Histoire Erotique

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Un nouveau départ

Une célibataire sûre d'elle et joueuse. Un inconnu qui n'est pas prêt à la laisser avoir le dessus. Qui va gagner, hormis le plaisir?

Proposée le 2/04/2020 par Maitreetsoumisebis

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Roman


Pour la première fois depuis longtemps, Julie se trouvait seule dans un bar. Non pas que d'habitude elle soit accompagnée. Mais elle n'avait plus l'habitude de fréquenter ce genre d'endroit depuis des années. Elle était célibataire depuis un long moment. Et même si elle avait un ou deux amants réguliers, ce soir elle avait ressenti la solitude plus fortement que d'habitude.

Elle avait donc décidé de mettre une petite robe sympa et d'aller prendre un verre. Son objectif était juste de voir du monde. Elle n'avait pas l'intention de trouver un homme ou quoi que ce soit de ce style. Elle voulait juste s'amuser un peu et voir si son sex appeal faisait encore effet. Cela faisait un moment qu'aucun homme ne l'avait dragué et cela ferait du bien à son égo. Surtout si elle finissait par le laisser en plan juste pour s'amuser et voir sa déception.

C'est ainsi qu'elle sortit de chez elle par cette chaude soirée d'été. Juste vêtue d'une robe bleu cintré sous la poitrine et descendant jusqu'au genou. Pas trop allumeuse. Mais pas trop sage non plus. Il fallait dire qu'elle avait des arguments à mettre en valeur.

A tout juste 31ans elle avait su garder un physique très plaisant. Avec 63 kilos pour 1m75, elle avait de longs cheveux bruns descendant jusqu'aux creux de ses reins. Ses yeux verts étaient particulièrement séducteurs, surtout soulignés par un maquillage léger tout comme ses lèvres fines.

Mais ses plus beaux arguments se trouvaient actuellement entourés de dentelles. Elle était doté d'un très joli 90C, fermes et haut placés. Et d'un encore plus joli fessier. Son petit 36 était parfaitement ferme et rebondi. Le volley ball et le yoga l'aidait à entretenir ce que la nature lui avait généreusement accordé.

En marchant vers le bar qu'elle avait choisi, elle ne put s'empêcher de réfléchir. La seule chose qui faisait qu'elle n'était pas mariée et qu'elle n'avait pas d'enfants était son amour de la liberté. Sa liberté. Elle avait éconduit tous les hommes qui avaient désirés plus que de simples aventures. Seul ceux qui avaient pu se contenter des plaisirs charnels avaient eu le droit de la côtoyer plus de quelques semaines.

Elle entra dans le bar et se choisit une place au comptoir. Il était encore tôt alors il n'y avait pas grand monde. Elle avait sélectionné cet établissement car ses collègues de travail n'en avait jamais parlé. Donc aucun risque d'en croiser un. Elle travaillait dans la banque et la réputation était aussi importante que les compétences dans ce milieu.

Elle se commanda un cocktail à la mode. De quoi se faire plaisir et envoyer un signal à un homme en chasse.

Le début de la soirée se déroula très calmement. Trop à son goût. Seul la serveuse et un gamin dont elle se demandait si il était majeur étaient venus lui parler. Elle se préparait à partir pour changer d'endroit quand elle vit un homme entrer. Grand, la trentaine. Brun, à la mâchoire carrée. D'allure sportive. Plutôt son type. Non, en fait carrément son type. Dommage qu'elle ne soit là que pour s'amuser.

Elle regarda autour d'elle et elle vit que les autres femmes présentes dans le bar, qu'elles soient accompagnées ou non, avaient également remarqué son entrée. « Le mâle Alpha vient d'entrer en scène » se dit elle. Alors c'était à elle de jouer. Elle devait prouver qu'elle était la femme la plus attirante et la plus intéressante pour mieux l'attraper dans ses filets et le rejeter à l'eau ensuite.

Très discrètement, elle remonta le bas de sa robe de quelques centimètres dévoilant ainsi ses cuisses. Elle le vit s'installer au comptoir, à quelques chaises d'elle. Mais pour le moment, il ne semblait pas réagir. Elle entendit la serveuse l'appeler par son prénom : Alex. C'était un habitué.

Elle lança son jeu de séduction. Jouant habilement et discrètement avec son décolleté quand elle était tournée vers lui, n'hésitant pas à envoyer des signaux discrets mais tout en faisant semblant de ne pas le voir. Elle était experte dans ce domaine. Aussi, quand il se leva elle cru qu'elle avait gagné. Et elle fut déçu de le voir se rendre aux toilettes sans même la regarder.

Son désarroi du se voir car la serveuse vint lui parler.
« Inutile de jouer ce jeu là avec lui »
« Que voulez vous dire ? »
« Lui, c'est plutôt le style à aimer les trucs francs et directs »
« Ah. Et comment savez vous ça »
« A votre avis » dit la serveuse avec un clin d’œil. Visiblement elle avait déjà pu profiter de ce beau mâle.
« Un conseil à donner ? »
« Non. Si il est intéressé, il le fera savoir de manière directe. Sinon, y a rien à faire. »

La conversation fut interrompue par son retour et Julie finit son troisième cocktail. Toutes ses tentatives pour attirer son attention ne donnèrent rien. Et finalement, elle le vit se lever et quitter le bar. Déçue, elle décida d'en faire de même un peu plus tard. Elle hésitait encore entre rentrer chez elle et essayer un autre bar quand elle le vit attendre dehors, adossé au mur.

Il la regarda et dit :
« Enfin »
« Pardon ? » dit elle interloquée.
« J'ai faillit partir, lassé de vous attendre »
« Vous m'attendiez ? » Il la prenait par surprise. Elle était très loin de son plan d'origine.
« Vous avez tout fait pour ça, vous ne pensez pas ? »
« Je ne vois pas à quoi vous faites allusion » Elle sentait le rouge lui monter aux joues. Elle perdait pied et elle devait se reprendre rapidement. Soit pour reprendre le contrôle, soit pour mettre fin.
« Bien sur. Ça vous dérange si on parle un peu en marchant ? » dit il en se mettant à marcher à ses côtés.
« Faites comme vous voulez, on est dans un pays libre »
« Heureuse liberté. Moi c'est Alex »
« Enchanté, Julie »
« Et vous faites ce petit jeu souvent ? »
« Quel petit jeu ? »
« Il aurait fallut que je sois aveugle pour ne pas vous voir jouer avec votre robe et son décolleté. Décolleté bien fourni d'ailleurs »
« Vous vous faites des idées. Je n'ai rien fait de particulier »
« Vraiment ? C'est dommage alors »
« Dommage ? Pourquoi ? »
« Parce que je pense qu'on aurait pu s'amuser »
« S'amuser ? Vous vous faites beaucoup d'idées dis donc »
Ils marchaient dans des rues désertes et sombres. Il l'attrapa par le bras pour l'arrêter à hauteur d'un petit parc arboré et sans grillage.
« Dites, si on arrêtait de jouer »
« Mais je ne joue pas moi » Elle s'amusait. Elle avait repris le dessus. Elle comptait le ferrer et ensuite le planter là.
« Vraiment ? Dommage. Je vous pensais plus aventureuse et joueuse. Bonne soirée » et il fit demi tour sans aucun autre mot.

Elle se faisait jeter ! Il la larguait là ! C'est elle qui devait le jeter et non l'inverse. Elle devait reprendre la main tout de suite et elle dit la première chose qui lui venait à l'esprit.
« Dommage »
Quand il se retourna elle le regarda droit dans les yeux et se dirigea ostensiblement vers la partie la plus reculée du parc en lui lançant son regard le plus allumeur possible.

Il la suivit de manière nonchalante, comme elle le souhaitait. Elle allait le faire bander, le rendre dur à casser du béton et le jeter là, frustré au possible. Elle arriva dans un coin particulièrement à l'écart et sombre et s'adossa à un arbre. Il vint se planter face à elle.

Et avant qu'elle ait eu le temps de faire quoi que ce soit il plaça sa main sur son entrejambes, directement sur sa chatte. De manière franche et directe comme la serveuse l'avait prévenue.

Il ne lui laissa pas le temps de réagir et remonta directement sa robe pour placer sa main en dessous. Il lui caressa immédiatement le sexe à travers le petit morceaux de dentelle qui lui servait de string. Et elle ne put s’empêcher de lâcher un gémissement. Il était diablement doué avec ses doigts !

Il la regardait droit dans les yeux. Comme un lion regarde une antilope une fois qu'il l'a acculé dans une impasse. Son plan venait de voler à nouveau en éclat. Elle savait qu'elle ne contrôlait plus rien. Et il se débrouillait tellement bien qu'avec deux doigts à peine à travers la dentelle, il fit brûler son ventre et mouiller sa chatte immédiatement.

Elle tenta de reprendre l'initiative en faisant comme lui. Et elle sentit tout de suite la bosse sous son pantalon. Une bosse bien dure et de belle taille. De très belle taille. Et contrairement à l'effet voulu, ça ne fit qu'amplifier son excitation à elle. Aussi quand il déboutonna son pantalon pour sortir sa verge, elle l'attrapa à pleine main et découvrit qu'elle avait du mal à en faire le tour avec ses doigts.

Elle en était à ce constat, et à réaliser à quel point elle en avait envie, quand il la retourna pour la mettre face à l'arbre. Elle se laissa faire comme une poupée et elle se pencha en avant sans qu'il ait à lui demander.

En moins de temps qu'il ne fallait pour le dire, elle sentit sa queue contre sa chatte trempée. Et en un coup de rein à peine, elle le sentit s'enfoncer en elle. Un chibre de cette taille lui donna l'impression d'être ouverte comme jamais. Elle ne s'aperçut même pas qu'elle était en train de gémir sans essayer de se cacher. Et quand bien même elle l'aurait réalisé, elle n'aurait rien pu faire pour s'en empêcher.

Il ne perdit pas une seconde, s'enfonça jusqu'au fond de son ventre et la baisa sans retenue. A grands coups de reins. Tellement fort qu'elle dut s’agripper à l'arbre pour garder l'équilibre. Il l'attrapa par les cheveux et lui tira violemment la tête en arrière. Elle n'avait jamais été prise comme ça. Jamais un mec ne l'avait traité comme ça. Et elle adorait.

Il la démontait sans retenir ses coups de butoir quand elle l'entendit lui dire :
« T'es une vraie salope toi ». Elle était choquée par cette phrase mais elle ne put rien dire. Juste gémir.
« Une bonne chienne comme je les aime ». Là encore elle garda le silence. Elle pouvait difficilement le nier même si elle ne s'était jamais vu comme ça. Elle se faisait baiser sans capote contre une arbre par un inconnu qu'elle avait rencontré 15 minutes auparavant. Et elle adorait ça.
« Allez dis le ». Elle réussit juste à dire :
« Dire quoi... »
« Que t'es une salope et que tu aimes ça »
Elle ne dit rien. Elle se refusait à dire ça. Ça rendrait trop réel le fait que ce soit vrai. A cet instant elle était une salope. Et elle aimait ça.
Il lui envoya alors les plus gros coups de reins qu'elle n'ait jamais reçu.
« Allez dis le ! »
Elle gémissait tellement fort qu'elle perdait la tête devant de tels coups de reins. Alors elle perdit toute contenance. Elle susurra aussi bas que possible :
« Je suis une salope... et j'aime ça »
« Plus fort ! » Il ponctua sa demande de coups de reins puissants.
« Je suis une salope et j'aime ça ! »

A sa grande surprise, dire ces simples mots lui déclenchèrent l'orgasme le plus violent de sa vie. Elle hurla son plaisir comme une folle. Elle sentit ses jambes se dérober sous elle et c'est uniquement lui, ses mains, ses jambes et sa queue enfoncée profondément en elle qui réussirent à la retenir debout. Elle redescendait à peine quand il se vida en elle, réenclenchant une nouvelle vague de plaisir.

En quelques coups de reins il finit de se vider en elle. Elle n'eut aucun mal à sentir le gros flot de sperme l'envahir et couler en elle. Puis il se retira et ses jambes lâchèrent. Elle tomba à genoux, face à l'arbre, cherchant à reprendre son souffle. Et ses esprits. Elle réalisa qu'elle s'était faite baiser comme une pute de trottoir, sans capote, dans un parc. Et tout ça en hurlant son plaisir. Un plaisir que tout le monde aurait pu entendre.
Elle en était là quand elle réalisa qu'il se rhabillait derrière elle. Elle tourna la tête, toujours à terre et le regarda.

« T'es une bonne salope. Si tu as envie de savoir à quel point tu peux aimer ça, sois à cet endroit précis demain à 21 heures. »
Et sans un mot, il partit.

Elle ne savait pas quoi répondre. Jamais un homme ne l'avait traité aussi mal. Jamais elle n'avait été aussi humiliée sexuellement. Jamais on ne l'avait baisé comme un simple bout de viande.

Et jamais elle n'avait jouis aussi fort....

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Excitant à souhait....
Posté le 2/04/2020


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