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Journal intime 4

La suite de la découverte de ma sexualité à travers mon journal intime...

Proposée le 23/10/2016 par orcanda

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie


Mercredi.

Ce matin, Henri m'a fait un petit signe de la main, pour me faire venir chez lui.
Petit bisou et il m'emmène directement dans sa chambre.
J'enlève mon chemisier, ma jupe, je n'ai pas de culotte comme il le veut, je suis nue.
Il m'allonge sur le lit, me caresse sur tout le corps, je suis déjà chaude comme une braise et l'écoulement de ma chatte ne laisse aucun doute sur mon désir.

Soudain, il sort de la pièce et réapparaît deux minutes plus tard.
Il tient dans la main un tube de crème dépilatoire.
«Ma petite Anne, j'aime les femmes sans poils pubien et même si tes poils roux son discrets, tu seras bien mieux sans »
«Henri, ce n'est pas possible que va dire Alain »
«Tu n'auras qu'a lui dire que c'est une surprise que tu lui as faite »
«Non, s'il te plaît ne fait pas ça. »
«Laisse moi faire, tu verras tu vas être magnifique épilé, après tu ne supporteras plus d'en avoir. »(De ce jour effectivement j'ai toujours été rasé)

Il commence a m'étaler la crème autour de mon pubis, ce qui a pour effet de me faire encore mouiller davantage.
«Ma chérie, il faut arrêter de mouiller. »
«Ce n'est pas de ma faute Henri, mais je suis trop excité. »
«J'ai compris. »
Il nettoie avec un gant de toilette le début de crème posé sur mon corps, baisse son short et me présente sa bitte a sucé.
Je le suce, sa queue est maintenant dure, ses couilles bien pleines.
«Prends moi, prends moi »
Il m'écarte les cuisses, me prend en missionnaire et me lime sans ménagement.
Je suis comme une folle, je pousse de petits cris, je mouille, le plaisir est là, l'orgasme me ravage encore une fois.
Henri se retire sans avoir éjaculé.
«Tu ne te finis pas dans ma chatte ?  J'aime quand ton foutre coule au fond de mon vagin»
«Non, ma chérie plus tard. »

Henri me badigeonne de nouveau de crème, j'attends dix minutes et je me retrouve sans pilosité.
Il fini le travail avec un rasoir pour enlever les quelques poils qui reste.
Il me touche les grandes et petites lèvres, me tripote le clitoris, ce qui a le don de me refaire coulé, à sa grande satisfaction.
Je me regarde dans une glace.
Ma chatte est magnifique.
J'adore, on croirait une petite fille.

«Avant de partir à la plage, je voudrais que tu t'allonges nue dans la chaise longue, que tu te masturbes et que tu te fasses jouir du clitoris. Moi, je te materais de ma fenêtre. Après, tu monteras nue et tu viendras directement dans ma chambre »
Je n'ai plus la volonté de refuser.
«Si ça te fais plaisir »

En début d'après midi, je vais m'allonger nue sur le transat.
Cuisses grandes ouvertes, je me caresse, me masturbe, asticote mon clitoris, la chaleur monte.
J'ai les fesses trempé, j'inonde comme d'habitude.
Je ferme les yeux, pense à tous ces hommes qui banderaient s'ils me voyaient.
Je me fais jouir.
C'est bon, j'espère qu'Henri va être content de ma prestation.

En montant les escaliers, nue, la chatte et le cul trempé, je me dis que je deviens une sacrée salope. Je vais me faire baiser par un vieux cochon et j'aime l'excitation qui précède ce moment.
J'arrive à la chambre, je rentre, Henri m'attend, mais, stupéfaction, il n'est pas seul.
Je reste cloué sur place.
«Je te présente Gégé, il a beaucoup aimé ta démonstration. »
«Tu t'appelle Anne ? Approche, on ne te veut que du bien. »
Je suis toujours interloqué.
Gégé est horrible, patibulaire, chauve, très poilu, gros, ventru, avec des mains immenses.
Je ne bouge pas, je veux dire à Henri non, c'est impossible, mais aucun son ne sort de ma bouche.

Gégé se lève, il est nu, avec sa grosse queue qui bande mou et deux grosses couilles qui pendent.
Il s'approche me prend la tête et m'enfourche sa langue dans la bouche.
Cela m’écœure, me dégoûte.
Une main c'est emparé de mon sein, mon petit B, tient au creux de celle-ci, il me le malaxe, torture, écrase.
Dans le même temps son autre main s'occupe de mes fesses, qu'il pelote durement, tout en introduisant deux, puis trois doigts brutalement dans mon anus, c'est une brute.
J'ai mal, je pousse des petits cris de douleur, il continu de me martyriser le cul, le sein, quand soudain, je sens une bouffée de chaleur m'envahir.
Incroyable, je commence a ressentir du plaisir et a aimer ce qu'il me fait.

La main du sein descend entre mes jambes, il attrape ma chatte à pleine main, rentre sans ménagement des doigts au fond de mon vagin, je suis brutalisé par devant et par derrière.
Il me soulève presque de terre, mon mètre soixante trois et mes quarante neuf kilos sont un poids plume entre ses grosses pognes.

«Tu as raison Henri, cette salope mouille comme une chienne, il lui faut vraiment de la bitte. »
«Je te l'ai dit Gégé, elle a juste besoin d'un mec pour la guider, lui faire découvrir sa vraie nature de chienne en chaleur. »
A ces mots, mon imagination prend le pas sur ma raison.
«Baise moi, baise moi. »
Il m'allonge sur le lit, me fait toucher sa verge.
Quelle érection, je ne peux fermer ma main sur son engin, je suis surprise, tout est gros chez lui.
Il me met les pieds à hauteur de ses épaules, s'insère brutalement dans ma grotte, me lime sans ménagement, tellement fort que j'ai l'impression que je vais passé à travers le matelas.
Il dégouline de sueur, ça sent le mâle viril, sa grosse queue me remplie complètement, quelle sensation, j'adore.
«Alors, ma chérie tu aimes la grosse queue de Gégé.»
«Oh, oui Henri, c'est bon de sentir ma chatte dilaté, il va me faire jouir. »
«J'étais sur que cela te plairais, c'est pour la qualité de sa bitte que je l'ai fait venir. »
Je n'écoute plus, un orgasme monte, je pousse des cris de jouissances.
Je suis terrassé par des spasmes, je suis un pantin désarticulé qui bouge dans tous les sens.
Il me faut plusieurs minutes pour récupérer.

Il me demande de me mettre en levrette, il me pénètre de nouveau et recommence ses coup de rein puissant dans mon fourreau, dans cette position, je sens encore mieux son sexe, c'est divin.
«Tu devrais t'occuper de ses entrailles , elle adore. »
«Non, non, tu es trop gros. »
Il me tient solidement par les hanches, sort sa queue de mon vagin et la présente à l'entrée de mon anus.
«Non, non, fais pas ça. »
Trop tard, il vient de rentrer tout son sexe d'un coup au fond de ma cavité anale, la douleur est terrible, les larmes me coulent sur les joues, il ne bouge pas, la douleur s'estompe.
Alors il commence a me limer et le plaisir est là, un gros braquemart, c'est trop bon.
«Oui, oui va y encore plus fort. »

Je mets ma main entre mes cuisses pour me toucher le clitoris, Henri l'enlève, met la sienne à la place et me triture mon bouton.
J'ai un orgasme du cul et du clitoris en même temps, ce qui déclenche l'éjaculation de Gégé au fond de mon trou.
Il se retire.

«Tu lui as bien dilaté les deux trous, tu as vu comme cette pute aime ça. »
«Henri, cela dépasse ce que tu m'avais dit, félicitation jeune fille, vous êtes doué. »
«Quand elle repartira d'ici, seule les queues hors normes la feront jouir et tu vas m'aider Gégé à la rendre dépendante, a en faire une nymphomane des énormes bittes »
Je ne réponds pas .

C'est vrai que je suis déjà une sacrée salope, pour me faire baiser par un gros porc et jouir comme une truie.
Henri qui a une belle érection, me présente son sexe a sucer.
Je m'exécute, sur le point de décharger, il m'arrête, me retourne, rentre dans ma chatte grande ouverte,mais je le sens mal.
«Putain de dilatation, il faudrait un éléphant pour te remplir, mais qu'est ce que tu es bonne. »
Sur ces paroles, il lâche son sperme qui m’envahit le vagin.

Maintenant leurs foutres coulent par mes deux orifices, ce qui les fait rire.
Je récupère doucement allongé sur le lit, je m'aperçois alors que celui-ci est souillé de ma mouille, de leurs spermes, qui sont répandu abondamment sur le drap.
J'ai honte et je rougis.
«C'est rien ma petite Anne, il faut juste que le change les draps et la couette, mais je veux bien les changer tous les jours, pour te voir jouir comme ça.»
«Et moi je suis candidat pour venir tous les jours l'aider dans ta tâche. »
«Vous êtes deux vieux salopards, deux gros cochons. »
«Oui, mais il n'y a pas de cochon sans femme épanouie, en plus, tu aimes, non ? »
«Oui et vous pouvez recommencer, si vous voulez. »
«Excuses nous, mais à notre âge, on n'est pas des robots, il faut attendre un peu pour nous remettre en forme. »

Tous le monde passe sous la douche.
Pas de plage cette après midi, il est trop tard.
«Remonte vers dix neuf heures pour appeler Alain. » 

Dix neuf heures.
Je monte, nue, ils sont là tous les deux.
Je regarde de nouveau Gégé, comment puis je accepter de me faire toucher par ça.
Je n'ai pas le temps de réfléchir plus longtemps, car je me retrouve avec deux sexes dans les mains.
En même temps, Henri m'explique :
«Je veux que tu te retiennes de jouir, pas de cris et tu gardes bien le téléphone en main. »
«Je vais essayer, mais ça va être dure. »
«Non, il ne faut pas essayer, il faut le faire, compris. »

Ils ont tous les deux une belle érection.
Gégé s’assoit sur la chaise, me demande de le chevaucher, pas facile avec sa corpulence et il me tend le téléphone.
Je discute avec Alain la chatte bien pleine du dard de Gégé, je suis collé à lui.
Henri m'écarte les fesses et rentre sa bitte dans mon anus, la position est précaire, je suis prise en sandwich.
C'est surtout Henri qui bouge et qui m'empale sur le sexe de Gégé.
Je coule, je coule, ne pas jouir, ne pas crier, je me retiens, mais je suis au bord de la rupture, je jouis, sans bruit, en ne lâchant pas le combiné, je n'ai pas pu me retenir plus longtemps.
Henri, se retire de mon fondement et me dit a l'oreille d'abrégé la conversation.
Je raccroche.

«Je t'avais dit de ne pas jouir. »
«Excuse moi, Henri, mais c'est impossible. »
«C'est possible, il faut juste de la volonté, tu mérites une punition. »
«Non, je te promets de ne pas recommencer. »

Ils m'emmènent dans la chambre, Henri sort le gros vibromasseur qu'il m'enfonce dans le vagin et me lime énergiquement avec.
Gégé pas en reste, a un deuxième vibromasseur à peine plus petit que le premier et me l'enfonce dans le cul, avec un peu de mal par manque de place.
Ils me labourent sans ménagement pendant un quart d'heure, puis Henri vient se faire sucé, avant d' éjaculer au fond de ma gorge, suivi de Gégé qui me fait subir le même sort.
J'ai toujours les deux engins bien rivés en moi.
Ma chatte et mon cul, me font mal à force d'être martyrisés.

Ils me libèrent enfin.
Je suis toute endolorie.
«T'as vu tes trous, même la pire des putes, n'a pas des trous aussi larges, la prochaine fois, que tu me désobéiras, cela ne sera pas des vibromasseurs, mais des bittes qui te punirons, n'est ce pas Gégé. »
«Oui, mais je pense que cette salope pourrait aimer ça et ce ne serait plus une punition. »
«Allez va te coucher et soit en pleine forme demain. »

Chacun, m'embrasse goulûment avec sa langue et je descends me coucher.  
Malgré la fatigue, je ne trouve pas le sommeil.
Tout se bouscule dans ma tête, en plus mon anus me fait mal.

Ce n'est pas possible, c'est quoi ma vraie nature, chienne, pute, salope ou nymphomane ?.
Ou les quatre à la fois ?

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Commentaires de l'histoire :

Turgescent
J'ai vraiment du mal avec les histoires qui dérapent vers le brutal. Je n'ai et ne connais aucune femme excitée par le dégout d'une situation.la soumission d'une femme par la brutalité gratuite n'est pas pour moi. Dommage pour cette partie 4.
Posté le 7/10/2023

Anonyme
un plaisir
Posté le 9/03/2023

Aziz
Vous n'êtes qu'une dame,qui veut découvrir le monde sensuel des plaisirs charnelles! Je ne vois aucun mal à cela puisque vous y prenez du plaisir à le vivre et le faire vivre!
Posté le 23/10/2016


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