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Train de nuit

Un couple qui ne parvient pas à trouver le sommeil dans le train trouve une complice inattendue à leurs désirs irrépressibles. Le récit alterne deux points de vue, pour varier les détails, et donc les plaisirs du lecteur.

Proposée le 22/11/2018 par Le Gourmandiseur

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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: Transport
Type: Roman


Nous voilà installés dans le compartiment. Toi sur la couchette du bas, et moi en haut. De l’autre côté, deux autres places, encore libres. Lisant chacun sans beaucoup de concentration notre bouquin, nous sommes un peu inquiets à l’idée d’avoir à passer une nuit pénible avec un gros ronfleur, ou un couple ennuyeux et importun. Mais nous sommes bientôt rassurés en voyant arriver seulement une jeune femme avant que le train ne redémarre.
Elle se couche rapidement, car elle doit descendre à l’aube, dans une ville précédant celle où nous allons. Avec une aisance qui nous surprend, mais ne nous est pas désagréable, elle déboutonne et enlève sa jupe sans aucune gêne. Alors qu’elle se penche en avant pour se coucher, elle montre, à peine contenu dans une petite culotte à dentelle vert amande, son postérieur plutôt dodu. Nous faisons mine de ne rien remarquer, derrière nos livres ouverts.
Nous éteignons la lumière, tu retires ta robe et te glisses sous ton drap, dans la couchette du dessous, et je monte dans celle du dessus, où je peux discrètement me mettre à l’aise, ne gardant qu’un caleçon – sous-vêtement sobre choisi pour l’occasion de ce trajet où nous ne sommes pas seuls…

Train de nuit
Censée revenir avec mon petit ami, devenu dans la soirée mon ex-petit ami, je me retrouvais encore une fois seule. Je m’y attendais depuis plusieurs jours, et aussi depuis pas mal de nuits où monsieur prétextait une grosse fatigue chronique pour ne pas me toucher, alors que sa grosse fatigue, je la connaissais maintenant : une grosse poitrine et un gros cul auxquels il consacrait toute sa vigueur une partie de ses après-midis. Même si sa lâcheté confortait l’idée que je ne perdais pas grand-chose en fin de compte, tout ça m’avait mise hors de moi.
Je suis entrée dans la cabine du train en me disant qu’avec ma chance j’allais en plus passer une nuit horrible entre des ronflements, des odeurs de sueur, ou même des braillements de gamins. Mais je fus agréablement surprise : un couple qui avait l’air tranquille, chacun plongé dans son bouquin. On a échangé quelques paroles aimables, et je sentais bien, alors que le train repartait, qu’ils étaient eux-mêmes soulagés de n’avoir que moi comme voisine de couchette. Je ne voulais pas dormir avec tous mes vêtements et comme je dors nue, j’ai juste retiré ma jupe, et j’avoue qu’en me penchant pour défaire les draps, je n’étais pas certaine que monsieur restait les yeux fixés sur son livre : ma culotte en dentelle laissait assez bien voir mes fesses. Mais après tout, au moins, il y en avait un qui s’intéressait à moi ; plutôt à mon cul, certes, mais ce n’est négligeable.


Tout le monde éteint sa lampe. Le compartiment est juste éclairé par les veilleuses.
Nous n’arrivons pas à dormir, pas seulement à cause du bruit et du tangage du train, mais aussi parce que notre journée nous a progressivement excités, nous a donné l’envie de faire l’amour, une envie qui devient de plus en plus forte en la circonstance, une envie bientôt irrépressible.
Je patiente comme je peux.
Mais le bruit régulier des rails et le mouvement cadencé du wagon ne me bercent pas. Je me demande si tu dors. L’énervement de la journée me tient encore éveillé. Et de cette journée le film qui repasse revient sur les mêmes séquences, les mêmes images, de plus en plus obsédantes : dans ton décolleté, la rondeur et la blancheur de tes seins ; sur tes hanches le tissu fluide de ta petite robe qui moulait le relief de tes fesses…
Sous le caleçon que j’ai gardé pour dormir, mon sexe commence à se tendre. Je passe ma main là-dedans et je me touche gentiment. Et le voilà très rapidement tout raide, le bout qui pousse contre le tissu. De l’autre main, je me faufile entre mes cuisses, là où le vêtement baille un peu et je caresse mes boules toutes gonflées. Je me sens vraiment trop engoncé. Je descends mon caleçon et laisse mon membre se tendre tout à son aise.
Je prends délicatement entre mes doigts mon gland, une larme se met à s’écouler au bout. Impossible de calmer cette érection : ça durcit jusqu’à m’en faire presque mal. Il vaudrait mieux que je me soulage en me masturbant, si je veux arriver peut-être à m’endormir. Mais dès que je commence à faire glisser ma main sur ma verge raide, mon désir de toi est encore plus fort. Je ne peux pas me faire à l’idée de me répandre sans toi.
Je n’y tiens plus. Comme notre voisine nous tourne le dos et ne bouge pas, sans aucun doute endormie, je descends doucement par la petite échelle. La veilleuse éclaire faiblement, mais elle me permet toutefois de t’entrevoir. Tu ne dors pas non plus et tu me regardes. Tu repousses le drap et passant tes mains sous tes fesses, tu retires ta culotte… Tu tends la main vers moi et tu saisis avec satisfaction mon membre raide. Ce contact de tes doigts achève de rompre toute retenue : je me mets à genoux devant ta couchette, et tu t’assois aussitôt jambes écartées devant moi, pour m’offrir ta chatte vers laquelle tu rapproches ma tête en me tenant par le cou.
Tu sens alors ma bouche qui se colle sur ta vulve. Je découvre que tu es dans un sérieux état d’excitation, toi aussi : tes lèvres sont trempées. Du bout de tes doigts, tu m’ouvres largement l’entrée gorgée de suc de ton calice et tu profites pleinement des sensations que te procure ma langue qui plonge dans l’antre de ton vagin, qui lèche ta rosée le long de tes lèvres, remonte jusqu’à ton clitoris pour le titiller.
Tu détaches ton soutien-gorge, et pendant que je me régale de tes saveurs, mes mains atteignent tes seins nus et les massent amoureusement.
Je mange ta chatte depuis un bon moment lorsqu’on entend un petit gémissement à côté de nous. On s’arrête aussitôt.
Notre voisine dormait peut-être, mais là, elle est bien éveillée et elle nous observe. Elle est assise dans le coin, sur son oreiller, les jambes écartées, une main qui remue dans sa culotte.
Je me lève rapidement et m’apprête à remonter. Mais elle nous dit qu’elle préfère nous regarder continuer…


Je m’efforçais de trouver le sommeil, me tournant vers la cloison et me couvrant bien, mais j’avais trop chaud et je n’arrivais pas à calmer mon agitation. Je me voyais déjà passer une nuit blanche atroce, mais quand je me suis retournée de l’autre côté je me suis trouvée au premières loges d’un spectacle tout à fait surprenant et très attrayant : le couple qui était avec moi n’arrivait visiblement pas à dormir non plus ; madame était assise au bord de sa couchette, les jambes bien écartées et monsieur, à genoux sur le sol, devant elle, était en train de lui lécher consciencieusement le minou ; mais cette expression est plutôt insuffisante, je dirais qu’il était carrément en train de lui dévorer la cramouille, avec force bruit d’un gros gourmand !
Je ne voulais surtout par qu’ils arrêtent leurs ébats et je me suis reculée dans le coin, assise sur mon oreiller, mes jambes repliées, genoux de chaque côté de ma tête.
Ce que je regardais m’a vite excitée moi-même. Alors que le serviteur du plaisir de madame portait sa main entre ses jambes, sons doute pour se branler en même temps qu’il se régalait, j’ai plongé une main dans ma culotte et je me suis mise à me caresser, à me titiller le clito.
Malheureusement, je n’ai pas pu contenir longtemps mon émotion et j’ai laissé échapper un petit râle de satisfaction qu’ils ont entendus et qui les a soudain immobilisés. Monsieur s’est levé, son braquemart, du reste d’une fort bonne taille, tout librement dressé hors de son caleçon, et s’est apprêté à remonter dans sa couchette, je me suis aussitôt avancée pour échanger un regard complice et rassurant avec sa compagne. Nous avons eu le même sourire au même moment et elle a retenu son homme.


Tu comprends parfaitement dans quel état elle se trouve et tu ne te fais pas de souci sur la suite des événements : tout ce qu’on fera ne pourra que lui plaire. Comme je suis debout devant toi, tu t’avances sur le bord, tu prends mon gland dans ta bouche, tu le savoures, tu le lèches, puis tu fais bientôt entrer toute ma bite et tu me suces. Notre compagne de voyage fait entendre un murmure d’approbation. Et pendant que tu me pompes avidement, tu entends les râles prolongés de notre voyeuse qui se frotte sous la culotte avec bonheur. Tu es très excitée par cette situation. Le goût de ma queue et sa raideur qui va et vient dans ta bouche exacerbent ton besoin de sucer et tu n’en as jamais assez…
La jeune femme s’est rapprochée, assise comme toi sur le rebord de sa couchette, juste derrière moi. Elle ne cesse pas de se frotter la chatte d’une main, mais elle vient placer l’autre main entre mes jambes, je sens ses doigts qui enveloppent mes couilles. Je voudrais alors qu’elle me tienne comme ça pendant que je te prends par-derrière… À ma demande, tu te places devant moi, penchée en avant, les mains sur le matelas, les jambes espacées et ton cul bien levé en l’air. Notre complice ne lâche pas mes bourses et suit mon mouvement alors que je t’introduis ma queue... Elle s’approche encore pour mieux voir ma bite qui s’enfonce entre les lèvres de ta fente tout élargie.


On s’est aussitôt très bien comprises. Elle tenait devant elle son homme en érection : une bonne grosse bite bien droite et raide que je fixais des yeux en continuant de me toucher le clito, mais en tâchant de ne pas y aller trop fort, afin de faire durer. J’avais mes doigts plongés dans mon vagin tout dégoulinant, le fond de ma culotte et le haut de mes cuisses étaient trempées.
Madame (dont je n’ai jamais su le nom) s’est mise à amuser le gland de monsieur du bout de sa langue, avant d’enfourner dans sa bouche cette belle bite et de se mettre à l’ouvrage. Tout cela devenait de plus en plus chaud et j’avais très envie de participer davantage à ces gâteries. Je me suis placée derrière les fesses de monsieur : pour accompagner la magistrale fellation qui l’accaparait, j’ai passé ma main gauche entre ses jambes (ma main droite toujours fourrée dans ma culotte) et je lui ai gentiment tenu les couilles. Deux belles bourses bien rondes, toutes chaudes, toutes douces, toutes lisses : il était, comme son amie, parfaitement rasé.
Je n’allais pas tenir encore longtemps sans me mettre à jouir. Au bon d’un moment, je pense qu’il n’en pouvait plus lui-même car il a prononcé cet ordre qu’on n’allait pas lui refuser : « Donne-moi ton cul, je vais te la mettre. » Madame s’est mise à quatre pattes sur sa couchette, dans le sens de la largeur, ses fesses très généreusement offertes. Je me suis levée aussitôt, j’ai fait tomber ma culotte et je me suis mise à genoux à leur côté pour regarder ça de près.
Je ne peux pas dire que je n’avais jamais vu ça, mais ce n’est pas comme dans un film porno : rien ne vaut la réalité concrète. C’était fascinant de regarder ce gland s’introduire entre les grosses babines de cette moule toute mouillée, y disparaître, et cette bite bien droite s’y enfoncer entièrement.
Tenant fermement sa compagne par la taille, il la besognait vigoureusement. J’ai encore le souvenir précis des bruits rythmés que faisaient les fesses claquées par la culbute, et par le phallus implacable qui plongeait dans le vagin dilaté. Les couilles ballotaient entre les cuisses et étaient trempées de cyprine. Les seins de madame aussi ballotaient allègrement.


Tu te fais ainsi culbuter sous ses yeux pendant un long moment. Pendant que tu te soumets à mon assaut qui te visite au plus profond, la conscience très lucide que tu as de te faire baiser devant une inconnue augmente encore plus tes sensations. Elle palpe de temps à autre tes seins qui se balancent au rythme de ma pénétration. J’empoigne tes fesses et les écarte largement : le creux de ton anus est irrésistible et je t’y enfonce le pouce. Notre complice s’assoit sur le bord de la couchette et sans quitter des yeux le spectacle qu’on lui offre, elle ouvre grand les jambes et se frotte frénétiquement le clitoris. Je profite à la fois de la vue de ton cul, de ma bite qui te bourre (et ne pourra plus résister encore longtemps), mais aussi de la chatte de cette jeune femme et de sa paire de seins aux pointes bien dressées…


J’ai eu l’irrépressible envie de prendre dans mes mains cette paire de nichons qui remuaient sous elle pendant qu’elle se faisait mettre. Je me suis donc avancée un peu et je les ai caressés, je les ai empoignés, j’ai en aussi agacer les petites tétines toutes durcies d’excitation. Mais les râles de monsieur me prévenaient qu’il n’allait plus tenir longtemps. Je ne voulais pas manquer ça. Je me suis assise sur le bord de la couchette, tout contre la femme qui poussait des cris, et je me suis limé le clito avec toute l’énergie que la montée de l’extase puisait en moi. Si bien que je me suis mise à jouir comme une folle avant qu’il ne vienne lui-même.

Sa masturbation enragée la fait bientôt jouir et elle est secouée de spasmes violents. Les boucles de sa touffe épaisse et brune sont tout engluées d’une mouille abondante que les lèvres de sa vulve expulsent comme un cratère débordant de lave. Je ne peux plus me retenir davantage. Mais à ce moment tu me demandes de gicler sur les seins de notre amie.

Lorsque madame sent que l’issue est toute proche, elle tourne la tête et me regarde en disant : « Gicle sur ses nichons ! Oui, asperge-la ». Et cette idée a reçu de ma part une approbation sans réserve : j’ai mis mes mains sous mes seins pour les remonter, les tendre, les offrir à monsieur, qui s’est soudain retiré de la chatte de madame, en tenant d’une main ferme son phallus tout luisant d’onctuosité : alors que sa dame s’est approchée de moi pour regarder, de multiples giclées de sperme tout chaud sont lourdement tombées sur mes seins. J’ai eu l’impression que ça n’en finissait plus : j’en avais la poitrine toute couverte, ça formait un entrelacement de serpentins de crème liquide, ça s’accumulait en masses qui glissaient au bout et me retombaient sur les cuisses.

Je me dégage donc de toi et je viens faire pleuvoir tout mon foutre sur elle, en prenant bien soin de me traire jusqu’à la dernière goutte. Je me suis littéralement vidé les couilles sur ses seins. Tu t’es adressée alors à elle : « Je ne vais pas vous laisser comme ça, vous en avez partout ».

Puis elle s’est encore plus approchée de moi et s’est mise à lécher tout ça soigneusement, à tout manger sans rien en laisser. Je me laissais faire avec ravissement.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Anna
Délicieux recit! C'est un de mes fantasmes. J'ai adoré.
Posté le 2/12/2018


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