une fois dehors, quelques giclées supplémentaires atterrissent sur ses fesses. Elle tourne la tête pour se libérer de queue de Romain et recracher la semence qu’elle avait dans la bouche en toussant un peu.
- Ce n’est pas poli de recracher
- Spff, Tu abuses, spfff, tu as vu combien tu en as lâché ? Je n’avais jamais vu ça. Regardez ça j’en ai partout maintenant. Détachez-moi et prenez-moi encore tous les deux. En sandwich !
- Quoi tu en veux encore ?
- Regardez vos queues, elles sont déjà prêtes à repartir au combat. Le pays du stupre et de la luxure, souvenez-vous ! Je ne crois pas qu’on puisse avoir de panne ici. Je veux ma première double pénétration, allez, au boulot !!!
- Tu vois finalement que ce truc à trois c’était une bonne idée

===

Émilie est allongée entre le deux garçons et masturbe distraitement leurs queues. Ils ont leurs têtes posées sur ses seins. Leurs corps sont luisant de sueur et celui d’Émilie est zébré de coulées de sperme en train de sécher.
- Il est assez chargé là tu crois ?
- Tu parles oui, à un moment j’ai cru qu’on allait le griller. La ceinture que tu as trouvée pour attacher le gode, je n’aurais jamais cru que ça me plairait autant. Tu donnes des sacrés coups de hanches pour une fille ; c’était … surprenant.
- Ouais, Je crois que je ne vais plus pouvoir m’asseoir pendant un petit moment
- Jean, toujours une petite nature
- Tu ne disais pas ça tout à l’heure
- Ça c’était de la baise…
- … surnaturelle.
- On essaie d’ouvrir le portail ?
- Ah oui, avec tout ça j’avais presque oublié. Voilà, regardez maitresse Emilie au travail !
- Tu ne veux pas te rhabiller d’abord ?
- Avec les fringues que j’avais, ça ne fera pas une grosse différence. Et puis on en est plus à ça près.
Elle se lève fait tournoyer son corps nu et brandissant le gode qui brille intensément.
- Allez, Abracadabra, Gode magique ! Ouvre un portail vers notre appart !
Un courant d’air balaie la pièce et la membrane liquide se forme dans le fond de l’armoire.
- Hé, vous avez vu l’artiste ! Tout dans le doigté.
- J’en sais quelque chose.
- Bon, allez, on y va tous ensemble, mais on se tient la main. Je n’ai pas si confiance que ça dans ce machin.
===
- Ça y est ! C’est notre appart ! Ça a marché ; on a retrouvé notre appart !
- Et nos fringues …
- Et mes petits seins …
- Et mes abdos tous mous …
- La vache c’était quand même un sacré truc ! On n’aurait pas eu ça avec ton armoire Ikéa. On y retourne quand ?

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Très intéressant! La fin est un peu rapide mais ça le fait.
Posté le 16/09/2020


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