Histoire Erotique

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Aurélien

Aurélien est beau, jeune, et sur la route qui nous ramène du cinéma, nous allons nous perdre dans un petit jeu de dupe. Lui va découvrir ce qu’il a toujours refusé, l’ultime tentation d’une relation avec un homme, un soir de 2004. Il était beau comme un enfant, fort comme un homme, comme disait la chanson

Proposée le 26/08/2018 par artaban

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Thème: Jeu érotique
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


I. Aurélien

Sur le trajet qui nous ramenait du cinéma, sans avoir délibérément cherché à orienter la conversation, nous commencions à discuter de nos petites histoires intimes d’adolescences. Tout cela restait cependant très chaste et superficiel, sans que jamais nos propos ne tournèrent au graveleux ou au déplacé jusqu’à ce moment où tout bascule.

Cela faisait quelques semaines qu’une rupture un peu difficile l’avait mis au régime pain sec et eau, mais à son âge, tout est difficile. Comme dans la chanson, Aurélien venait maintenant d’avoir 18 ans depuis à peine deux semaines, c’était le fils de mon voisin et il était (vraiment) beau comme un enfant, mais certainement pas encore assez fort comme un homme à l’évidence. Comme dans la chanson, j’avais aussi le double de printemps ! Ce n’est que bien des années plus tard que je prenais conscience combien ces paroles qui avaient bercées mon enfance étaient prophétiques.

Au- delà de sa douleur, je sentais un manque que j’étais capable de lui combler... ainsi qu’un des miens d’ailleurs. Ce soir-là j’ai peut-être trahi sa confiance, notre amitié, mais je me suis risqué à lui faire une proposition.

- Ça ne te manque pas ? Demandais-je.

- Si beaucoup !

- Si tu veux, tu sais que tu peux me le demander.

- Quoi donc ?

- De te sucer ou te branler un petit peu…

Silence.

- Ça te plairait ?

- Je sais pas, j’dis pas non.

- Tu es majeur maintenant, moi aussi, donc il n’y a pas de risque, mais seulement si tu es d’accord.

- Je sais pas.

- T’en as envie ?

- Si ça se fait, je veux pas que tu touches mon visage.

- D’accord, pas de problème.

- Et je veux que tu avales… et aussi une carte de téléphone.

- …ok… c’est d’accord.

J’avoue ma surprise et honnêtement, je ne m’attendais pas à ce qu’il soit réceptif à ma proposition et encore moins qu’il place des exigences. Je lui avais juste balancé ça comme ça, un caillou pour une pierre, peut-être pas sérieusement au fond, juste un « chiche t’es pas cap ». Il était parfaitement au courant de mes préférences dans ce domaine. L’esprit fonctionne vite quand l’occasion se présente, fut-ce un ami proche. Trop vite d’ailleurs. J’avais juste peur d’être en train de le manipuler, je voulais donc qu’il soit pleinement conscient de l’indécente proposition que je venais de lui faire.
Je voyais qu’il se tortillait sur le fauteuil de la voiture, qu’il essayait de croiser les jambes, qu’il appuyait sur sa braguette en essayant d’être discret. Il n’arrêtait pas de gigoter.

-Qu’est-ce que tu as ?

-J’suis tout chamboulé là !

-Tu bandes ?

-Oui.

Aurélien ne disait jamais bander, bite, ou couilles, mais il utilisait toujours en ma présence un vocabulaire plus académique, quand il n’était pas plus soutenu. Il voulait avoir l’air adulte.

- Je peux toucher ? Osais-je.

Je prenais un risque. Il était hétéro pur et dur.

- Oui !

Là c’est moi qui tombe de haut. Ce garçon si beau, si jeune, si « straight », cette référence de son lycée en matière de filles m’invitait à toucher son sexe en érection, certes par-dessus les vêtements mais quand même, moi un homme, le vieux de 36 ans. Je n’ai pas réfléchi plus que ça, l’invitation était trop belle pour la refuser. Je vis qu’il se plaçait légèrement de côté, s’appuyant sur la portière pour me faire face. Il souleva sa jambe gauche pour poser son genou, de sorte que son entrejambe se dégageait dans des conditions idéales, idéales quand on conduit en même temps. Ma main droite lâcha le volant pour se poser sur l’intérieur de sa cuisse, le plus haut possible, le plus près possible, puis elle glissa jusqu’à atteindre son sexe. Dieu que c’était bon. Je posai toute ma main sur ce membre qui s’étalait sur sa cuisse droite. Je le sentais vibrer à travers ses vêtements, Il était fin et très dur.

Au premier contact, il n’a pas tressailli, au point de m’interroger sur la spontanéité de la situation. Durant une fraction de seconde, je me demandais si tout cela n’était pas un coup planifié à l’avance par ce gamin de surcroit très intelligent. Je ne l’ai jamais sous-estimé de ce point de vue, mais là... Après tout, faute de grives… pourquoi pas !

Aurélien me regarda fixement dans les yeux, presque défiant, affichant un petit sourire malicieux de satisfaction, un peu confus, un peu gêné mais satisfait, certainement pas le gamin surpris et désarçonné. Je commençais à caresser ce sexe si plein de vigueur et de jeunesse, sentant des à-coups quand ma main glissait dessus. Il me comblait déjà rien qu’avec ça.

Je le connaissais depuis qu’il avait dix ans et je l’avais vu grandir sans me dire qu’un jour il serait mien. J’essayais de ne pas trop penser à l’enfant que j’avais connu, mais plutôt à l’homme qu’il devenait. Toute son enfance et son adolescence je l’avais vu se transformer, d’abord en crapaud boutonneux, puis en bel éphèbe à l’érotisme puissant, et ce jour de 2004, mon regard changea quand découvris un homme. Il était très grand, blond aux yeux noisette, élancé, et là, ses 18 ans à peine tournés, il se livrait à moi de bon gré. Je pris ce sexe entre deux doigts, massant cette hampe courbée et généreuse jusqu’à ses deux extrémités par des petits va-et-vient.

- Tu aimes ?

- Oh oui c’est bien, répondit-il les yeux fermés, le menton un peu relevé.

- Voudrais-tu que je te masturbe un peu ?

- Oui, s’il te plaît.

Il déboutonna son jean de lui-même jusqu’en bas, et écarta la braguette pour que je puisse y glisser ma main. Le connaissant, je m’étonnais que ce fut si facile, qu’il fut si docile et conciliant. Je me demandais même lequel de nous deux était le maître de la situation et conduisait l’autre. Je posais ma main sur son bas-ventre encore glabre au toucher, pour la faire doucement glisser jusqu’à l’élastique de son caleçon. Aurélien était plutôt mince, à la limite de la maigreur, et cet élastique n’offrit pas une barrière très résistante. Ma main entra, toujours doucement et d’un coup je sentis que mes doigts pénétraient cette petite broussaille d’ordinaire interdite aux mâles. A mon tour je bandais. Là où j’avais un slip, il m’aurait fallu une côte de mailles blindée !

- Si tu veux tu peux me toucher aussi, risquais-je à lui demander.

- Non, non, j’suis désolé, m’en veux pas, ça je pourrai pas.

- Pas grave, c’est déjà bien comme ça.

Comme s’il s’agissait déjà d’un but en soi, je ne parvenais pas à quitter ce petit jardin d’Eden, alors que plus bas l’Enfer me tendait les bras. Après quelques égarements dans ses poils, ma main finit par s’enfoncer plus profondément et atteignit enfin le Graal.

J’étais sur son sexe. Je sentis d’abord ce petit gland si fin, déjà décalotté, si fragile, si sensible. Il poussa un premier petit cri étouffé, quand mon index glissa sur son frein pour rejoindre cette hampe à la courbure qui vous fait oublier celle de l’espace et du temps, et une seconde fois quand ce fut le tour de mon pouce. C’était maintenant cette peau veloutée qui glissait sous ma main. Que c’était bon ! Je regardais sa tête. Il avait les yeux toujours fermés et semblait partir en extase. Ce garçon aimait ça, il n’y avait aucun doute. Lentement, je refermais ma main toute entière sur ce membre que je ne voulais plus lâcher, que je ne pouvais plus lâcher..

- Serre-moi fort s’il te plaît, me lança-t-il, serre-le fort !

Je n’osais pas de peur de lui faire mal, mais je m’exécutais. L’esclave sexuel c’était moi qui me pliait à tous ses désirs. Il gémissait de plaisir, alors tout en serrant, je fis glisser cette peau d’avant en arrière sur ce corps turgescent, sentant la moindre aspérité de son corps caverneux. Relâchant la pression, je m’enfonçais encore. Il geignait d’un plaisir extrême, celui d’un garçon excité par ce tabou qu’il venait de dépasser, pas cet interdit qu’il venait d’abattre, par cet homme dont il se croyait immunisé. Quelque chose mourait en lui. Je suis sûr qu’il n’imaginait pas pouvoir éprouver autant de plaisir dans ces conditions. L’interdit s’ajoutait aux sensations et la somme des deux le propulsait au septième, au huitième, au neuvième ciel et à tous les cieux de toutes les époques de tous ces putains de mondes en même temps ! Ses croyances, ses dogmes, ses certitudes, même ses préjugés, tout absolument tout s’effondrait en même temps autour de lui !

Je conduisais au ralenti pour que cela dure le plus longtemps possible, d’une seule main, lui demandant de temps en temps de passer les vitesses à ma place pour ne pas avoir à lâcher un levier pour un autre, de peur de ne plus avoir le droit d’y revenir s’il reprenait ses esprits. Fort heureusement, il faisait nuit, et personne ne pouvait voir ce qu’il se passait dans la voiture.

Je descendis encore plus bas. On ne pouvait aller plus au fond des choses maintenant. J’avais enfin ses testicules dans ma main, deux billes oblongues très dures et de fort belles dimensions que je m’efforçais de manipuler avec un maximum de précaution. Il ne manquerait plus que je lui fasse mal ! Je ne sentais aucun poil sous ma main venir troubler ce velouté tactile. Aurélien était aux anges. Dans notre situation et à moins de nous arrêter sur le bas-côté, je ne pouvais aller plus loin.

- Alors ? Tu as envie qu’on le fasse…à la maison ?

- Ouiii ! Dit-il en soupirant.

- Aurélien, rends-toi compte, j’ai ton sexe dans ma main, je suis en train de le caresser et je vais te sucer !!!

- Je sais, c’est d’accord ! Je suis d’accord !

Je n’accélérais pas pour autant, après tout, peut-être en arrivant aura-t-il changé d’avis, alors autant en profiter le plus longtemps. Je rallongeais la route, prenant des petits détours plus tranquilles pendant que je masturbais tout doucement ce garçon qui se laissait faire. Dans 10 minutes, nous serons à la maison.


Aurélien s’affala dans un fauteuil, et comme je l’avais soupçonné, le temps que je rentre la voiture, il avait changé d’avis, se confondant en excuses, que c’était mieux comme ça, qu’il était désolé. Avait-il peur de moi…ou de lui-même ?

Je me mis à genoux à côté de l’accoudoir, relevant un peu son pull et son teeshirt, posant ma main sur ses abdominaux si magnétiques. Son ventre était dur et ressemblait à de la tôle ondulée. Il se laissa faire.

- Caresse-moi ! Me demanda-t-il, caresse-moi ! Ne t’arrête pas !

J’aimais ça moi aussi !

Ma main caressa donc ce ventre plat et glabre au demeurant si excitant, cette peau satinée si douce, frôlant sa taille, le doigt tournant sur ce nombril en relief comme sur le téton d’une femme. Il était si mince que son caleçon s’entrebâillait sur son ventre, laissant entrevoir son gland de nouveau turgescent qui ne demandait qu’à sortir de son terrier. Lorsque que je vis ce petit bout de chair rose fendu, je descendis ma main pour le frôler, décuplant ses gémissements, provoquant un petit spasme de tout son corps à chaque effleurement, J’avoue, je le rallumais ! Il prenait déjà son pied. Puisqu’il était de nouveau dans de si bonnes conditions, je caressais ce gland si affriolant, si désirable, si désiré. La courbure de sa hampe était telle qu’il me présentait son frein. J’humidifiais mon index d’un peu de ma salive et le glissait le long de cette petite corde si tendue. Je l’avais à peine touché, qu’il poussa de nouveau des petits cris. Visiblement j’avais trouvé son point G ! Aux secousses qui l’agitaient, je compris qu’il ne fallait pas trop insister, qu’il était prêt à exploser, qu’il était tout simplement prêt pour le troisième acte. Les préliminaires se terminaient.

- Alors ? Toujours d’accord ?

- Oui.

- Alors viens, on va passer à côté.

Il se leva et je le pris par la main, l’emmenant vers ma chambre. Moi non plus je ne tenais plus, mon slip était humide et je sentais que mon gland était poisseux, mais tant pis. Rapidement je passais un short pour être plus à l’aise, pendant qu’il ôtait son jean et son teeshirt. Un vrai petit Adonis, si parfait. Quel dommage qu’il ne voulut pas qu’on fasse l’amour. Je lui demandais de garder son caleçon, un caleçon gris bien trop grand pour lui. Il ne m’enlèvera pas le plaisir de le retirer moi-même. Il s’allongea dans la largeur du lit et je me mis à ses côtés. Avec son bras il se cacha les yeux, comme s’il avait honte maintenant de succomber sans s’être battu. Avec les préliminaires, j’avais anéanti toutes ses certitudes, toutes sa volonté. Nous étions dans l’hybris d’un garçon trop beau pour n’appartenir qu’aux seules filles. Je crois qu’il avait compris qu’il devait aller encore plus loin pour sublimer son orgasme. Au moins une fois dans sa vie.

- On est bien d’accord, tu es consentant ? lui demandai-je, on n’est jamais trop prudent et il n'est jamais trop tard pour refuser.

- Oui, oui… T’inquiète. Vas-y !

Alors je me remis à caresser ce ventre, cette poitrine enfin nue, ses tétons si fins qui n’avait rien de commun avec ceux des femmes, bref, rien ne m’était interdit sauf son visage. Avait-il peur que je tentai de l’embrasser ? Sans doute, quand je commençai à couvrir son torse de petits baisers silencieux, ponctués de la pointe de ma langue, partout. Il avait un goût de sel. Mes lèvres se posèrent sur ses tétons que je sussotai tout en malaxant ses partie intimes par-dessus son caleçon. Toujours ces gémissements. Sous ma main, je sentis rouler de volumineux testicules. je ne boudais pas mon plaisir à venir quand je les découvrirai pour la première fois. Pour l’instant, à par ce petit gland tout rosé, je n’avais encore rien vu.

- Arrête ! Me demanda-t-il.

Visiblement le sussotage ne lui plaisait pas ou lui faisait trop d’effet, alors, je redéposais des baisers sur son ventre, sur son bas-ventre, osant même un petit coup de langue au passage sur son méat humide, d’où perlait une petite goutte de liquide pré-séminal, descendant sur ce frein qui émergeaient un peu. Je terminais enfin la phase baisers, en appuyant bien mes lèvres sur son caleçon, à l’endroit même où s’était formée une petite tâche humide.

Ma main entra par le côté et de nouveau je malaxais délicatement son intimité, m’attardant sur ses testicules que je ne me lassais pas de faire rouler sous ma main. Finalement je n’en pouvais plus et j’écartais cet encombrant tissu, pour enfin tout découvrir. Quelle vision ! Pas un poil sur le scrotum ni sur la hampe. Je glissais alors son caleçon ver le bas pour l’enlever. Il était allongé sur mon lit, entièrement nu, son sexe bien dur reposant sur son ventre, ses testicules à l’air, et cette petite broussaille marron clair bien dense aux contours bien nets. Des garçons j’en avais vus, mais rarement d’aussi bien faits !

Ses jambes étaient un peu écartées, alors, je posais ma main sous ses testicules, laissant mon majeur s’engager par surprise et rapidement dans le sillon un peu humide de ses fesses, sentant crisser les quelques poils qui s’y trouvaient, pour enfin masser ce petit anus encore vierge de post adolescent. Après quelques secondes il se crispa et me demanda d’arrêter. Trop bon ou trop gênant ? Ou les deux à la fois ? Les gamins se découvraient souvent des terres cachées ou qu'ils s'interdisaient dont ils ne soupçonnaient pas les richesses.

Ses cuisses étaient également dépourvues de poils alors lui caresser le creux de l’aine était un plaisir d’un érotisme extrême tant sa peau est douce à cet endroit, et tant on sent que c’est un privilège que de pouvoir caresser ce creux si discret. Son sexe recourbé se plaquait sur son ventre et ne demandait qu’à être embrassé, ce que je fis sans attendre. Je le pris entre mes lèvres dans la largeur, puis le laissai retomber à nouveau sur son ventre. On aurait dit un gros ressort. Je ne me lassais pas de passer ma main dans ses poils, tout en lui embrassant et lui léchant les testicules, avant de les aspirer avec gourmandise tous deux dans ma bouche. De nouveau il geignit.

Je serrais fortement son sexe dans ma main gauche puisqu’il aimait ça, et je commençais enfin de lents et savants va-et-vient, bougeant mes doigts qui le massaient durant ce mouvement. Il se cabra. Je devais arrêter fréquemment car il était au bout de son excitation, j’essayais de recouvrir son gland avec ce prépuce trop court qui ne tenait pas en place et se retractait aussitôt en arrière. Enfin, au bout d’une ou deux minutes de ce traitement, je l’enfournais tout entier dans ma bouche et jusqu’au fond de ma gorge, ma langue voyageant partout sur ce sexe qui n’en pouvait déjà plus. Je le sentais battre dans ma bouche quand je n’exerçais aucune pression dessus. Il prit ma tête entre ses mains, et me massa le cuir chevelu. J’arrêtais de nouveau. Que l’on fut le caressé ou le caressant, le pouvoir aphrodisiaque des cheveux ne se démentais jamais.

- Retourne-toi s’il te plaît, demandai-je d’une voix douce, je voudrais regarder
tes fesses.

Encore un prétexte pour retarder l’explosion que je sentais proche. Sans difficulté il se retourna. Merveilles callipyges bien creusées sur leurs flancs. Je dépose un baiser sur chacune, savourant le privilège d’être le seul au monde à le faire, à l’avoir fait et comme si je savais déjà que je ne les reverrai plus jamais. Je les caresse, essayant sans forcer de les écarter, mais il se contracte.

- Détends-toi.

- J’ai pas trop envie à cet endroit.

- Laisse-moi faire, fais-moi confiance. Laisse-toi partir…

Finalement il se laisse convaincre et je lui écarte les fesses. Je vois alors le petit gouffre du plaisir, son auréole, ses petits plis, quelques poils, tout cela d’une propreté irréprochable. Je n’hésite plus et j’approche. Je commence à le lécher. Je suis à l’étroit dans mon short si tendu. Comme il ne me voit pas je sors mon sexe pour lui donner un peu d’aisance, rien de plus. Il est tellement humide que je passe mes doigts dessus pour les lubrifier et j’utilise mes propres sécrétions pour lui masser l’anus. Il aime.

- Je savais pas que ça pouvait faire autant de bien.

- Tu veux bien que j’entre un peu ?

- Juste un peu alors.

Mon index s’enfonce un peu, juste une phalange, pas plus. Je le fais tourner, j’entre, je sors,

Il ne dit rien, mais ses doigts de pieds crispés trahissent son émoi et son plaisir.

- Encore !

- Aimerais-tu que je te pénètre ?

- Avec ton pénis ?

- Oui.

- Pas cette fois s’il te plaît, peut-être un autre jour.

- Veux-tu le toucher ?

- Oui.

Je lui tends mon sexe, il le prend tout humide, le serre, le branle maladroitement deux ou trois fois puis le lâche. C’est si inattendu, si intense que je vais éjaculer. L’envie passe. Heureusement.

- Pose-le sur mes lèvres

- Tu es sûr ?

- Oui fais vite pendant que je suis décidé.

Finalement seul mon gland entre dans sa bouche, et ses lèvres se frottent dessus. Il me lèche le méat et le frein.

- On arrête, sinon tu vas pas aimer, ça va sortir.

Profitant qu’il soit sur le ventre, je masse ce petit espace situé derrière les testicules, source de petits plaisirs intense, gratouillant cette petite couture s’étendant du frein à l’anus qu’ont tous les garçons dès la naissance, vestige de ce qu’ils n’ont pas été : des filles. De nouveau je le replace sur le ventre, et j’attaque pour le bouquet final, pour l’orgasme final.

J’enfourne de nouveau ce sexe qui bat la chamade. Il râle, serre ma tête entre ses mains, caresse mes cheveux. Ma langue s’active aussi, j’aspire ce membre tout entier, écrasant sont gland contre le fond de mon palais, la langue le plaquant par-dessous, triturant le frein, puis passant de l’autre côté où les sensations sont exacerbées.

- Je vais éjaculer ! Je vais éjaculer me lance-t-il en râlant.

Je ralentis pour le retenir.

- Fais-moi éjaculer ! Fais-moi éjaculer !

Je n’ai pas le cœur de le retenir encore, je cède à sa supplique, j’enfonce son gland au plus profond dans ma bouche, près à avaler sa semence comme promis, même si je n’en ai pas trop envie. Ma langue accélère le massage. Je saisis la racine de son sexe entre mon pouce et mon index et je le branle en serrant très fort. Au bout de dix secondes il pousse un cri, se cabre, se cambre brutalement, serre ma tête très fortement, caresse mes cheveux, il tremble, frisonne, je sens les puissantes saccades annonciatrices qui commencent. Tous ses muscles se tétanisent, puis il se fige dans cette position de tension extrême. Je sens sa semence, son sperme qui jaillissent dans ma gorge et je l’avale pour ne pas en sentir le goût désagréable. Il jouit, il jouit tellement fort avec moi ! Ce petit hétéro jouit à sa grande surprise dans la bouche d’un homme comme il n’a jamais jouit auparavant.

Puis il retombe, sa respiration est forte comme après une course, il est en sueur, quel dommage vraiment qu’il ne veuille pas faire l’amour. Je libère son sexe. Il tient toujours ma tête et la pose délicatement sur son ventre, il me caresse le cou pour la première en manifestant de la tendresse, le visage, les joues, les cheveux. Il la maintient pour ne pas que je l’enlève tout de suite. Il me caresse tendrement, sa manière à lui de me remercier. Il la remonte un peu, et me fait des petits baisers dessus. Je suis bien, il tend la main, attrape mon sexe, lui donne deux allers-retours et à mon tour je jouis, tout part, il redresse la tête et me regarde éjaculer, il sourit. Il continue tant que ça sort.

- Je voulais pas voir ça, mais je suis content quand même.

Il termine le travail. J’ai encore quelques secousses, j’éjacule encore un peu, puis la source se tarie. Je n’aime pas cette odeur. Il le lâche et s’essuie sur mon teeshirt. Plus rien ne sort mais mon pénis est agité de battements résiduels. Comme le sien. Il m’a surpris.

On reste comme ça pendant 10 minutes durant lesquelles je caresse ses poils. Je sais malgré tout que c’était la première et la dernière fois. Il a aimé, mais ce n’est pas sa nature profonde.

Quand il a quitté la maison, il m’a remercié et juste lâché un « c’était cool ».

On ne l’a plus jamais refait. On s'est perdu de vue même si chacun sait où l'autre se trouve, ce qu'il devient, il m'évite, je crois surtout qu'il a peur de lui-même.

Il est marié maintenant, il a deux beaux enfants, il est comblé.

J'espère juste qu'il y a encore une petite place pour moi au fond de son cœur et de ses souvenirs interdits.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Ratagnasse
Que reste-t-il de nos amours Que reste-t-il de ces beaux jours.... Un souvenir qui me poursuit Sans cesse
Posté le 29/04/2023

artaban
Merci pour ces coms et ces (très bonnes) notes, j'espère que la prochaine histoire vous plaira tout autant.
Posté le 18/09/2018

enkor e enkor
Trop belle histoire, très très bandante. Bravo !
Posté le 17/09/2018

jpbe01
très beau, super bandant, mais triste fin.
Posté le 30/08/2018

neva
très belle histoire très bien écrites qui me pensé a mon rapport avec un homme tout en douceur sauf moi j'ai franchi le pas je me suis fait dépuceler c’était merveilleux malgré une douleur normale maintenant je suis marié mais bissexuel je suis heureux
Posté le 30/08/2018

Anonyme
belle histoire
Posté le 29/08/2018


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