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Souvenirs érotiques et cochons d'un érotomane - Mère et fille lubriques (4)

Deux femmes sont à l'origine de mes vices et perversions, entre autres de mon fétichisme pour les petites culottes : Ma tante Cécile (voir mon premier récit sur ce site), et ma cousine Colette, sa fille… Ceci est le quatrième chapitre de mes vacances chez elles...

Proposée le 3/03/2020 par enipal

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Le lendemain matin, debout le premier, je suis en train de préparer le petit- déjeuner, lorsque Colette fait son apparition dans la cuisine. Elle porte juste une culotte minuscule qui lui cache à peine le sexe et qui rentre entre ses fesses, par derrière.

Elle se penche vers le frigo. Le spectacle qu’elle m'offre par derrière est pour le moins affolant : entre les fesses généreuses, d’une blancheur nacrée, que le bronzage du dos et des cuisses font encore plus ressortir, je peux voir pénétrer la partie arrière de la culotte chiffonnée, fripée par la sueur qui la réduit à l’état de cordon.

Sentant mes yeux sur son derrière, Colette se penche de plus en plus sur le frigo, et, tout en feignant de réfléchir à ce qu’elle va prendre, elle écarte impudiquement les fesses.
Par moment, elle se penche tellement, que je peux entrevoir, de chaque côté du mince cordon de nylon rose, les bords de l’auréole brune de son anus cerné de poils minuscules.
Elle se relève et avec un regard de petite fille vicieuse sur l'érection qui gonfle mon slip, elle se glisse derrière ma chaise, prend ma main, la conduit entre ses jambes et serre les cuisses. Elle est brûlante, sa petite culotte un chiffon trempé. Elle se penche à mon oreille :
- Bonjour mon cousin cochon… Tu sens ? Je suis tellement mouillée, j‘ai presque fait dans ma culotte. Hier, avec maman et toi… C'était si bon… On recommencera, dis ?
Tout en parlant elle frotte ses cuisses l‘une contre l‘autre, ma main emprisonnée contre sa motte. Elle se branle contre ma main… Elle se penche sur mon épaule, saisit ma queue bandée dans mon slip et commence à me branler en me chuintant à l'oreille :
- Rien que d‘imaginer tout ce qu'on va faire, je vais jouir dans ma culotte…
Au moment où je suis sur le point de me jeter sur elle, Colette cesse brusquement la branlette.
- Viens… J'ai envie...
Elle remonte, balançant ses fesses et ses seins dans l’escalier. Je bande comme un âne, je la suis des yeux jusqu’à ce qu’elle aie disparu et monte à mon tour...
Lorsque j'entre dans sa chambre, je la trouve vautrée dans un fauteuil, cuisses écartées, jambes reposant sur les accoudoirs, passant ses doigts sur le côté de sa culotte si trempée que sa cyprine coule doucement entre ses fesses. Elle a le trou du cul tout mouillé !
Je sors ma queue et mes couilles, puis laisse glisser mon slip. À poil, je me jette sur elle. Elle s'attend à être giflée de la raideur de ma bite tendue avant de la lui enfoncer dans la bouche, mais mon impatience se porte sur sa culotte, guenille saturée de la mouille poisseuse et odorante de son con.
Devant la difficulté de lui rapprocher les jambes pour la lui enlever, je tire brutalement. Elle se déchire, je lui en éponge la chatte et la raie, en insistant sur son cul, comme pour en assécher les petits poils qui le garnissent. Je la hume, je bave, je crache dessus.
Elle me regarde me la mettre dans ma bouche, mes joues se creusent, j'en aspire les sucs. Elle me voit déglutir, elle se sent un peu frustrée, elle aurait aimé que je recrache sur elle le jus que j'ai extrait, ce mélange de sa mouille et de ma salive .
Elle n’en peut plus d’une envie de quelque chose, elle ne sait trop quoi, mais peu importe pourvu que ce soit cochon !
Je la fait glisser au sol et mettre à quatre pattes. Dans le miroir, elle me voit habiller ma pine et mes couilles de sa culotte et commencer à m'astiquer le manche.
Ma figure qui s’approche de ses fesses, elle sent mon nez et ma bouche qui cherchent à s’y introduire, elle réalise ce que je veux. Ce qui la fait mouiller encore plus. Pour me faciliter la tâche, le visage de côté, écrasé sur le tapis, de ses deux mains tendues en arrière elle écarte ses fesses.
J'y précipite ma langue et accompagne ma branlette du goût de son cul. Elle se laisse faire. Je m'allonge et la fait asseoir sur moi. Sur ma figure, en lui écartant bien les fesses pour que ma bouche soit collée comme une ventouse à sa rondelle, et qu’en la faisant tourner, ma langue essaie d’en pénétrer le secret.
Elle sent le mouvement de ma main sur ma queue, mes couilles qui roulent au bas de son menton. Elle passe une main pour les tâter. Elle réussit à entourer mon bassin et de l’autre elle vient tenir compagnie à la mienne qui serre mon manche emprisonné dans sa culotte.
Je ne suis plus seul à me branler, et autre satisfaction, c’est elle qui me lèche le cul. Je râle, je vais gicler. Sa main placée au sommet de ma tige perçoit les palpitations à travers le tissu, si fin qu’il ne peut retenir complètement le foutre qui gicle avec force.
Elle en a un peu sur les doigts, mais elle en veut plus. Elle me confisque sa culotte qui dégouline autant de moi que d'elle. Elle me fait soulever mon fessier et me la passe et la repasse dans la raie pour qu’elle soit bien enduite de nos deux jus…
Avant de bien nettoyer de sa langue de vicieuse ce qu'elle y a étalé, sans oublier l’enduit de sperme qui me fait encore la queue brillante, à peine ramollie.
Enchevêtrés sur le tapis, barbouillés de sperme et de mouille, c'est ainsi que tante Cécile nous découvre en pénétrant dans la chambre.
- Ce n'est pas gentil de commencer sans moi…
Elle est debout au dessus de moi. Elle fait glisser son peignoir…
- Pierre, viens t'occuper de ta tante…
Mes mains remontent sur ses hanches. J'atteins l’élastique de la culotte, la descends jusqu’aux cuisses. Elle écarte les jambes, je flaire son sexe, tire la langue et touche. Ma salive l'excite, elle sent fort. Ma langue glisse le long de sa fente.
Mes doigts la déplient, la langue s’attarde à l’entrée, s’y engage, et ma bouche embrasse le clitoris, le tète, le titille, et ses gémissements exigent plus encore, que je la bouffe encore. Je l'écarte avec mes mains, la pénètre d’un doigt, lui fourre un autre doigt, elle mouille. 
Je lui enlève sa culotte. Elle se retourne, pose ses mains sur une chaise et écarte les jambes. Ainsi, penchée, le derrière offert, je la lape. Je m'agenouille et elle se creuse d’envie, je lui administre un doigt, puis deux qui la font gémir.
Colette nous regarde. Sa main vient se poser, va chercher ma queue. Elle prend le pieu, le caresse et le prend à pleine main, le branle soigneusement. Je bande à nouveau comme une bête. Je sens sa bouche se poser dans mon cou. La tante attrape à nouveau mes mains, les pose sur ses hanches, je comprends ce qu'elle veut. 
Je la guide un peu, elle vient se presser contre ma queue, s'empaler sur ma bite. Colette a sous les yeux le spectacle de son gros cul rond, ouvert. Elle voit sa mère en train de se faire baiser, pliée comme une garce, me vouant son cul et gémissant sous mes coups de queue. Bon sang, comme je la lime et comme elle aime ça.
Colette m'embrasse, roule sa langue sur la mienne, descend à genoux et effleure de ses doigts mes couilles qui cognent contre la chatte de sa mère. Je me retire du con et supplie Colette de me lécher. Elle me regarde en clignant des yeux et engouffre ma queue dans sa gorge.
Elle me pompe, me branle avec ses lèvres, aspire mon gland, elle n’en peut plus déjà, elle raffole de me bouffer, elle rêve de me boire, on dirait, elle me dévore avec ses yeux tout dégoulinants. Et sa mère ondule son cul pour m’exciter. Elle écarte ses fesses, et ses orifices se dilatent à vue d’oeil. Elle lèche son majeur et il disparaît entre ses fesses.
Et tandis que la fille me pompe, la mère se lime ainsi. Je lui prodigue mille caresses, et pour finir une claque sur les fesses. Elle retire alors son doigt et m'implore maintenant. Des doigts, je lui en fourre deux. Elle est trempée, toute dilatée, mes doigts l'enculent, vont et viennent en même temps que ma queue dans la gorge de Colette.
Et puis n’en pouvant plus, je me retire de sa bouche et lentement, je m’introduis au fond du cul de tante Cécile. Elle me serre un peu et je bande d’autant plus. Je parviens à l'enfiler complètement, et elle s'abandonne à ma queue.
Elle se laisse enculer, ça lui plaît. Garce, elle en demande toujours plus, elle se cambre et je viens cogner bien profondément. Ma bite va et vient entre ses fesses, et mes mains sur ses hanches la font valser en bêlant.
Colette va se mettre devant elle et caresse son visage. Elle l'embrasse, lui dit des saloperies qui l'excitent, et ma queue gonfle et voudrait exploser. Colette, tout en l'embrassant, caresse la fente de sa mère, la fouille, branle son clitoris et que si bien traitée, elle halète et vient s'empaler comme une folle sur ma bite.
Je sens son trou s’élargir encore, je l'assaille de coups et elle crie, je crie de jouissance et mon foutre gicle au fond de ses entrailles.
Je me retire, pantelant, vais m’écrouler sur le canapé, et elles viennent se coller à moi. Elles me cajolent, m’embrassent. Elles s’embrassent aussi, et leurs langues se mêlent, lèchent mes lèvres et se mélangent à nouveau. La mère câline la fille.
Ses doigts la pénètrent, elle descend contre elle pour la lécher. Je prend ses cuisses et les écartes pour qu'elle puisse la fouiller de sa langue. Colette m’embrasse et gémit sous la langue de sa mère. Je tiens ses cuisses ouvertes et sa mère la lèche et l’ouvre avec son index, le cul se soulève comme pour être pris plus encore.
Sa respiration s’accélère, elle devient folle, sa chatte brûlante réclame une queue. Une main, un doigt ne lui suffit pas, elle veut qu’on l’emplisse et que son con explose.
Elle ondule sous les caresses de sa mère, ses yeux se ferment, elle s’abandonne au plaisir, elle crie, ses reins et son dos cambrés, sa poitrine tendue, elle râle, son sexe trempé, bouillant, ses cuisses grandes ouvertes, elle tremble et crie de jouissance.
Je bande. Elle me fais à nouveau bander la petite garce. Je viens sur elle, elle se laisse faire, je prends d’une main son cul, le soulève, elle est chaude et trempée de jouissance. Elle soupire, caresse mon dos, je reste au-dessus d’elle. Je laisse couler un filet de salive dans sa bouche et ça l’excite, ma salive fraîche.
Les yeux pleins de sexe, elle me supplie. Ses fesses se soulèvent sous moi, pour essayer de trouver ma queue et j'adore la voir se tordre ainsi.
Je la laisse ainsi se tortiller un instant encore, la retourne, la met à genoux sur le canapé, elle supplie :
- Viens dans mon con..! Viens dans mon cul ! Mets-moi ta grosse queue partout !!!
Et je la baise. En bas, la mère me réclame, au sol, elle me veut, mais la garce, elle va attendre un peu, et puis je veux faire gémir Colette. Je la prends bien à fond, elle halète à chaque coup, elle respire de plus en plus fort, sa tête part en arrière, ma queue dans son cul la brûle et son con est inondé de son jus.
Je vais gicler. Je me retourne vers tante Cécile, lui fourre ma verge dans la bouche pour qu’elle me pompe. Je suis au bord. Je regarde ses lèvres s’appliquer, me retire, me branle au-dessus d’elle et jute, elle tire la langue pour recevoir mes giclées.
Colette se glisse sous elle, entrouvre les lèvres, et tante Cécile laisse couler le foutre de sa bouche, et nous nous embrassons, et mêlons nos langues. ….
Je les adore, mes deux cochonnes !

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Un chaud récit, j'attend la suite
Posté le 25/05/2020

Barbie
je mouille, encore!
Posté le 9/03/2020

Anonyme
super
Posté le 5/03/2020


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