Histoire Erotique

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Papounet

Au fil de nos discussions sur nos aventures passées et futures nous sommes arrivés à la même conclusion, nous avions des désirs qui tiennent en quelques mots : des envies d’hommes pour elle, et moi l’envie de la voir faire l’amour avec d’autres hommes, sauf que je ne m'attendais pas au résultat

Proposée le 18/11/2025 par NONNE

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FHH
Lieu: Hôtel
Type: Roman


Notre histoire est d’une banalité confondante, pourtant je suis bien certain que cela n’a pas dû arriver souvent.

Nous sommes un couple normal, et bien dans l’air du temps, nous ne manquons pas une occasion d’enchanter notre vie en faisant preuve d’un peu d’audace et de beaucoup d’imagination. Nicole à quarante ans, une poitrine moelleuse avec de grandes aréoles et des tétons que j’adore torturer. Un ventre plat – nous ne pouvons pas avoir d’enfants – durci par des heures de piscine et une courbure des fesses capables d’attraper n’importe quel mec… enfin, je croyais. Moi je pointe les quarante-cinq, une petite brioche et surtout une bite pas toujours aussi vaillante que je le souhaiterai.

Au fil de nos discussions, des aveux sur nos aventures de jeunesse que nous en avons vécu chacun de notre côté nous sommes arrivés à la même conclusion, nous avions des désirs qui tiennent en quelques mots : des envies d’hommes pour elle, et moi l’envie de la voir faire l’amour avec d’autres hommes, d’être là, de voir, de participer, bref je souffrais d’un syndrome candaulisme aigu. Le constat étant fait, il ne restait plus qu’à rechercher le partenaire, celui qui serait le premier. Pas évident. Tout le long d’une année de discussions, lors de nos rapports, je lui susurrais souvent à l’oreille pour l’exciter :

—??Et si c’était un autre, là, en train de te prendre?? Et je la sentais frémir et s’ouvrir. Je lui demandais en chuchotant :
—??Tu en veux un autre avec moi??
Et elle gémissait :
—??Oh, je ne sais pas?!
Je la sentais attiré par l’idée. L’idée oui, mais je n’arrivais pas à la voir se décider.

************

Et puis… patatras. Sa mère se tue dans un accident de voiture. Son père Nicolas s’en tire de justesse mais soumis à une longue convalescence. L’affaire n’a rien de drôle. Mon beau père sombre dans une profonde dépression et nous craignons un suicide. De fil en aiguille, nous en arrivons à nous résoudre à l’accueillir à la maison pour l’aider à se rétablir.

Habituellement Nicolas, mon beau-père, est un homme souriant et enjoué. Bel homme d’ailleurs, la soixantaine. Plutôt grand et bien bâti, les cheveux grisonnants, des yeux bleus pales comme ma femme. Il venait de vendre son entreprise de menuiserie. Aujourd’hui méconnaissable, il est en vrac. Il n’a envie de rien même la télévision l’insupporte … nous serrons les dents et je vois ma Nicole s’investir pour lui redonner le goût de vivre. Nous avons mis tous nos projets en sommeil afin de nous concentrer sur sa remise en forme. Pendant les six premiers mois, c’est très dur. Il ne fais pas de cadeaux « beau-papa ».

C’est à l’été suivant que nous le voyons accepter de sortir de son cocon et de venir marcher avec nous. Lorsque j’y pense, je me dit que Nicole a été une infirmière patiente et attentionnée.

Je pensais l’affaire en bonne voie de résolution avec l’espoir de retrouver notre maison pour nous. Je souffrais de voir ma femme mobilisé par son père et très peu attentive à mes besoins. Jamais elle n’abordait l’idée de reprendre la cours normal de notre vie. Cela ne s’est pas passé ainsi. Lorsque j’y pense aujourd’hui je me dis que ma Nicole a eu la chance d’être marié à un gars solide.

L’image, déjà ancienne, met revenue un soir ou mes soupçons n’en étaient plus. A l’époque, prise de boisson, ma femme m’avait avoué être un peu amoureuse de son père. A l’époque elle s’était crue obligé de préciser « Amoureuse platonique » sauf que depuis quelques semaines j’observais que le côté « platonique » en question souffrait de quelques exceptions… la main de papa qui s’attardait sur ses fesses, cette main qui disparaissait sous la nappe, ces petits baisers dans le cou avec le ventre collé contre ses fesses… bon, platonique, ça se discute.

A partir de là, j’ai vu son état s’améliorer de façon quasi spectaculaire. Il a retrouvé le sourire et – un peu - son humour.

Après coup on se traite d’idiot d’avoir été aussi aveugle comme la fois ou elle n’a pas reculée lorsqu’il est venu l’embrasser sur les lèvres… Petit baiser, peut-être mais le ventre collé au sien. Je suis sûr qu’elle devait sentir sa barre et mouiller comme une salope… avec son père ! Le ciel me tombe sur la tête, soupçons d’abord, constat ensuite. Il n’a pas été bien difficile de me procurer deux caméras minuscules pour en avoir e cœur net. Le plus dur a été de les régler. Ces machins en langues chinoises sont exaspérants. Mais j’y suis arrivé. J’étais motivé.

Y penser est une chose, en parler, c’est bien, alimenter le fantasme, c’est bon. Mais là, tout devient anecdotique lorsque la réalité qui se dessine n’a rien à voir avec vos fantasmes. Mon beau-père baise sa fille. Pour bloquer ma douleur de sa traitrise, je me suis obligé à fantasmer sur une baise avec elle et son père. L’imaginer sous les coups de reins de papa me foutait une sacrée « bandére ».

*********
Mes caméras installées, je n’ai pas eu beaucoup de temps à attendre. L’après-midi même j'ai vu ma femme Nicole aller le rejoindre pour « le réconforter », comme elle me le disait. C'est ainsi que pour la première fois, j’ai profité du spectacle. Il disait faire sa sieste… le veinard ! Dès son arrivée ma femme se glissa sous les draps en se blottissant contre lui.

Sa présence lui faisait visiblement beaucoup de bien, si j’en crois la barre qui sortit des draps. Elle lui disait avoir besoin de lui et avait du mal de ne pouvoir l’aimer sans se cacher. Elle lui affirmait qu'elle était là pour lui pour l’aider à remplacer sa mère. Visiblement, je découvrais un couple sulfureux. Apparemment ce n’était pas le première fois qu’il abordait le sujet car j’avais déjà vu Nicole cherchant le contact physique avec son père.

Ce dernier la caressait en même temps qu’elle se déshabillait. Lorsque je l’ai vu qui tirait ses draps j’ai constaté qu’il était déjà nu dessous. Nicole lui a pris une de ses mains pour la glisser vers son bas-ventre et commencer à se faire masturber par son père. Je l’entendais mal mais plus tard je sus qu’elle ne cessais de gémir… « Fais-moi du bien papa, fais-moi du bien ! »

Le sexe de ce dernier était devenu bien raide ce qui conforta ma chérie dans son désir de le masturber malgré les protestations de son géniteur qui lui voulait la baiser.
- Laisse-moi faire Papa. Tu bandes déjà et puis j'ai vraiment envie de m'occuper de toi. Ses doigts coulissent maintenant sur le chibre de son père, qui gémit .....

Finalement, de plus en plus excitée par le contact et les spasmes de plus en plus puissantes de cette verge qu'elle masturbait maintenant, ma femme s'est penchée vers elle et l'a prise en bouche pour commencer une de ces fellations dont elle a le secret. Vaincu, son père se laissait faire et se mis à l'encourager, en la traitant de tous les noms les plus cochons du répertoire des libidineux. Le contraste était saisissant. Lorsqu’elle a senti Nicolas sur le point de jouir, elle s'est redressée et l'a enjambé pour s'installer à genoux au-dessus de son sexe et là, elle s'est empalée lentement en se laissant retomber sur ses cuisses, en lui murmurant.
- Je suis à toi complètement maintenant, mon Papa d'amour.

Tout en lui parlant, elle s'est mise à effectuer des va-et-vient d'abord lents, tout en douceur, puis en accélérant de plus en plus fort. Quand son père l'a saisi aux hanches, elle lui a murmuré qu'elle adorait être prise en levrette puis elle lui a demandé s’il voulait bien la prendre comme çà.

Elle s'est retrouvée à genoux, en appui sur ses avant-bras, les fesses relevées, son père accroché à ses hanches, en train de la bourrer d'énormes coups de reins pour leur plus grand plaisir. De là, son Papa d’amour a décidé de dérouiller son anus encore presque vierge car peu visité par moi. Elle n’a pas bronché et l’a accueilli sans problème. Je me suis fait la réflexion que j’avais des choses à apprendre sur ma femme et ses relations anciennes avec son père.

Moi, j’étais tellement excité que j’avais joui sans même me toucher. Je me demandai comment Nicole allait encaisser ma découverte. Moi, j’avais la trique. Mon excitation était-elle qu’un moment je me suis demandé si je n’allais me contenter de les espionner. Je n’avais pas l’intention d’attendre plus cela faisait plus d’une dizaines de jours que je visionnais les bandes. Il baisait tous les jours !

**********

Nicole et son Papounet

Lorsqu’elle a visionné mes petits films, Nicole est devenue toute blanche pour rester ensuite littéralement catatonique… puis d’une petite voix …
- Donc tu sais ?
- Depuis longtemps ? …
- Un bon moment …
- Et ? …
- Tu t’es découverte un beau rôle de salope… Cela fait longtemps que tu baises avec ton père ?
- Non, c’est venue d’une sorte de désir inachevé. Je crois que j’avais ça en moi. Ne lui en veut pas je suis la seule responsable !
- Tu m’en diras tant… A vous voir baiser on devine que vous êtes rodés tous les deux. Cela fait longtemps ?
- Non, aussi étrange que cela paraisse, il ne s’est rien passé avant la mort de maman. Nous étions tous les deux bouleversés par sa disparition brutale. On se serraient dans nos bras pour se consoler … et puis… Nous avons été faibles.
- Tu parles de « faible », à voir l’énergie que vous dépensez ; vous étiez plutôt en grande forme !
- Je sais. Notre chagrin a rompu toutes les limites à nos désirs physiques pour nous consoler. Faire l’amour ensemble nous a paru la bonne façon. C’est mal, je sais mais j’ai été entrainé par sa frustration et mon désir plus ou moins conscient de me substituer à ma mère.
- Que veux-tu … ? Elle avait les larmes aux yeux … et moi, en mon for intérieur : putain, ce que je bande !
- Ma chérie, me découvrir fait cocu par ton père ne m’a pas réjoui. Mais vois-tu, mon amour nous allions jusqu’à envisager nous livrer à des jeux avec un autre homme. Voilà c’est fait. Tu as choisi. Ce sera ton père.

Elle m’a regardé, incrédule, tout en poussant un grand soupir. J’ai continué.
- Je t'aime quoi tu fasses et puis...
- Et puis ???
- Et puis vous voir et vous entendre faire l'amour ça m'a...... comment dire ? J'ai beaucoup aimé. Nous en avons souvent parlé de mon fantasme de te voir baiser avec un autre homme. Et toi tu l'as fait. Et avec Papa en plus. C'était p… géant. Tu es une sacré chaudasse, sais-tu.
- Ça t'a beaucoup excité ?
- Mon Dieu. Je crois bien n'avoir jamais été aussi excité. J'ai adoré. C'était énorme.
- Tu veux dire que tu aimerais que je baise encore avec lui comme cet après-midi.
- Oui c'est exactement çà et....
- Et ?
- Mais j'aimerais que tu me racontes ce que tu lui as fait et ce qu'il t'a fait aussi. Par exemple ce soir, avant que je t'entende gémir puis crier « Papa » avant de jouir ?
Pour le coup elle en reste sans voix. Elle ne s'attendait visiblement pas à ce que je lui demande un truc comme çà.

Elle réfléchit de longues, d'interminables secondes avant de répondre.
- C'est spécial ta demande. Je ne m'y attendais vraiment pas mais c'est aussi vrai qu'avoir une femme qui couche avec son père, ce n’est pas normal. Tu as l’esprit large. Finalement tu es bien aussi vicieux que mon père, que nous. Accepter de me faire baiser par mon père, ça t’excite et si j’en crois ce que mon corps me dit, je suis au moins aussi tordue que toi. J’accepte.
. A ces mots elle vient se blottir contre moi puis me murmure.
- Si j'ai bien compris, cette situation t'excite n'est-ce pas ? Ça t'as fait bander ce que tu as découvert ? Impossible de lui mentir d'autant qu’elle sent mon sexe durcit contre elle.
- Oui ça m'excite et oui ça m'a fait bander d'imaginer ton père dans ta chatte.

J’ai mis ma main dans son entre-jambes. Trempe, spectaculaire. J’ai dégagé mon sexe je l’ai fait mettre à genoux, j’ai soulevé sa combinaison de nuit et je me suis enfoncé dans son ventre à la douceur divine. Nous avons jouis immédiatement, scellant un pacte qui allait colorer durant des années notre vie commune… jusqu’à la mort de son père.

A partir de là j’ai vu ma femme se transformer progressivement. Les sous-vêtements devenaient plus rares. Ses jupes raccourcissaient. Ses bas s’arrêtaient à hauteur de son entre-jambes… Le malin un peu curieux pouvait deviner ou accéder à sa chatte Bref, elle ne cachait plus son appétit en matière de sexe. Sa libido était au top et je n’étais pas mieux.

Mais il y avait aussi autre-chose, plus surprenant.

**************
Nicole se confesse

Au début il s’est contenté de me serrer fort dans ses bras mais très vite j’ai senti sur mon ventre qu’il bandait dur. J’aurais dû me dérober mais un mauvais ange m’a soufflé de ne pas bouger… « pour voir » me suis-je dis. Il m’a embrassé. Un vrai baiser de cinéma. Là encore j’aurais pu me dérober. Une alchimie perverse m’a laissé coller à lui pendant qu’il passait ses doigts sous ma robe.

Au contraire j’ai pris sa main pour la diriger vers ma chatte. J’étais ouverte, incapable de résister à ce désir de me substituer à ma mère. Ça a été comme un contrat caché entre-nous : je me laissais baiser, il jouait avec moi. C’est là que j’en suis venu à l’appeler « papa » lorsque j’étais trop chaude. Je sais, c’est mal mais P !!! quel pied. Le simple fait de le sentir en moi me mettait dans un état dément… J’étais ou de devenais un monstre de perversité.

C’est comme cela que je me suis mis à accepter et à apprécier des relations plus rugueuses avec lui. Je ne sais pas si c’est un désir inconscient de me punir ou un vrai besoin, quoi qu’il en soit je n’ai pas eu de difficulté à accepter qu’il me baise rudement, ni plus tard qu’il m’offre à ses amis.

J’apprécie sa violence animale. Tu n’as jamais fait ça… Il donne de grands coups de reins qui claque sur mes fesses jusqu'à me faire jouir avant de jouir à son tour dans mon ventre ou dans mon cul.

- Tu aimes la sodomie maintenant… Il a bien fallu. Ton père est un grand amateur et il adore me dilater l’anus. Je m’habitue et pour être honnête, j’y prends gout. Ce sont des sensations fortes que je ne connaissais pas - hésitation - autrefois.

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Je sentais qu’il me préparait quelque chose. Il m’a chuchoté : « Es-tu prête à ce que papa te montre quelque chose de différent ? Il n’attendait pas réponse. Il a pressé la tête de sa bite contre mon anus et il a commencé à pousser. J’étais très mouillée mais je me suis crispée dans un premier temps. Alors il s’est arrêté. Puis il a passé son doigt, puis deux dans mon anus. Il utilisait l’humidité de ma chatte pour me préparer à la sodomie. J’étais excitée au départ mais un peu craintive. Je le sentais prêt à me forcer. Je n’ai pas pu éviter de sentir sa queue en moi par mon anus. Au début c’était difficile. Il est bien plus gros que toi.

Il m’a coincée et plus rien ne pouvais l’arrêter. Il m’a fait mal. La première fois, je n’ai pas du tout apprécié. Je me suis concentré sur la sensation de son membre qui m’envahissait les tripes. Pour être honnête, cela a très vite changé. Une fois dans moi, il est resté presque immobile. Je sentais sa bite qui palpitait en moi. Je soufflais fort par peur de souffrit. Il me disait de me décontracter. Je l’ai écouté. Je me suis détendue. Je me suis ouverte. Je me suis offerte à son vice. Il ne m’a pas fallu longtemps pour sentir un peu plaisir…

Plus tard, je me suis mis à aimer ça. Quand je me sens cloué sur le lit par sa bite je gémis de plaisir ou de douleur selon qu’il est tendre ou bestial. Maintenant je m’y suis habituée et même à aimer ça. Je sens chaque centimètre qu’il enfonce en moi… c’est puissant, animal, sale, et j’aime.

Au fil de nos rencontres il m’a habitué à me baiser plus fort. La sensation de lui dans mon cul était intense et je ne pouvais pas nier combien j’appréciais. Je croyais être poussé à la limite de tout lorsqu’il me défonçait le cul, incapable d’échapper au plaisir vicieux de Papa. J’avais compris qu’il aimait que je gémisse de plaisir alors qu’il m’enfonçait sa grosse bite. J’étais complètement à sa merci alors qu’il me baisait le trou du cul sans s’arrêter. J’avais des orgasmes fabuleux et je sentais ma chatte et mon cul se serrer autour de sa bite. Plus je jouissais plus Papa me baisait fort. Je couinais de plus en plus fort en jouissant à me vider. Il me donnait alors à sucer sa bite toute humide et j’aimais ça, cette intimité incomparable, son odeur. Il jouissais alors bruyamment et je sentais son sperme chaud qu’il envoyais profondément en moi, une charge de plaisir qui me faisait gémir et m’effondrer contre lui.

Plus tard il a trouvé, si j’ose dire, une autre façon de se faire plaisir. Il m’a ordonné de m’amuser devant lui avec des sex-toys de taille de plus en plus importantes. Bien sûr, il mettait la main à la pâte. Je veux dire il m’habituait à me prendre des godemichets de plus en plus volumineux. Il voulait m’habituer à recevoir des grosses bites dans ma chatte et dans mon cul jusqu’au jour où il a réussi à mettre sa main entière dans ma chatte, en attendant de le faire dans mon anus m’a-t-il annoncé.

Je devais faire une drôle de tête car Nicole a continué… Ne t’inquiète pas. Il m’a monté des femmes qui avalaient des mains entières. Moi, je me suis habitué à ses jeux et là encore ce vicieux a réussi à me faire aimer ce qu’il appelle : le fist » ! C’est ça que je voulais t’annoncer… Il a réussi à me faire jouir de l’anus et je me suis mis à beaucoup aimer … Si tu veux essayer. Je voyais son regard lubrique. J’ai avancé mes doigts. A peine avais-je touché son œillet qu’elle gémissait déjà de plaisir. C’était la première fois que je faisais un fist !

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J'étais aux anges, au bord de l'éjaculation. Elle m'a alors fait basculer sur le dos, puis s'est mise à califourchon au-dessus de moi, avant de s'empaler sur ma bite comme elle l'avait fait quelques instants plus tôt avec son père. Puis m'a murmuré.
- Vas-y jouis. Laisse-toi aller. Pense que c'est exactement ce que Papa m’a fait il y a quelques minutes.

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Après cette confession de mon épouse, la vie continue sans anicroche. Une petite routine c’est installé. Elle sort avec son père pour lui tenir compagnie. En fait le plus souvent, il se contente de la baiser. Moi, je lui fais raconter dans le détail ce que son père lui a fait, comment il l'a prise, combien de fois enfin vraiment tout et je me branle devant elle.

Parfois elle vient me chevaucher surtout si je joue au papa ! Leur relation a beaucoup évolué depuis quelques semaines. Plutôt sage et conventionnelle au début, son père lui réclame maintenant qu'elle le suce puis d’avaler sa semence. J'apprends qu'il la sodomise de plus en plus fréquemment … et qu’elle aime. Elle, qui était réticente, maintenant elle me dit apprécier : une preuve d'amour. Tu parles ! Une belle salope qui se découvre.

Surtout ce vicieux n’en a jamais assez, le voilà qu’il laisse entendre qu’il aimerait la voir baiser avec un de ses amis, veuf lui aussi… Ma salope n’a plus peur de grand-chose et l’idée l’émoustille plus qu’autre chose… sentir une nouvelle bite, ça lui parles.

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De mon lit j'entends distinctement ma chérie gémir puis crier de plaisir, jusqu'à ce qu'un orgasme finisse par la faire taire. J'étais aux anges, ma queue raide et dure comme du bois, à en avoir mal mais j'ai dû attendre un long moment avant de la voir revenir, la mine défaite d'avoir joui aussi fort.

On s'est regardé et là, mes yeux dans les siens, je lui ai murmuré.
- Je suis dingue de toi et vous êtes deux beaux salauds.

Papa a beaucoup de chance d'avoir une fille comme toi.
- Tu ne m'en veux pas, c'est vrai ?
Je suis un pervers… Au cours des derniers mois, les flirts de plus en plus poussés de son père sont devenus quasi habituels. Il faisait souvent des petits commentaires lorsqu’il voyait sa femme dans sa fille. Chaque fois qu’il appelait ma femme sa « nouvelle petite amie » il lui demandait toujours, devant moi, si elle était disponible pour dîner… une sortie en célibataire disait-il.

Moi je bandais déjà à l’idée de les savoir en train de baiser…

Lui faisait semblant de rien. Comme si je ne les entendaient pas s’envoyer en l’air. Comme si je n’entendais pas Nicole gémir de plaisir, hurler en criant « papa » … Comme si son couple incestueux, baisait de plus en plus librement dans ma maison. Je sais que Nicole lui avait dit que j’étais d’accord mais je ne m’attendais pas à voir ma femme disparaitre au bénéfice de la maitresse de mon beau-père.

Il formait un couple, sans pudeur et sans limites.

Parfois, comme une boutade ma femme s’amusait à dire qui si je n’étais pas sage, elle changerait le père contre le mari. Je n’ai pas réagi. Son père devenait de plus en plus explicite. Je n’étais pas dupe… ils avaient visiblement engagé le processus pour gagner la liberté d’aller baiser ailleurs ou avec d’autres… ça aussi ça me travaillait. Je ne pouvais y aller qu’au travers du regard de Nicole.

**********

Après ma longue mise au point avec Nicole nous pensions avoir clarifier mes attentes et mon rôle dans les jeux que nous imposaient son père. A part moi, peu de monde pouvait deviner que ma femme avait le feu et sortait avec son père afin d’aller baiser tranquille. Honnêtement, moi, gavés des scènes de baise de l’un et de l’autre, si elle voulait baiser avec mon père, ok, après tout leurs jeux resteraient dans la famille.

J’ai compris que cela ne suffisait pas à son père. Ce soir-là il est arrivé très élégant avec un bouquet de fleurs. J’étais debout près de la porte. Ma femme a passé son bras sous le sien et m’a envoyé un baiser du bout des doigts. Je crois que j’ai été le seul à profiter de son regard vicelard. Après ces premiers dîners, les choses ont changé. Ma femme a commencé à s’habiller différemment : décolletés plus bas, jupes plus serrées et fendues, juste assez pour voir les yeux de son père briller.

Deux semaines plus tard, la comédie a recommencé. Ils ont pris rendez-vous pour un diner avec vue sur la ville. Quand il l’a prise dans ses bras, il n’a même pas fait semblant - il a ouvert la porte de sa voiture comme un gentleman - mais sa main est restée sur le bas de son dos. Nicole m’a raconté qu’ils ont quitté le restaurant tard. Au retour Papa l’arrêta sous un porche puis il l’embrassa. Un vrai baiser profond et revendiquant son droit de cuissage. Il a soulevé son jupon et il l’a baisé debout sans tenir compte des passants.

Elle m’a dit plus tard qu’il souhaitait que cela ne se termine jamais. Papa n’a même pas essayé de cacher leur nouvelle intimité. Il m’a dit qu’il l’avait embrassée. J'ai juste hoché la tête comme si c’était normal. Et quand nous sommes entrés à l’intérieur, elle a pressé ses doigts sur ses lèvres et a chuchoté qu’elle pouvait encore le sentir.

Une semaine plus tard son père l’a emmenée dans un club de jazz, le genre avec des cabines en velours bien sombres et des cocktails assez forts pour faire fondre toutes résistances. Il la serra plus près que nécessaire pendant les chansons lentes, sa cuisse se pressant entre les siennes.

Elle laissa ses ongles glisser sur sa poitrine quand ils riaient, le mordant aux sang pour le faire gémir. Chaque regard, chaque murmure était une promesse qu’aucun d’eux ne disait à haute voix. À minuit, sa robe était froissée, elle n’avait plus de culotte et elle mouillait comme jamais. Papa l’a conduite ensuite jusqu’au parking. La dans l’ombre elle est tombée à genoux entre ses jambes pour le prendre dans sa bouche, Nicolas a jeté la tête en arrière en gémissant de contentement.

Plus tard, recroquevillée contre moi dans le lit, elle m’a chuchoté chaque détail. La façon dont il remplissait sa gorge, plus épaisse que moi, étirant ses lèvres. Le goût salé et amer de lui alors que ses hanches allaient et venaient et claquer sur son visage. Je n’ai pas eu besoin de lui demander si elle avait avalé. La lueur vicelarde sur son visage en disait long.

Un mois plus tard, autre rendez-vous ; soi-disant : Ils ne sont même jamais allés au restaurant. Cinq minutes après le début du trajet, sa main était sous sa robe. Ses doigts glissèrent plus haut, la trouvant déjà mouillée. Ses jambes s’ouvrent alors que ses doigts s’enfoncent profondément en elle. Il ne s’est pas arrêté jusqu’à ce qu’elle vienne. Puis il retira sa main. Il lui ordonna de se goûter.

A les espionner j’avais appris l’existence d’un ami à Nicolas qui aimait bien les sorties dans les endroits un peu chauds. J’ai vite compris qu’il comptait bien y amener sa fille, pour faire autre chose que compter les perles ! P.. cet enculé, il me chauffait les sangs. Adieu les chagrins, vive la vie et la baise… avec sa fille !

Ce soir là, il avait réservé une suite, le grand jeu champagne inclus. À la seconde où la porte se ferma, il la poussa sur le lit, la fit pivoter, la penchant sur le lit, son cul nu exposé. Puis il la pénétra d’une poussée brutale. Elle s’attendait à ce qu’il soit bestial. Elle jouissait déjà. Nicolas savait depuis bien longtemps que ma femme était une femme docile… elle était la fille à papa !

L’ami arriva à ce moment là et pris la relève. La martelant par derrière, tirant sa tête en arrière pendant qu’il la baisait sauvagement, il était déchainé. Papa la força à le sucer avant de la repousser sur le lit pour la sodomiser sans préparation, juste de la salive et de la pression avant qu’il ne l’ouvre en deux. Elle a crié. Il ne s’est pas arrêté. Elle ne l’a pas demandé. Tous les deux ils sont entrés en elle, martelant ses fesses, lui ouvrant son anus, comme elle aimait. Elle a joui toute la nuit.

Lui il la apostrophée : Tu es ma fille obéissante maintenant, Dis-le !
- Ta fille, seulement la tienne, papa. Fais-toi du bien Papa. Fais toi du bien !

De son, côté, elle l’avait marquée avec ses dents. A leur retour elle pouvait à peine marcher. Je n’ai jamais été aussi dur de ma vie. Elle le supplie déjà à nouveau pour une autre nuit.

************

Bas les masques. Cela fait trois mois que son père a complètement pris ma femme en charge. Je suis sidéré et parfois craintif de l’influence qu’il a sur ma Nicole. Depuis leur sortie à l’hôtel dont Nicole ma fait une relation détaillée elle est totalement soumise. Elle me fait penser à un petit chien qui attends en permanence l’attention et des gestes d’attention de son maitre. Je n’en croyais pas mes yeux. Parfois la presse parle de ces sujets mais j’ai du mal à accepter. .

Un soir de sortie, j’ai appris qu’il lui avait mis une fessée. J’ai voulu réagir. Elle m’a stoppé fermement en lâchant : Non, stop. J’ai aimé. Il la punissait maintenant et elle aimait ça… « Il s’occupe de moi ». J’ai cru avoir rêvé. Il ne se gêne plus.

Son dernier truc, il m’envoie maintenant de courtes vidéos de leurs ébats avec ce message : « je sais que tu aimes regarder » … rien de plus. Elle, à genoux, suppliante, attachée au lit, hurlant qu’elle voulait jouir encore et encore. Il semble n’avoir aucune crainte de mes possibles réactions. Puis un jour il a fait revenir plus régulièrement son ami. Elle l’appelle papa lui aussi maintenant. Tous ses amants sont des papas et elle ne désobéit jamais à son papa sinon elle prend une fessée ou quelques coups de bites.

La première fois, j’ai pensé qu’elle allait s’effondrer. Au lieu de cela, elle s’est éclatée. Elle en redemandait et jouissait comme une folle. Bien plus fort qu’elle ne l’a jamais fait avec moi. Elle n’est plus à moi. Son père me l’a volé. Et je n’ai jamais été aussi excité de ma vie. Je me suis branlé devant des vidéos ou mon beau-père et son ami baisait ma femme, l’enculait, se vidais sur elle.

Elle est rentrée à la maison dans l’après midi, totalement fripée mais comblée. Nous nous sommes assis et elle a commencé à me raconter.

Nous sommes allés directement dans la chambre à coucher quand ils sont arrivés chez l'ami de son père. Son père s’occupait à la faire boire pendant que son pote commençait à la pelotter. Au début elle avait faiblement protestée mais son père s’est approché et lui a ordonné de se mettre à genoux. Son copain s’appelait Nicky. Sa bite était plus épaisse que celle de son père. Elle tressaillit quand il passa son gland contre ses lèvres.

Papa lui a donné l’ordre d’ouvrir la bouche, elle a obéi et a été immédiatement bâillonné par cette verge énorme. Papa tirait sa tête en arrière avant de la pousser à nouveau. Nicky a déchargé dans sa gorge pendant que Papa la tenait jusqu’à ce qu’elle avale la dernière goutte. Puis Papa l’a prise à son tour devant son ami. Nicky la veut une prochaine fois. Son père a dit oui.

La partie est foutue ? Elle ne le quitte pas des yeux comme une chienne amoureuse et comblée lorsqu’il lui dit un mot. Franchement, je ne sais pas où se trouve la limite. Au départ, imaginer l’amener à baiser sa fille avec moi me causait une énorme excitation. Mais je crois avoir trouvé la parade pour me faire plaisir: Je serai son second papa !

Je n’ai pas oublié les fortes réactions de Nicole aux allusions de baises paternelles. De plus en plus fréquemment je jouais avec elle au Daddy … je lui murmurais à l’oreille que je voulais être son papa…

Mettre ma queue de Sugar Daddy dans sa jolie chatte de salope. Chaque fois elle frissonnait et je la sentais qui s’amollissait sous moi. Un vrai chiffon qui me soufflait à l’oreille « Oui papa, baises moi ». Elle réclamait mon sexe dans son anus pour me plaire disait-elle en jutant de façon spectaculaire. Bref j’agrémentais nos soirées de ce fantasme vicieux qui avait un effet incroyable sur sa libido. Plus étonnant, elle ne semblait pas vouloir faire un rapprochement entre mon attitude et les baises avec son père. J’étais devenu moi aussi son « papa », son papounet !

Je découvrais que ma femme Nicole pouvait être une sacrée chaudasse qui aimait baiser avec moi et toujours avec son père. Moi qui voulait tenter le candaulisme … j’étais en plein dedans et je m’attendais à tout !

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