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La Passagère de la pluie

Une invitée surprise dans la vie d'un couple en mal de sensations, leurs ouvrira les portes d'un sexualité décomplexée !

Proposée le 4/05/2017 par maximilien7

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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


La pluie tombe drue, en forte rafale la route est encore longue.

La visibilité quasis nulle ne facilite pas les choses, James a toujours peur de rafler un cycliste dans une nuit comme celle-là.
Je baisse un peux la radio le bruit est déjà assez assourdissant avec la grêle qui s’est rajoutée à ce déluge.

Il vaut mieux ralentir, la visibilité a encore baissée, nous sommes encore à trois kilomètre de chez nous, il est temps qu’on arrive la fatigue n’arrange rien et nous tergiversons pour savoir lequel sortira de la voiture pour ouvrir le portail !

James freine fortement et ralentit, une voiture est arrêtée sur le bas-côté, une panne ?

Il faut aller voir si cette personne a besoin d’aide, je reste dans la voiture tandis qu’il s’aventure prudemment aux abords du véhicule. Je vois le plafonnier s’allumer, ça discute, une personne en descend, c’est une femme quelques pas encore et les voilà !

- Bonsoir ! Madame, je suis Wendy Becket, je suis en panne depuis près d’une heure et impossible de redémarrer cette fichu voiture, merci de vous être arrêté.
- Mais je vous en prie c’est normal on n’allait pas vous laisser sur cette route toute seule !
Les présentations sont faites!Elle est fichtrement belle, James à sortit ses discours de cérémonie, et ses yeux se battent en duel pour mieux voir ses points d’intérêts.

- Vous êtes trempée, nous allons vous emmener chez nous, vous pourrez vous changer.

Mais oui ! Revoilà mon James et ses courbettes dès qu’apparaît une nymphe dans son horizon !
Celle-ci est particulièrement jolie et je crois que j’ai des soucis à me faire. Je le connais mon James, mademoiselle par ci, mademoiselle par là, et vas’y que je t’embarque. Jusqu’à présent c’est moi qui en ai profité, mais on ne sait jamais jusqu’où cela pourrai nous mener.

Wendy Becket, longs cheveux noirs qui retombent sur les épaules, un visage à croquer, un regard un peu triste, une figure de mannequin, une bouche qui demande à être embrasser !
Oui, j’en suis convaincu, on va s’amuser, de plus elle à l’air d’être d’origine asiatique un plus dans l’échelle des catastrophes programmées. Je vois du coin de l’œil mon mari qui n’arrive plus à détacher ses yeux du rétroviseur.

- Vous êtes en route pour votre métier ?
- Oui, je dirige un groupe de magasins, des produits de luxe, de l’esthétique, etc..

Évidemment, le contraire m’aurait étonné, qu’aurait ’elle bien pu faire d’autre, je vous le demande ?
Nous voilà rendu à domicile, c’est moi qui me farci le portail et Don Juan fait la conversation, et elle à l’air bien animée, bien joyeuse.
On lui tient la portière, avec les ‘je vous en prie’. Les pardon’, les ‘suivez Sophie je prends votre valise, c’est tout droit ne vous gênée pas !

Mais oui, pourquoi elle se gênerait ?

Ah ! Ouais, j’aurai mieux fait de ne pas me retourner, un tailleur blanc, un t-shirt de même couleur très mouillé, et deviner, elle enlève sa veste le t-shirt en question est rendu transparent par la pluie qui est tombée au bon endroit.
C’est vitrine sur seins-ville, en plus, elle peut les montrer, ce sont des seins de catalogue de mode, oh ! La pauvre comme elle n'est pas gênée.

Bon c’est vrai qu’elle est bien trempée, ça dégouline de partout ! Moi, j’ai bien envie de m’amuser un peu, donc je la laisse plantée là, à l’entrée, pieds nus les chaussures à la main. Elle va me faire un strip-tease ici, car je n’ai pas envie de nettoyer toute la maison après son passage !

- Enlever vos vêtements mouillés pour pourriez attraper froid, puis je vous emmener à la salle de bain. Je vous propose de rester ce soir avec nous, nous avons une chambre d’amis. De toute façon, vous ne trouverez plus d’hôtel ouvert à cette heure ci !

- Oh ! c’est gentil je ne veux pas vous déranger, mais je suis vraiment fatiguée, merci Sophie.

J’attends avec un certain plaisir que mademoiselle la passagère de la pluie se déshabille. C’est intéressant de la voir, là sur le palier s’effeuiller, je ne bouge sous aucun prétexte, James fait les cents pas pour tenter de voir d’un œil indiscret en jouant les voyeurs.
Elle ne bronche pas, se débarrasse de son t-shirt, j’avoue qu’elle me trouble c’est une œuvre d’art qu’elle affiche sans complexes. Un buste qui ferait mousser n’importe quel peintre, elle peut se permettre de ne pas avoir de complexe c’est sûr !

Ses seins ont le galbe qui fait rêver, amples mais fermes sans besoin d’artifices, elle continue, dégrafe le pantalon et le laisse glisser le long des ses jambes. Ses formes doivent atteindre la perfection, elle rivalise avec celles de mon violon.

Cette femme est très, très belle, il ne reste plus que quelques centimètres carrés de tissus, qui ne cachent rien et elle est nue ! Un tanga noir en coton brodé un petit nœud satiné sur l’avant, elle ne semble toujours pas gênée par ma présence.
- Pardonnez moi, Wendy, je suis vraiment indiscrète, je voulais juste ramasser vos vêtements pour les faire sécher.

Je peux rivaliser avec n’importe qui quand s’il s’agit de ma mauvaise foi, vous ne croyez pas ?

- Oh, ne vous inquiété pas Sophie, dans mon métier il ne faut pas être gênée, sinon vous ne faites pas long feu !
- Prenez une bonne douche et voilà une sortie de bain. Venez nous rejoindre je vais faire un café.
- Merci beaucoup.

Elle n’a pas attendu que je sois sortie, elle n’a pas froid aux yeux, c’est véritablement un beau brin de fille, je sors et nous nous installons sur le canapé avec café gâteaux et petits biscuits.

Wendy nous rejoint et s’installe à côté de moi, James doit avoir une vue extraordinaire sur tous ce qui dépasse de la sortie de bain, a voir ses changements de couleur il n’y a pas de doute, il se passe des choses dans son entre-jambes.

- Je vous remercie encore de votre générosité c’est bien agréable d’être ici avec vous.
- Il n’y a pas de quoi, Wendy demain je m’occuperai de votre voiture, puis on avisera, pour l’instant vous pouvez rester ici nous avons assez de place.
- Merci, beaucoup.

La soirée est charmante, Wendy est une fille agréable, surtout pour James, et les discutions vont bon train. Il va être minuit, il faut peut-être aller se coucher ! Je conduis Wendy à sa chambre et lui souhaite une bonne nuit, réveil programmé pour huit heures demain matin.

James à quelques difficultés pour dormir, il dit que c’est le café, moi je pense que ce n’est pas le café ! Il suffit de laisser une main se balader pour constater que j’ai raison.
Il bande le coquin et je ne vais pas dormir non plus !

- Ça, c’est à cause d’elle hein ! espèce de pervers, tu à envie d’elle c’est clair !
- Euh ! tu comprends, elle est jolie, je ne peux pas m’empêcher de fantasmer, surtout qu’elle dort juste à côté.
- Ah ! oui, imagine qu’elle vienne dans notre chambre, là maintenant, et qu’elle nous regarde baiser ! eh ! bien tu sais ce que je vais te proposer ? je vais sortir de cette chambre et tu va t’imaginer que c’est elle qui revient pour te masturber !

- Quoi tu es folle c’est n’importe quoi !

- Je vais te bander les yeux et sortir de la chambre OK !

Aussitôt dis aussitôt fait le voilà couché sur le lit les yeux bandés et je m’amuse à jouer le rôle de Wendy. J’en suis moi-même excitée, je crois que je me suis prise au jeu.
Je sors de la chambre, fait le tour de la table, puis un tour dans la salle de bain.
Sur la tablette il y a un flacon de parfum qui manifestement ne m’appartient pas. C’est un coup à faire, je ne m’en prive pas, quelques pschitt bien placés et retour dans la chambre.

Il est là mon Don Juan, à attendre sagement de vivre un événement. On ne parle pas, je soulève le drap et en face de moi, se dresse un sexe très affûté, je suis étonné de ce pics qui semble me défier.
Il semble que ma folie commence à l'intéresser beaucoup, s'il suinte déjà et ce n'est certainement pas par hasard !

Dans ma main il sursaute, il s’agite, James visiblement apprécie. Le cierge se liquéfie, il trépigne, je le laisse glisser dans ma main et le bassin suit le mouvement gentiment, docilement.
De temps en temps il se rebelle, je serre et l’empêche de fuir, puis je passe aux choses sérieuses avec tact je l’avale, le trempe de ma salive.

- Tu pense à Wendy, avoue, tu voudrais que se soit- elle qui lèche ton petit bout avoue.

Il acquiesce je reprends mes avances buccales et brutalement je mords et ne lâche pas ma proie. James hurle de douleur et je m’en réjouis, je reprends doucement à sucer et titiller. Maintenant il est à point, je bascule sur son abdomen et la pointe glisse entre mes lèvres. Je mouille comme une folle je suis chaude comme des braises.

- Allez James, pense que c’est elle que tu va sauter, Wendy celle que tu croyais à côté, alors prend là, fermement soit sans pitié !

J’en ai pris pour mon grade, il n’a jamais été aussi dur et percutant. Je pensais un instant qu’il me transpercerait tant ce dard s’est acharné sur moi. Il m’a renversée sur le lit et fourrée comme jamais, j’en ai perdu ma superbe dans une incroyable jouissance.
Il ne faut pas crier, elle nous entendrait, donc j’ai fait ce que j’ai pus, puis a bout de force je me suis lâchée, inondant la pièce de halètements et de gémissements.

Wendy à transcendé la libido de mon James, elle en a fait un prédateur sexuel rien qu’en étant présente dans la maison. Je crois qu’il va falloir la garder, c’est bon pour moi aussi ! Je suis montée plusieurs fois au septième ciel, oubliant du coup de rester discrète.
L’expérience a été concluante, elle est à refaire nous nous sommes endormis satisfait et repus.

Il est sept heure trente, Wendy n’a pas donnée signe de vie, il faut la réveiller.

Je toque, elle ne répond pas, prudemment j’ouvre la porte, annonce en chuchotant qu’il va être huit heure. Pas de réponse je décide d’entrer, je reste pantois devant le tableau qui se présente à moi.

Elle est couchée sur le côté, nue, à peine recouverte par le drap, le bras posé sous son sein droit le sublime en le relevant. Elle dort comme un enfant, plus bas ses jambes son recouvertes, la hanche penchée vers moi, attire mon regard vers la fine toison qui enrobe magnifiquement le mont de Vénus. Je ne peux pas détacher mon regard de cette image éminemment érotique, elle respire si paisiblement que je regrette de devoir la réveiller.

- Wendy, réveillée vous, c’est l’heure !

Elle ouvre les yeux, je me détourne pour ne pas la gêner, elle ne se recouvre pas et me souhaite le bonjour.

- Bonjour Sophie, venez asseyez vous !
- Euh ! Wendy, je…
- Oh ! pardon je vous gêne, je suis désolée pardonnez moi !
- Non, c’est plutôt moi qui devrais vous gêner d’être entrée comme ça dans votre chambre !
- Oh ! vous savez, vous êtes chez vous et il fallait bien me réveillée et vous nous pouviez pas savoir que je dors nue !

L’incident n’a gênée que moi, elle se lève et me balance l’image d’un corps absolument sublime, elle est d’un érotisme torride, je me sens émoustillée, je chauffe. Mais qu’est ce qui me prends, normalement je ne suis pas portée sur le saphisme, eh ! bien je commence à en douter sérieusement !

- Wendy, vous êtes vraiment belle, et James n’est pas insensible à ça, ni moi non plus d’ailleurs, et….
- Merci Sophie vous n’avez rien à cacher non plus, je vous ai observée, vous êtes trop réservée. Aujourd’hui je vais vous emmener si vous voulez, j’ai un cadeau pour vous, vous verrez !
- Oh ! merci, je suis bien curieuse de ce que vous voulez me faire comme cadeau, il n’y a pas de raison.
- Ah ! Si, sans vous j’aurai passée une mauvaise nuit hier, donc, je vous invite à venir avec moi d’accord !

Nous partons en ville, toutes les deux pour nous rendre dans l’un des magasins phare de la marque dont Wendy à la charge.
C’est une enseigne hyper connue, mais j’avoue honnêtement n’y avoir jamais mis les pieds. C’est un endroit cossu, très chic, nous nous dirigeons à travers l’espace esthétique, Wendy est manifestement très connue à appréciée.
Au fond des portes donnent sur les cabines de massages, l’ambiance veloutée qui nous accueille est agréable et je suis étonnée du faste de l’endroit.

Nous sommes reçues par Magalie, jolie brune, beaucoup de prestance, oui, je dirais une femme qui en impose. Les présentations sont faites, j’apprends qu’un massage m’est offert et je suis invitée à me déshabiller en cabine.
Je garde prudemment ma petite culotte, mais un sourire de Magalie, me fait comprendre de l’enlever. Un peu gênée je grimpe sur la table de massage, d’habitude, je ne suis pas très prude, mais là, couchée devant la belle, nue, le sexe à l’air, je suis légèrement agitée, pour ne pas dire plus !

Magalie est d’une douceur toute féminine, mon corps est enduit d’huiles essentielles, dont la fragrance me pénètre, je me laisse aller. C’est un véritable bonheur de sentir les mains de cette jeune femme, masser mes jambes, puis les mollets et enfin les cuisses…les cuisses ! Si elle continue dans ce sens, elle va finir par toucher mes parties intimes ! Et là, je ne garantie rien, mais non, je me fais des idées, elle n’osera pas !

Je ferme les yeux, un doigt puis un deuxième frôles mes lèvres, elle ose, une chaleur m’envahie, je monte en puissance, je vais mouiller !
Non, fausse alerte, ce devait être un accident, c’est quand même un peu dommage, j’aurai bien voulu qu’elle aille plus loin !

Les massages continuent sur mon cou sur ma poitrine, là c’est la porte ouverte aux premières fantaisies, elle progresse d’une main douce, mais ferme, il se passe des choses dans mon ventre ! Le ventre est visité par petits cercles, une main se perd sur mon pubis, ça y est je recommence mon voyage érotique, de temps en temps sa poitrine toute en ampleur frôle ma face, laissant au passage un souffle de son parfum enrober mon visage.

Elle contourne mon petit triangle se perd sur le haut des cuisses, je vais fondre, une visite à l’intérieur des cuisses, puis une deuxième, je mouille.
Je navigue entre un sentiment de honte, et celui d’une excitation sensorielle incontrôlable !
Quand elle écarte mes lèvres je sursaute, je me retiens de gémir ! Je mors mes lèvres,…, je vais jouir !!

- Je vous ai fait mal ?
- Non mais vous savez, je suis très sensible à cet endroit là !
- Oui, je comprends, ne vous en faîte pas, j’ai l’habitude, laissez vous aller, je vais progresser avec douceur, exprimer vous sans gêne !!

Comme elle vient de le dire, elle progresse avec douceur, elle trouve le petit bouton, je ne contrôle plus mes réactions, mon cœur joue à saute mouton. C’est une femme, elle connaît les secrets de son anatomie et les utilises contre moi, je me liquéfie, je ne me retiens plus. Je vais m'exprimer, oui, d’ailleurs je m'exprime déjà, et elle insiste avec un sourire vainqueur !

Magalie a des doigts de fée, elle enserre masse, entre en profondeur, puis d’une main elle pousse sur le mont de Vénus et de l’autre elle provoque des réactions inopinées.
Ma cyprine, je la sens s’évacuer, je me crispe, puis elle choisit le moment ou je sombre dans un vagissement d’adolescente, pour faire jouer à ses doigts dans mon vagin une sarabande de tous les diables, je braille, je me cabre, j'écarte mes cuisses et gicles tous les sucs de mes entrailles.
J’ai la honte qui me tenaille, me laisser aller de cette façon devant cette fille, je ne suis pas fière de moi, je n’ai eu qui rarement un tel orgasme !

Elle est merveilleusement habile, et me sert un sourire d’ange. Puis elle s’emploie avec une extrême finesse à nettoyer à l’aide d‘ une lingette mes parties intimes je suis couchée les cuisses ouvertes et j’orgasme encore à chaque touché de Magalie qui patiemment attend que l’irritation se soit apaisée.

Elle m’embrasse sur le front je suis époustouflé de cette générosité, Magalie m’a ouverte le portes d’un autre plaisir inconnu pour moi jusqu’à ce jour.

Une magnifique expérience que je dois a Wendy, qui est une invitée vraiment exceptionnelle !

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