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Orage orgiaque

Adepte des randonnées en montagne et cadre dans une grande société, ma vie allait prendre un virage très inattendu à cause d'un orage en montagne. Un refuge non gardé n'est pas forcément un refuge inoccupé...

Proposée le 2/09/2019 par Plume de bite

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FFH
Lieu: Inclassable
Type: Roman


Ce qu’il y a de sympa pour le randonneur en montagne, c’est de pouvoir facilement trouver une cabane non gardée pour s’abriter en cas de coup dur, un orage par exemple. Ce jour-là, j’étais parti seul, parce que mes deux camarades habituels de marche et escalade n’avaient pas estimé prudent de partir. Nous étions le 12 août et la météo annonçait déjà un risque d’orage valable jusqu’au 17. j’avais donc pris mon sac à dos tôt le matin par grand beau temps, calme et chaud et après une heure de route, j’avais laissé ma voiture au parking où il n’y en avait qu’une autre. La montagne ne serait pas sur-fréquentée ce jour-là.

Par ce que l’on appelle un sentier à vaches, comprenez un itinéraire facile, j’avais gagné rapidement de l’altitude et à 10 heures j’étais parmi les animaux du lieu qui n’avaient pas l’air apeurés. j’adore ces situations de rencontres en douceur avec plusieurs spécimens qui se sentent en grande sécurité et vaquent à leurs occupations.

C’est à partir de midi que les nuages, tout de suite menaçants sont arrivés sans prévenir. La météo avait finalement raison. Un coup d’œil sur la carte me confirma rapidement qu’à moins d’une heure, un peu plus haut se trouvait une cabane, meut-être pas trop entretenue, mais qui m’offrirait un abri suffisant.

j’étais à une centaine de mètres de mon but lorsque le ciel déversa sur moi toutes ses réserves d’eau et en 15 secondes j’étais trempé jusqu’aux os, tandis que le tonnerre résonnait et les éclairs faisaient luire une lumière inquiétante dans un ciel devenu totalement obscur.

L’avant-toit de la cabane me donnait déjà un premier abri, mais j’allais pousser la porte lorsque j’entendis du bruit. Il y avait déjà plusieurs personnes. Des randonneurs infortunés comme moi, peut-être ceux de la seconde voiture au parking. En tout cas, la foudre qui résonna en haut de la montagne me décida à entrer sans plus attendre.

C’est là que j’eus plusieurs énormes surprises. Pas de trous dans le toit de ce refuge à l’intérieur coquet, éclairé par des bougies rouges et blanches alternées sur la cheminée. Mais surtout, pas de peur chez les randonneuses, car en fait, il s’agissait de deux jeunes femmes qui n’avaient pas l’air de craindre l’orage tout occupées qu’elles étaient à un jeu amoureux. Et l’altitude, pourtant proche des deux-mille cinq-cents mètres, ne semblait pas les priver d’oxygène.

C’est le gros coup de tonnerre qui retentit qui les stoppa net bien plus sûrement que mon apparition impromptue dans la cabane. j’avais refermé la porte, mais même si le spectacle était très agréable à voir, j’étais presque gêné de déranger ce charmant petit couple. C’est la brune, avec un accent espagnol ou italien qui m’interpella la première.

Elle me proposait tout bonnement de me joindre à elles pour enrichir l’ébat. Sa copine, jusque là en levrette de releva et trouva l’idée plutôt intéressante. Elles étaient donc toutes les deux bisexuelles, et cette randonnée solitaire se transformait tout à coup en une partie de baise dans la montagne avec deux charmantes inconnues.

Emma, la brune avenante portait en fait un gode ceinture avec lequel elle entreprenait déjà Armelle, la blonde à la petite poitrine. Ma fiancée, dans la vallée, était d’un naturel excessivement jaloux et je n’aurais même pas intérêt à lui dire que j’avais fait pareille rencontre. Mais ici en haut, après tout, elle était loin et je n’avais pas mon téléphone avec moi. Je laissais tomber mon sac à dos au sol, et tandis que j’enlevais ma chemise, les deux coquines étaient déjà entrains de déboutonner ma ceinture et de descendre la fermeture. Je les priais juste de retirer mes chaussures, faute de quoi je me retrouverais avec le pantalon bloqué sur les chevilles, mais l’idée ne les dérangeait visiblement pas. Déjà elles empoignait mon pénis et commençait une fellation à deux bouches tout en douceur mais avec une grande efficacité. Mon membre avait durci en quelques secondes et les deux gourmandes me gratifiaient d’une baveuse sur toute la longueur et sur les bourses qu’elle gobaient à tour de rôle. Je voulais me mettre à genoux, mais Armelle me fit allonger, tandis qu’Emma s’occupait enfin de délacer mes chaussures et enleva mon pantalon. Je restais en chaussettes, mais ça n’avait plus aucune espèce d’importance. Nous étions sur une grande couverture de laine qu’elles avaient trouvé là, qui ne sentait pas tout à fait le frais, mais c’était aussi un point qui n’avait aucune espèce d’importance dans le moment présent.

Armelle ayant plongé dans ce qui devait être son propre sac en ressortit tenant en main l’emballage d’un préservatif qu’elle ouvrit rapidement pour en sortir l’accessoire indispensable. Elle en prit délicatement l’extrémité entre ses dents et me le mit en place sans avoir besoin d’utiliser ses mains. Je crois bien que cette opération me fit bander encore plus fort. Ou peut-être est-ce la gorge profonde qui me fit avoir la plus magistrale érection que j’aie jamais eue auparavant.

Et quand Emma me chevaucha, ce petit vagin serré autour de mon membre était une plus douce sensation encore ! Armelle ne voulant décidément pas être en reste s’agenouilla au-dessus de mon visage, mais me demanda, dans cette position inattendue, de lui faire une feuille de rose. Les deux cochonnes avaient anticipé toute leur partie de jambe en l’air et je me demandais si elles ne m’avaient pas vu sur le sentier derrière elles, dans la matinée pour déterminer quel serait le mec qui les baiserait toutes les deux. Donc, la chatte d’Emma était inondée de mouille, mais son anus sentait les fruits rouges du lubrifiant qui faisait luire l’orifice. Ainsi disposés, nous nous donnions tous les trois mutuellement du plaisir. L’orage pouvait bien gronder toute la nuit s’il en avait envie ! j’espérais simplement pouvoir tenir la distance face à ces deux jolies salopes…

Fin du premier chapitre

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