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Une bonne voisine (1 : Faisons connaissance)

Souvenirs de jeunesse : apprentissages sexuels d'un jeune étudiant solitaire grâce à sa voisine de palier, une femme mariée d'une quarantaine d'années, avenante, experte, bien chaude mais qui s'ennuie ferme. Premier épisode où commence cet échange de bons procédés entre voisins.

Proposée le 5/09/2019 par Le Gourmandiseur

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


J’ai gardé des souvenirs encore très précis de l’année que j’ai passée dans une petite ville de province, que je n’ai pas besoin de nommer. C’était ma première année d’étudiant : enfin libre ! Mais aussi sacrément seul. Et les études qui j’avais décidé alors de suivre ne me faisaient pas fréquenter beaucoup de filles : les rares à être bandantes avaient dès les premières semaines un numerus clausus déjà atteint, et quant aux autres, leur physique ingrat ne les empêchait pas du tout de se permettre des prétentions exagérées. Bref : que des « filles de bonnes familles » avec lesquelles on risquait surtout le pire.
L’ennui et la solitude peuvent avoir l’avantage de faire fantasmer. Mais si l’on ne veut pas en rester à se branler bêtement dans son coin, on sent bien qu’il faut vite élargir son horizon.

Une bonne voisine (1 : Faisons connaissance) Toutefois, je n’ai pas eu besoin d’aller chercher loin : je croisais souvent dans les couloirs ou le hall de l’immeuble une intéressante femme (une vraie « femme », en l’occurrence la bonne quarantaine… Bref, pas une petite péteuse de vingt ans. Une femme dont les formes épanouies, l’allure, le doux visage, les ondulations de ses cheveux d’un blond très doux et chaud, et les vêtements juste à point sexy, donnaient de quoi alimenter mon imagination quand je m’astiquais la bite dans mon petit chez-moi.
J’appréciais notamment ses chemisiers et ses petits gilets avec des dentelles, des petits nœuds et des festons, et qui s’ouvraient un peu sur le relief d’une poitrine pleine de promesses. Elle portait aussi des jupes par forcément très courtes, mais très ajustées sur son postérieur, d’une très émouvante rondeur. Et, avec tout ça, de jolies jambes.

J’entendais son mari partir le matin et revenir le soir. Ils recevaient parfois des invités le week-end. J’ai cru d’abord qu’ils avaient de jeunes enfants, mais j’ai su plus tard que leurs deux filles avaient une vingtaine d’années, vivaient évidemment ailleurs, et que Madame gardait simplement quelques bambins de certaines de ses amies, le mercredi.
Et en-dehors de cette occupation, elle restait seule et il lui arrivait de s’ennuyer ferme.

Ce qui explique le fait qu’elle m’ait également remarqué, sans doute davantage pour ma situation de jeune homme seul que par l’effet peu torride que pouvait produire mon allure de grand naïf.
J’ai compris l’attention qu’elle me portait un après-midi de septembre. Il faisait encore bon, et je profitais du soleil de l’arrière saison en sirotant un café sur mon minuscule balcon. Au bout de quelques minutes, j’ai entendu des petits gémissements. C’était régulier, puis au fur et à mesure de plus en plus prolongé, avec des modulations. Il ne faisait pas de doute que ma voisine était sur le balcon, en effet mitoyen, en train de se faire une gâterie. J’ai d’abord eu le réflexe de rentrer, puis je me suis ravisé. Je suis revenu vers ma baie vitrée et j’ai tendu l’oreille. Voulant m’approcher de la cloison séparant les balcons, je me suis rendu compte que celle-ci n’était pas complètement jointe au mur tout du long, mais laissait un peu de jour. J’ai tant que possible approché l’œil de cet interstice d’environ deux centimètres. La chance me favorisait : je pouvais la voir. Elle était assise, juste en face de moi, les jambes largement écartées, sa petite culotte tombée sur les chevilles, les seins à l’air, sur un petit siège en rotin, se frottant d’une main le clitoris, que je pouvais même voir reluire tant il était saillant, et tenant de l’autre main un gros godemichet qu’elle s’enfonçait et faisait aller et venir dans l’ouverture tout élargie et toute suintante de son vagin. J’assistais à ce qui avait seulement illustré mes fantasmes à partir de bribes de films et photos pornographiques. Et à une époque où les images de ce genre ne s’offraient pas en toute facilité, la réalité était encore d’une plus grande intensité érotique. Mais ne radotons pas.
Je fus moi-même dans un tel état d’excitation, en regardant cette femme en pleine séance de défonce, que j’ai dû ouvrir mon pantalon pour sortir mon engin en train de se tendre et de se raidir sévèrement. Les balcons avaient un parapet en béton d’à peu près un mètre de haut dans lequel était fichée la rambarde en métal. Ce qui me permettait de ne pas être aperçu. Je me suis donc retrouvé sur les genoux, pantalon et caleçon baissés, en train de me branler hardiment !
Quand madame s’est mise à jouir, mes giclées ont jailli avec une violence que je n’avais jamais connue : il y en avait partout. Je n’ai pas pu m’empêcher d’être un peu bruyant et alors que je l’observais encore j’ai eu la nette impression qu’elle regardait non seulement dans ma direction, mais précisément vers le coin de la cloison… Je me suis alors réfugié dans l’appartement, ce que j’ai vite regretté ; et lorsque je suis revenu, elle avait disparu.
Comment se faisait-il qu’elle ait choisi le balcon pour se masturber ? Elle pouvait très bien rester à l’intérieur. Le risque d’être espionnée pouvait ajouter à son excitation, mais en fait, ce n’était pas la chance qui avait rendu possible ce bel épisode. Elle savait qu’à cet endroit, dans cet angle, elle était visible pour son jeune voisin. Elle avait facilement remarqué ma situation de célibataire. L’intérêt s’avérait mutuel…

Mon impression de complicité manquait d’une confirmation.
Mais le lendemain, un mercredi, on sonne à ma porte, vers midi.
Elle me demande si je peux surveiller une petite heure la fille d’une amie qu’elle garde ce jour-là, car elle doit faire une course d’appoint urgente. Elle me fait donc entrer chez elle. Je me suis à peine installé dans le salon après avoir été présenté qu’elle sort donc.
Au bout d’une demi-heure, elle revient et me remercie avec empressement : j’ai juste le temps de lorgner le décolleté de sa robe très fluide et lui découvrant les cuisses. Je me retrouve rapidement chez moi, sans avoir très bien compris.
Mais vers trois heures de l’après-midi, alors que je l’ai entendue à sa porte dire au revoir à la gamine qui allait retrouver sa mère en bas, elle est revenue sonner. Pour me remercier de lui avoir rendu service, elle me propose un café, que je trouve tout prêt sur la table du salon. C’est alors que le jeu a commencé…

Je venais de m’asseoir dans le divan quand elle vint près de moi pour me servir. Elle se penchait en avant pour verser le café dans les tasses et j’avais juste sous mon nez le bord de sa jupe qui se levait jusqu’à la limite des fesses.
- Un sucre ? Deux ?
- Euh… rien. Merci.
Je m’attendais à ce qu’elle se place devant moi, mais elle s’est assise près de moi, à ma gauche et a porté la petite tasse de porcelaine à ses lèvres, puis l’a reposée aussitôt.
- Hum ! C’est un peu trop chaud… Faites attention.
Impossible de ne pas regarder ses jambes, découvertes très haut. J’ai pris ma tasse de café, car je n’étais pas très à l’aise avec la manière de poser mes mains. Je me donnais une contenance.
- Ne vous brûlez pas la langue.
Je buvais à petites gorgées et mon regard passait sur tous les détails de sa belle personne. Son décolleté était tout aussi troublant que la nudité de ses jambes.
Une grosse perle pendue à une fine chainette dorée autour de son cou brillait sur le sillon de ses seins.
- Cette robe est un peu légère, je m’en rends compte. Mais il fait incroyablement chaud en ce moment. Heureusement qu’on a un balcon. N’est-ce pas ? Vous aussi vous en profitez, non ? Hier par exemple, je crois que vous étiez sur votre balcon, comme moi sur le mien.
J’ai acquiescé.
- Et alors ? Ça vous a plu ? Vous en avez bien profité ?
J’ai reposé ma tasse.
Elle a écarté les cuisses en exhibant une petite culotte de tulle rose qui laissait clairement voir ses lèvres charnues pliées l’une contre l’autre.
- Tu veux bien me caresser ? Là… oui, comme ça. Comme tu peux voir, c’est tout mouillé. Tu peux mettre tes doigts dedans.
Tout en restant assis à côté d’elle, j’ai glissé mon majeur dans sa culotte et je l’ai passé entre ses grosses lèvres tout engluées de suc.
- Viens. Lèche-moi. Régale-toi.
Son regard, d’une grande douceur, me faisait comprendre que je n’avais plus qu’à me laisser guider par ses désirs.
Elle se cambra un instant et se souleva un peu pour retirer sa culotte, qu’elle jeta sur le tapis. Elle s’enfonça dans le coin du divan, ouvrit ses jambes le plus largement possible. Elle m’offrait sa chatte. Elle m’a semblée d’une taille impressionnante, et c’était en effet le cas, comme j’ai pu m’en rendre compte par la suite par rapport à d’autres de mes conquêtes. Et j’allais goûter ça pour la première fois. Le spectacle de cette longue fente sertie de ses gros pétales épais, tout luisants me donnait l’envie irrésistible d’en manger. Je me mis à genoux devant elle, ma bouche se collant à sa chose.
C’était succulent. Enivrant. Je me souviens encore très bien de cette première expérience : comment je parcourais avec ma langue toute la longueur de cette fleur gorgée de suintement qui se mêlait à ma salive, comment je serrais et suçais entre mes lèvres la chair de ses lèvres particulièrement saillantes et épanouies, comment ma langue visitait aussi l’entrée de son vagin, comment je découvrais le goût secret de ces intimités. Elle posa l’index et le majeur au sommet de sa vulve et tira pour faire bien sortir le bouton de corail de son clitoris.
- Tu vas me faire jouir… Commence par chatouiller mon clito délicatement, du bout de la langue. Oui, c’est bien. Continue…
Je m’appliquais de mon mieux ; non seulement je léchais enfin une chatte, mais je bénéficiais d’une leçon de femme expérimentée.
- Tu peux aussi le sucer un peu, mais sois délicat.
Je jouais de ces deux variations et je comprenais qu’en écoutant les modulations de sa voix sous les effets de mes bons soins, je pouvais mesurer mon efficacité et même exprimer mes talents.
- Passe aussi partout, vas-y ! Bouffe-moi la chatte ! mange tout ça !
Ça coulait très abondamment, j’en avais partout sur la bouche, le menton, les joues, jusque sur le nez. Mon appétit était de plus en plus intense, je dévorais en effet son sexe. Et une espèce d’ivresse me délivrait de mes inquiétudes sur mon éventuelle maladresse. Et puis elle me conduisait : elle me tenait la tête et gémissait de plus en plus longuement.
- Plus fort maintenant.
Elle appuya ma tête contre sa moule. Je me mis à faire tourner la langue sur son bourgeon.
- Oui, vas-y, lèche-moi, lèche ! Attention, pas trop fort… en rythme… Oui, c’est ça. Maintenant, oui, plus vite, plus fort. C’est bon ! Je mouille à mort ! Je vais jouir !
Ses indications entrecoupées de râles cessèrent quand elle se mit à pousser des cris, puis elle fut secouée de spasmes violents
Tout occupé à mon ouvrage, je n’avais pas encore remarqué qu’elle avait sorti ses seins de son décolleté. Une superbe poitrine, bien rebondie, aux tétines excitées. Je me suis mis alors à les téter.
Elle me tenait contre elle, ses jambes ouvertes m’enserrant, et elle porta ses mains sur mon derrière. Elle sentait évidemment sur son ventre le relief dur de ma queue en pleine érection.
- Mets-toi debout.
Elle s’assit plus droit, elle s’approcha, déboutonna mon pantalon et le fit descendre à mes pieds. Mon petit boxer ne pouvait plus contenir ma queue dont le gland était entièrement sorti, pointé fièrement jusqu’au nombril.
- Eh bien, voilà qui est très beau à voir. Et même assez impressionnant ! Dit-elle en baissant mon sous-vêtement.
Elle palpa et soupesa mes bourses.
- En voilà une belle paire ! Ça m’a l’air bien rempli. Plutôt que te branler en me matant, ce sera mieux que je fasse le boulot ! Et une belle bite comme ça, c’est trop dommage de ne pas en faire profiter.
Elle parlait tout en m’astiquant tranquillement.
Puis soudain elle me prit dans sa bouche et me suça avec une avidité qui me rendit incapable de rien contrôler. Elle tenait mes couilles dans une main et accompagnait de l’autre main le mouvement de son fougueux pompage.
Je n’ai pas pu résister longtemps : je n’eus même pas le temps et la présence d’esprit de la prévenir, j’ai tout déchargé alors qu’elle m’avait dans sa bouche. Mais elle ne bougea plus et laissa tout venir comme ça. J’avais une telle quantité de foutre à purger qu’elle entrouvrit les lèvres pour en laisser couler. Je regardais, les yeux écarquillés, mon sperme couler de la bouche de cette femme que je connaissais à peine... ça tombait en flaques sur ses seins.
- Tu en avais une sacrée quantité, jeune homme ! J’adore ça. Mais il va falloir que tu rentres chez toi, on n’a plus assez de temps.
On sa rhabilla, elle m’embrassa et me promit qu’on se verrait dès le lendemain.
- Je te donne mon numéro, mais tu n’appelles pas ; c’est moi qui le ferai, pour te dire si je suis libre et voir quand on peut se retrouver. A moins que ça ne te dise rien…
Je l’embrassai à mon tour, en passant ma main sous sa robe pour lui caresser les fesses – que je n’avais pas encore eu le bonheur de contempler…

Deux jours plus tard, vers huit heures du matin, je suis réveillé par un message qu’elle m’envoie : « Viens vite ! Mon mari m’a baisée avant de partir au boulot, mais c’était trop rapide, il m’a seulement mis le feu au cul. Je n’en peux plus ! Viens. C’est ouvert.»

À suivre...

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
mais oui mais oui c'est bon et vrai
Posté le 8/08/2020

Zatout Zoheir
Belle histoire
Posté le 15/09/2019

Bob
prometteur, mais on en veut plus ! La suite, vite !!
Posté le 5/09/2019


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