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La pension 06

Un week-end à la pension. Fessées et sodomie.

Proposée le 2/02/2017 par Donatien

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Thème: Femme soumise
Personnages: FFH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


28 octobre 1964. Je guettais ce matin l’arrivée de Fiona en cours. La petite avait les yeux cernés mais un air triomphant malgré ses yeux baissés. J’ai remarqué qu’elle avait négligé d’attacher ses cheveux. Ils tombaient en cascade autour de son visage mince, ce qui était ravissant mais tout à fait contraire aux règles.
Ceci aurait déjà pu suffire pour une punition, mais la jeune fille imaginait sans doute que sentir encore les suites du passage de ma pine au travers de son tendre œillet la dispensait de se plier au règlement. J’ai laissé passer la provocation trop évidente. Mais lorsque Fiona a fait doucement remonter sa jupe pour me laisser voir qu’elle ne portait rien dessous, exhibant sa fente rose à peine ombrée de duvet blond, j’ai décidé qu’il fallait sévir.
— Mademoiselle Murray. Pouvez-vous répéter ce que je viens de dire ?

Fiona est demeurée muette et rougissante. Les élèves étaient occupées à écrire et je n’avais rien dit depuis un bon moment.
— C’est ce que je pensais. Inattention caractérisée. Je serai encore une fois trop indulgent. Nous dirons cinq.
Fiona a ouvert de grands yeux, si je l’obligeais à soulever sa jupe, toutes les autres verraient qu’elle était venue en classe sans culotte et cela viendrait aux oreilles de la mère supérieure immanquablement. Je l’ai sortie de son angoisse en ajoutant :
— Première catégorie.

Elle s’est levée et s’est présentée au bureau. Elle me regardait avec un mélange de crainte et de surprise. J’ai posé côte à côte la règle plate en bois et la badine de bambou et lui ai fait signe de choisir. Elle a naturellement choisi la règle puis elle s’est mise en position. Je savais que l’épaisse jupe de lainage allait amortir le coup en garde partie, aussi, j’ai frappé en mettant le plus de force possible. Fiona a poussé un cri et les larmes ont jailli de ses yeux. Elle s’est tortillée un bon moment. Je savais que les ondes de douleur se répandaient de ses petites fesses dans ses jambes et son ventre. J’ai attendu qu’elle s’immobilise à nouveau puis j’ai porté les autres coups avec à peine moins de force. La petite tenait à peine debout tant elle sanglotait. Je me suis rassis à ma place et lui ai demandé de venir près de moi. Sur une feuille que je lui ai présentée j’avais écrit : « Allez-vous rassoir et caressez-vous. »

Elle a obéi, s’est rassise très lentement. Je savais que ses fesses étaient enflammées mais que la brûlure de la règle passerait vite. Je l’ai vue calmer ses sanglots peu à peu, puis glisser sa main entre ses jambes écartées. Elle s’est légèrement tournée pour me donner une meilleure vue. De ma place j’ai vu comment elle frôlait du bout de son majeur sa fente serrée sur toute sa longueur, la touchant à peine, puis comment son doigt peu à peu entrait plus profondément dans le tendre sillon. J’ai vu comment sa première phalange pénétrait à chaque voyage dans l’étroite ouverture de son vagin pour revenir luisante d’humidité masser son clitoris, invisible dans cette vulve presque enfantine. Elle a laissé échapper un gémissement, que ses voisines ont sans doute mis sur le compte de la douleur de la punition, à moins qu’elles aient parfaitement su à quel jeu nous jouions elle et moi.

Je l’ai vue se crisper en même temps que son doigt plongeait plus profond dans sa petite chatte. Elle a serré ses jambes et a joui en silence, mais intensément car lorsque je suis passé près d’elle quelques instants après elle tremblait encore et son front était en sueur. La cloche a retenti, les pensionnaires sont sorties. Elle a traîné pour être la dernière. Au passage je l’ai saisie par le poignet. J’ai pris sa main et j’ai léché chacun de ses doigts aux ongles rongés. Ils avaient un goût mêlé de chatte brûlante et de pipi de fillette.

Je me suis rendu au bureau de la mère supérieure. Bien que celle-ci soit plus jeune que moi de plusieurs années, d’après ce que je peux en juger de son visage lisse, elle m’intimide un peu. Elle m’a prié d’entrer. Elle était comme d’habitude occupée à écrire derrière son énorme bureau. À une table plus petite, la novice qui lui sert de secrétaire, pâle et blonde sous son voile blanc a levé sur moi et rougi jusqu’aux oreilles.

Je lui ai exposé que deux de mes élèves avaient grand besoin de travailler leur grammaire latine, et qu’un week-end de consigne serait le bienvenu pour une remise à niveau.
— Très bien. Je vous félicite pour votre dévouement.
J’ai scruté son visage à la recherche de la moindre ironie, mais il était comme toujours impassible.
— Sœur Hélène, vous avez entendu. Convoquez ces élèves cet après-midi pour qu’elles téléphonent à leurs parents.
L’unique téléphone est bien sûr dans le bureau de la supérieure. Celle-ci s’est de nouveau adressée à moi.
— Mademoiselle Bernier assurera la surveillance de l’internat. Vous n’ignorez pas que le week-end prochain sera celui de la Toussaint et que l’internat sera vide. Je vous remercie encore pour ces jeunes filles, j’espère que la leçon leur profitera.

Dimanche 1er novembre 1964.

Isabelle et Fiona dorment encore, enlacées et nues, dans mon lit.

Hier, toutes les pensionnaires ont quitté le château après le repas, puis ça a été le tour du personnel. Il ne restait plus que Violette et moi, et bien sûr nos deux pénitentes, occupées à recopier des pages de grammaire en salle d’étude. Je m’étais décidé au dernier moment à consigner aussi Isabelle, mais je ne savais comment j’allais l’aborder. La brune Isabelle, seize printemps à peine, allait certainement faire une jolie paire avec Fiona ; j’avais la certitude qu’elle se masturbait en classe, mais j’ignorais jusqu’où je pouvais aller avec elle. Pour Fiona, c’était plus simple, puisque je l’avais déjà sodomisée, fessée et que j’avais goûté au nectar de sa chatte.
Je suis entré dans la salle d’étude, suivi de Violette qui a ma demande avait revêtu son uniforme d’infirmière. Elle s’était par la même occasion maquillée comme une putain, assez mal, il faut le dire. Sa blouse blanche trop petite mettait en valeur son cul splendide. Dessous, elle ne portait que ses bas blancs et son porte-jarretelles. Les filles étaient assises côte à côte. Elles n’ont pas levé les yeux de leur pensum.
— Mademoiselle Duval, venez ici.
Isabelle s’est approchée du bureau en tremblant.
— Vous savez pourquoi vous êtes ici, n’est-ce pas ?
— Oui, Monsieur. Je dois réviser ma grammaire latine.
— Certes, mais il y a une raison plus grave. Vous savez de quoi je parle, n’est-ce pas ?
— Non, Monsieur.
— Croyez-vous que je n’ai pas remarqué à quels jeux vous vous livrez pendant mes cours ?
Isabelle est devenue écarlate, elle a baissé la tête sans répondre.
— Aussi, Mademoiselle Bernier et moi-même nous devons nous assurer que vous ne mettez pas votre corps en danger. Montez sur le bureau.

Isabelle a hésité, puis elle a obéi sans comprendre.
— Asseyez-vous. Non, comme ça. Ecartez vos jambes. Mademoiselle Bernier, Mademoiselle Murray, venez ici.
Violette et Isabelle se sont approchées.
Assise ainsi, les genoux relevés et les jambes largement ouvertes, Isabelle ne peut faire autrement que montrer sa culotte de coton blanc. Je la contemple ostensiblement, augmentant son embarras. D’autant que le coton n’est pas vraiment net à l’entrejambes.
— Bien, vous allez maintenant nous montrer comment vous vous y prenez pour vous donner du plaisir au lieu de vous concentrer sur le cours.
Isabelle ouvre de grands yeux qui très vite se remplissent de larmes.
— Je ne peux pas, Monsieur…
— Je m’attendais à cette réponse. Vous êtes une petite effrontée. Voici ce qui va se passer. Mademoiselle Bernier et votre camarade Fiona vont recevoir la punition pour vous, jusqu’à ce que vous obéissiez. Violette, Fiona, en place.

Violette se met aussitôt en position, les mains sur le rebord du bureau et le menton dans les mains. Fiona hésite un instant, puis elle s’installe à côté de l’infirmière. Dans cette position, leurs visages sont face à l’entrejambes d’Isabelle. J’ouvre le tiroir et en sors un présent que Maheux m’a fait pour me remercier de la fellation mensuelle que lui prodigue Violette. C’est un superbe martinet, un objet sans doute fort ancien, qu’il a découvert dans un lieu qu’il ne m’a pas révélé. Le cuir des lanières était raide et craquelé, mais Maheux à grand renfort de graisse lui a redonné de la souplesse. Violette et Fiona le découvrent pour la première fois. Je le pose devant leur visage pour les laisser le contempler de près, puis je m’occupe de relever la blouse blanche de Violette, révélant ses grosses fesses nues et blanches où se voient encore les traces plus ou moins anciennes des diverses raclées reçues. Puis je roule la jupe de Fiona et la déculotte jusqu’aux genoux. Le cul de Fiona est étroit et haut perché. Je lui fais écarter les jambes autant que la culotte le permet. Sa fente laisse voir un bout de langue rose.

Bien, sûr, je bande déjà comme un cerf. Je passe derrière les deux culs exposés à mon châtiment. Isabelle me regarde aller et venir, incapable de faire un mouvement. Soudain je lève le martinet et je cingle le cul de Violette. Elle pousse un cri aigu. J’observe avec intérêt comment les lanières dessinent leurs traces sur la peau de rousse.
Fiona se crispe visiblement, dans l’attente de son tour. Mais c’est Violette qui reçoit le deuxième coup. De ma main libre, je vérifie que sa chatte soigneusement rasée est déjà copieusement mouillée. Fiona se détend un peu, imaginant peut-être qu’elle va échapper aux lanières de cuir. Elle bondit sous la brûlure du premier coup et se met à pleurer bruyamment. Violette en rajoute un peu elle aussi.
— Eh bien, Mademoiselle Duval ? Laisserez-vous durer cette punition injuste ?

Isabelle tout en pleurant se décide à porter la main à sa motte. Elle la caresse vaguement à travers la culotte.
— Vous vous moquez de moi, Mademoiselle. C’est vous qui l’aurez voulu.
Et j’administre une nouvelle tournée à Violette et Fiona qui me donnent un beau concert de cris. Isabelle pleurniche mais se décide à faire passer sa main sous l’élastique. On devine à travers le tissu que son geste est plus précis. Je ne veux pas rompre le rythme qui s’installe, aussi je sors de mon tiroir une paire de ciseaux et la lui tend.
—Coupez-donc cette culotte, ce sera plus pratique.

Isabelle prend les ciseaux, hésite. Le martinet siffle, les filles crient. Elle se décide à couper dans le coton une fente parallèle à la sienne. Les ciseaux coupent mal, elle prend le tissu à deux mains et le déchire largement. Sa vulve apparaît. Son pubis est orné d’un toupet noir assez dense, mais les lèvres sont lisses. Le clitoris rose montre son nez impertinent. La petite est excitée. Elle se remet cette fois à se caresser sans plus faire d’histoire, sans doute encouragée par tous nos regards braqués sur sa chatte. Je passe derrière Fiona et Violette, glisse ma main entre leurs jambes et je me mets à taquiner leurs clitoris. Bientôt, un concert de gémissements remplace les pleurs et les sanglots. Les trois filles s’encouragent mutuellement.
— Eh bien, Isabelle, est-ce ainsi que vous faites en classe ?
Isabelle me regarde droit dans les yeux cette fois pour me répondre :
— Oh non. J’ai aussi mon crayon !
— Votre crayon ?
— Oui, il est dans ma trousse.
— Violette, allez-y.

Violette revient avec la trousse. Isabelle en sort un crayon rouge épais comme un doigt de quinze centimètres de long environ, et un tube de pommade contre les brûlures. Elle enduit le bout du crayon qui a visiblement été arrondi. Puis elle ses soulève, cherche un moment l’entrée de son cul, puis se laisse descendre. Le crayon disparaît tout entier. Isabelle se remet à ses caresses et rapidement semble atteindre l’orgasme qu’elle accueille en silence, les yeux fermés et les lèvres serrée.
— Isabelle, comment faites-vous pour faire ceci sans être vue ?
— Oh, je le mets avant.
— Vous voulez dire que vous arrivez en classe avec cet objet dans le cul?
— Oui. Je le mets assez souvent. Parfois je le porte toute la journée. Ainsi, le plaisir me prend partout, en classe, dans la cour, au réfectoire.
Fiona intervient.
— Mais, il ne sort pas tout seul ?
— Oh, non, c’est la culotte qui le tient. Et s’il sort, il suffit de s’assoir ou de s’appuyer contre une table et il rentre !
Cette conversation étrange n’a rien fait pour diminuer mon excitation. Je défais ma ceinture, baisse pantalon et slip et exhibe sous les yeux effarés d’Isabelle mon membre au meilleur de sa forme.
— Pensez-vous que ceci pourra remplacer votre crayon ?
Isabelle ne répond pas mais je sens que dans sa tête des mesures se prennent.
— Déshabillez-là.

Fiona et Violette s’y emploient et en un instant Isabelle est toute nue sur le bureau. Elle est menue mais assez grande. Ses seins ne sont que de vagues renflements, mais les aréoles brunes sont larges et les pointes bien dressées.
Fiona est tout de suite rassurante.
— Ne t’inquiète pas, au début, ça fait un peu mal, mais une fois que c’est rentré, tu vas voir, tu vas jouir très fort. Surtout que tu es déjà habituée, avec ton crayon.
— Allonge-toi, ajoute Violette, oui, sur le dos, comme ça. Tiens tes jambes en l’air, bien écartées. Je vais lécher ta minette, tu vas voir comme c’est doux.

Violette joint le geste à la parole, tout en me laissant libre accès au cul de la jeune fille, que j’enduis copieusement de pommade. Pendant ce temps, Fiona a entrepris de mordiller les seins menus. De temps en temps, les bouches des pensionnaires se rejoignent pour un baiser profond. Isabelle est bientôt aux anges. Je choisis ce moment pour présenter mon membre à sa porte secrète. Bien lubrifié et préparé par le crayon, son anus cède rapidement. Isabelle pousse un cri de surprise. Je reste un instant immobile pour la laisser s’accoutumer au changement de calibre. Son anus me serre merveilleusement. Puis je la lime lentement, mais à fond. Habituée à jouir par le cul, elle râle bientôt de bonheur. Mais voyant Fiona appuyée au bureau et occupée à l’embrasser, je ne peux m’empêcher de flatter son cul mignon. L’envie me vient de m’y plonger, aussi je quitte un instant Isabelle pour pénétrer Fiona, puis Fiona pour Isabelle, alternant ces deux culs délicieux jusqu’au moment où, ne sachant dans lequel me répandre, je commande à Violette de s’agenouiller pour recevoir dans sa bouche les jets de ma semence. Les jeunes filles observent avec intérêt mon éjaculation et le plaisir que je manifeste à engluer le visage de Mademoiselle Bernier.

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Commentaires de l'histoire :

Milily
A quand une suite ?
Posté le 23/10/2018

PetitePrunehumide
Encore un chapitre intéressant .. jnespere que pour le prochain chapitre il y aura un peu plus de léchage de minou et de cul ainsi que du voyeurisme.,
Posté le 1/04/2017


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