Histoire Erotique

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Compétition

C’est un rêve érotique et je peux faire des choses comme ça en rêve. Sentir le poids de son corps sur moi tandis que ses coups de reins amorcent une montée en puissance jusqu'à mon orgasme. Mon, Père ? Mon frère, Ma mère, Je me réveille en sursaut. Mes doigts sont humides et glissants.

Proposée le 18/11/2025 par NONNE

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: 2CPL
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Je rêve. Un rêve érotique. C’est un peu flou mais pas d’erreur je sens des mains qui me caressent par touches légères glissant de mes seins vers mon bas ventre. Je suis tournée vers le centre du lit. Par moment je sens que ce sexe me frotte les fesses. A moitié endormie j’ai des sensations délicieuses alors que les doigts de Raphael partent fouiller mon vagin. J’écarte légèrement mes cuisses pour l’accueillir, pour le sentir en moi, au fond de moi.

C’est un rêve érotique et je peux tout imaginer. Je peux faire des choses comme ça en rêve. J’ai le poids de son corps sur moi tandis que ses coups de reins amorcent une montée en puissance jusqu'à mon orgasme. Je me réveille en sursaut. Ma main et mes doigts sont humides et glissants, et maintenant j’ai une sensation de vide dans mon ventre qui me dit que je suis super excitée. Je m’adresse à un fantôme : « Baise-moi », c'était tout ce que je peux formuler dans ma tête. « Baise-moi, s'il te plaît. » Au contraire j’ai la sensation que quelqu’un vient de fuir, de s’évaporer.

C’est à ce moment-là que j’entends un bruit. Le lit vient de grincer dans la chambre de maman. Adieu le rêve ! Je suis trempe. Je comprends très vite que Raphael avait pris le risque de venir dans ma chambre durant mon sommeil. Est-ce mon père allant faire pipi qui l’a fait fuir ? Puis je me rappelle qu’il est en voyage. Du coup cela me réveille complètement.

Mon frère est un beau garçon, mince et musclé. Bien des femmes ont envie d’y gouter mais moi…. Ai-je le droit !? Il ne devrait pas me baiser. Pourtant, nous ne manquons jamais une occasion. De vrais lapins.

Que se passe-t-il ? J’entends comme un souffle à peine audible. On aurait dit maman, comme si elle était souffrante. Je sors du lit pour voir ce qui se passe et je vois Raphael dans le couloir. Il se tient au bord de la porte entrouverte de la chambre de maman. Je n’en suis pas sure mais pas de doute, il se caresse en regardant dans la chambre de nos parents. Raphael se branle. Dans l’ombre, il ne peut pas voir que je l'observe. Il reste là un bon quart d’heure, puis il part rejoindre sa chambre.

Une fois sa porte fermée, je me glisse à mon tour dans le couloir et je glisse un œil pour découvrir ce qui le fascine tant. Dieu merci il y a une veilleuse. Je peux découvrir ce qui mobilise mon frère en pleine nuit. Son mari absent, ma mère Céleste, utilise un vibromasseur discret contre son clitoris, en poussant des gémissements à peine perceptibles.

Elle a une main dans sa chatte. Ses tétons sont pointus comme les miens quand je me touche. Je vois qu’elle les pincent parfois durement et là encore je me dis que nous réagissons de façons semblables lorsque nous avons envie de baiser.

J'ai déjà vu maman nue, mais je n'aurais jamais modifié mon point de vue sur elle, voir « la Femme » si je ne l’avais pas vue se tortiller, femme en chaleur et sans pudeur. En famille elle ne cachait pas son goût pour le sexe et même parfois nous laissait entendre qu’elle et son mari, notre père Jacques, n’étaient pas des anges non plus. Depuis le début du confinement, la maison baignait dans une atmosphère érotique que je percevais plus ou moins consciemment.

On baise ensemble depuis des mois avec Raphael mais nous étions dans notre bulle. Elle vient d’exploser. Voir ma mère en femme avide de sexe me bouleverse. J’ai constaté depuis longtemps que mon frère Raphael n’est pas indifférent à la féminité de maman. Je ne serais pas étonné d’apprendre qu’il n’ait pas contre l’idée de gouter à cette chatte en chaleur. Je ne vaux pas mieux, une traînée du jus de ma chatte coule à l'intérieur de ma cuisse. J'ai vraiment besoin de baiser. Ma main a glissé et j'ai commencé à me caresser. Je n'avais jamais été aussi excitée. L’image de ma mère les cuisses ouvertes, offertes, me trottent dans la tête.

Je suis partie rejoindre Raphael. Il est sur le lit. Il se branle déjà en m’attendant. Je suis sure qu’il m’a entendu entrer mais il n’a pas bronché. Je me suis approché de son lit. Ses yeux sont fermés, il imagine sans doute maman se faisant du bien, peut-être sa nudité et sa chatte humide. Je me suis penchée et j'ai commencé à l'embrasser, comme dans mon rêve. Au bout d'une seconde, Raphael a commencé à m'embrasser en retour. C'est bon. Il embrasse bien mieux que mon dernier petit copain. Je pars prendre sa bite dans ma bouche. J'ai déjà fait ça et je sais ce qu’il aime.

- Maintenant, frérot, baises moi. Je suis tellement excitée, j'en ai vraiment besoin. »
- Et si maman le découvre ? Elle est à coté …
-Tu sais qu'elle est un peu occupée en ce moment. On doit juste rester discret. Maintenant, viens sur moi. Je te veux dans ma chatte.

Dans sa chambre Céleste eut un sourire muet. Rien ne lui échappe des pratiques incestueuses du frère et de la sœur. Même son mari se doute de quelque chose. Il a le diable dans le caleçon à l’idée de pouvoir baiser sa fille. Ils ont fait un pari quelques jours auparavant et elle a bien l’intention de le gagner.

**************
Nous l’avions toujours soupçonné, mais là, en bas, nous les voyons se lâcher. Nous sommes cachés derrière un rideau pour observer par la fenêtre le couple en plein ébats. Ils sont collés l’un à l’autre bord de la piscine dans le jardin qui se cache derrière la maison. Nous voyons notre grande fille Virginie prise en levrette, calée sur une murette de la terrasse, le cul relevé tandis que la grosse queue de notre fils disparait régulièrement dans son ventre. L’image est animale et elle me poursuivra des semaines durant alors que je m’interroge de savoir s’ils ne se livrent pas exprès publiquement pour nous informer de leur liaison incestueuse. Puis je me dis qu’ils nous croient sans doute encore dans notre garage à bateau que nous venons de préparer pour nos prochaines sorties.

Virginie a les yeux fermés alors que ses petits seins fermes tremblent sous la force des poussées de son frère. De l’étage, nous profitons du spectacle. Raphael la pénètre sauvagement. De notre fenêtre discrètement entre-ouverte, nous entendons les gémissements de notre fille et le claquement du ventre de Raphael sur ses fesses à chaque poussée. Ils sont magnifiques, ils sont sans tabous. Ils sont beaux, moi la maman, en ce moment je les envie.

- Devons-nous les empêcher de faire ce qu'ils font ?

J'entends mon mari derrière moi qui profite du spectacle. Je sens sa bite dure qui se frotte sur mes fesses. Il est excité.
- Non, laisse, répondis-je doucement. Quelque part, cela me rassure. Nous savons que notre fortune attire des individus pas toujours très intéressants. Je préfère qu’ils passent leur temps en se défoulant ensemble…
… et pourquoi pas avec nous ?

C’est mon mari Jacques qui vient de m’interrompre. Tu sais, ils baisent ensemble parce qu’ils aiment ça .. Commente-t-il en se frottant plus énergiquement.
- Et alors…
– Je suis sûr qu’ils se savent observés, ça les excitent. Ils sont nos enfants et sans doute pas moins portés sur la baise que nous.
… et tout aussi vicieux, conclut-il.
Il me fait tourner dans ses bras pour me coller son membre sur le ventre.
- Ça ne semble pas te déranger, toi non plus d’ailleurs, répondis-je.
-Tu mouilles n’est-ce pas ?, murmure mon mari en guise de réponse.
- Et tu es dur ! Ai-je rétorquée en riant. Jacques a attrapé le bord de ma culotte, l'a baissé, puis une main a glissé dans mon entre-jambes pour me caresser la chatte.

Je me suis retournée, je veux continuer à jouer les voyeuses. Cela me fait affreusement mouiller et ce vicieux de Jacques l’a bien compris. Dehors on peut entendre les claquements de leurs corps alors que Raphael baise de plus en plus fort. Jacques a raison, ils ne font rien pour se cacher. J'écarte les jambes et j'entends mon mari grogner lorsqu’il met son sexe dans ma chatte pour un lent et profond mouvement comme je l’aime. De doux gémissements sortent de sa bouche … et de la mienne, devenant de plus en plus forts.

J'essaie de rester immobile. Toucher le rideau peu attirer leur attention et je veux continuer à les regarder. Juste quelques poussées et un premier orgasme me fait ployer les genoux tellement je suis excitée par la situation. Je me penche un peu en avant pour permettre à mon mari de me baiser plus facilement et je regarde dehors où notre fils Raphael et sa sœur baisant avec la plus totale des impudeurs.

Mon mari commente en lorgnant la bite de notre fils apparemment un peu plus épaisse que la sienne.. Pendant que mon mari m'envoie au septième ciel, l'idée de sentir la bite de mon fils en moi m’effleure à nouveau l’esprit. Ce n’était pas la première fois. Je m’en veux mais je me sais hypersexuelle, certainement perverse. Toutes les audaces me semblent possibles si elles ne font du tort à personne. Baiser avec mon grand fils ne me semble nullement amoral s’il en a envie… après sa sœur… pourquoi pas moi ? Je mouille, oui, mais de vice en imaginant son sexe épais dans mon ventre.

Décidément l’épidémie de Covid a de curieux effets sur nous. Pas de doute, le fait de rester confinés nous donne de drôles d’idées. En tout cas, je suis sûr que Virginie apprécie le membre son frère. Ce n'est sans doute pas la première fois qu'elle l'accueille aussi facilement. Pour être honnête, je m'en doute déjà depuis quelques semaines. De notre étage nous entendons le bruit mouillé de leur copulation. Elle mouille bruyamment notre fille … et moi aussi !

Pour le moment, tous les quatre nous sommes pratiquement confinés à la maison, travaillant à domicile ou étudiant pour leurs examens. Nous sommes coincés chez nous, comme de nombreuses familles pendant la période de quarantaine du Covid sauf que notre fille et son frère ont trouvé une façon originale de passer le temps.

Alors que Jacques et moi pouvons faire l'amour quand nous le voulons, dans la chambre le soir ou dans son petit bureau, Raphael et Virginie n'ont pas ces options. Être si proches l'un de l'autre a fait monter leurs hormones déjà bouillonnante et donc, l’inceste est désormais consommé. Je ne savais pas quoi en penser sinon que mon ventre est en émoi et mon salopard de mec le sent. Là, nous sommes là à regarder nos enfants avoir des relations sexuelles entre eux. J’ai la tête en feu et le reste aussi ! La bite de mon mari glisse en moi encore et encore, augmentant mon excitation à chacune de ses poussées.
- Belle bite ! ai-je entendu dire mon mari alors qu'il regarde dehors par-dessus mon épaule.

- Et elle a un super cul ! répondis-je en poussant mes fesses vers lui.
- Elle à ton cul me glisse Jacques… Peut-être Raphael aimerait-il sentir sa bite en toi, comme toi tu aimerais la sentir dans ton cul !
- Jacques ! répondis-je faussement indignée.
- Sa grosse bite dans ta chatte chaude. Comme la mienne maintenant. C'est ça que tu aimes, non ? »

J'ai tourné la tête, je l'ai regardé ne sachant trop s’il est sérieux. Il l’est, le vice sur son visage. Je peux imaginer où il préférerait avoir sa bite maintenant.
- C’est toi qui veux la baiser… gros vicieux. Tu veux juste baiser notre fille, répondis-je d'une voix sourde en sentant mon ventre se liquéfier et lui serrer sa queue.
- Oh mon Dieu oui ! Et comme je veux ça, me souffle-t-il dans l’oreille, levant toute ambiguïté.
- Pour l’instant, tu me baises, ai-je gémis sous la poussée de son excitation.

Je le comprenais. Jacques est bel homme et j’ai souvent vu notre fille s’accrocher à son bras en public pour faire croire qu’elle était sa jeune maitresse.

Nos enfants semblent vouloir nous démontrer qu’ils sont infatigables et dotés d’une libido incroyable. A vrai dire cela ne me surprend pas.

Je ne compte plus les fois où Raphael c’est arrangé pour me surprendre nue dans ma chambre ou dans ma salle de bain avec un regard qui ne trompe pas une femme avertie. A chaque occasion ce saligaud me fait du charme et il ne se gêne pas pour me faire comprendre son désir de gouter à sa mère. Il ne cesse de me combler de compliments avec un fond toujours libidineux.

Je l’avoue, parfois… il sent bien que je n’y suis pas insensible. Il ne cesse de me frôler à la moindre occasion et se fait de plus en plus audacieux au fil des jours. Je n’en pouvais plus et j’attendais la fin de notre quarantaine, son retour à l’université avec impatience tout en rêvant de l’avoir entre les cuisses.

Quelques poussées supplémentaires, puis Jacques a grogné dans mon oreille.
- Oh... je suis sur le point de jouir !
- Attends ! répondis-je en voyant Raphael, le visage déformé par le plaisir, au bord de jouir. Je veux jouir avec eux : Attends !
-Tu es une vraie salope dépravée.

Mais il s’est retenu. C'était censé être un compliment et je l'ai pris exactement de cette façon. En bas sur le bord de notre piscine Raphael continuait à baiser sa sœur. Je l’ai vu se contracter et ses mouvements devenir plus violents.
- Il jouit ! ai-je lâché.

Mon orgasme, en même temps que celui de mon fils, me dévaste alors que je demande à Jacques de me baiser fort et de me remplir de son plaisir. Nous avons tous jouis en même temps, tous les quatre.

En bas, j'ai vu le plaisir sur le visage de Virginie, l'extase alors que son frère la remplissait, haletante, de sa semence. Lorsque Jacques m'a inondé de son sperme, j'ai connu un autre orgasme et j'ai dû m'accrocher à lui pour ne pas basculer en avant. Bon sang, le sexe, quelle bonne et géniale sensation !

Au bord de la piscine, Raphael, épuisé, s'effondre sur Virginie, tous deux haletant lourdement. J'ai doucement repoussé Jacques, je me suis tourné vers lui, je l'ai embrassé et j'ai senti son sperme couler le long de mes jambes. Jacques a regardé au-delà de ma tête et à nouveau dehors.
- Tu sais ce que nous devons faire maintenant ?, me murmura-t-il d'une voix rauque à l'oreille.
- Oui, mais je ne sais pas exactement quoi, murmurai-je en retour. J’ai du mal à me porter sur mes jambes. Il a ri.

Je me dirige vers la salle de bain les jambes flageolantes laissant une trace de nos jus d'amour derrière moi. Je ralenti. Mon mari était toujours debout à la fenêtre et regarde dehors. Sa queue était encore dure. Il est foutrement excité, le salaud.
- Je vais sentir la bite de mon fils en moi cette semaine, me suis-je dit dans ma barbe. Et à voix haute : Cette putain de petite salope de Virginie, là-bas, est ton problème.

Nous nous sommes souris et je suis allé dans la salle de bain. Mon mari et moi venons de conclure un accord silencieux. Je baiserais mon fils et il pourrait avoir sa fille si elle le voulait. Bien sûr, il veut la baiser. Notre fille est une belle plante et ses yeux sont remplis de promesses, mais aura-t-il le droit d’en profiter ? Pour moi, je n'ai aucun doute. Mon fils me baisera bientôt. Mon ventre déborde d’excitation. Et j’avais de l’avance… Il ne demandait que ça et ne s’en cachait pas !

********
Je suis devant le réfrigérateur lorsque mon fils arrive. Il vient de la piscine, le corps encore humide.

Sortant de ma douche je ne porte plus qu'un short en jean et un débardeur. J'ai abandonné les sous-vêtements. Je sais que mon fils Raphael peux voir mes tétons mordre le tissu de mon teeshirt. Mes seins suivent mes mouvements et Raphael ne les quittent plus des yeux. Ma chatte se laisse voir par intermittence. C'est exactement ce que je veux.
Il a soif et veux boire quelque chose. Quand je me tourne vers lui, ses yeux sortent presque de sa tête. Je lui laisse la place mais il ne m’a pas fallu longtemps pour voir que son jogging prend lentement de l’ampleur au niveau de la taille, ce que je fais semblant de ne pas remarquer.

Hé, bon sang ! Il baise sa sœur et visiblement il est toujours en chasse. Je décide de le chauffer à mort. Après tout, depuis des jours, j’ai découvert que ce petit salaud baisait sa sœur… Depuis j’ai la tête et le ventre en feu.

- Quelque chose à boire ? Je lui tend la bouteille d'eau froide sortie du réfrigérateur. Comme par hasard un peu d’eau déborde sur mon teeshirt. Ça ne manque pas. L’eau fraîche me mouille la poitrine. Mes seins se révèlent et mes tétons commencent à réagir.

– Avec plaisir, dit-il, en essayant de ne pas regarder mes seins, ce qu'il fait mal. Je le vois rougir… ho - ho.

************
Il se donne une contenance.
- Il y a longtemps que vous êtes rentrés ?

Nous étions sensés sortir notre bateau de son hangar au petit matin. L’affaire a pris moins de temps que prévu et je vois maintenant une lueur d’inquiétude dans les yeux de Raphael. Sans doute se demande-t-il si nous les avons vu en pleine action… ainsi j’ai déjà une réponse à ma question : non, ils ne se sont pas montrés volontairement. Il se croyaient vraiment à l’abri.

- Non pas trop. Nous étions dégoutants de transpiration. Nous nous sommes dépêchés de partir nous laver. Je viens de sortir de la douche et maintenant ton père en profite à son tour.

Je n’allais pas lui dire que son vicieux de paternel m’a bloqué pour me bouffer littéralement la chatte encore enflée du plaisir qu’il m’a donné. Je me retourne pour utiliser la machine à café entièrement automatique tout en sortant mes fesses un poil de trop.

Avec la fraicheur de l’eau mes mamelons sont devenus durs et je suis sûr que s’il m’avait sauté dessus à ce moment-là, je ne me serais pas défendue. Il pue le sexe, la testostérone et la transpiration de sa baise avec Virginie. Il continue de me fixer. Je me suis regardé. J’avais les tétons raides. Je bande à ma façon.
- Désolée ai-je commenté hypocrite … L’effet de la douche. Il va falloir que je fasse attention… pas la peine de donner des idées à la gent masculine. Si tu as de mauvaises pensées… échappe toi vite.… J’ai l’air taquine et malicieuse mais le trouble dans les yeux de Raphael ne trompe pas.

Il est sorti. Sur, il a de mauvaises pensées et moi toujours la chatte en feu.

J'ai bu mon café, tranquille puis je suis monté à l'étage. Jacques était encore dans la salle de bains. La porte de la chambre de Raphael entrouverte. Pour moi, c’est une invitation. Sans frapper, j’ai fait irruption dans la chambre en disant…
- J’espère que tu n’as pas… j’allais dire « mal pris ma remarque » …

Pas la peine, le membre dur dans la main, mon fils s’astique son braquemart les traits tirés par le plaisir et l’excitation. C’est vrai qu’il est superbement monté. C’est vrai aussi que la porte entre-ouverte n’est pas innocente.

- O.. Oh… J’ai soufflé : Pardon Raphael, un silence … je ne pensais pas que ma tenue te faisais un tel effet, tentant ainsi un mot d’humour maladroit.

J’essaie de rester enjouée mais Jacques étant dans le coin. Pas question d’aller trop vite. Dans ces cas-là, fermer sa porte est recommandé. A moins que…

Je n’ai pas continué. Je me suis retourné, j'ai verrouillé la porte et je suis allé dans ma chambre pour me changer. En fait pour me branler. Je suis tellement excitée que j’ai jouis de suite. P… c’est chaud aujourd’hui ! Cela fait longtemps que je ne m’étais pas senti aussi excitée.

Pendant que j'enfile une robe d'été légère, je regarde par la fenêtre et je vois mon mari parler à notre fille au bord de la piscine. Celle-ci se vautre sur sa serviette se reposant de sa partie de jambes en l’air. Le malin, il n’a pas perdu de temps lui non plus. J’ai entre-ouvert la fenêtre, je les entends. Apparemment Jacques ne veux pas perdre de temps.
- Bonjour, chérie, tu prends encore un bain de soleil ?
- Oui, papa... euh... je veux profiter du soleil de la fin de la matinée qui n'est pas encore trop chaud.

Je vois Jacques, en le plaignant un peu, tenter de se dépatouiller de son désir envers sa fille. Il n’avançait pas contrairement à moi. Je décide de les rejoindre.

*************
J’en suis consciente, Jacques observe ce qui se passe entre Raphael et moi. Je n’hésite pas à me montrer dans un string largement « décapoté », très fil à beurre. Ma fille glousse et me suit en ne mettant plus de soutien-gorge et Raphael… Il fait semblant de regarder ailleurs. Pas comme Jacques qui a du mal à cacher ses érections.

De mon côté je m’amuse de voir Jacques tenter sa chance avec Virginie. Mon mari ne doute pas que j'aurais bientôt Raphael dans mon lit. Je crois que c’est la frustration de ne pas trouver l’occasion de montrer son désir d’inceste à sa fille qui lui donna l’audace de ce qu’il fit cet après-midi-là (et en ma présence !)

C’est la fin d’après-midi. Il nous trouve allongé pour une séance de « bronzing » au bord de la piscine. Virginie poitrine nue n’a, comme moi, qu’un string de fantaisie ne cachant rien ou pas grand-chose. Elle est magnifique dans son abandon lorsque Jacques vint la retrouver. Je le vois attraper l'huile de bronzage qui se trouve sur la table, en verser quelques gouttes dans ses paumes pour commencer d’office à appliquer de la lotion sur sa fille en disant :
- Hé, ma chérie, tu vas finir plus brulée que bronzée si tu ne fais pas attention.

Le contact doux sur sa peau frappe Virginie. Elle était encore sous l’influence sensuelle de sa matinée, son bas ventre encore endolori par les assauts fougueux de Raphael. Dans ses délires elle lui avoue qu’il est son homme et qu’elle veut le garder pour la vie. Raphael n’y trouve rien à redire. Tous les deux ne veulent pas d’enfants.

Leurs chambres juste à côté de la chambre de leurs parents et ils ont peur d'être découverts. Avec le confinement, ils ne peuvent s’échapper de la maison sinon à se cacher. Virginie se demande encore si son frère a choisi de la baiser exprès sur le bord de la piscine au risque de se faire surprendre. Paradoxalement cela ne la dérange pas outre mesure. Son sang charrie encore du feu lorsque la main de son père vint la toucher, puis la caresser.

Virginie sa surprise initiale passée cède la place à un sentiment de bien-être en sentant son père s’intéresser à elle. Jacques met à profit toute son expérience et ses doigts agiles pour étaler la crème solaire sur ses épaules, ses bras, son cou... et plus insidieusement, beaucoup plus bas, à la limite de la décence !

Pour Jacques la sensualité de la jeune femme se manifeste par l’abandon de son corps à ses mains mais aussi par de petits soupirs involontaires. Lorsque Jacques s’est mis à la masser, Virginie est fichue. Elle se détend laissant son père s’amuser avec son corps. Elle laisse faire. Son père n'arrête pas de frôler ses seins et bientôt les mamelons de sa fille durcissent et son ventre réagit en un mouvement imperceptible. Cela n’échappe pas à Jacques.

Elle a les yeux fermés comme pour s’évader dans un monde ou les plaisirs de la chair valent de s’abandonner sans réserve. Elle sursaute, la main de son père vient de descendre sur ses cuisses au plus près de sa chatte déjà trempe.

Elle eut un réflexe de recul.
- Euh... Papa... Juste une légère protestation, mais Jacques ne se laisse pas arrêter. Il voit bien le succès de son massage intrusif. Il continue à masser ses cuisses puis ses fesses à seulement à quelques centimètres de son minou. Jacques remarque une tache humide sur le bas de bikini de sa fille. Il l'a rendue chaude, c'est bon signe ! Virginie gémit sans bruit. Jacques vient d’effleurer son entre-jambes, le bord de son bas ventre, elle ne bronche pas. Elle entend au creux de son oreille qui lui souffle :
- Ma chérie, tu vois, tu es toute mouillée.. Tu devrais enlever ton string, c’est plus sain pour bronzer. Un soupir puis, toujours dans l’oreille « Tu es bandante ma fille … Si tu as encore besoin de mes mains… je suis à ta disposition.

Aussi soudainement que son père est venu jusqu’à masser le bord de sa chatte, il la quitte brusquement. Il a du mal à cacher son érection. Cela n’échappe pas à la jeune femme qui se sent toute drôle. Sa main part vers son bas ventre. Le découvre trempe en même temps qu’elle réalise que sa mère l’observe. Elle rougit d’embarras. Céleste lui fait un gentil sourire en écartant à son tour les jambes afin de se caresser brièvement la chatte tout en dégageant son clitoris de la ficelle de son string.
- Ce n’est pas ta faute… tu es une fille bandante…
Incroyable, sa mère dit la même chose que son père…

Qu’est-ce que cela veut dire ? Virginie reste silencieuse. Son esprit en pleine confusion vagabonde. Elle se doute bien de l’hypersexualité de sa mère Céleste mais jamais elle n’aurait pensé… Elle a regardé Jacques la masser et lui proposer d’enlever son string sans réagir.

Virginie est brulante. Elle ne se raisonne pas. C’est presque par mimétisme qu’elle imite sa mère qui continue de se masser le sexe du bout des doigts par-dessous son string. Le plaisir est déjà là.. Qui fait bouillonner son sang et réagir son ventre. Elles deviennent complices. Les voilà qui se masturbent sans pudeur. L’une chauffée par la scène, la seconde par la main paternelle. Les deux femmes s’accordent un moment de plaisir partagé.

**************
Jacques reste bouleversé par son audace et sa culpabilité. Il a eu du mal à résister à lui enlever son string et mouler sa main sur la chatte de Virginie. Il s’est réfugié à l’étage. Il surprend la scène de sa femme et de sa fille qui se caressent en s’observant. Jacques assiste à toute la scène, stupéfait que sa fille n’ait pas reculé sous les avances de sa mère. Trop excité, il continue à se vider dans ses doigts. Il prend sa queue et commence à se masturber de son côté. Il est tellement excité qu’il jute de suite. Frustré, il ne lui reste qu’à observer sa femme et sa fille en train de se faire plaisir sans se soucier des conséquences de leurs abandons.

Pour lui plus que jamais le désir de sa fille, la prendre, la baiser est devenue une force animale qui dépasse et ignore toute morale. Heureusement Raphael est absent pour deux jours.

Virginie sent son plaisir qui vient. Sa mère a le regard aigu d’une femelle en rut. C’est en se regardant, échangeant un regard intense de complicité, qu’elles se libèrent de leur plaisir dans un soupir rauque et animal. C’est sa mère qui vint la rejoindre…
-Tu aimes ? Virginie hoche de la tête. Sa mère continue…
- Moi aussi. C’est une grande première pour moi lâche-t-elle avec un sourire. Je devrais dire pour nous deux n’est-ce pas ? Céleste s’est penché sur le ventre de Virginie qui n’a pas le temps de réagir alors que sa mère vient de plonger dans son entre-jambes.
-Tu sens bon, commente-t-elle… On en mangerait. Ce qu’elle fait plongeant sa bouche sur le sexe de sa fille gonflé de sang.

L’autre n’a pas le temps de réagir. L’interdit et l’excitation dominent la surprise ou la crainte. Virginie ne se pose plus de questions et se laisse aller. Au fond n’a-t-elle pas bien des fois enviée la beauté sauvage de sa mère et son aisance à se tirer de toutes les situations. Elle sait, elle sent qu’elle est comme sa mère : elle aime le sexe.

**********
J’avais deviné que Jacques nous espionnait de l’étage. Je voulais qu’il comprenne que sa fille l’attendait comme une femelle en chaleur attend son mâle pour se faire couvrir.
De son coté, Virginie reste perturbée par le comportement de son père. Une chaleur sourde lui mord le ventre. Elle ne le comprend pas. Bien souvent elle a senti son père attiré par elle mais chaque fois il a reculé…. Elle se sent frustrée. Comme une belle et excitante histoire qui finit en queue de poisson. Ou veut en venir Jacques ?

Virginie réalise que son ventre est trempé et sa chatte béante, dilaté dans l’attente d’un sexe … celui de son père… ou de son frère ?

Elle ne compte plus ses rêves érotiques mettant en scène une histoire romantique avec son père. Elle l’aime. Il est beau et viril. Il sent bon. Elle l’a désiré en elle en martyrisant sa chatte. Elle considère parfois sa relation avec son frère comme un substitut à l’amour qu’elle porte à son père.

Parfois en baisant avec Raphael, elle s’imagine sous le ventre de Jacques : Cela la faisait partir. Elle en est à se considérer comme une fille perdue à cause du désir incestueux qu’elle porte envers son père. Et là, avec cette séance de masturbation, sa mère laisse entendre qu’elle ne trouve rien de choquant à le voir créer une intimité incestueuse avec sa fille. Qu’allait en penser son père… et son frère !?

La nuit suivante fut difficile pour tous. Le soir elle et sa mère avaient longuement échangés et, curieusement, en évitant de parler de leur masturbation commune. Elles étaient plutôt branchées sur la séance de massage de Jacques et son interprétation. Sa mère très détendue avait conclu très sobrement par ces mots : « N’accepte que ceux que tu veux. Ce que tu aimes ... C’est bien ce que tu fais toujours, non ?

L’allusion fortuite ou volontaire l’avait interloquée et le sourire moqueur de sa mère ne la rassure pas.

***********

Au petit matin, la maison lui sembla bien silencieuse. Virginie ne savait pas si son frère était rentré. Elle tourna pour le retrouver dans sa chambre lorsqu’elle entendit le bruit d’un plongeon qui l’amena à la fenêtre. Son père et sa mère venaient de faire quelques brasses.

Elle partit se préparer pour le petit déjeuner. Elles les retrouva bien réveillés. Ses parents l’embrassèrent et Virginie ne sus trop dire si ce matin spécialement elle trouvait leurs étreintes sensuelles ou non.

La journée fut aussi paresseuse que la veille. L’après-midi, tout le monde se retrouva au bord de la piscine. Virginie est habillée comme la veille d’un minuscule chiffon, ficelle qui ne cachait rien. Elle ne l’aurait jamais avouée mais elle tremble d’une sourde excitation, avec la crainte d’avoir mal interprété ce que sa mère lui avait dit. Aussi, lorsque Jacques, le visage neutre, se rapproche d’elle en lui proposant de lui passer de l’huile pour la protéger, elle se contente d’un bref mouvement de tête en regardant vers sa mère d’apparence tout aussi indifférente …mais ses yeux ne trompaient pas. Cette salope savait.

Les mains de Jacques firent à nouveau le miracle. Virginie se sentit fondre sous les caresses. Petit à petit son père passa ses mains sur ses seins, sur son ventre, sur ses épaules .. Rien ne semblait pouvoir l’arrêter, sinon elle. Mais en avait-elle envie ? Elle écarte ses jambes.

Elle sent une main se poser sur ses fesses et l’autre écarter son string afin de glisser une huile qui coulait le long de sa raie. La main se déplace, suivant le tracé de l’huile qui vient humidifier sa rosette pour atteindre le creux de sa chatte. Les doigts de Jacques sont au contact de sa chatte et elle se laisse faire. A ce moment-là elle jette un coup d’œil vers sa mère. Celle-ci, les jambes ouvertes face à elle, se branle sans pudeur donnant à la scène un caractère pervers et licencieux qui lui fait fondre sa chatte. Elle se laisse guider par la volonté de son père. Elle devient ce jour-là, sa chose, son amante et une élève foutrement douée.

Ils partirent dans sa chambre. Céleste ne fit rien pour venir les rejoindre. Elle voulait les savoir pleinement investit dans leur découverte l’un de l’autre.

**************
Céleste n’en avait rien dit à Jacques mais il y avait quelques jours qu’elle avait mis son fils dans son lit. Précisément la veille de son départ. Un vendredi matin, après la séance « seins nus » sous l’effet d’eau fraiche, j'ai lancé une seconde tentative vers mon fils.

Jacques et sa fille étaient en course et moi en cuisinière mais pas trop classique, il faut bien le dire. Quand Raphael est entré dans la cuisine, j'étais là, en train de siroter mon café. Ce qui a laissé Raphael figé sur le pas de la porte, c'est ce que je ne portais rien d'autre qu'une petite toute petite culotte blanche.
– Faussement naïve j’ai lancé… M … pardon, je te croyais parti avec ta sœur et ton père !
Il s’est figé sur mes seins. Tentant un peu d’humour j’ai lancé :
- Eh bien, j'ai la quarantaine et c’est normal s'ils s’affaissent un peu, tu ne trouves pas ?
Tout ce qu’il a pu dire c’est « Putain de merde ! Tout en s’approchant.

J'avais également une culotte très serrée qui soulignait ma chatte et mes petites lèvres bombées. J'aurais aussi bien pu être nue. Je me suis retournée comme pour cacher mes mamelons et lui ai donné par la même occasion une vue sur mes fesses, encore très attrayantes, je le sais. Par la même occasion je donnais à Raphael, la possibilité de venir me coller. Je mouillais comme une salope. Je l’ai senti venir avant qu’il ne me touche. Son membre était déjà dur… son corps brulant :
- Je t’aime maman, c’est tout ce que j’ai entendu avant de sentir sa verge qui cherchait l’ouverture.

Ce fut incroyable, intense et surprenant. Aux orties toutes prudences. Il est arrivé derrière moi et dans la seconde son membre s’est glissé dans l’humidité de mon ventre. Rien ne pouvait l’arrêter, nous arrêter, c’était comme l’achèvement d’une longue attente. J’ai eu un orgasme incroyable immédiatement et je l’ai senti qu’il se vidait dans mon vagin. J’ai eu un gémissement rauque qui n’en finissait pas alors que je sentais le souffle de son plaisir dans mon cou. Lui aussi ne pouvait résister à l’intensité du moment, à l’émotion de cette accouplement contre nature.

Je me suis retournée. Nous avons scellé notre péché incestueux par un baiser de cinéma. J’étais trempe et lui en pleine forme. Je me souviens que nous n’avons pas dit un mot de plus. Nous étions deux bestiaux avides l’un de l’autre. J’eus tout juste une pensée pour Jacques en me demandant comment il allait réagir à l’annonce du début de mes jeux avec notre fils.

Nous nous regardions les yeux dans les yeux alors que je sentais déjà son sexe qui durcissait contre mon ventre. J’ai pris sa tête pour la guider vers mon bas-ventre. Je me souviens avoir rompu le silence en lui ordonnant :
- Manges moi, mange-moi, petit vicieux. Il n’a pas hésité, mon ventre était inondé de son sperme et le savoir en train de me lécher nos liqueurs intimes m’excitait terriblement. Sous sa bouche et sa langue je sentais revenir mon désir de le sentir encore en moi.
- Viens, lui ai-je dis. Nous sommes partis vers sa chambre.

Dans la chambre. Alors que sa queue bougeait de haut en bas devant mon visage, j'ai vu sa main s'enrouler autour de son manche et tenir sa bite au bord de ma bouche comme pour me mettre au défi de la prendre. Je n’ai pas hésité pendant que ma main droite a écarté mes lèvres mouillées et deux doigts se sont glissés dans ma chatte. Raphael a regardé mes doigts disparaître dans mon vagin… Nous nous regardâmes tous les deux, je retrouvais chez lui le regard âpre de l’homme qui va se vider dans ma bouche.
C’était le début d’une aventure dont nous ne pourrions pas nous sortir indemne.

*************

Ce matin-là les choses s’accélérèrent. Un léger feulement fit dévier Raphael vers la fenêtre. Sa mère les cuisses ouvertes accueille le sexe de Jacques en soufflant bruyamment à chaque poussée de son homme. Le bruit attire Virginie qui y trouve son frère. Il se tient près du rideau et regarde dehors. Sa main agrippe une queue dure et raide.

- Viens ici, mais reste derrière le rideau ! Murmura-t-il en lui faisant signe de venir. Virginie se tient maintenant devant son frère et regarde dehors.

Ce qu’elle voit fait réagir son vagin. Son père et sa mère sont sur la terrasse, dans la même position qu'eux deux jours auparavant. Sa mère était à quatre pattes et son père la cloue par derrière. C'est comme un reflet, comme une répétition de ce qu'ils y ont eux-mêmes vécu.

- Oh, putain de merde ! haleta Virginie. Ils nous avaient vu !
- Regarde juste, glissa Raphael entre ses dents. Virginie regarde la grosse bite de son père entrer et sortir de la chatte scintillante d’humidité de sa mère, encore et encore. Il n'est pas mal doté, repense Virginie.
- Arrête ça ! siffla-t-elle à Raphael, excitée par l’indécence du couple. Mais son frère ne se laisse pas arrêter.
- C’est un spectacle génial. Allez, on a enfin du temps pour nous et on peut baiser sans nous cacher ! D'accord, là il avait raison, pense Virginie en le sentant ouvrir sa braguette alors qu’elle ne porte pas de culotte. Il en rugit de satisfaction.

Ce qu’aucun d’eux ne savait, c’est ce nous étions parfaitement conscients qu’ils allaient tomber sur notre exhibition. J’étais trempe d’excitation à l’idée de les savoir au bord d’être entrainé dans nos plaisirs, complices de mon vicieux d’époux.
- Tu deviens de plus en plus mouillée, chérie, murmura Jacques. Je ne tarderai pas à venir.
- Non, pas encore ! murmurai-je. Baise-moi, je veux qu’ils me voient amoureuse de mon mari. Je ne veux pas que Raphael pense une seconde que je suis sa chose, sa maitresse.
- Tu le veux encore ton beau Raphael, a grogné mon mari qui me baise sans pitié.
- Bien sûr. C’est du plaisir. Comme tu veux encore notre baiser ta fille. … siffle Céleste entre mes dents : tu veux la sentir te jouir dans la bouche, vilain papa !

Jacques m’a tout raconté de sa nuit avec sa fille. Il a aussi abordé notre séance de masturbation. Dans son délire, Virginie lui avoué qu’elle avait adoré. « On recommencera » ais-je conclu et avec toi.
- Oh oui, encore, baise-moi, papa vicieux baise-moi ! gémit Céleste : Vas-y remplit moi mon papa vicieux !
Céleste savait stimuler les fantasmes de son homme.

J’adore sentir ton sexe dans ma chatte. Ce dernier réagissait violemment, accentuant ses mouvements qui deviennent brutaux.

Virginie ne peut pas quitter des yeux la bite de son père, qui va et vient sans cesse, enduite du jus de sa mère, pour disparaître à nouveau profondément dans sa chatte. Plus subtile que son frère elle comprend que ses parents leur envoient un message : Il n’y a pas d’exclusivité dans les relations sexuelles entre-eux.

Pendant ce temps, le sexe de Raphael s'était enfoncé dans la chatte de Virginie qu’il commence à baiser lentement. Cela prend même une allure très sensuelle…
- Tu as baisé avec lui, n’est-ce pas ? Le sexe de Raphael était gonflé à lui faire mal. Avoue ma salope de petite sœur… Tu as baisé avec lui, n’est-ce pas ?

Comme pour l’obliger à se lâcher entre deux poussées Raphael avoua son péché.
- Tu sais, j’ai baisé maman. Un silence. Elle est magnifique. Une vrai femelle.

Virginie hésite encore à raconter à son frère ses séances de jambes en l’air avec Jacques. Car désormais c’était Jacques et non plus papa.
- Vas dis le … Tu as baisé avec lui, n'est-ce pas ? raconte-moi… petit salope… Il y a des regards qui ne trompent pas. Il est plus gros que moi ?
- N’importe quoi, mais elle ment mal.

Imaginer être baisé par les deux hommes qui comptent le plus pour elle fulgura dans sa tête. C’était trop tard. Trahie par son excitation Virginie ressentit une vague de plaisir au bord l’amenant au bord de l’évanouissement lorsque son frère attrape durement ses seins et enfonce sa bite de plus en plus violemment dans sa chatte.

Elle a découvert l’univers sophistiqué de Jacques. Elle sentait aussi à quel point elle avait besoin de l’animalité fougueuse de son frère. Durant un bref instant Virginie se dit que baiser avec son père et son frère et même sa mère allaient enrichir durablement la vie familiale.

Céleste jouit en imaginant sa fille contre la fenêtre et son fils jouissant en même temps que Jacques se lâche dans son ventre. À partir d’aujourd’hui, nous étions en mesure de partager notre amour du sexe avec nos enfants !

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