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Journal d'un laveur de vitre

Au long de mes années de pratiques, j'ai rencontré tant de femmes et d'hommes prêts à tout pour une partie de sexe que je me devais de vous raconter mon histoire. Ici, la bonne société en prend un coup ...

Proposée le 4/12/2018 par LaMainDansLACulotte

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Thème: Femme dominée
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Avril 2008...Madame S.

J'arrivais à 15h au Pavillon de Madame S.. Elle m’ouvrit la porte et me fit entrer. Comme beaucoup de mes clientes, elle appartenait au même groupe de bourgeoise de province. D'un certain âge, chacune portait un pantalon à pince ou un tailleur Chanel surmonté d'un chemisier, la plupart du temps blanc. Madame S. que je ne connaissais pas est une belle femme. Sa silhouette agréable, malgré ses 65 ans passés, offre à mon regard concupiscent une paire de seins fièrement perchés et aux volumes prometteurs, des hanches très féminines, un ventre dur, un postérieur plat mais bien galbé. La vieille avait du chien. Ses cheveux coupés au carré étaient d'un blond tirant sur le blanc. On aurait dit une princesse slave, ses yeux bleus et froids au regard d'acier, ses pommettes hautes, sa mâchoire carrée et sa bouche bien dessinée, aux lèvres un peu sèches, arboraient un joli sourire.

- Entrer monsieur, me dit-elle, c'est Madame C. qui m’a donner vos coordonnées. Elle m'a dit beaucoup de bien de vous continua-t-elle avec un sourire un peu plus appuyé.

Je dois vous dire que madame C. était depuis longtemps une maîtresse fidèle et dévouée. Ignorant ce que elle avait réellement dit de moi, je préférai ne pas prendre d'initiative avec madame S.

Je la suivis à travers sa maison, de pièces en pièces, son vieux cul tentateur devant moi me faisait bander comme un cheval. Je notais dans mon cahier les tailles des fenêtres et des miroirs pour établir le devis de nettoyage.
Laveur de vitre est un métier où les rencontres sont trés nombreuses. Ne travaillant que pour les particuliers, je passais mes journées à fureter dans les pièces tout en nettoyant les vitres. Rapidement l’intimité des clients n’existait plus. .J'appréciais le moment ou, soit dans la salle de bain, soit dans la chambre, un petit détail attirait mon attention, un tiroir entrouvert exhibant de la lingerie coquine ou un godmiché. Tomber sur le titre où l'auteur d'un livre érotique caché au milieu de sages romans, des sous-vêtement utilisés la veille, roulés en boule au sol,le panier de linge sale ouvert et laissant pousser comme un pot de fleur érotique, de longues langues de tissus, soutien-gorge en dentelle, bas, collant et porte-jarretelles dans un feu d'artifice de couleur et de matières: du blanc immaculé au noir profond en passant par le rouge pute et les teintes Parme, roses et grises de sous-vêtements pour dames d’un certain age mais adeptes de vieilles dentelles. Bien sur, il m’arrivait qu’on me confie les clefs. J’en profitais pour me livrer à des jeux érotiques solitaires bien excitants. Mais, nous verrons cela une autre fois…

Le tour de la maison terminé, Madame S. me fit asseoir au salon, en face d'elle. Je posais mes notes sur la table basse et me penchais dessus pour effectuer les calculs. Madame, profondément enfoncé dans le canapé, croisait et décroisait les jambes fébrilement. Dans ma position basse, les yeux au niveau des genoux de mon interlocutrice, mon regard plongait avec indécence sous son tailleur Chanel. Relevant le buste, je la regardais droit dans les yeux et lui dis:
- Cela fera 220 €. Soutenant mon regard, elle me dit sans sourciller:
- J'ai quelque chose à vous proposer
Alors qu'elle voulait continuer sa phrase, je la vis se décomposer. Elle balbutia:
- Excusez-moi... je n'y arrive pas…c’est Madame C... vous savez... elle m'a dit que vous... elle... moi... peut-être….
Devant son hésitation je me levais et vint m'asseoir près d'elle. Sa respiration s'accéléra, elle sert les mains de plus en plus fort, le regard baissé. J'entreprend de poser doucement ma main sur le haut de sa cuisse. Elle tressaille mais ne fait aucun geste pour s'éloigner de moi.
- Allez-y, Madame S.,dites-moi, que se passe-t-il avec Madame C. ?
D’ une voix de petite fille timide, elle glisse:
- J'ai besoin d'un homme. De toute ma vie, je n'ai jamais connu l'amour que pour faire des enfants, j'aime mon mari mais après 45 ans de mariage, je veux connaître les joies du sexe. Madame C. , avec qui je suis amie, m'a raconté que vous pourriez être l'homme de la situation.
Son désarroi et sa fragilité, loin de m'émouvoir, me firent bander. Le prédateur que je suis envisagea sur le champ tous les avantages que je pouvais tirer de cette situation.
- Si je comprends bien, lui dis-je, vous voulez une initiation? Vous seriez l’élève et moi le maître? Racontez-moi vos fantasmes, ainsi nous trouverons ensemble comment vous satisfaire.
- Oh, répondit-elle, ce n'est pas facile.. comme ça.. de parler de ces choses-là... avec mon mari qui me touchait à peine et l'éducation que j'ai reçu, certains mots sont tabous.
- Ah bon, lui répondis-je, vous n'avez jamais dit le mot bite?
Baissant la tête à nouveau, elle devint écarlate et me répondit que non. Lui pressant la cuisse, je lui dis:
- Allez et lancez-vous.
Du bout des lèvres, elle dit: “Bite”
- Voilà! Ce n'était pas plus dur que ça! Bien moins dure que ma bite, lui dis-je, vous voulez la toucher?
J'étais sur le point d'exploser, ma braguette tendu et mes couilles en feu, serrées dans mon slip. Pret à sauter sur la vieille, je lui pris la main et la posa sur mon entrejambe. Je la sens se contracter et comme j'imprime à sa main des mouvements de va et vient, son souffle s'accélére. Relevant la tête et cambrant les reins, elle se soulève du canapé pour se coller à moi. Ravi par la tournure que prennent les événements, je lui demande:
- De quoi avez-vous envie?
- Je ne sais pas, répond-elle.
- Mais, vous avez bien des envies, des fantasmes ?
- Oh ou! Mais, je n'ose pas vous les dire.
- Allez-y Madame S., je suis là pour ça!
- Non! Annonce-t-elle fermement. Ce que je veux... C'est un homme qui me prenne en main! Et assouvisse ses besoins avec moi!
Décidément Madame S. me plaisait.
- Très bien, lui répondis-je, tu vas continuer à me vouvoyer mais pour moi tu ne seras plus que S. . Une simple lettre, l'initiale de ton nom, l'initiale de ta fonction , Salope! L'initiale de ce que tu vas connaître, la Soumission !
Bien que profondément choquée par mes propos, S. hoche la tête et soupire: “ Oui”. Des saloperie et des cochonneries, j'en avais vu, j'en avais faites mais, une femme prête à se soumettre à ce point, jamais je n'en avais connue.
- Pour commencer, tu vas me sucer la queue!
Je me lève du canapé et campe devant elle, le bas-ventre au niveau du visage.
- Vas-y.. Montre-moi comment tu fais… Lui ordonnais-je.
D'une main maladroite, elle s'attaque à ma braguette. Une fois ouverte, elle reste planté, sans bouger. Je prends sa main et la force à entrer par l'ouverture.
- Vas-y… Baisse mon slip et prends ma queue !
Son souffle rauque me chatouille, sa main se referme sur mon sexe et elle se décide à le sortir. Voir mon gland turgescent, prêt à exploser, près de ce visage noble failli me faire éjaculer. Je lui demandais gentiment:
- C'est bien! Maintenant branle moi!
Raide sur son canapé, l'autre main coincée contre sa hanche, elle donne l'impression d'être au supplice. Sa caresse, bien que maladroite, entretient mon érection.
- Des couilles, lui demandai-je, tu en as déjà touché?
- Oh non, répondit-elle à, peine ai-je entraperçu celles de mon mari.
- Et bien...Vas-y... sors les... Tate les!
Un peu plus sûre d'elle, sa main entre dans ma braguette pour baisser le slip et attraper mes testicules.
- Allez, sors les!
Je découvre un visage ébahi devant le spectacle. Quelle joie de voir une femme heureuse à la vue de ses couilles. Je lui explique:
- Prends ton autre main et malaxe les pendant que tu continues à me branler.
Elle s'exécute, appliquée comme une écolière, ses sourcils pointent vers son nez, ses yeux plissés et sa bouche que ses dents mordillent, peignent un tableau digne du Louvre.
- Tu aimes l'odeur? Lui demandai-je.
Un pincement furtif de narine fut sa seule réponse. Au bout de quelques temps, le plaisir arrive. Pour la saluer, quelques gouttes de semence pointent hors de mon mea.
- Oh lui, dis-je, un cadeau pour toi. Goutte au nectar des dieux!
Une langue, fine et longue, pointe entre ses lèvres. Je pousse mon bassin afin que mon sexe rencontre sa bouche.Les gouttes coulent sur l'organe de S.. Elle les avale en grimaçant, retire les mains de mon corps et les pose, à plat sur le canapé, dans une attitude de refus.
- Stop, lache-t-elle, c’est fini, je ne joue plus. Vous êtes trop abjecte. C’est ecoeurant votre façon de faire l’amour. Partez Monsieur.
- Oula, mémère, on se calme! C’est toi qui est venu me chercher. Tu m’allumes, tu te livres. Tu me branles, je t’ai pas obligé. Et maintenant, tu dis que je suis un monstre?
- Partez! Ou j’appelle la police.
- Et tu lui dira quoi, à ta police?
- Cessez de tenir des propos de jeune garçon et quittez ma maison.
- Mais, tu comprends rien , la vieille. Tu crois que je ne savais pas ce qui m’attendais ici? Tu crois que la mère C. ,après l’avoir démontée, ne m’a pas parlé? Ecoute ça, conasse!
Je sors mon téléphone de ma poche et lui fait entendre notre rencontre et ses demandes.
- Tu crois vraiment que tu peux me dire quoi faire? Imagine que ton mari reçoive cet enregistrement? Tu ferra quoi?
- Salaud, vous êtes pire qu’un monstre, explose-t-elle.
- C’est ça, c’est ça. En attendant, nous seulement tu vas me filer du fric, et un bon paquet mais, en plus tu vas finir le travail. eSclave…
Mis en forme par cet affront, ma queue est gonflée comme jamais. Approchant d’elle, je lui monte dessus. Coincés par mes jambes, ses bras ne remuent pas. Les ruades qu’elle donne en lançant ses jambes n’ont pour effet que de remonter son tailleur sur ses cuisses, laissant apparaitre ses bas. Elle s’était même habillé pour que je la baise, cette salope. Piégée, sans recours, elle abandonne la lutte mais refuse d’ouvrir la bouche. Refusant de prendre le risque d’une morsure, je me branle au dessus de son visage.
- Regarde de près, ça c’est de la bite. Et mes couilles, elles te plaisent?
Ses cheveux en bataille, son rouge à lèvres maculant le tour de sa bouche m’excitent plus encore. N’y tenant plus, je lui lache en pleine face un long jet de sperme chaud. Le liquide la cingle du menton jusqu’au front, inondant ses yeux, son nez et sa bouche. Je frotte ma queue sur le foutre pour l’étaler et lui dis:
- Attends, c’est pas fini. Souris pour la photo, dis-je en sortant mon téléphone

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Commentaires de l'histoire :

james
J'ai le récit de votre érotique mais j'ai cru comprendre que la plupart des femmes bourgeoises et matures ne savent pas ce qu'elles veulent avec un homme surtout si elles ont été élevées dans la religion. Les bourgeoises veulent un homme dans leur lit où autre lieu quand ça leur plait pour satisfaire leur besoin charnels. Je pense qu'elle avait envie de vous mais à la fois, elle avait peur de jouir en votre présence, ceci est ma conclusion mais je peux me tromper. Toutes vos histoires sont bien écrites et détaillées avec un langage trivial de femme, j'aime.
Posté le 13/03/2019


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