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Claude s'essaie au porno. 2

Vu les performances de Claude, Martine a compris qu'elle tient la future vedette de ses prochains films. Mais elle veut le pousser à bout pour voir si son poulain a le talent d'un vrai étalon avec les deux jumelles.

Proposée le 3/06/2020 par mlkjhg39

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FFH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Profitant de sa bouche grande ouverte pour protester, j’appuie sur sa nuque et engouffre l’épi de chair dans sa bouche. On dirait que ça l’excite d’être filmée, je vois sa mouille qui coule le long de ses cuisses. Martine l’encourage :
-Tu vois Josiane que tu peux faire mieux, continue comme ça, tu suces comme une déesse.
La bouche déformée, les mâchoires t distendues, elle finit par se calmer, ferme les yeux et se concentre sur l’organe indésirable qui envahit sa bouche et obstrue sa trachée. Si elle est là, ce n’est surement pas la première bite qui franchit ses lèvres gourmandes mais c’est assurément pour elle la plus grosse et la plus longue.
Rapidement, je glisse mes mains dans ses cheveux, imposant un rythme rapide à ses succions.
Elle sait que si elle veut réussir dans cette profession, il va falloir qu’elle s’endurcisse, donc elle ne veut pas capituler une deuxième fois devant ses futurs employeurs. Elle essaie de faire tourner sa langue autour de ma tige palpitante mais je sens bien qu’elle n’y arrive pas, il n’y a pas assez de place tellement sa bouche est complètement envahie par mon gourdin. Heureusement qu’elle peut respirer par le nez pour ne pas mourir asphyxiée ! Pendant ce temps, les caméramans se délectent du magnifique spectacle.

-Eh Julien, reprend-toi ! Hurle Martine.
Je jette un œil vers l’entrejambe de Julien qui bien que professionnel et ayant vu des centaines de scènes semblables, est tout rouge. Il faut dire que le devant de son pantalon bombe allègrement. On dirait qu’on lui fait de l’effet…
Elle me branle en me tripotant les couilles, dérivant un peu vers mon anus. Je sens que je tiens le bon bout, elle est prête.
Josiane prend enfin l’initiative et me chevauche en amazone. Je saisis ma bite à deux mains pour la tenir à la verticale. Très doucement, elle frotte sa vulve proéminente d’où émerge un clitoris rose sur mon manche de pioche, faisant ondoyer son bassin en se caressant les seins et en poussant une longue plainte à peine audible.
Elle soulève enfin son bassin et lentement s'empale sur mon pieu qui écartèle sa petite chatte. Je la vois grimacer sous l’effort, il lui faut de nombreux va-et-vient pour l’insérer avec peine dans sa chatte et s'empaler complètement. Toutefois son vagin ne peut absorber complètement mon énorme bite.
Je tourne la tête et découvre Martine en train de branler franchement Julien à travers son pantalon en nous regardant avant de faire prendre l’air à la bête.
Si elle continue de la sorte, il risque de ne pas tenir très longtemps.
Je décide de prendre la direction des choses, je soulève Josiane sans crier gare pour la retourner en dessous de moi, et enfile à nouveau mon gourdin dans sa fente. La belle ne peut plus rien faire d’autre que de hurler son plaisir ou sa douleur. Ses cris résonnent dans la pièce, montant dans les aigus au rythme de plus en plus rapide de mon pilonnage, sans plus aucune retenue.
J’enchaîne par une gifle en aller-retour sur son popotin où la trace de mes doigts s’imprime en rouge vif, puis je prends en main ses seins et les malaxe très fort sans considération pour la fille. Je continue avec des claques sur les cuisses, la chatte et bien sûr les fesses avec différents degrés de force.
Les casteurs semblent satisfaits par notre prestation et Martine y va de son commentaire, la main poisseuse du sperme de Julien qui n’a pu se retenir.

-Bravo Josiane ! Tu avais beau ne pas être ouverte, il t’a tellement excitée que c’est rentré tout seul malgré la taille peu commune de sa pine. En tout cas il semble se plaire dans ta chatte! Incroyable ! C’est incroyable cette scène avec une si belle fille prise par un freluquet monté comme un âne à qui on interdirait l’entré dans beaucoup de lieux chauds ! Regarde comme tu fais baver les caméramans. Ils en oublieraient presque de filmer. N’oublie-pas que t’es là pour lui vider des couilles. Il faut que tu te mettes dans le crâne que si tu n’arrives-pas à gérer une queue comme la sienne, tu ne feras pas long-feu dans la profession.
J’essaie de tenir le plus longtemps possible, retardant mon orgasme au maximum. Mais ses petits couinements, la contraction de ses muscles intimes qui traient littéralement ma queue, sa main fureteuse qui broie mes bourses ont raison de moi. J’éjacule une belle rasade épaisse au plus profond de sa grotte. Une deuxième rasade vient se diluer dans la première, puis une troisième. Les suivantes, sous mes coups de piston, délogent le sperme qui s’y trouve qui s’échappe de sa fente en surpression par saccades.
-Bravo ma fille, bon boulot ! Tu as assurée avec Claude mais tu n’es pas bien ouverte, et ton cul c’est encore pire. Il va falloir travailler ça aux godes ou carrément coucher avec d’autres partenaires mais moins bien membrés pour commencer. Tiens voilà, ça c’est une crème pour atténuer la douleur et plusieurs godes pour dilater progressivement l’anus, il faut bien lubrifier, enfin bon, tu vois ce que je veux dire…
- C’est absolument nécessaire ?
-Dans ce métier, oui. Sinon tu peux repartir.
- D’accord, je ferai mon possible.
-Va dans la pièce d’à coté, tu y trouveras Pierre, il s’occupera de toi.
Puis elle se tourne vers moi :
-Toi, t’es un sacré numéro, à toi tout seul, tu as le physique en mieux membré de Jordi El Nino, le jeune espagnol, l’éjaculation de Peter NORTH, il ne reste plus qu’à voir si tu as la résistance de Rocco SIEFREDI. On te laisse dix minutes de repos et je demande à Alexia et Lydie de voir si elles peuvent encore tirer quelque chose de toi.

J’ai remis mon slip et un tee-shirt, on me chouchoute, me donnant des aliments et boissons reconstituants. Martine me demande de choisir un nom de scène, je ne sais que choisir. Elle me propose aussitôt :
-Je verrais bien Pinocchio, tu vois l’allusion ? Le début, pin… et comme la marionnette au nez qui s’allonge, chez toi se sera ta pine. Non !
- Vous savez Madame ; je ne veux pas en faire ma profession. Ce n’était au début qu’un pari mais ça pourrait m’aider à financer mes études.
-Si tu acceptes, on met juste ton vrai nom et ton pseudonyme sur le contrat et tu signes. Mais avant, il faut que tu assures avec les jumelles. Au fait, tu fais quoi comme étude ?
-Je suis en deuxième année de médecine, je veux me spécialiser en gynéco.
-Eh bien, tu ne seras pas dépaysé mon salaud. Il vaut donc mieux que tu restes discret. On ménagera ton incognito. J’ai une autre idée, ce sera Zorro et tu apparaîtras toujours masqué pour faire fantasmer les femmes qui rêvent toutes de se taper le petit voisin puceau.

Donc Alexia et Lydie sont des sœurs jumelles, Martine les appelle et deux gravures de mode viennent nous rejoindre.
-Mais tu les prends au berceau, maintenant Martine ! S’esclaffe Alexia.
-Que veux-tu qu’on fasse avec lui, on souffle dessus, et il s’envole. Surenchérie Lydie.
Martine donne les directives pour la suite sans se préoccuper de leurs moqueries.
-Les filles, interdiction de lui toucher le sexe, vous pouvez le caresser, lui donner vos chattes à dévorer mais je ne veux rien voir qui masque son slip à la caméra. Je veux saisir chaque seconde de la progression de l’érection de sa teub, voir son temps de réaction.

Elles m'installent alors doucement sur le lit, ma virilité convoitée repose mollement contre mon bas-ventre. Malgré le fait que celle-ci se trouve toujours au repos, les filles ne peuvent que constater combien j’ai été gâté par la nature par la bosse oblongue qui gonfle le tissu. Les jumelles ont dénudé leur torse, un oiseau pour Lydie et un papillon pour Alexia est tatoué dessus, le corps dans la vallée entre les seins et les ailes sur les globes laiteux qui quand ils bougent font voler l’animal. Alexia voyant mon regard me demande

- On dirait que tu aimes mes seins, mon chéri ! Ils te plaisent ?
- Bien sûr ! Mais c’est la première fois que je vois double.
Je suis au comble du bonheur en serrant dans chaque main la chair satinée d’un sein de chaque sœur. Lydie y va de ses compliments :
- Moi aussi j'aime quand tu me caresses, sens mes tétons durcir sous tes doigts. Frotte bien les bouts, mon chéri !
Sous ma prise en main, les filles éprouvent du plaisir, me demandant de les malaxer. Mes doigts se referment autour de doudounes gonflées par le désir, la satisfaction pousse Alexia à en demander plus.
- Lèche-moi la chatte mon biquet, caresse les seins de ma sœur, met tes doigts dans sa vulve et prépare-là bien pour ta magnifique bite.
J’obéis à leurs suppliques, léchant ici une chatte ou ouvrant la bouche pour entreprendre de téter un sein, aspirant un mamelon qui m’emplit la bouche au téton raidi tout en pressant l’aréole de mes lèvres, caressant là un clitoris et y enfonçant mes doigts dans ce vagin offert..
Les tétons se dressent comme de petits sexes au milieu des aréoles granuleuses. Ma main droite est posée sur un Mont de Vénus. J’insinue un doigt fureteur dans la chatte offerte. Elle n’a aucun geste de recul, bien au contraire… Elle ouvre le compas de ses cuisses pour faciliter la progression de l’intrus.

-Je te veux dans ma chatte, je veux sentir en moi ta grosse queue !

En parlant de queue, Martine et julien, la caméra collée à l’œil, ne quittent pas des yeux mon slip pendant que Charles filme le haut de mon corps maltraité par les jumelles.
Ma queue en effet, palpite de nouveau dans mon slip, reprenant de la vigueur. La caméra saisit la forme qui s’en dégage et s’allonge sur le côté avant d’arriver à l’élastique qu’elle repousse.
La « Bête » bat, relève tout doucement le tissu pour en libérer la tête qui montre son visage.
Je ne peux voir le spectacle, la vue cachée par une fille assise carrément sur ma tête pour que ma langue fouille sa fente ou excite son clito. Je sens mon sexe durcir contre mon ventre et ça n’a pas échappé à Lydie. Je frissonne de partout quand je sens une main palper carrément ma bite et une voix me murmurer à l’oreille :

-Ben mon cochon, tu cachais bien ton jeu, toi ! T’es membré comme Ian Scott ! On peut dire que tu bandes comme un bouc, pauvre chéri. Dans quel état te voilà ? Tu veux que je te branle ?
Et Alexia d’en remettre une couche :
-Tu as raison sœurette, le petit poney a une véritable queue d’étalon !

A suivre…

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