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Deux orgasmes pour moi

Passer la nuit avec un ami, pourquoi pas? Mais comment lui faire savoir que j'aimerais un peu plus que dormir? En tombant sur lui seins en avant alors qu'il se masturbait discrètement sous la couette. La suite paraît évidente, à vous de le découvrir!

Proposée le 3/09/2017 par felebien

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Malo avait déplié le canapé-lit et attendait assis torse nu de son côté que je vienne me coucher. Un peu ennuyée, je décidais quand même de me mettre à mon aise en enlevant mon soutien-gorge par-dessous mon haut et mon pantalon. En tee-shirt et boxer, je me glissais sous les draps. Malo éteignit la lumière du salon, ne conservant allumée que la petite lampe posée sur la table basse de son côté du canapé-lit. Il s'installa entre les draps à son tour et me tourna le dos. Je fis de même quelques secondes plus tard. Il bougea légèrement pour éteindre la lampe et nous fûmes plongé dans le noir. J'entendais le vent mugir et la pluie tambouriner sur le toit, la respiration de Malo juste à côté de moi. J’étais fatiguée mais bizarrement, mon corps n'arrivait pas à se relaxer. J'étais consciente de tout se qui m'entourait, agressée par tout ces stimuli. Incapable de m'endormir, je me tournais sur le dos, contemplant le plafond obscur.

Au bout de quelques minutes, je ne pus supporter de rester allongée sans rien faire. Me levant, j'allais à la salle de bain me plonger sous l'eau bouillante de la douche. Je profitais même de cette isolement relatif pour me caresser, étouffant mes gémissements avec le bruit de l'eau. En sortant de la salle de bain, je me sentais plus fraîche mais pas encore satisfaite. Retournant au salon, j'observais la silhouette de Malo, résolument tourné dos vers moi. Il avait rallumé la lampe pour que je ne me cogne pas en revenant me coucher. Une pensée me vint, que j'ai aussitôt écarté d'un brusque mouvement de la tête. Néanmoins, je me sentais tiraillée. Mais comment faire? Devais-je carrément lui demander ou la jouer plus subtil, en le caressant "par inadvertance"? Que ferais-je s'il me repoussait? Jusqu'où irions nous s'il acceptait?

Choquée par de tels pensées, je me penchais sur le lit pour y grimper quand je remarquais que la couverture bougeait imperceptiblement au niveau de sa hanche, où son bras reposait. Intriguée, je me penchais plus en avant puis m'effondrais sur le lit, les bras coincés sous le ventre, mes seins contre son épaule et ma tête toute proche de la sienne, tellement proche que, quand il tourna la tête par réflexe, nos bouches se touchèrent. Tournant la tête de l'autre côté, je me rendis compte qu'il était en train de se masturber.

Je reculais précipitamment, aussi vite que me le permettais mes bras coincés sous moi et mes jambes pendants hors du lit. Je bafouillais une excuse en me redressant quand il me saisit par le bras, m'attirant à lui. Nos bouches se rencontrèrent de nouveau et restèrent collées l'une à l'autre pendant plusieurs secondes, sans que je réalise se qui se passait. Passé ce premier choc, je sentis sa main sur mon bras se détendre et me caresser. À demi-accroupie au-dessus de lui sur le lit, je passais ma main libre derrière sa tête afin de continuer à picorer sa bouche. Sa main libre vint se poser sur ma hanche, qu'il commença à malaxer. Déplaçant son autre main sur ma taille, il m'invita à me mettre à califourchon sur lui. Les fesses posées sur ses cuisses, les bras libres, j'approfondissais notre baiser en plaçant mes deux mains de part et d'autre de sa tête, fourrageant dans sa chevelure noire. Il ouvrit la bouche et m'invita à jouer avec sa langue.
Ses mains sur ma taille descendaient jusqu'à mes fesses puis remontaient le long de mes côtes, soulevant mon tee-shirt au passage, jusqu'à se poser sur mes seins. Il les malaxa à pleines mains, les englobant en une douce étreinte avant d'en titiller les tétons avec ses pouces. Je poussais un râle de plaisir contre sa bouche, mes halètements de plus en plus bruyants. Sans m'en apercevoir, j'avançais les fesses sur ses cuisses, jusqu'à me retrouver collée contre son érection coincée dans son boxer. Je sentais que le mien était humide et je n'avais qu'une envie, l'enlever.

De ses mains, il fit glisser mon tee-shirt par-dessus ma tête et nous nous retrouvèrent peau contre peau. M'attrapant dans ses bras et me penchant vers lui, il nous fit basculer pour se retrouver au dessus de moi. Il prit alors le contrôle des caresses, m'embrassant la gorge puis descendant vers ma poitrine en essaimant un tas de baisers. Je me cambrais sous ses mains placées sur ma taille, obliquant le bassin pour rester collé à lui. Il gémit quand nos deux sexes se frôlèrent, chacun encore prisonniers de la barrière de tissu. Essayant de se contrôler, il recula son bassin pour se pencher vers moi, sa bouche au niveau de mes seins. Aspirant un téton entre ses lèvres, il en titilla la pointe du bout de la langue avant de faire tournoyer celle-ci tout autour, puis mordit doucement dans la chair rose et gonflée, me faisait gémir de plus belle. Mon autre sein était la proie des caresses de sa main droite, tandis que sa main gauche commençait à descendre le long de ma hanche pour venir tirer sur l'élastique de mon boxer.
Infiltrant sa main sous le tissu, il la posa à plat sur mon sexe, avant de commencer à faire bouger ses doigts, d'abord timidement, comme pour tester mes réactions, puis avec plus d'audace face à mes gémissements prolongés. Du pouce et de l'index, il encercla mon clitoris pour le pincer et le caresser, me faisant sursauter et geindre de plaisir à la fois. Il plaça sa main paume sur mon clitoris et appuya sur celui-ci tandis que ses doigts caressaient ma vulve. Écartant les grandes lèvres, il posa un doigt et fit des cercles avec autour de l'entrée de mon vagin, avant de l'y glisser.

Je décollais instantanément du matelas, les dents serrées sur un cri que je ne voulais pas pousser. Mes mains qui jusqu'à présent s'entortillaient dans ses cheveux se posèrent sur ma bouche pour en étouffer le son, tandis que son puis ses doigts allaient et venaient en moi, à un rythme de plus en plus soutenu. Mes jambes se contractèrent et s'enroulèrent autour de ses hanches, l'attirant à moi. Sortant la main de mon boxer, il porta ses doigts à sa bouche pour les sucer, me faisant gémir rien que de le voir faire.
Attrapant mes jambes pour s'en défaire, il descendit encore un peu, jusqu'à se que sa tête soit au niveau de mon nombril. Il agrippa mon boxer et le descendit sur mes jambes, révélant mon sexe glabre et luisant de miel. Passant ses mains sous mes fesses, il fit remonter mon bassin pour que sa bouche fut au même niveau. Me regardant par en-dessous dans la semi-clarté laissé par la petite lampe allumée, il jugea de ma réaction. Semblant voir dans mes yeux l'acceptation et même l'impatience, il baissa alors la tête et posa sa bouche sur mon sexe. Le monde vola-t-il en éclat autour de moi ou est-ce moi qui me morcelais-je sous ses caresses buccales et linguales? Je ne sais pas. Encerclée par les sensations, je n'étais plus moi-même.

Sa langue tournoyait autour de mon clitoris en des cercles tantôt grands, tantôt petits pour finir par se poser dessus, appuyant puis aspirant entre ses lèvres le bourgeon de chair. De ses doigts, il écartait les grandes lèvres et les caressaient en même temps, envoyant des décharges électriques dans mon corps. Perdue de plus en plus avec les secondes qui passaient, les mains toujours sur la bouche pour étouffer mes cris, j'attendais la délivrance, de plus en plus prés du gouffre.
Alors il passa sa langue sur le pourtour de mon vagin puis, la tirant au maximum, l'inséra et commença à la faire bouger. Mes muscles internes se contractèrent violemment, l'électricité fusa partout dans mon corps et je poussais un cri malgré les mains bloquant ma bouche, l'esprit parcourut par une jouissance incroyable, me laissant tétanisée pendant plusieurs secondes, incapable de bouger, de parler ni même de penser.
Redescendu sur terre après ce voluptueux abandon, je croisais le regard amusé et enfiévré de Malo. Décidée à reprendre les rênes malgré mon corps pantelant, je tendis les bras pour l'attraper par les épaules, le fit remonter vers moi, passa les pieds autour de ses hanches et, crochetant de mes orteils son boxer, le fit descendre sur ses jambes.

Il finit de l'enlever et je pus enfin voir cette tige parfaite, aussi bien dans la taille que dans la largeur, sans poils pour gâcher sa beauté, se dressant fièrement vers le nombril. Elle avait l'air aussi douce que dure et je tendis la main pour la saisir et en constater la rigidité sous le velours. Se penchant au dessus de moi, il captura mes lèvres tandis que de ma main, j'imprimais à sa queue un lent mouvement de va et vient. Je sentais le goût de ma jouissance sur ses lèvres, jouais avec sa langue et son sexe en même temps.
Il ne fallut pas longtemps pour qu'il se mette à haleter à son tour, le corps tendu vers moi qui le rendait fou. Le repoussant pour qu'il s'allonge, j'inversais nos positions et me mis au dessus, le visage au niveau de son aine. Je lâchais son pénis qui rebondit sur son ventre et me mit en quête de l'attraper avec ma bouche, l'aspirant dans les profondeurs de ma gorge, faisant tournoyer ma langue autour du gland de plus en plus lascivement.
Les mains sur les yeux, il gémissait à l'unisson de mes aspirations prolongées. Mes mains à plat sur ses cuisses, j'utilisais la poussée inverse pour pomper de plus en plus vite cette magnifique excroissance. Suppliant, il me força à arrêter, m'attrapa sous les bras pour ramener le haut de mon corps vers le sien.
Mes cuisses de part et d'autre des siennes, je m'emparais d'une main de son pénis, le tint droit en dessous de moi en le positionnant puis descendit les hanches afin de l'enfoncer en moi. La sensation était exquise, cette chaleur rigide et pourtant si douce. Il donna un coup de rein et s'enfonça encore un peu plus en moi.

Les mains de chaque côté de son ventre, penchée en avant, j'ondulais du bassin tandis qu'il bougeait sous moi. Il agrippa mes hanches de ses deux mains et nous fit de nouveau basculer. Redevenue soumise à ses caresses, je laissais mes bras retomber au dessus de ma tête, profitant du spectacle. Ses coups de rein se firent plus prononcés, plus profond. Il écarta mes cuisses et replia mes genoux autour de ses hanches pour s'enfoncer encore plus en moi. Passant ses mains de mes hanches à mes côtes, il me souleva dans ses bras pour que je le chevauche, mes fesses sur ses cuisses, mes jambes autour de sa taille, mes bras autour de son cou. Il m'embrassa longuement, passionnément. Je sentis un deuxième orgasme se profiler, monter inexorablement au fond de moi. Mes muscles internes commencèrent à se contracter. Il se retira et me fit pivoter.
Je me retrouvais alors à quatre pattes et il s'enfonça brutalement en moi par derrière, m'exhortant un long gémissement. Les va et vient se firent encore plus profonds, touchant le fond de mon vagin à chaque poussée, m'arrachant des halètements de plus en plus compulsifs. Je n'allais pas tenir longtemps et lui non plus, je le sentais.
Mes muscles se contractèrent de nouveau autour de lui, l'enserrant dans un carcan de chair chaude et fondante auquel il ne put résister. Donnant un dernier coup de rein, le pénis entièrement plongé dans mes chairs, il jouit violemment, par à-coups. Son sperme brûlant qui giclait en moi déclencha mon propre orgasme, fulgurant et dévastateur. Je poussais un cri de plaisir ultime, les membres parcourus de feu liquide et d'électricité en même temps, mon cerveau se déconnecta sur l'instant et je sombrais dans le vide intersidéral de l'orgasme, parfaitement comblée.


FIN.

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Commentaires de l'histoire :

Roleplayer
Très joli récit, très bien écrit.
Posté le 6/09/2017

michel villeneuve
j ai ete bande durant tout la leçture exquis
Posté le 3/09/2017


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