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Baise finale dans l'espace avec des créatures perverses #1

Je retournais sur Terre. L’hibernation dura cinq ans avant le réveil, juste à temps aux limites de la Voie Lactée. J’étais frais et dispo mais plus le même qu’avant mes mésaventures érotiques avec des extraterrestres. Faut dire que je me suis mis en état de sommeil immédiatement après avoir quitté ces créatures perverses.

Proposée le 23/02/2020 par Lombricul

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Thème: Homme dominé
Personnages: Groupes
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


Une heure après mon réveil et aux commandes de mon vaisseau, je me rends compte que ce dernier n’avance plus et est en position d’orbite. Bon, que se passe-t-il encore? Sur mon écran de contrôle, je remarque un autre vaisseau en orbite près du mien. La radio se fait entendre : « Bonjour, terrien. Nous sommes désolés que votre vaisseau soit arrêté mais il fallait entrer en communication avec vous avant votre retour chez vous. Nous ne sommes pas une menace, à moins que vous résistiez. ». Je n’ai pas l’énergie ni le goût de dire non. Alors ils continuent : « Nous sommes des scientifiques d’une planète lointaine qui fabriquons et fournissons des sérums de performance sexuelle pour tous les espèces. Nous sommes dans cette industrie depuis très longtemps et c’est la première fois que nous avons été témoins des effets de nos produits sur un humain comme vous ». Je les arrête et leur demande comment ils ont pu assister à mes séances de cul, alors qu’ils n’étaient pas filmés.

« Vous vous trompez », répliquent-ils. « Ils ont été filmés dans leur totalité, soit celle avec les cinq pirates dans le vaisseau et celle de votre striptease dans le cabaret orbital ». Soudain, mon écran principal s’ouvre : cinq pirates m’entourent en me pelotant avec leurs mains en même temps, le slip blanc trempé sur le point de glisser, respirant fort. On voit différents angles de caméra, allant du plafond aux propres yeux des pirates. Mon corps commence à avoir des petites convulsions, comme si ce dernier se rappelait ces moments charnus. Une minute plus tard, un autre extrait me montre au cabaret en train de lécher et sucer des bites extraterrestres à genoux autour de moi, avec également différentes caméras me filmant. Il y en a même une sous moi, à travers un sol transparent, observant mon cul et mes couilles égouttant de sueur. La fièvre du sexe s’empare à nouveau de moi. Quel bonheur de retrouver cette sensation. Habillé d’un simple t-shirt et d’un slip, je commence à me caresser.

La voix du scientifique continua : « Jamais nous n’aurions cru à un tel niveau de perversité chez un humain. Avec les pirates, vous avec baisé trois heures et éjaculé 8 fois. Au cabaret, avec une dose plus forte, l’orgie a duré quatre heures et les espèces sur place vous ont fait venir 19 fois environ. Cette fois, nous aimerions analyser jusqu’où sont vos propres limites. ». Je croyais avoir joui comme un dingue auparavant, et cette fois-ci, on veut mettre le niveau au maximum. « Une fois cet objectif atteint, vous rejoindrez finalement votre planète. » Bon… même si cela fait cinq ans, je garde des souvenirs délicieux de mes relations sexuelles avec des extraterrestres et j’aimerais encore une fois atteindre ce niveau, et peut-être au-delà. « Donc, vous êtes prêt pour l’expérience? »

Je suis soudainement téléporté dans une toute petite pièce sombre, presque une prison. Devant moi, je remarque une petite table, une chaise et un verre d’eau. « Buvez ce qu’il y a dans le verre et placez vos mains derrière le dos. » Je m’empare du verre, en boit le contenu. J’ai juste le temps de placer mes mains quand une vive sensation de bien-être emplit mon corps. Des menottes magnétiques referment mes poignets et mes chevilles. Je ne peux plus bouger. Mon pénis se réveille avec un violent afflux sanguin. « La substance que vous avez avalée est trois fois plus intense que celle au cabaret. Vous ne pouvez pas vous toucher immédiatement, ce qui expliquent les menottes. Votre plus intime fantasme va maintenant se révéler. »

Les murs se changent soudainement en verre. À la vue de la créature, je pousse un cri. Adolescent, je lisais des dessins animés sur internet avec des extraterrestres qui avaient des relations sexuelles entre eux ou avec des humains. Il y en avait même sur Jabba le Hut, le même qu’on voit dans la Guerre des Étoiles, au moins où il m’excitait plus que les autres. Et là, de l’autre côté de la vitre, cette limace m’observait avec ses grands yeux noirs. Par le fait même, d’immenses écrans géants surplombent les façades autour de Jabba, me filmant les poignets et chevilles liés, bandé comme jamais je ne l’ai été. Jabba m’adresse la parole : « Comme ça, je t’ai toujours excité, hein? Je vais enfin m’offrir un humain, ce que je n’ai pas eu le temps de faire avant que la princesse Leia me tue il y a longtemps ». J’avais oublié ce grand moment de cinéma, mais bon. « En plus, tous les représentants des nombreuses galaxies qui n’ont pas pu assister à ta performance au cabaret vont t’observer en direct ».

Des gicleurs s’actionnent du plafond et une importante quantité fait grimper le niveau d’eau d’un mètre. Après quelques minutes, ils arrêtent net. Mon t-shirt et mon slip sont tout trempés. Mon propre gicleur est en état d’alerte. Je respire fort, mon corps tremble de plaisir. Jabba se colle à la vitre, se flatte la queue lentement. Soudain, mes pieds se libèrent. J’embarque et m’asseoie sur la table, écarte mes jambes pour que Jabba puisse voir la forme de ma grosse bosse dans mon slip mouillé. Je me frotte les fesses en gémissant. Ensuite, je me lève, approche ma bouche du bout de la chaise et la lèche avec avidité. Sur les écrans, des commentaires écrits apparaissent dans le bas, provenant d’extraterrestres pervers qui doivent se payer du bon temps en me contemplant. Je me colle à la vitre me séparant avec Jabba. Je lui dis que je le veux, que je veux être sa pute.

Les murs de vitres disparaissent. Mes menottes aussi. Je tourne le dos à Jabba et baisse lentement mon slip pour lui montrer mes fesses juteuses. Il grogne comme un vieux vicieux. Je joue des hanches en lui montrant mon bel anus mouillé. Sur quelques écrans, on commence à voir des extraterrestres qui se masturbent en cam. Ma bite a pris quelques pouces de plus, elle est monstrueusement aguichante. Au même moment, je glisse mon index dans le fion, l’agite rapidement et me lamente. De l’autre main, du bout de mon index, je me chatouille le prépuce, en retire une grosse quantité de liquide séminal et me l’insère dans le cul. À ce moment, l’univers était sur le point de venir.

Avant d’atteindre ce moment fatidique, Jabba me demande de m’approcher de lui. À deux pouces de son visage, je sens son haleine. Je me penche, me frotte doucement le gland et les couilles sur son visage et lèche sa peau. Ma libido est au-delà de mes limites, ce qui me fait faire d’inimaginables mais de sublimes cochonneries. Il s’empare de mes fesses, l’air de sa bouche assèche ma peau. Je me masturbe, caressant la verge sur ses grosses lèvres. Je lui crie de goûter mon sperme, il approuve avec délectation. Au même moment qu’il me serre les fesses, j’éjacule comme un porc dans sa gueule. Putain que j’ai joui. Et je suis loin de débander.

Jabba me tourne dos à lui et enlève lentement mon t-shirt. Nu devant l’univers qui me regarde et salive devant un humain qui aime le plaisir dans la soumission, je me contemple sur les divers écrans et me demande jusqu’où ma folie sexuelle va me mener… quelques moniteurs montrent des reprises de moi survenu il y a quelques minutes, décuplant encore davantage ma démence perverse. Au même moment, une grosse langue me liche le dos. Une épaisse écume descend jusqu’entre mes fesses. Je sens la lourdeur de ma verge de 25 pouces, affamée. Le bout de la langue de Jabba s’introduit ensuite doucement dans ma croupe. J’émet des plaintes de catin : oh, ah, mmm… à chaque coup, du fluide s’échappe de mon gland, gardant un filet permanent. Mon point P est stimulé au maximum.

Par la suite, il me soulève, me dépose sur son ventre humide et, tout en gardant une bonne souplesse, continue de me faire un coït anal avec sa langue. Mon gigantesque phallus est secoué de haut en bas lors des mouvements. Les dépravés commentent chaque pli de mon pénis tout en augmentant la cadence de leur branlette. À un certain moment, je sens une main douce me malaxer les couilles et je pousse un gémissement. Jabba la glisse ensuite vers ma bite, mais au simple toucher, une importante quantité de sperme sort du gland et s’étend sur ma poitrine et mon visage. La grosse langue se retire de mon anus.

Respirant fort, je prends ma propre semence sur mes joues avec mes doigts et en dépose sur ma langue. Jabba me susurre : « Jamais je ne croyais qu’un humain pouvait se transformer en truie. » J’entends un des vicieux s’exprimer en ondes. Il m’adresse une requête en direct pendant qu’il se masturbe avec une graine deux fois plus grosse que la mienne : « Paraît que lors de ton orgie au cabaret, plusieurs sur place ont particulièrement aimé voir te sucer. Moi je n’en peux plus d’attendre, je veux regarder ça, j’en rêve ». mmmmm oh oui, je le veux aussi. Je demande à Jabba de plier doucement mes jambes avec son bras, qui s’exécute promptement. Je liche mon prépuce lentement mais avec passion. Je l’aspire pour en avaler le restant de semence de ma dernière éjaculation. La bouche pleine de bave, je l’introduis en sentant la chaleur douce de l’organe. Je pourrais faire ça pendant des heures. J’aperçois du coin de l’œil trois des scientifiques (tous mâles) qui sont incapables de prendre des notes, préférant plutôt de prendre leur propre membre en m’observant de manière peu scientifique.

Frôlant mes lèvres sur mon gland, je leur fais signe de s’approcher et d’admirer de plus près toute la perversité qui m’envahit. Autour de moi, à l’œuvre avec ma verge, il se surprennent à se toucher et se masturber mutuellement. Ils semblent eux-mêmes surpris. C’est la première fois, semble-t-il, qu’ils commettent des actes qui vont à l’encontre de leur travail. On dirait bien que j’excite tout le monde. Soudain, un d’entre eux se penche et lèche mes couilles avec assiduité. Je murmure de plaisir tout en continuant à travailler ma grosse bite dans ma bouche. Les deux autres frottent leurs lèvres gloutonnes sur mon sexe. Nous sommes quatre à le triturer. J’entends au loin les spectateurs qui nous traitent de porcs et crient de jouissance à notre place.

Après avoir léché mes couilles, un des scientifiques se concentre sur mon derrière, caresse mes fesses rouges enduit d’une couche de sueur et introduit sa langue humide dans mon trou de cul. En plus de la pipe d’harmonica des deux autres pervers, mon prépuce à l’intérieur de ma joue rouge et la galaxie qui joue dans ses culottes en me regardant, Jabba, n’y pouvant plus, se met à balancer tout son foutre sur moi. Les trois scientifiques se lèvent en même temps, se branlent mutuellement et éjaculent dans mon visage. Gluant et bandé comme un cheval, je maintiens les téléspectateurs dans leur excitation en écartant mes jambes pour mettre mon pénis en évidence et me dandine les hanches en me léchant les doigts avec sensualité. Les dépravés sur vidéo me lancent des obscénités telles qu’elles me stimulent davantage. Je ne connais plus tellement de limites.

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