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Louise un peu exhib

Où ma belle se découvre un plaisir certain pour l\'exhibition.

Proposée le 24/04/2015 par Ludwig

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


De retour après une semaine bien chargée, je vous révèle la suite de nos aventures sensuelles.

Louise aime le sexe, elle aime que je la domine et j\'ai toujours pour elle quelques surprises. Je prends un pied fou à bousculer ses conventions, à la pousser dans ses retranchements et surtout à la voir jouir comme une folle. On dit que l\'orgasme est une petite mort, je préfère dire que c\'est une victoire sur la vie. C\'est se sentir tellement merveilleusement en phase, c\'est tout et rien à la fois. Louise en tous cas jouit, jouit beaucoup et jouit encore.
Nous devions aller comme tous les mercredis faire nos courses elle et moi dans un centre commercial voisin. C\'est une corvée, mais le plaisir d\'être avec ma dulcinée la fait passer pour un moment agréable et parfois même très excitant. La semaine précédente, je lui avais offert un oeuf vibrant et je gardais jalousement cette télécommande avec moi. Elle avait apprécié le cadeau mais me disait-elle “rien ne vaut quand même une bonne partie de jambes en l\'air avec toi mon amour”. Elle avait rangé son oeuf dans le tiroir de sa table de nuit et l\'avait presque oublié à mon grand désespoir.

Mercredi quinze heures, la corvée hebdomadaire arrivait. Nous avions une mine peu enjouée mais je comptais bien lui faire passer ça. Dans ses fringues lambda, je la trouvais quand même très jolie avec son minois. Elle portait un bête jean qui mettait quand même en valeur ses fesses rebondies et sa chute de reins, un pull quelconque par-dessus un débardeur blanc. Je ne sais pourquoi mais j\'ai eu une érection folle en la voyant comme ça. Je l\'ai enlacée, je l\'ai embrassée tendrement sur le pas de la porte. Ses lèvres timides d\'abord puis franches se sont écartées et sa langue a caressé la mienne, se cherchant. Je passais mes mains autour d\'elle, sur ses hanches, dans son dos, dans ses cheveux. Au début passive, elle m\'entoura aussi.
-qu\'est-ce qui t\'arrive mon chéri? Tu es bien excité par l\'idée de faire des courses…
-J\'ai envie de toi, si tu savais.
-Mmmmh, il faut qu\'on y aille sinon, il y aura trop de monde et je déteste ça.
-Laisse-toi faire.

Je me tournai, elle de dos, je passais mes mains sur ses seins l\'embrassant dans le cou, passant une main sur ses flancs, dans ses cheveux. Elle se tortillait sensuellement frottait ses fesses contre mon jean qu\'une bosse déformait. Impossible pour elle de ne pas la sentir. Elle passait ses mains dans mes cheveux, et respirait plus fort encore. Je franchis le pull pour atteindre son ventre. Sa peau de soie s\'offrait la pulpe de mes doigts. Je caressais ce corps de rêve et je sentais qu\'elle n\'allait pas tarder à céder à mes avances. Je la pris dans mes bras, je la soulevai comme une mariée et je la portai vers la chambre. Elle poussa un petit cri quand je la soulevai du sol. Elle avait ses mains autour de moi, elle m\'embrassait avec tendresse. Je la couchai sur le lit, je me ruai sur elle, lui ôtai son pull et son débardeur en même temps. Je la trouvai seins nus, je parcourais le velouté de son buste, de sa ceinture à son cou pour m\'attarder sur ses seins. Elle adorait ça et je savais qu\'elle pouvait jouir juste avec ses tétons en s\'y prenant correctement. Je la léchais, l\'embrassais dans le cou, entourai ses magnifiques seins de mes mains. Je les couvrais de baisers tout autour en remontant lentement vers ces tétons fièrement dressés. Elle commençait à prendre goût à la chose et sa respiration se fit plus forte. Ses collines d\'amour se gonflaient à mesure que son souffle s\'intensifiait.

Je déboutonnais son jean et revins vers sa poitrine qui ne demandait que des soins de tendresse. J\'avalai le sommet de ses seins comme des friandises, les suçai, les gobai, retrouvant le réflexe de nouveau-né, elle commençait à gémir et à poser ses mains dans mes cheveux.
-Mmmh, continue mon coeur, tu me fais du bien.

Je les mordillai, les titillai, les aspirai dans ma bouche avec la plus grande douceur. Je pétrissais ses collines d\'amour mais je ne voulais pas qu\'elle jouisse, pas tout de suite. Je descendis vers son jean, lui ôtai avec son concours et elle me dévoila sa jolie lingerie, toujours ces boxer en dentelle, prête à m\'exciter partout où nous allions. Je passai ma langue sur ses cuisses, caressant l\'intérieur, puis remontai vers son ventre. J\'avais sa peau soudée à mes doigts, j\'enflammais ses sens, portais ses formes à l\'incandescence. Je remontai ma bouche vers cette dentelle, elle était chaude et franchement trempée. Je la léchais par-dessus ses dessous quand elle prit ses mains et écarta la dentelle.
-Lèche-moi, je t\'en prie, lèche-moi, fais-moi jouir.

D\'une main, j\'ouvris le tiroir et me saisis de l\'oeuf vibrant. Je léchais ses lèvres très doucement, humidifiant si c\'était encore nécessaire ce sanctuaire brûlant. Ma langue se fraya un chemin dans cette fente écarlate. Ses mains labouraient mes cheveux, elle en voulait plus et me tirait vers son bouton qui lui apporterait l\'orgasme libérateur. J\'avais appris à la connaître et à savoir la maintenir dans cet état proche de la jouissance sans la franchir. Je jouais avec l\'entrée de sa chatte toujours lisse comme une pêche. Mon nez caressait son clitoris gonflé. Elle voulait jouir, elle se tordait, ondulait son corps de rêve, se caressait les seins frénétiquement. Je me reculais lentement et introduis l\'oeuf vibrant dans sa chatte surchauffée. Il rentra comme dans du beurre et elle poussa un petit cri.
-Tu aimes ça hein coquine?
-Oooouiiiii, c\'est trop bon, fais-moi jouir.
-Pas maintenant petite coquine, c\'est moi qui décide. A partir de maintenant, tu es mon jouet, tu ne jouiras que quand je t\'en donnerai la permission, tu feras ce que je te dirai de faire sinon, tu seras punie. Tu as compris?
-Ohhh, t\'es méchant, j\'ai envie de jouir moi.
Je lui pinçai les tétons lui arrachant un cri de surprise.
-On dit oui maître, compris?
-Oui maître. Je serai votre salope docile.
-Bien, je vois que tu comprends vite, j\'ai le contrôle de ce que tu as dans la chatte, je te donnerai du plaisir quand je le jugerai opportun et seulement si tu as été sage, compris?
-Oui maître, que dois-je faire pour vous satisfaire?
-Bien, je préfère que tu me parles comme ça. Tout d\'abord, tu vas enfiler des fringues plus sexy, une robe moulante avec un décolleté, et pas de soutien-gorge, tu gardes ton boxer. Quand tu auras fini rejoins-moi dans le salon.
-Oui maître.
J\'attrapai la télécommande et lui donnai quelques vibrations. Elle poussa de petits cris et se tordit un peu.
-Tu vois, ça ce sera ta récompense quand tu auras été sage. Maintenant dépêche-toi.
Elle me lança un petit regard de chien battu mi excité mi soumise qui m\'excitait au plus haut point.
Elle arriva dans le salon vêtue d\'une petite robe avec un profond décolleté, arrivant à mi-cuisse et laissant poindre des bas noirs. Ses seins pointés elle s\'approcha de moi?
-C\'est à votre goût maître?
-Très bien ma petite salope, tu sais être obéissante quand tu veux.

Nous nous mîmes en route elle à la place passager. J\'actionnais la télécommande de temps en temps et ses joues rougirent, elle se tordait, se caressait les seins en roulant. J\'étais très excité de la voir soumise à moi comme ça. Les hommes se retournaient au passage de ma belle, les regards se posaient sur elle quand elle tentait de maîtriser ses bouffées de chaleur et de plaisir.
-Tu aimes ça quand ça vibre hein salope?
-Oooooui maître, souffla-t-elle entre deux soupirs.

Arrivés au centre commercial, je la tenais par la main, l\'autre dans ma poche avec la télécommande à portée de doigts. En croisant des passants, j\'activais brutalement les vibrations puissance maximale (merci aux piles longue durée). Elle rougit, poussa des petits gémissements, ses jambes tremblaient. Je la soutenais. Je poussais le chariot, elle était pendue à mon bras. Elle se penchait pour attraper des fruits parmi les ménagères découvrant ses bas et un suintement de cyprine coulant sur ses bas. J\'activais les vibrations lentes, elle frémit, trembla. Elle se releva avec difficulté des étals mais elle n\'avait pas fini d\'être comme ça.
-Maître, je vous en supplie, faites-moi jouir, j\'en peux plus. Je ferai tout ce que vous voudrez.
-Alors, petite salope, on en a assez? Tu veux jouir, hein?
-Oui maître, répondit-elle en rougissant.
-Bien, je verrai

Nous continuions parmi les rayons, arrivé au rayon des gâteaux, j\'activai les vibrations au maximum et elle se jeta sur moi, me mordit l\'épaule et jouit en étouffant ses cris sur mon pull. Elle était pivoine, les tétons pointés, les regards des clients se tournaient vers elle, les femmes curieuses, les hommes avides.
-Tu as joui petite salope?
-Oooooui, maître, je suis votre salope.
-Tu aimes ça hein salope?
-Oh oui maître, oui.

Les courses se terminent sous les vibrations qui semblent la troubler encore, le premier orgasme ne l\'a pas rassasiée loin de là. Dans la queue pour les caisses, je lui délivrai quelques minutes de plaisir et elle se tordait les jambes ruisselantes de mouille. Je m\'occupais des courses, du chariot et de payer en maintenant des vibrations moyennes tout le temps que l\'on m\'encaissa. Elle chancelante ne pouvait regarder la caissière curieuse de la voir dans cet état. Ses tétons pointaient, elle embaumait le plaisir. Arrivé à la voiture, je l\'assis sur le siège et rangeai les courses alors qu\'un flot de vibrations tourmentaient son sexe brûlant. Je lui demandai de se branler avant que je n\'arrive.

Deux ouvriers du bâtiment, bleu de travail moucheté de peinture arrivèrent derrière une grille adjacente au mur contre lequel je suis garé. Ca me donne une idée. Ma petite coquine se branlait sagement à l\'avant et ils n\'allaient pas tarder à la voir. Il y avait un homme dans la quarantaine, bedaine prononcée, les épaules larges, des bras comme mes cuisses, moustache poivre et sel comme ses cheveux, l\'air rustre et son jeune apprenti grand, mince, les cheveux bruns gominés, les yeux noirs. Je fermai le coffre, tournai Louise vers ces messieurs qui stoppèrent leur marche pour apprécier le spectacle. Louise, les yeux clos se faisait du bien. Je sortis mon chibre dur depuis des heures.
-Suce-moi.

Elle ne se fit pas prier et elle se mit à genoux sur un tapis de voiture que j\'avais mis sous elle. Elle avala ma bite et me fit des yeux salaces quand elle vit les deux hommes en train de la mater. Je descendis le décolleté laissant un sein sortir. Les deux sortirent leur engin et commencèrent à se secouer gentiment la nouille. Le vieux avait un pieu qui se rigidifiait lentement tandis que le jeune avait une longue tige fièrement dressée.
-Suce-les, et fais ça bien.
-Oui, maître, souffla-t-elle.

Elle les saisit à travers la grille assez large pour laisser passer une main. Elle branlait le vieux et suça le jeune avec envie. J\'activais les vibrations et elle pompa de plus belle. Le vieux ferma les yeux quand elle l\'avala entièrement entre ses lèvres, elle y mettait tout son coeur. Je la regardais avec envie. Elle avalait le gland, puis le léchait de sa langue, humidifia la hampe entière, et l\'avala encore, le jeune se faisait branler par la main experte de ma chérie.
-Tu aimes sucer des queues hein salope?
-Oooui, maître, j\'adore les queues.
-Elle est bien bonne votre femme, dit le vieux.
-Elle suce bien, dit le jeune, une vraie salope.

Aux gémissements du vieux, je sentais qu\'il allait venir, elle changea pour le jeune et lui embrassait le gland avec délectation. Elle branlait les deux, passant sa bouche de l\'un à l\'autre pendant que les vibrations lui donnaient du plaisir. Elle gémissait elle aussi et je ralentis la cadence pour qu\'elle se contrôle. Le jeune commença à fermer les yeux et à gémir.
-Oooui, salope, fais-moi jouir, je viens, je viens.

Pas une seconde elle ne cessa et il lâcha son jus dans la gorge de ma bien aimée. Elle nettoya soigneusement sa queue des dernières gouttes tout en branlant le vieux qui n\'allait pas tarder lui non plus. Le jeune se baissa et passa une main pour titiller son téton, elle gémit un peu plus fort. Elle suça le vieux avec frénésie quand il lâcha sa purée au fond de sa bouche et elle lécha avec application là aussi. Les deux étaient vidés, elle ne se relevait pas, tiraillée par les vibrations et les caresses du jeune homme. Les deux me firent un signe et partirent.
-Merci bien, me lança le vieux en partant.
Je stoppais tout, mis ma bien aimée, l\'attachai comme un bébé sur son siège et nus étions partis. La soirée pouvait commencer.

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