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Bourgeoise dressée 3

Françoise est tombée sous la coupelle de Laurence qui a su déceler en elle une véritable soumise sous ses airs de femme hautaine et distante, Katia et Laurence sont maintenant complices et décident de l'amener encore plus bas dans la perversion...

Proposée le 26/04/2018 par Fantasme 13

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Françoise sentait l'étau se resserrer sur elle, et pourtant cet étau c'est elle qui l'avait mis en place, elle, une femme de pouvoir fière et crainte de tous, une femme de décisions, froide en affaire, hautaine avec ses subordonnés.
Durant son incarcération, déstabilisée elle s'était retrouvée à la merci de Katia qui avait fait d'elle une gouine. Après leur libérations l'histoire aurait pu s'arrêter là mais le choix de Françoise fut de poursuivre cette relation, perverse à ses yeux, et de se soumettre aux bons vouloirs de son ex-codétenue.
Katia jouant avec elle exigea qu'elle séduise Laurence la jeune stagiaire que Françoise venait d'embaucher, elle y parvint facilement car cette stagiaire sous ses apparences très innocentes était en fait une jeune femme très libérée qui avait compris l'intérêt qu'elle pourrait tirer de cette situation. Bien que n'étant pas lesbienne elle accepta cette relation avec sa patronne puis elle se rendit compte que Françoise sous ses attitudes hautaines avait des comportements qui laissaient deviner qu'elle était d'une nature soumise, alors elle décida de la tester. Françoise se sentant prise à son propre piège se retrouvait maintenant à 45 ans à la merci de ces deux gamines de 23 et 19 ans, mais paradoxalement de ce piège démoniaque elle jouissait, son esprit rejetait cette situation mais son corps la réclamait.

C'était une femme qui avait beaucoup de classe, se tenant très droite, toujours habillée avec élégance, ses cheveux chatains souvent coiffés en chignon. sportive elle avait gardé un corps ferme et bien proportionné avec une poitrine généreuse. Ce jour-là elle avait opté pour un pantalon en alpaga noir avec un gilet brodé assorti sur un chemisier nacré,

Arrivant au bureau son sang se glaca quand elle vit Katia souriante dans le hall qui discutait avec Laurence cigarettes à la main.

Mais...

Katia prit la parole.

On va aller à ton bureau on a des choses à te dire.

Tremblante elle les précéda, les deux jeunes femmes s'assirent, Françoise allait s'asseoir quand Katia la stoppa.

Reste debout !
Ecoutez, j'en ai assez de tout ça, on est allées trop loin, je ne vous en veux pas mais restons en là je vous prie, je reconnais que c'est un jeu excitant mais je ne veux pas que ça interfère dans ma vie professionnelle.

Laurence intervint.

C'est justement de ça que nous discutions avec Katia, ne t'inquiètes pas, nous n'en voulons pas à ton argent, tout ce qui se passe et qui se passera entre nous est strictement privé, on veut juste te faire capter qu'une femme comme toi n'est qu'une femme ordinaire, tu te crois supérieure ? Alors on va te faire comprendre la vie, tu m'as souvent humiliée, traitée comme une moins que rien mais en vérité tu es juste une salope.

Katia s'approcha d'elle et quand elles furent presque nez à nez.

Je t'avais prévenue, je t'ai demandé si tu savais à quoi tu t'engageais en acceptant de m'appartenir, tu as dis oui il me semble... Alors tu es à moi point final !
Mais...

Elle la gifla.

Tu captes ?

En chuchottant.

Oui...
Tu es une salope ?

Du bout des lèvres.

Oui...
Dis le !
Je... je suis une salope...
Bon voilà au moins c'est clair, alors écoute bien ce que je vais te dire. J'en ai mare de toi, j'ai plus envie de te voir, maintenant tu es devenue une vraie gouine et j'aime pas les gouines, je préfère les grosses bites bien dures, alors je te donne à Laurence, c'est une brave fille mais elle a envie de s'amuser un peu avec toi, donc tu l'écouteras comme si c'était moi ok ?

Elle acquiessa de la tête.

Tu as compris ou pas.
J'ai compris...
Attention, Laurence a mon numéro alors tu n'as pas intérêt à ce qu'elle m'appelle pour se plaindre de toi.

Elle acquiessa encore de la tête. Puis Katia s'adressant à Laurence.

A toi de jouer.

Le lendemain matin lorsqu'elle arriva à ses bureaux Laurence étant à l'accueil lui fit un clin d'oeil, Françoise détourna le regard faisant mine de n'avoir rien remarqué. Cinq minutes plus tard on tapait à son bureau.

Oui entrez.

Laurence entra et referma la porte.

Tu m'ignores ?
Non Laurence, mais nous sommes au bureau ici, c'est différent...
Différent de quoi ? Tu me prends pour une conne ? Je vais appeler ton amie Katia !
Non ne fais pas ça, je ne veux pas me facher avec elle et puis tu es une amie maintenant, excuse-moi je ne voulais pas te vexer.
Ton amie ? Je vais te montrer si on est juste amies...

Laurence s'approcha d'un pas vif et l'embrassa à pleine bouche fourrant sa langue au plus profond de sa gorge, Françoise les mains posées sur son bureau crispa les papiers qu'elle avait sous les mains, morte de peur elle résistait.

Tu veux que je te le demandes fort ? Ca ferait mauvais effet non...

Françoise céda, Laurence jouissait de la situation, elle sentait que sa patronne était à sa merci, elle malaxait sa poitrine par dessus son chemisier puis elle lui saisit sa main et la fourra sous sa cullotte.

Tu sais ou il faut que tu caresses, j'ai plus envie de te le demander, je veux un orgasme.

Elle s'appliqua sur son clito, puis au bout d'un moment Laurence s'allongea sur le petit canapé cuir du bureau et écarta les cuisses

Vas-y suce !

Francoise s'exécuta, puis la stagiaire se mit à quatre pattes.

Suce moi le cul, Katia m'a dit que tu faisait ça très bien.

Pendant ce temps Françoise elle se carressait le clito, elles jouirent rapidement toutes les deux puis Laurence se releva .

Katia avait raison tu es une bonne salope, mais avec moi tu vas l'être encore plus, d'abord quand on aura des relations je veux plus que tu te caresses, tu te caresseras quand j'aurais fini et je te surveillerai. Ton but ce sera de me faire jouir moi je m'en fous de toi, tu te caresseras après toute seule. C'est ok ?

Françoise qui s'était assise rougit et lui fit un signe de tête qui voulait dire qu'elle acceptait. Puis Laurence se dirigea vers la porte et avant de sortir se retourna.

Tu me plais pas en pantalon, je préfère te voir en jupe, alors s'il te plait demain met toi en jupe.

Elle lui fit un clin d'oeil et s'éclipsa.
L'après-midi Françoise reçu un artisan avec lequel elle était en affaires, celui-ci était en retard dans les travaux à effectuer pour elle, Laurence de son bureau pouvait entendre la voix forte de sa patronne qui l'engueulait, elle lui disait qu'elle ne le ferait plus travailler, que c'était un incapable, qu'elle lui ferait une sale réputation et qu'elle baisserait le devis initial. Celui-ci partit un peu plus tard ne cessant de s'excuser pour ce retard. Une demi-heure plus tard on tapa à son bureau, c'était Laurence.

Rappelle le maçon et tu vas t'excuser !

La gorge nouée elle s'exécuta.

Euh... Excusez-moi pour tout à l'heure...

Laurence ricana et s'éclipsa. Le lendemain matin lorsque elle arriva au bureau sa patronne était vétue de son tailleur bleu-marine très classique, jupe au dessus des genoux, chemisier blanc, chaussures à talons. Quand elle la vit arriver Laurence lui fit un clin d'oeil, elle lui répondit par un petit sourire géné.
Cinq minutes plus tard on tapait à son bureau, sans attendre de réponse Laurence entra et referma la porte puis vint s'asseoir sur le coin du bureau.

T'as mis une jupe c'est bien, mais tu es trop sérieuse, tu dois être un peu plus sexy, dégraffe un bouton de ton chemisier il est fermé trop haut.

Sans répondre Françoise s'éxécuta essayant d'afficher un sourire complice de circonstance mais n'arriva pas à dissimuler son embarras.

Fais voir ? Ouais c'est mieux... Bof

Elle s'approcha d'elle, lui dégrapha elle-même un bouton de plus et écarta son col, maintenant le dessus des deux globes de sa belle poitrine apparaissaient au grand jour à la limite du haut de son soutien-gorge en dentelles blanches.

Voilà, c'est beaucoup mieux, reste comme ça toute la journée même pour tes rendez-vous, compris ? Je te surveille... Demain je veux que tu viennes encore plus sexy.

Le reste de la journée se passa normalement, Laurence effectua son travail comme si de rien n'était avec une certaine liberté toutefois se permettant de fumer à son poste ou d'avoir des conversations téléphoniques privées. Elle se languissait de voir si elle respecterait la consigne.
Le lendemain matin Françoise franchit le pas de la porte, Laurence l'observa. Pas mal pensa t'elle. Elle avait mit une petite jupe d'été mi-cuisses, un petit blazer et dessous un chemisier beige presque transparent sous lequel on devinait parfaitement son soutien-gorge couleur peau.

Tu es bien mais il y a un truc qui va pas, tu retournes chez toi et tu mets un soutien-gorge blanc à balconnets.

Sans dire un mot, vaincue, elle repartit. Trois quart d'heure plus tard elle était de retour.

Ca va comme ça... ?
Oui comme ça, ça va.

Son soutien-gorge blanc se voyait parfaitement maintenant sous ce chemisier léger, le galbe de sa poitrine était visible, d'autant plus visible que l'effet balconnet en accentuait les formes généreuses.

Ok, tu enlèves ton blazer et tu vas me chercher un pâquet de cigarettes au tabac du coin.
Mais on va se moquer de moi comme ça.

C'est justement le but dit-elle avec un sourire malicieux. Françoise qui savait qu'il ne servirait à rien de discuter sortit la tête basse.
Durant toute la semaine ce fut comme ça, Laurence ne lui demanda rien de sexuel mais l'envoyait tous les matins lui chercher son paquet de cigarettes au même tabac dans des tenues très provocatrices. Et un matin.

Bon, je suis contente de toi, je vois que tu commences à t'y faire, on va passer à l'étape suivante, tu vas aller me chercher des cigarettes mais ensuite tu t'assierras a une table et tu commanderas un café, je ne serais pas loin de toi mais on fera comme si on ne se connaissait pas, je vais t'appeler, tu mettras un seul écouteur à l'oreille, on sera en ligne et je te donnerai des instructions. Rassures-toi, on est dans ton quartier et je ne te demanderai pas de choses extravagantes.

Françoise fit un geste de la tête pour montrer qu'elle avait compris. Elle arriva donc dans le bar-tabac et acheta les cigarettes puis elle alla s'asseoir au fond de la salle et commanda un café. Ce jour-là elle avait opté pour une jupe classique noire au dessus des genoux et un chemisier blanc en satin, tenue tout à fait classique sauf que Laurence lui avait interdit de porter un soutien-gorge de sorte qu'on devinait bien ses tétons, de plus, vu la taille généreuse de cette poitrine, lorsqu'elle marchait elle balancait.
Ca ne dura pas longtemps, un des habitués de ce bar qui l'avait observée depuis le début se dirigea vers elle pour lui demander du feu, puis il lui demanda s'il pouvait s'asseoir à sa table. Acceptes, entendit-elle dans son écouteur. L'homme qui devait avoir une trentaine d'années portait un jean et un tee-shirt, il était costaud et avait les cheveux coupés très courts, il commanda une bière puis souriant commenca à lui parler de tout et de rien, Françoise rosit de cette situation, elle n'avait pas l'habitude de parler à des inconnus, surtout à des gens du peuple. Puis s'enhardissant il lui proposa de prendre un verre chez lui, alors elle entendit dans son écouteur une phrase qui lui glaça le sang.

Dis lui que c'est cent euros !

Elle resta un moment sans bouger, livide, puis les lèvres tremblante elle murmura.

Euh c'est cent euros...

Il la regarda d'un regard méprisant puis se levant.

Merde une pute.

Et il sortit.


A SUIVRE.. ?

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Commentaires de l'histoire :

cocu
pas mal mais la patronne accepte un peu facilement on attend la suite
Posté le 13/08/2023

Drenek
Superbe
Posté le 20/03/2022

Henic
La petite stagiaire est une maîtresse chanteuse dont l'expérience ne va que croître, avec une soumise aussi docile. A condition qu'il y ait une suite...
Posté le 17/07/2021


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