Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

L'éducation de Lucie

En arrivant au bureau, Lucie a croisé Florence, sa patronne dans l’ascenseur. Elle se connaissaient à peine. Soudain, Florence a tenté de l’embrasser et depuis Lucie fantasme. Elle tape sur son ordinateur quand la directrice entre dans son bureau.

Proposée le 15/10/2025 par Flo668

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Jeu érotique
Personnages: FF
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Lucie avait 26 ans et elle aimait les femmes. Deux jours plus tôt, elle s’était retrouvée dans l’ascenseur du bureau avec Florence D., la directrice générale. C’était une femme sexy d’une cinquantaine d’années, portant un chemisier blanc sous une veste en velours rouge, une jupe assez courte, des bottes noires sur des bas noirs. Elles n’avaient pratiquement pas eu de contacts car Florence était sa N+2. Elle s’était saluées, la patronne l’avait dévisagée en souriant puis juste avant d’arriver au 4ème étage, elle avait avancé sa magnifique poitrine vers Lucie, frôlé ses seins, puis avait déposé un baiser sur sa tempe. Sans rien dire.

Lucie tapotait maintenant sur son ordi en rêvassant, l’esprit toujours occupé par cette scène dans l’ascenseur. Elle était vêtue comme d’habitude, chemisier moulant, jupe ultra courte et tennis aux pieds. Une jolie blonde. La porte s’ouvrit. La directrice entra sans frapper, Lucie tressaillit.
- Peux-tu passer à mon bureau ce soir à 18h30, j’aimerais que nous ayons un petit entretien.
Le tutoiement était de rigueur, à sens unique. Lucie était surprise mais répondit aussitôt, par réflexe : « Bien sûr, madame, 18h30 ».

À l’heure précise, elle frappa à la porte du vaste bureau de la directrice qui dominait la ville au crépuscule. Florence lui fit signe de la main d’entrer, sans se détourner de son ordinateur. Lucie avait pris un bloc-notes et un stylo, au cas où. Elle s’avança. Florence continuait à consulter ses mails puis finit par lui dire « assieds-toi ». Au bout de quelques instants, elle fit tourner son fauteuil et la fixa avec un grand sourire, tout tripotant son stylo Mont Blanc. Lucie s’était assise sur l’une des deux chaises face à l’immense bureau de verre et serrait les genoux.
- J’avais envie qu’on fasse un peu mieux connaissance, lança la patronne. Tout se passe bien pour toi ?
- Oui madame, répondit Lucie, en se demandant quel était l’objet de l’entretien. Ça va, j’aime bien mon travail.
Florence ne cessait de la dévisager, de la tête aux pieds, la mettant une peu mal à l’aise.
- Il y a du champagne au frigo, j’en boirais bien un verre. ça te dirait ?
OK pensa Lucie, ce n’était pas vraiment un rendez-vous professionnel.
- Il est là-bas, à la cuisine, relança la patronne sans attendre la réponse de Lucie.

La boss n’avait pas l’intention de se déplacer. Lucie se leva, se dirigea vers la cuisine et revint avec une bouteille et deux verres. Florence saisit la bouteille, la déboucha et la tendit à Lucie.
- Tiens, sers-nous.
Lucie s’exécuta, puis se rassit, les genoux toujours serrés. Florence leva son verre dans la direction de son employée comme pour trinquer, puis commença à le déguster, bien enfoncée dans son fauteuil.
- Tu as une jolie poitrine, dit-elle soudain. Tu peux me la montrer ?

Lucie vida son verre par réflexe, surprise. Que faire ? En général, elle ne se privait pas de ce genre de jeu avec ses copines. Et elle était fière de sa poitrine. Elle ouvrit son chemisier, sans soutien-gorge, l’écarta, dévoilant de jolis petits seins ferme, les tétons pointant vers le haut. Florence prit tout son temps pour l’observer en détail puis tendit son verre : « Ressers-moi ! ». Lucie se leva, les seins à l’air, servit sa patronne et se rassit. Florence décida alors de jouer son va-tout : « Passe sous le bureau, maintenant ! »
Lucie rougit brusquement. Elle s’attendait à quelque chose comme ça mais tout de même, c’était brutal. Elle avait encore le choix. Elle pouvait se lever, quitter la pièce ; il ne lui arriverait rien. C’est la directrice qui avait dépassé les bornes. Mais le désir et la curiosité étaient plus fort. Depuis deux jours, elle ne cessait de fantasmer sur elle.

Elle s’agenouilla au pied du bureau et commença à avancer à quatre pattes. Florence l’observait d’un air satisfait et tendit sa botte vers son visage. Il fallait commencer par le commencement. Lucie commença à embrasser puis à lécher le cuir noir, puis elle remonta lentement vers le genou gainé. Elle leva la tête vers sa patronne. Florence l’observait toujours, son verre à la main, avec le sourire. Elle remonta alors ses lèvres jusqu’à mi-cuisses et embrassa la chair tendre de la quinquagénaire. Florence avait écarté les cuisses, dévoilant un buisson noir fourni d’où émanait une odeur enivrante. La patronne ne portait pas de culotte. Lucie continua son ascension jusqu’à la commissure de la cuisse gauche qu’elle commença à lécher. Florence avait toujours l’air satisfaite. Lucie passa alors à la cuisse droite. Après quelques instants, sans ménagement, Florence la saisit par la queue de cheval et plaqua son visage contre son sexe déjà humide. « Au travail, lança-t-elle, suce moi à fond ! »

Lucie s’exécuta et commença lentement l’exploration de la chatte de sa patronne. Soudain, elle sentit un frottement sur le côté droit. Florence lui labourait les côtes avec le talon de sa botte, pas assez pour la blesser, mais suffisamment pour qu’elle ressente une douleur sourde. Comme un cheval qu’on aiguillonne. La jeune femme n’osa pas protester, elle s’appliqua de plus belle.
Florence décrocha alors son téléphone.
- Chéri, comment vas-tu ?
La bouche pleine, Lucie réalisa que sa patronne était une belle salope. Elle voulait profiter de l’instant, en discutant avec son amant tout en se faisant lécher sous le bureau.
- On se voit toujours ce soir ? Je boucle un dossier (elle eut un petit rire) et je te rejoins. Disons dans une heure, ça va ?
- …
- OK, à tout de suite ma chérie.

Ma chérie ? C’était donc une femme. Lucie se sentit à la fois humiliée et défiée. Quelle était la femme qui pouvait satisfaire Florence comme elle était en train de le faire là ; maintenant ? Elle glissa ses mains sous les cuisses de sa patronne et lui massa les fesses tout en rivalisant d’ardeur avec sa bouche. Efficace. Florence avala une dernière gorgée de champagne, posa son verre et se bascula en arrière en respirant fort. Quelques instants plus tard, elle se mit à râler puis à se branler en percutant de ses doigts le front de Lucie. Elle râla de plus en plus en oscillant le bassin, puis succomba dans un cri. « Ah, je jouis, avale moi ».

Lucie sentit le flot liquide envahir sa bouche, elle l’avala gorgée après gorgée, jusqu’à la dernière goutte. Elle se figea puis jeta un coup d’œil à sa patronne, toujours la tête en arrière, les yeux révulsés. « C’était bien », dit la patronne en soupirant. Lucie entreprit alors la toilette de sa chatte, soucieuse de délivrer un service parfait. Florence se laissa faire, puis au bout d’un moment, alors que Lucie s’apprêtait à se retirer, elle lui appuya sur la tête. Lucie comprit le message. Sa langue sortit du sexe de la quinquagénaire, glissa lentement dans sa raie des fesses puis s’enfonça dans l’orifice qui s’offrait à elle. Elle crut entendre un gémissement.
Florence avait fait glisser ses fesses jusqu’au rebord du fauteuil et écartait les jambes à fond. Lucie pénétrait de plus en plus profondément en elle. La patronne regardait avec satisfaction la queue de cheval de sa jeune employée aller et venir avec application, puis elle alluma une cigarette. Au bout d’une minute, elle écrasa son mégot, puis d’un coup de pied fit reculer le fauteuil à roulettes, laissant Lucie à quatre pattes, le visage trempé.

Florence se releva, ajusta sa jupe, puis se tourna vers la baie vitrée et regarda la ville illuminée. Satisfaite. Elle avait trouvé chaussure à son pied, elle allait pouvoir en profiter à sa guise. Lucie s’était reculée à quatre pattes sous le bureau et s’essuyait le visage avec un pan de sa chemise. Florence se retourna et saisit son sac à main. Lucie avait commencé à se relever. « T’ai-je dit de te relever ? » lança la patronne sèchement. Lucie s’agenouilla aussitôt. « J’ai un rendez-vous urgent, je te laisse faire le rangement, ajouta-t-elle. La semaine prochaine, même heure, d’accord ? ». Elle n’attendit pas la réponse, s’avança vers la sortie et claqua la porte. Lucie porta les verres et la bouteille à la cuisine, nettoya la tâche qui s’était répandue au pied du fauteuil de sa patronne puis fonça vers les toilettes.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Aucun commentaire pour le moment.


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Lucie s'est mise à son compte !
Le retour de vacances de Lucie
Lucie se venge de sa belle-soeur.
Lucie se venge de sa belle-soeur. 2
Lucie se venge de sa belle-soeur. 3