Un dépucelage spécial ne fait pas forcément de vous une salope. Il faut un déclencheur pour ça. Celui de Sophie (raconté à travers ses yeux) fut intense.... et bien hard.
Proposée le 4/07/2025 par GuiNancy
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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: Groupes
Lieu: Parking
Type: Histoire vraie
Sophie – Acte 4
Désolé des délais entre chaque publication. Mais on a pas tout le temps autant de temps pour écrire.
Ce récit sera écrit du point de vue de Sophie. Un souvenir qu'elle m'avait raconté après des ébats (oui, tout le monde le sait, le post coït favorise ce genre de confidence).
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Comment je suis devenue une salope. Car oui, j'en suis une. Et autant mon dépucelage sortait de l'ordinaire, autant je ne suis pas devenue une salope tout de suite.
J'avais eu quelques expériences avec des petits amis. Ou des amis tout court. Plus ou moins épicées. Plus ou moins innovantes. Mais je me suis rapidement aperçue que j'avais des envies de plus. De plus qu'un missionnaire. De plus qu'une levrette avec deux claques sur le cul.
Pour le dire clairement et crûment, j'avais envie qu'on me baise. De savoir que ça fait de me faire défoncer par un mec qui se lâche vraiment.
Et donc cette histoire se passe peu après mes 18ans. Je sortais en boite avec des copines. A l'époque, c'était un établissement situé assez loin de la « grande » ville dans laquelle mes parents habitaient. Pour tout dire, c'était le trou du cul du monde. La boite était entourée de forêt et de champs. Ce qui évitait les problèmes de voisinage.
Je me trouvais donc là, avec quelques copines. Dans une petite robe sexy mettant bien en valeur mon petit cul et moulant mes petits seins. Je me déhanchais comme une folle sur la piste de danse. L'alcool aidait bien et j'étais déjà pompette.
C'est à ce moment là que j'ai senti quelqu'un derrière moi. Et vu le regard de mes copines, ça devait être un mec. Je me suis donc retournée. Pour découvrir un mec d'environ 25ans, plus grand que moi, sportif. Le type même du beau gosse. Inutile de préciser qu'il me plaisait. Et la réciproque était valable vu comment il me regardait.
On a joué à flirté un bon moment. Je vous passerai les banalités, ça n'intéresse personne. Je me contenterai de vous dire que mon cerveau tournait à 100 à l'heure avec des images plus pornos les unes que les autres.
Ce mâle semblait sorti tout droit de mes fantasmes. Plus vieux que moi donc certainement moins timide que mes derniers partenaires. Sportif et visiblement musclé. Donc du genre à bien défoncer. Deux verres de plus m'ont donné le courage nécessaire pour la suite.
J'ai pris mon fantasme par la main et sans un mot je l'ai attiré vers la sortie de la boite. Il m'a suivi sans rien dire, avec juste un petit sourire pleins de sous entendu. Et en moins de 2 minutes, on était sur le parking, dans un coin isolé, au fond, à l'abri des lumières et du passage.
Il a tout de suite compris ce que je voulais. Je me suis trouvée plaqué dos à une voiture et emballée passionnément. De quoi faire passer ma température de brûlante à volcanique. Surtout qu'une de ses mains s'était glissée dans le léger décolleté de ma robe pour titiller un de mes tétons.
Quand le baiser a cessé, je me suis tout de suite agenouillée. Affamée, j'ai attaquée sa braguette et j'ai sorti sa bite déjà dure. Une belle bite en plus. Longue et épaisse. Vraiment un bel engin. Que j'ai enfourné dans ma bouche comme une mort de faim.
Je l'ai sucé comme si ma vie en dépendait. Les yeux fermés, je me délectais de cette queue bien raide. Et j'en ai profité pour faire glisser le haut de ma robe pour avoir les deux seins à l'air. Et sa main est venue derrière ma tête avec juste la légère pression qu'il fallait pour me faire sentir chienne et soumise.
Je ne sais pas depuis combien de temps je le suçais quand j'ai entendu une autre voix dire :
« Eh ben, tu t'emmerdes pas »
J'ai ouvert les yeux de surprise pour découvrir deux autres mecs, hilares autour de moi. Et entendre mon étalon dire :
« Quand y en a pour un, y en a pour trois les gars »
Avant que j'ai le temps de réagir, les deux autres sortaient leurs queues et visiblement ils appréciaient le spectacle. Je n'ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit. De toutes façons, sa main derrière ma tête m'en aurait empêché.
Soyons honnête, j'ai faillit paniquer. Pendant quelques secondes. Puis je me suis rappelée que c'est ça que je cherchais. Ces mecs allaient me baiser. Enfin je l’espérais vraiment. Alors j'ai décidé de me laisser faire et de jouer le jeu. Et mes deux mains libres ont attrapé ces deux verges tendues.
Le premier bandait comme un âne. J'avais jamais senti une bite aussi dure, pas même celle qui souillait ma bouche. Le second était moins raide mais le contact de ma petite main a réglé ce problème.
J'étais donc là, à genoux dans un parking sombre de boite de nuit. A sucer un mec et à en branler deux autres. Trois inconnus. Et cette idée me faisait mourir de honte. Et d'envie. Le seul moment où la main de mon mâle se relâchait derrière ma nuque, c'était pour que je suce les deux autres aussi. Et j'avais à peine le temps de respirer entre deux bites.
Je les suçait depuis un petit moment. Mais j'en voulais plus. Hors de question de juste les sucer. Je voulait qu'ils me baisent. Alors régulièrement, je levais les yeux vers eux en essayant d'être la plus salope possible.
D'ailleurs, je les entendais me traiter de salope, de chienne, de traînée.... J'adorais ça.
Au moment de changer de queue, je me suis relevée. A la surprise des trois. Je pense qu'ils ont eu peur un instant que je les plante comme ça. S'ils avaient su ! J'en rigole encore !
Je me suis retournée, penchée sur le capot de la voiture et j'ai retroussée ma robe. Et là, j'ai entendu dire « mais quelle pute ! » Et je n'ai pas pu m'empêcher de répondre « ça te fait peur ? ». Putain quelle inconsciente j'étais !
J'ai entendu mon mâle répondre « tu vas voir » puis ses mains agripper mes hanches, écarter mon string et sans attendre (et donc sans capote) sa bite entrer dans mon ventre détrempé. D'un violent coup sec! J'ai lâché un cri de surprise et de soulagement. Enfin ! Enfin, j'allais me faire baiser comme une salope.
J'étais là en train d'encaisser les premiers coups de reins quand j'ai senti quelque chose sur ma joue. La bite du numéro deux. J'étais tellement occupée par mon plaisir que j'étais incapable de réagir à son désir. Alors, sa main derrière ma nuque fit le nécessaire.
Violemment, il tourna ma tête et enfonça sa queue dans ma bouche. Étouffant par la même mes gémissements de chienne en chaleur, ce qui n'était pas plus mal.
Soyons clair, je ne le suçais pas. Il me baisait la bouche. J'étais vraiment incapable de le sucer, j'étais trop... trop chaude, trop excitée, trop chienne.... trop tout !! Trop pour pouvoir faire quoi que ce soit consciemment. Je n'étais plus qu'un corps qu'on baise ! Et putain que c'était bon !
Il me défonçait littéralement, à grands coups de reins, sans aucun respect. Tout ce que je voulais. Je sentais les grands coups de butoir secouer mon petit corps de chienne... quel plaisir !
Rapidement, j'ai senti mon mâle se raidir dans mon ventre. Il allait gicler. Et hormis mon dépucelage, c'était la première fois qu'on me prenait sans capote. Donc j'allais me faire remplir de sperme pour la première fois de ma vie.
J'ai eu un orgasme quand je l'ai senti se répandre en moi. La sensation de ce liquide chaud qui s'écoulait dans mon ventre.... hmmm quel délice. Mon plaisir fut étouffé pour la bite dans ma bouche. Et heureusement car je pense que j'aurai hurlé comme une folle.
Encore quelques coups de reins et il sortait de mon ventre. En même temps que l'autre sortait de ma bouche. Et venait se placer derrière moi. Pas le temps de réfléchir que j'avais un second inconnu, sans capote encore, dans mon ventre. Et de nouveau, je me faisais défoncer, penchée sur le capot de cette voiture. Échappant des gémissements de chienne en rut.
Qui là encore furent rapidement étouffé par la queue du troisième dans ma gorge. Je me faisais baiser à la chaîne par trois inconnus sans capote. Et j'adorais ça. J'adorais cette sensation de n'être qu'un bout de viande, d'être réduite à l'état de sac à sperme.
Je sentais celui dans ma bouche se raidir à son tour. J'ai décidé que non, il ne me giclerai pas dans la bouche. J'ai reculé ma tête suffisamment pour lui dire « pas dans ma bouche... dans ma chatte ».
Il a juste répondu « t'es vraiment une grosse pute toi ». Et il s'est reculé pour se calmer et attendre son tour. Qui arriva rapidement car m'entendre dire ça déclencha le second je pense. Il se vida à son tour dans mon ventre.
Un petit orgasme l'accompagna. Et hop, lui aussi se vida en quelques coups de reins et sortit de mon ventre. J'ai alors senti pour la première fois du sperme couler de mon ventre. Cette sensation troublante de ce liquide visqueux coulant de mon corps. C'était troublant.... et très bon.
Mais tout de suite après, le troisième pris son tour. Et me défonça lui aussi. N'ayant plus rien à prendre en bouche, il m'attrapa par les cheveux pour me tirer la tête en arrière et me prendre encore plus sauvagement. J'avais vraiment du mal à rester discrète ainsi.
Heureusement, il était bien chaud et il dura moins de 2 minutes. A son tour, il a rempli mon ventre de sperme chaud. Avant de sortir, de me dire « t'es une bonne chienne » et de s'éloigner.
J'étais là, robe retroussée, chatte dégoulinante de sperme, penchée sur le capot d'une voiture, tentant de reprendre mon souffle et mes esprits. J'étais seule, ils s'étaient barrés tous les trois une fois vidé. Me faisant comprendre que j'avais rempli mon rôle et que je ne méritais pas plus d'attention.
J'étais tellement épuisée que n'importe qui aurait pu arriver et prendre son tour. Je l'aurai laissé faire. La boite au complet aurait pu me passer dessus sans que je ne dise quoi que ce soit. D'épuisement en partie. Et par désir aussi. Car j'avais envie d'être le morceaux de viande que ces 3 mecs avaient baisés.
J'ai fini par me redresser. En regardant autour de moi, j'ai eu la confirmation que j'étais seule. Je me suis rhabillée comme j'ai pu. Et j'ai décidé de rentrer chez moi toute seule. J'ai envoyé un message à une copine pour lui dire que je rentrais et je suis retournée à ma voiture.
Il était impossible de retourner en boite comme si de rien n'était de toute façon. Et le sperme qui coulait le long de l'intérieur de mes cuisses m'aurait trop mis mal à l'aise.
Je roulais pour rentrer chez mes parents mais la sensation de ce foutre coulant de mon ventre m'obnubilait. Alors je me suis arrêtée dans un chemin sur le bord de la forêt. Et j'ai passé une main entre mes cuisses pour voir ce que ça faisait.
Le contact de tout ce foutre coulant de ma fente m'électrisa. Et j'ai fini par me masturber dans ma voiture, en jouant avec ce sperme. Et en le léchant sur mes doigts à plusieurs reprises.
C'est ce soir là que je suis devenu une salope. Et que je suis devenue addict au sperme.....
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Commentaires de l'histoire :
Hey
J’adore cette histoire, tout comme toutes les précédentes d’ailleurs. Beau récit ! ????
Posté le 4/07/2025
GuiNancy
@audrey Merci du commentaire. ;) Si vous voulez me joindre, n'hésitez pas à utiliser le formulaire de contact
Posté le 4/07/2025
Audrey (snap :p)
Waouh c'est tellement bien écrit ! C'est très excitant tout ça !
Posté le 4/07/2025
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