Histoire Erotique

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PAULINE AU COUVENT

Le couvent était probablement le plus mauvais endroit ou envoyer Pauline. C'était une fille qui ne voyait pas le mal, mais elle aimait en profiter ! En ce moment, elle se sentait très mal car elle savait pourquoi elle était appelée au bureau de la Mère Supérieure

Proposée le 4/07/2025 par NONNE

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FFH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme


Pauline, comme de nombreuses pensionnaires, n'avait pas encore atteint le statut de novice. En ce moment, elle se sentait très mal car elle savait pourquoi elle était appelée au bureau de la Mère Supérieure. Dans quelque jours elle allait atteindre sa majorité… elle n’avait pas attendu pour sortir en ville en faisant le mur. Elle s’avançait, tendue de crainte, dans les couloirs du couvent avec son uniforme imposé par les sœurs … celui d’une petite demoiselle bien sage… ce qu’elle n’était pas.

L'une des sœurs de l’internat l'avait vue dans la ville avec des garçons. La pire des choses ! Aujourd'hui, elle était appelée pour être reçue par la Sœur supérieure. Il faut dire qu’elle avait fait fort : elle avait manqué une après-midi et une soirée entière à l'école.

Pauline sait qu'elle aura à subir la canne de Sœur Angèle ce qu’elle redoute beaucoup. Elle frappa nerveusement à la porte du bureau et attendit qu’on l’invite à entrer. Le souvenir du baiser du garçon la consolait à peine mais son ventre toujours affamé réagit de suite à la pensée de ce moment si excitant.

À l'intérieur, Sœur Angèle est assise derrière son bureau dans une grande chaise en cuir son jupon noir tiré au-dessus de sa taille. Ses jambes sont largement écartées et posées sur les bras rembourrés de la chaise. Elle caresse le haut de ses cuisses au-dessus de ses bas noirs. Elle a tiré sa culotte mouillée de côté pour libérer sa chatte pour son bon ami et amant, l’abbé du couvent, Paul Joubert.

À l'âge de quarante-cinq ans, ce dernier profite avec les nonnes les plus délurées d’un harem qui aime, comme lui, le sexe sous toutes ses formes. Au cours des dix minutes précédentes, sœur Angèle et l’abbé ce sont livrés à l'un de leurs jeux préférés : une masturbation mutuelle. Un délicieux moment où les yeux dans les yeux on observe le plaisir qui monte dans le regard de son vis-à-vis.

En entendant Pauline frapper timidement, Sœur Angèle fit signe à l’abbé de se cacher dans une alcôve derrière un rideau. Elle sait déjà à qui elle avait affaire et elle a bien l’intention de vérifier si son intuition est bonne.

*********

Lorsque Pauline entra répondant au commandement de la sœur supérieure, elle la trouva installé derrière son bureau. À l'âge de trente-cinq ans, la nonne était bien jeune pour être mère supérieure. Peu savait qu’elle avait prodigué de nombreuses faveurs pour arriver là où elle était aujourd'hui, au cœur d’une foule de filles dont certaines en chaleur, prête à tout pour avoir ou donner du plaisir.

La belle tournure de la jeune fille qui venait d’entrer ne la laissait pas indifférente. Pauline était à son apogée sexuelle et toujours constamment convoitée.
- Eh bien Pauline a commencé la nonne dépravée, sentant déjà une sourde excitation venue du pouvoir qu’elle savait avoir sur cette délicieuse jeune fille.

- Pauline, une fois de plus vous m’obligez à vous punir pour votre absence. Indisciplinée à ce point vous pourriez être renvoyée. Vous savez et j’imagine que vos parents seraient très en colère, n’est-ce pas ?

- Oui, ma sœur, répondit faiblement Pauline. Elle ne voulait vraiment pas que ses parents soient impliqués. A l’idée de sa marâtre, Pauline pâlit. Elle savait son père incapable de résister à la mauvaise influence de cette femme qui dirigeait sa vie depuis deux ans. La sœur ne manqua pas de noter la réaction de sa pensionnaire.

Mais de son côté la sensuelle Pauline savait. Fausse innocente, elle avait reçu des confidences sur les soupçons des pratiques punitives très particulières de la sœur supérieure.

Face à son ainée, elle devinait sa concupiscence. Pauline avait mis sa robe d’uniforme la plus courte et lâché son corsage qui laissait entrevoir deux jolis seins aux tétons déjà dressés. Par contre elle ne savait pas qu’elle avait un spectateur particulier.

De sa cachette, l’abbé était lui aussi excité. La demoiselle lui semblait trop provocante pour être une oie blanche. Son coq durcissait en prévision des vilaines choses qu'il savait que la mère supérieure tenterait d'infliger à la jeune fille.
- Je pense que six coups de canne seront plus appropriés, n'est-ce pas ? Et puis nous n'aurons pas à le dire à vos parents. Sœur Angèle s'est penchée en avant et a murmuré.
- Ce sera notre secret. Bien que Pauline craignît la douleur, elle accepta et en hochant la tête.
- Tiens-toi droite, lui intima Sœur Angèle qui s’était mise debout en prenant une fine canne sur une étagère,
- Penche toi sur le dossier de cette chaise. Alors que Pauline obéit à contrecœur, Sœur Angèle la surprend en s'emparant du bas de la jupe de Pauline et la dégage sur son dos libérant la vue d’un joli fessier.
- Oh ma sœur, s’écrie Pauline choquée.

L’abbé se régale des belles fesses de la jeune fille d’autant que sans écouter les protestations de Pauline la mère supérieure vient de lui descendre sa culotte.
- Pauline à cause de vous, j’ai été obligée de gronder vos camarades pour ne pas vous avoir surveillé. Vous savez ce que cela veut dire, n’est-ce pas ? La baguette fouette l’espace. L’abbé voit les fesses de la jeune femme se crisper dans l’attente du coup mais l’autre fait durer.
- Je dois soulever votre jupe sinon vous ne sentiriez même pas votre punition, n’est-ce pas ? Pauline reste silencieuse, crispée sur le dossier de la chaise
- Maintenant, Pauline, Je sais que tu es une bonne fille. Ma punition ne sera pas trop méchante. Mais tu as compris… tu ne dois rien en dire à personne. N’est-ce pas ?

Pendant qu’elle parlait, sa main droite passait langoureusement sur le postérieur de la jeune fille. De la main gauche elle caressait la fente de Pauline avec sa cravache, faisant frémir sa proie.

- En fait, poursuivait Sœur Angèle, repositionnant Pauline sur la chaise et tirant encore sa culotte vers le bas - je vais réduire la punition à trois coups ».

La cravache fouetta durement le postérieur de Pauline qui sera les dents pour ne pas crier de douleur.

L’abbé, sa bite palpitante à la main, pouvait apercevoir l'anus de Pauline et le début de sa chatte avant que Sœur Angèle ait laissé la délicate fente de Pauline se refermer après ce premier coup de cravache.
- Oh désolée, lâcha la sœur le visage marqué par une sombre excitation, je t’ai fait une marque rouge méchante sur tes fesses. Bon, inutile de t’abimer ton joli popotin.

Nous devons penser à une autre punition.

Avant que Pauline puisse réagir, elle sentit la main gauche de Sœur Angèle lui frôler les fesses. L’abbé regarda avec joie la main de la nonne descendre lentement révélant l’entrejambe de Pauline ourlée d’une fine toison.

Pauline était rouge d’embarras, tout en se soumettant, toujours pliée sur le dos de la chaise. La nonne se pencha posant ses doigts sur l’entre-fesses de Pauline et d’une voix tranquille :

- Tu vois ce que peut être une vraie punition Pauline ?
Alors qu'elle parlait, Sœur Angèle a laissé tomber la canne et sa main reposait à nouveau sur les fesses de sa pensionnaire. De la main gauche, elle retenait la fille en position de flexion alors que l'esprit de Pauline battait la campagne. Elle attendait la douleur mais maintenant c’était la douceur des mains de la sœur supérieure.

Elle senti soudain que la main reprenait la punition. La main grande ouverte claquait sur son fondement mais, comme par hasard, semblait viser son entre-jambes. La punition, soudain, ne lui semblait plus aussi désagréable. Cela fut plus fort qu’elle. Elle s’abandonna et la mère supérieure ne manqua pas d’observer la modification du comportement de Pauline.

Une Pauline craintive mais pas idiote. La fessée se transformait en caresse stimulante. Les bruits étaient donc fondés. Certaines visites dans le bureau de la mère supérieure laissaient passer des rumeurs qui troublaient les pensionnaires. L’omerta était totale. Malheur à la bavarde.
Pauline ne réagissait pas, dominée par la mère supérieure, mais aussi par le sentiment trouble qu’il se passait quelque chose d’anormal loin d’être déplaisant. Elle retrouvait les sensations de ses plaisirs furtifs que sa main lui donnaient le soir, seule dans son lit. Entre-filles on parlaient de masturbation et certaines plus audacieuses se comparaient et parfois se touchaient.

Elle sentait que les doigts de Sœur Angèle caressaient doucement ses fesses pour glisser ensuite vers l'intérieur de ses cuisses, tout proche de sa chatte.
- Cela va-t-il mieux Pauline… As-tu toujours aussi mal… préfères tu que je reprenne ma cravache ?

C'était tellement inattendu que Pauline ne savait pas comment réagir jusqu'à ce qu'elle sente le majeur de Sœur Angèle glisser dans la fente entre ses fesses et s’approcher de son anus. Le plaisir et la surprise poussa Pauline à ouvrir ses jambes.

Sœur Angèle avait l’œil, sa victime qui ouvrait ses jambes au lieu de se raidir, elle le sentait, était mure pour passer à une autre étape. Son ventre était trempe et, l’idée de son complice qui devait de branler derrière elle, la stimulait et l’excitait à la fois.
- Ma Sœur …

Avant qu'elle ne puisse prononcer un autre mot, Sœur Angèle l'avait prise, redressée et collée contre elle. Un geste qui aurait pu sembler naturel mais Pauline ne pouvait plus ignorer les appâts qui se cachaient sous les habits de la mère supérieure.

Elle se sentait enveloppée par une femme voluptueuse avec qui elle eut brièvement la sensation de promesses inavouables. Cela la troublait sans pour autant lui faire peur. Elle sentait chez la Sœur une attente fébrile. L’idée que cette dernière puisse être nue dessous ne l’effleura pas. Pas ce jour-là !.

- Pauline. Tu es une bonne fille et si tu fais comme je te le dis, ta vie ici sera très agréable et facile pour toi. Si tu veux nous pouvons reprendre la punition où elle s’est arrêtée et tu repars ensuite retrouver tes camarades ou… je teste une autre forme de punition.
- Tu sais je t’observe depuis longtemps. J’ai découvert que tu aimais te caresser lorsque tu étais ou plutôt que tu te croyais seule dans les douches. Aimerais-tu que nous abordions ce sujet devant tes camarades ?

Sœur Angèle se recula comme pour observer à distance la réponse de la jeune fille. Pauline n’en avait encore aucune conscience mais elle était comme un bonbon à sa portée. Les cheveux bruns roux. Un corps de femme faite, des fesses rondes et un ventre plat surplombé de deux magnifiques seins aux tétons déjà durcis par les privautés de la sœur.. Pauline était un péché à déguster !

Pour sa part Pauline était pétrifiée, troublée. Elle ne pouvait se douter que la supérieure avait des caméras invisibles un peu partout et que les jeux de ses jeunes pensionnaires ne lui échappaient pas. Son amant et elle s’amusaient régulièrement en visionnant quelques passages sélectionnés dans les découvertes des plus audacieuses et… vicieuses.

Pauline était devenue une de ses préférées. La jeune fille n’hésitait pas à provoquer ses camarades en se montrant nue et comment se masturber pour avoir plus de plaisir. Sœur Angèle ne pouvait pas manquer d’observer que la jeune fille se caressait l’anus et se sodomisait d’un doigt en se donnant du plaisir en se croyant seule dans sa douche.

************
Pauline ne résista plus lorsque Sœur Angèle se rapprocha pour les coller poitrine contre poitrine, leurs visages à se toucher. La main de Sœur Angèle se leva pour dégrafer le haut de son habit laissant apparaitre le début d’une opulente poitrine. Puis elle ordonna à Pauline
– Fais comme moi. Montre-moi tes seins.

Subjuguée, partagée entre crainte et un trouble mouillant son ventre malgré elle, la jeune fille hésita à peine et commença déboutonner son corsage. La Sœur l’aida, impatiente de sentir sa peau contre la sienne. Ses lèvres effleurèrent le visage de Pauline alors que ses mains commençaient l’exploration du corps de sa proie.
Sœur Angèle respire Pauline, elle avance encore ses lèvres contre celles de Pauline. Celle-ci ne résiste pas et victoire, elle pressa à son tour ses lèvres contre celles de Sœur Angèle.

C’était comme avec ses flirts féminins « mais en plus vrai » ! Celle-ci poussa doucement son avantage en mettant sa langue dans la bouche de la jeune fille. Pauline maintenant sans plus d’hésitations lui rendit la pareille avec avidité. Enfin quelque chose qui change dans sa vie. Son excitation l’entraine à se laisser aller aux plaisirs que lui promet cette femme déguisée en bonne sœur !

Ses doigts imitent ceux de la femme qui la serre contre elle. Elle sent les mains qui se glissent sous sa jupe et enlèvent totalement sa culotte dégageant son pubis. Bien qu’intimidée, elle se permet les mêmes privautés. Pour une première fois elle sent sous ses doigts le corps chaud et moelleux d’une femme mure. Le ventre de son ainée plaqué contre le sien, elle vibre au bord d’un orgasme qui lui est encore inconnu.

Ce fut un choc lorsque qu’un doigt cherche à s’enfoncer dans son pubis… en représailles elle s’enhardit à fouiller le bas ventre de son ainée. Le choc encore de sentir que son bas ventre n’a pas de poil mais surtout de sentir que la Sœur est trempe de plaisir. Sous les doigts experts de son ainée elle jouit une première fois.

Le doigt qui la visite passe de sa fente à sa raie, titillant son clitoris pour ensuite s’attarder sur le bord de son anus. Les jambes de Pauline se dérobent sous la puissance de son plaisir et de ses émotions. En même temps, elle ressent l’impatiente de Sœur Angèle qui finit de dégager son corsage pour s’emparer goulument de ses seins. Elle a glissé les deux mains sous sa jupe afin de dégager la vue pour son complice.

L’abbé a du mal à se retenir. Lui, comme sa complice, il constate combien la jeune fille répondait aux sollicitations d’Angèle. Il ne se souvient pas avoir été aussi excité depuis longtemps. Comme Angèle, il devine que cette Pauline est non seulement une belle femme mais la partenaire idéale pour le couple qu’il forme avec sœur Angèle.
- Oh, s’il vous plaît, ne faites pas ça, a protesté Pauline en s’accrochant aux mains de la nonne qui s’attaque à son anus.
- Rassure toi. Et tiens-toi tranquille. La voix de la supérieure a claqué. Sauf tu veux une vraie bonne fessée. Tu as choisi entre le plaisir et la douleur… l’avais-tu compris !?

*************

Depuis des années Sœur Angèle était l'une des amantes les plus dépravées de l’abbé. Rien ne lui faisait peur. Parfois c’est lui qui craignait l’audace de sa complice et le risque d’être dénoncé. Une crainte vite oubliée lorsque comme aujourd’hui il tombait sur une jolie salope.

Il observait les deux femmes pendant que Pauline finissait de déboutonner l’habit d’Angèle. Bientôt toutes les deux se retrouvèrent face à face, toutes deux encore sous deux fines combinaisons qui ne cachaient pas grand-chose de leurs corps.

Sœur Angèle a maintenant ouvert et dégagé le soutien-gorge de Pauline libérant ses beaux seins. Pauline a instinctivement mis ses mains sur sa chair nue, mais Sœur Angèle l’a obligé à se laisser admirer.
- Ne te cache pas ! Tu es belle et tu as des seins magnifiques ma fille. Des seins que je vais manger acheva-t-elle en se penchant pour s’emparer du premier, durcissant les mamelons.

L’abbé n’en peux plus il jouit en silence, toujours caché derrière le rideau. Il n’a pas le temps de se remettre de ses émotions. Il voit Angèle qui vient d’attraper Pauline désormais nue et s’approche d’un prie Dieu pour l’amener à toucher le rideau derrière lequel il se cache. Il lui faut un moment pour comprendre ce que fait Sœur Angèle. Elle vient de tirer Pauline et l’oblige à s’agenouiller.

- Tu vois Pauline, tu es là parce que je te sais très intéressée par la sexe, plus par le sexe que par la religion… n’est-ce pas ? La voix de sœur Angèle se fait âpre et ironique. Pourtant elle commence à flatter le dos et les fesses de la jeune fille, qui frissonne.

Quelques secondes passent. La sœur continue.
- Vois-tu, je te sais très douée pour amener tes amies à des jeux que normalement nous considérons interdits. Alors vois-tu, avant d’aller plus loin dans nos plaisirs partagés, tu vas devoir te confesser. Je veux entendre la petite salope qui donne de mauvaises idées à mes jeunes filles… Je t’écoute.. Imagine le confessionnal de la chapelle. Imagine que le père abbé est dans la guérite et maintenant imagine que tu lui confesses toutes les cochonneries que tu fais avec tes amies.

Derrière son rideau, l’abbé stupéfait en reste bluffé. Sa maitresse lui offre la possibilité de rentrer dans la tête de la jeune fille qui se tient agenouillée à quelques centimètres de lui. Angèle d’ailleurs continue :
- Imagine que l’Abbé t’écoute et que tu veux lui dire tout tes désirs, toutes tes envies. Après tout, tu as bien dit à une camarade qui nous l’a rapporté que tu « tu ferais bien le curé … ». C’est bien cela n’est-ce pas ? Tu le trouve mignon… c’est ça.

Pauline est écarlate… Frissonnante sous les caresses que continuent à lui prodiguer la Sœur supérieure dont la voix est devenue rauque d’excitation et de lubricité. Je t’écoute … que dois tu nous avouer, me dire, m’avouer tes pensées impures ?

Pauline sent maintenant la morsure de la cravache qui lui frôlent les fesses.
- Allez confesses toi ! Pauline reste tétanisée.
- Aller. Je vais t’aider…continue sœur Angèle. As-tu dit que tu aimerais voir la bite de notre abbé… Je me trompe ? La sœur savait…

- Qu’as-tu dit ma jolie salope ? Que tu rêvais de la sucer ? Tu te souviens où tu étais la fois ou tu as dit cela ? Aller … aller… Avoue… sens tu comme cela te fait du bien de te faire caresser, te toucher la chatte, te toucher ton anus, ce que tu aimes bien.

Pauline sens le doigt d’Angèle lui frotter l’anus et frisonne de peur ou d’excitation, elle ne saurait répondre.
… Raconte ! La voix vient de monter, agressive.

- Oui, j’aime… elle a des sanglots dans la voix Pauline mais en même temps elle sent que sa confession est un gage de complicité avec la salope qui, derrière, elle ne cesse plus de lui caresser la raie des fesses.
- Continue !

Cette sensation d’être traité comme du bétail révolte Pauline. La colère la prend. La sœur salope et lesbienne ne lui fait plus peur.

- Je me confesse, commence-t-elle sur le même ton qu’Angèle. J’aime sentir tes doigts dans ma chatte. Que comme moi tu as envie de baiser des filles. J’aime sentir que tu es aussi salope que moi. Que tu mouilles à l’idée des cochonneries que tu imagines m’imposer. Ma confession, c’est celle que tu feras un jour à l’abbé et cela le fera bander, et il te baisera, j’en suis sûr.

Elle se tourne le visage durcit vers son ainée qui la fixe, bouche bée… Pauline est elle-même étonnée de sa réaction. Pauline sent une excitation sauvage à l’idée de se « faire » cette Sœur Supérieure qui veut la soumettre.

L’autre la fixe.
- Putain de toi… on va devenir de vraie copine ! s’exclame son ainée épatée de sa réaction.

La Sœur supérieure, encore revêtue de religiosité, a disparu…La voilà qui finit de se déshabiller pour attraper Pauline dans un baiser d’amante, sauvage et plein de promesses. Pauline y répond sans hésitation elle devine son pouvoir. De son côté Angèle en regrette même la présente de l’abbé. Elle aurait bien aimé profiter de Pauline à l’abri de son voyeur.

L’abbé regarde avec envie sœur Angèle qui aspire goulument les mamelons de la jeune fille. Il sait qu’il ne doit pas prendre d’initiative. Ce n’est pas le première fois que sa complice en lubricité s’attaque à l’innocence d’une de ses pensionnaires. Cela pourrait être dramatique s’il se montre alors que les deux femmes se découvrent. Mais quelle frustration. Sa verge lui fait mal et il est fatigué de rester debout.

************

« Oh ! » Pauline s’abandonne aux caresses de son ainée moitié par plaisir, moitié par lucidité … elle sent intuitivement que sa vie va changer pour toujours. Que peut-être elle a trouvé la porte qui lui permettra de fuir son père et sa marâtre.

Dans la tête d’Angèle chemine l’idée de faire participer son voyou des bénitiers comme elle appelle le père Paul Joubert et surtout sans effaroucher sa séduisante proie. Elle caresse avec avidité la belle Pauline. Elle est en train de l’embrasser dans le cou, faisant vibrer sa jeune victime. Elle lui souffle à l’oreille…
- Profite, Pauline d’avoir la chance d’être une jolie fille et d’aimer le sexe. Tu seras comme moi, une belle salope mais tu vivras bien.

Pauline frissonne à nouveau piégée entre la crainte de ce qui lui arrive et le désir de ne pas arrêter les sensations qui lui brulent le corps. Elle sait, elle sent son ventre trempe. Pauline réalise qu’elle est totalement nue réalisant à peine l’habileté de son ainée à jouer de ses sensations. Elle ouvre ses jambes aux doigts de la sœur, totalement nue, elle aussi.

Elle note presque dans un état second que sœur Angèle à des cheveux noirs très longs qui lui tombent sur les fesses. Son ventre est glabre, lisse comme le ventre d’un bébé. Cela lui fait drôle. Elle entend à peine la lesbienne lui susurrer à l’oreille « Bientôt tu seras comme moi. Tu seras vraiment nue et j’aimerai y glisser ma langue ».

Sans ses lunettes qui lui cachaient les yeux, elle découvre chez Angèle un regard vert brulant de désir. Le corps d’une femme mure mais sensuel, tendre, moelleux … c’est cela que pense Pauline en acceptant une fois de plus un baiser torride d’amante.

Elles sont maintenant couchées à même le sol. Sur la moquette, dans un espace caché et disponible derrière le bureau. Angèle, branle sans ménagement la jeune fille qui se laisse faire, sentant l’orgasme venir. L’autre lui parle à voix basse.
- Ma belle, je vais te faire découvrir les délices de la féminité. Je commencerai par te faire goûter à ma poitrine – d’un geste, Angèle a fourré son mamelon dans la bouche de Pauline qui ne cache pas sa bonne volonté. Elle a compris et mord sans trop de ménagement le téton qu’elle a attrapé. Sentir la sœur Angèle bondir chaque fois qu’elle serre un peu, la ravit… L’autre haletante d’excitation continue :
- Tu vas connaitre les plaisirs saphiques et les males qui te baiseront avec moi.

Pauline en a des frissons.
- Tu vois ma chérie, tu vas devenir aussi salope que moi, car c’est déjà cela « Tu es ma salope à moi », n’est-ce pas ?
Ce disant la sœur accélère sa branle tout en glissant son doigt dans l’anus de la jeune fille. C’est trop. Pauline part dans un long gémissement qui impressionne autant la sœur que son abbé. Son plaisir coule sur ses jambes et sur les doigts de la sœur impressionnée par la puissance de l’orgasme de la jeune fille.

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L’abbé Joubert ne voyait plus les deux femmes derrière le bureau. Le son l’atteignit dans sa cachette. Il ne pouvait rien voir la scène et son membre mouillait comme celle d’un jeune homme en manque. Il rêvait de pouvoir participer mais comment sans risquer que cela paraisse un coup monté, trop artificiel,

Les jambes de Pauline tremblent ; son visage est rouge d’excitation et elle se sent très confuse. Regardant le visage de la jeune fille, Sœur Angèle lui souffle :
– Ma chérie soit fière de ton corps si attirant et si doux.
Elle pousse doucement deux de ses doigts entre les lèvres entrouvertes de Pauline. En réponse celle-ci, par réflexe, de mets à la téter à faire tourner la tête de la religieuse.

Maintenant Sœur Angèle, ses yeux brulants de désir se penche sur Pauline qui se laisse faire, pour explorer le bas ventre de la jeune fille. Pauline ne peut ignorer les sentiments d'excitation que lui causent les doigts indiscrets de la femme âgée.
- Oh, quelle petite chatte douce tu as, murmure Angèle, et tu mouilles ma Pauline.

La nonne glisse ses doigts sur toute la longueur des lèvres intérieures mouillées de Pauline, remontent dans sa raie pour faire un arrêt sur sa rosette qu’elle visite superficiellement pour recommencer son manège. Pauline ouvre ses jambes par réflexe ce que ne manque pas d’encourager la religieuse.
- Soit une bonne fille et ouvres toi bien. Je vais te faire découvrir que nos ventres sont le réceptacle de plaisirs immenses. En disant cela Sœur Angèle s’intéresse au clitoris de Pauline, qui gémit à son toucher.

Angèle soutient Pauline tandis qu’avec ses doigts elle amène habilement la jeune fille à un point culminant qui la fit pleurer de plaisir. L'orgasme est soudain. Il fait gémir bruyamment Pauline que s'effondre sur la sœur. Pendant un instant elle oublie tout sinon l’intense plaisir que lui donne la religieuse.

Dans un réflexe animal elle saisit la tête de la femme mure pour l’embrasser sauvagement en signe de gratitude. Un baiser animal, ou sa langue s’engouffre sans ménagement dans la bouche de la religieuse qui partage un instant l’incroyable excitation de sa victime.

***************

Angèle n’a pas oublié que son amant d’abbé se morfond derrière les tentures de son bureau. Il est temps de le libérer et de le faire entrer dans la danse commencé avec sa jeune pensionnaire. Elle ouvre une porte secrète attenante qui donne sur une pièce qui aménagée lui sert de chambre de repos et de coin toilettes.
- Viens Pauline, viens te nettoyer un peu. Elle montre les cuisses de la jeune fille qui brillent d’une abondante sécrétion de cyprine.

Pauline entrée, elle se dépêche d’aller retrouver l’abbé qu’elle trouve le pantalon encore défait ?
- Sors vite pendant qu’elle ne te vois pas. Reviens dans un quart d’heure et tu feras comme si tu nous surprenait… A toi de jouer ensuite. Et sois malin. Cette petite est un vrai bijou.

La sœur Angèle ouvre silencieusement la porte pour laisser son amant s’éclipser pour la refermer tout aussi discrètement sans tirer le loquet. Elle part ensuite retrouver Pauline qu’elle surprend en pleine toilette intime. Les fesses et la chatte ouvertes, les doigts visiblement en train de les revisiter …

Le sang de sœur Adèle est déjà en pleine ébullition lorsqu’elle se retrouve à genoux derrière Pauline pour lui enfoncer sa bouche dans la raie des fesses. Sa langue fouille l’anus profondément.

Dans son ivresse érotique elle mord les jolies fesses de sa victime et maintenant complice. Surprise mais vite au diapason, Faustine se laisse faire. Le plaisir dans sa tête et son corps lui délivrent des sensations cochonnes qui la font fondre. La sœur a raison elle est une cochonne et elle aime ça.

Si Sœur Angèle entend la porte du bureau mais ne broncha pas. Les pas de l’abbé Paul Joubert s’arrêtent sur le seuil.
- Seigneur ! Que faites-vous malheureuses !
- Oh non s'écria Pauline, en essayant de cacher son corps nu autant qu'elle pouvait.
– Eh bien, Mère supérieure, dit l’abbé l’air faussement scandalisé. On dirait que vous avez une petite demoiselle vraiment coquine ici.

Sur le moment Pauline pétrifiée de peur ne fit pas attention à la décontraction de son ainée. Il faut que la main du visiteur s’attardât sur les charmes de la Sœur Supérieure pour qu’elle comprenne leur complicité. Cela n’arrange rien à sa gêne mais sa terreur a disparu. Elle n’eut pas le temps de se poser de questions. L’abbé l’avait attiré vers lui sans que la sœur lesbienne ne réagisse. Non, elle devient plutôt la spectatrice de la suite des évènements.

L’abbé ne cache rien de sa concupiscence. Déjà sa main part peloter les seins de la jeune fille. Encore sous le choc, Pauline reste paralysée. Incertaine. C’est en sentant la main d’Angèle venir rejoindre celle de l’abbé pour la caresser qu’elle comprend leur degré de complicité.

De son coté, Sœur Angèle reste silencieuse observant les réactions de Pauline encore inerte sous leurs caresses. La voir réagir comme si elle avait reçu un choc électrique, la rassure. Pauline reste sensible aux misères que les deux compères semblent vouloir lui prodiguer. Déjà la sœur voit Pauline réagir aux effleurements des doigts de Paul sur ses mamelons qu’il aspire de sa bouche. Pauline gémit.

De nouveau, elle se laisse guider par le couple, consciente qu’elle est en train de passer dans une autre dimension. Leur excitation, leur avidité sur son jeune corps ne la trompent pas. Une sourde animalité, le désir de se sentir leur proie consentante ouvre son corps aux sévices les plus doux, aux étreintes les plus audacieuses. Son corps brule.

Pauline pouvait voir que l’homme était bien doté par la nature. Son membre sortait déjà de sa soutane.
- Assez vieux cochon s’exclame Sœur Angèle. Fichez-lui la paix et pensez mon ami que vous avez été bien long à venir ce matin. Baisiez vous une autre oie blanche !?

Elle embrasse longuement Pauline sur la bouche puis l’assied sur un fauteuil attenant à l’espace toilette. Les lèvres de son vagin entrent au contact des cuirs du fauteuil la faisant frémir. Elle a le temps de penser que si le lieu pouvait parler elle en aurait entendu de belles ! Mais sœur Angèle qui n’a toujours pas joui a faim, très faim.

Lorsque Pauline releva les yeux ce fut pour voir l’abbé totalement nu. … sauf les chaussettes. Une image saugrenue qui paradoxalement dénoua le nœud qui lui serrait le ventre. Angèle avait guidé l’abbé à côté de la chaise pour s’adresser à Pauline.
- Ma colombe, tu as bien des choses à découvrir dans les plaisirs de la chair. Observe ce que tu feras avec ton amant. Si tu es aimable, je t’y laisserais gouter.

Angèle est tombée à genoux face au sexe de l’abbé qui le flattait, les yeux fixés sur Pauline toute rouge de confusion ou d’excitation. Il n’aurait su le dire. Saisissant son érection la sœur a commencé à le lécher pour le prendre totalement dans sa bouche. Concentrée sur la verge de l’abbé elle ne lèvera jamais les yeux sur Pauline.

Lui ne cesse de fixer la jeune fille. Il montre son impatience tout en se dérobant à la « pipe » de son amante.

***********

- Laisse-moi la baiser.
- Minute, Pauline est une « novice » lui répond-elle en insistant sur le mot. Il faut que son initiation soit la plus agréable possible. Rien ne presse. Tu attendras !

Pauline est choquée par la désinvolture de l’abbé et se satisfait de la réponse de la sœur. Pour autant elle n’est pas sauvée.
- Moi d’abord, dit Sœur Angèle pour se faire pardonner son refus.

Une luxure violente avait pris le contrôle de la nonne. Elle se tient devant Pauline les jambes écartées présentant sa chatte lisse et grande ouverte pour l’abbé mais aussi pour Pauline. Cette exposition a le don de l’exciter de façon incroyable. Sentir le regard lubrique de Paul sur sa chatte la trouble toujours autant.

Cela lui rappelait les premières fois ou elle s’était exhibée, livrée à cet abbé diabolique qui avait su révéler sa sensualité et son gout des plaisirs interdits par son ordre. Le regard de Pauline renouvelle cette découverte de ses pulsions profondes. Elle aimait la baise et Pauline l’aimerait elle aussi, elle en est convaincue. Elle ferma les yeux, se concentrant sur ses sensations.
- Regarde mon trou délicieux. Regarde Pauline mes chairs tendres qui attendent de sentir entrer le diable du père abbé. Tu le sentiras un jour et à compter de ce jour-là tu ne pourras plus t’empêcher comme moi d’en vouloir encore et encore.

Pauline regarde la chair rose mouillée et dilatée du sexe dans l’attente de celui du prêtre. - Regarde petit salope ce que tu vas aimer.

L’abbé Paul présente sa bite dure dans la chatte ruisselante. Pauline est fascinée par ce membre énorme qui s’enfonce sans difficulté dans le ventre de la nonne. Elle voit le succube maintenant aller et venir dans le ventre de l’incube. Il va et vient. Sœur Angèle gémit de plaisir.

Dans ses transports amoureux, Angèle piège son amant en nouant ses jambes sur son dos. La posture est érotique qui fait oublier l’étrangeté du moment. Pauline voit vivre l'anus de la nonne qui s’ouvre et se ferme selon son excitation. Si elle s’écoutait elle enfoncerait à nouveau ses doigts dans cette femme lubrique.
- Baise moi fort, je viens.

Pauline regarde le visage tendu de la sœur au bord de jouir.
La sœur cherche le regard de Pauline. Le sien dit toute la luxure vicieuse du plaisir qu’elle veut partager avec la jeune fille. Toutes deux échangent un regard de connivence. Le message est clair qui dilate le ventre de Pauline. Angèle veut Pauline et Pauline veut Angèle.

Mais, de son côté, l’abbé Paul Joubert a une autre idée. Il veut baiser Pauline. Il se retire avant de jouir à la grande déception de la mère supérieure qui jure. Lui, l’ignore.

*********
-Tu es une femme avertie maintenant, Pauline. Tu sais notre secret et les énormes plaisirs que nous savons prendre avec nos corps.

Celle-ci ne fit ni oui, ni non, de la tête.
- Viens ici, dit-il en tendant une main. Son regard ne trompe pas.

Pauline porta le regard sur son bas-ventre et son sexe tendu. Partagée entre la crainte et l’excitation d’être entrée dans un monde qui lui était interdit jusqu’à maintenant, elle se laissait faire, curieuse de voir ce que sa passivité lui fera découvrir. Elle n’avait pas peur et elle ne veut pas laisser le sentiment qu’elle est devenue le joujou de l’abbé.
- Si tu es gentille avec moi, je serai gentil avec toi, dit-il.
Il l'avait raide quand il posa l'autre main derrière sa nuque et la força à se mettre à genoux, le visage devant son bas-ventre.
- Tu as déjà fait ce genre de chose, n'est-ce pas, avec sœur Angèle ? dit-il en lui présentant son sexe. Tu n’aimerais pas que l’on apprenne ce que tu fais avec elle… Tu imagines le scandale.

Elle sentit qu'il venait de se laver avec de l'eau et du savon.
Pauline tourna son visage sur le côté et essaya de se lever mais il la tenait d'une main ferme. Il lui prit la tête à deux mains et tourna son visage de façon à la voir droit dans les yeux.
- Si tu es gentille et obéissante, je serai gentil avec toi, répéta-t-il. Si tu m'embêtes, je peux te faire renvoyer avec un avis d’atteinte aux bonnes mœurs. Ça te ferait plaisir ?

Elle secoua la tête. Il parlait comme la Sœur Supérieure. Cela ne l’impressionnait plus. Il attendit, lui coinçant la tête, jusqu'à ce qu'elle baisse le regard, soumise, pensa-t-il.
Puis l’abbé l'attira plus près, la forçant à rester agenouiller. Elle ne peut résister. Son membre forçait ses lèvres. Pauline desserra les lèvres et le prit dans sa bouche, vaincue. Il ne cessa de lui maintenir la nuque et de la presser contre lui.

Elle ne put empêcher le réflexe de succion tout au long des minutes qu'il mit pour éjaculer. Il la tenait fermement serrée, son sexe enfourné dans la bouche de Pauline. Elle dû avaler tout son sperme au risque de s’étouffer. Puis il se leva sans faire de commentaires pour partir chercher de quoi les nettoyer.

A son retour il lui montra le canapé.
- Assieds-toi, Pauline, lui dit-il sans la regarder. Elle s'assit. Finalement il tourna les yeux vers elle et sourit.
- Tu es adulte maintenant, n'est-ce pas, Pauline ? Tu connais maintenant le goût du sperme ? Elle fit oui de la tête.
- Alors tu dois aussi être capable de jouer à des jeux d'adultes, dit-il toujours souriant."
- Ouvre les jambes.

Pauline voyait ou le prêtre voulait en venir. Elle était à la fois inquiète et excitée. Elle fit mine de résister mais la chatte la brulait déjà de sentir le membre ce beau garçon qu’était le jeune abbé lui lécher la chatte. Effectivement elle vit l’abbé s’agenouiller. Alors que la langue du prêtre touchait sa chatte humide, son excitation gommait toutes autres considérations. Ce salopard avait une grande expérience, poussant sa langue dans le vagin de la jeune fille aussi loin qu'il le pouvait, happant son clitoris devenu hypersensible.

**********

Puis il soulève les jambes de Pauline afin que la Sœur puissent admirer l'anus dilaté de celle-ci. Sans hésitation, elle laisse l’abbé partir visiter son trou serré de sa langue pointue. Pauline frissonne de cette caresse interdite et pourtant plaisante. Elle se relâche dans un gémissement d’abandon alors que l’abbé fore son anus ivre d’excitation perverse.

Sœur Angèle ne veut pas être en reste et lèche et mordille les seins de la jeune fille qui gémit doucement. Elle a compris que l’abbé est hors de contrôle et qu’il veut déflorer Pauline.
Il pose son sexe au bord de la chatte de Pauline. Sœur Angèle l’assiste et s'empare du membre pour qu'il la pénètre lentement tout en couvrant la jeune fille de baisers amoureux. Sa Pauline ! pense la femme mure. Elle va devenir femme !

Pauline est si excitée et si ouverte depuis une bonne heure maintenant que c’est à peine si elle sent son le sexe de l’abbé commencer à la pénétrer. Il fait si lentement qu’exaspérée elle donne un grand coup de rein pour se sentir remplie. L’autre ne peut rien y faire. Déjà il explose dans le ventre de Pauline.

L’occasion pour lui de découvrir que celle-ci n’a pas attendu pour offrir son hymen à quelques gros godemichés. La sexualité de Pauline ne l’a pas attendu. Par contre, s’être relâché dans son ventre, le souci soudain et sous le choc sa queue bas en retraite. Sœur Angèle a compris qui rassure tout son monde.
- On a ce qu’il faut, fit-elle comprendre à Pauline qui n’a pas encore réalisé. Pauline, elle est furieuse. Elle n’a pas vraiment joui.

********
Sœur Angèle l’a compris qui s'est penchée pour revenir martyriser les seins de Pauline. L’abbé déconfit reste immobile regardant sa complice s’amuser avec les tétons de la jeune fille tout en l’embrassant sauvagement. Cela ne lui suffisait pas.

Profitant de la position de Pauline Angèle enjamba son corp toujours étendu sur son bureau pour venir positionner sa chatte béante sur la bouche de Pauline. Puis la sœur supérieure, lui a ordonné : Goute-moi, ma chérie. Lèche-moi. Avale-moi !

Pauline naviguait à l’instinct. Lécher la chatte de « sœur salope » comme elle l’appelait dans sa tête, ne lui posait aucun problème. Elle sentait et partageait l’excitation de la femme tout en restant terriblement frustrée de l’intervention de l’abbé qu’elle voyait le sexe flasque à la main se caresser en jouant les voyeurs.

Pauline leva les yeux sur les lèvres ouvertes et mouillées de la Supérieure. Pauline découvre qu'elle apprécie le goût les émotions humides de sœur Angèle qu’elle léchait avec une ferveur croissante. Sa langue audacieuse trouva l'anus de Sœur pour tenter d’en forcer l’anneau – pour voir - puis elle posa un doigt dans la chatte de son ainée qui réagit dans un gémissement bruyant qui les surpris tous. Pauline poussait lentement un doigt dans l'anus de la nonne. Si elle aimait, pas de raison que Angèle n’apprécie pas.
- Oh, Mon Dieu, gémissait Sœur Angèle, cette fille est une cochonne incroyable. Je vais jouir. Moi aussi… Gémit Pauline toujours le nez dans la chatte d’Angèle.

Celle-ci accompagne ses gémissements d’obscénités.
- Oh, espèce de jeune salope, bouffe-moi la chatte petite enculée, tout cela en cherchant à passer sa main sous les fesses de Pauline afin d’atteindre à son tour son anus. Pauline n’en peux plus.

Elle se laisse aller dans un gémissement animal que la sœur a du mal à bâillonner.

L’abbé voit son amante soulever les jambes de la fille pour la lécher à son tour. Très lentement et doucement, Pauline sortit à regret son doigt de l'anus de sœur Angèle. Les deux femmes se redressèrent pour s’embrasser ignorant l’abbé qui se frottait de plus en plus vigoureusement. Bouche vorace contre bouche meurtrie ; sœur Angèle souffle dans l’oreille de Pauline.,
- Merci ma chérie, murmura-t-elle. Merci de cette belle rencontre.

L’abbé sur sa chaise constate que sa bite commence à réagir. Il se régale de la vision des deux femmes étroitement enlacées. La vision des doigts de Pauline dans les fesses de sa complice a ranimé sa libido. Son sexe est dur. Il se redresse afin d’atteindre Pauline. Celle-ci un peu étourdie par la violence de la sœur ne cache rien de sa chatte ouverte par l’excitation. Elle ne réagit pas lorsqu’elle sent le chibre de l’abbé ouvrir sa chatte pour la pénétrer. Le sexe de l’abbé palpite dans sa chatte.

L’abbé a pointé son sexe dans la fente accueillante de Pauline. A défaut de la déflorer, il veut retrouver la chaleur étroite de son vagin et sentir palpiter la jeune fille en se promettant que cette fois…

Sœur Angèle observe et retrouve sa posture préférée, les jambes grandes ouvertes en se masturbant pendant que l’abbé enfonce son érection dans les fesses de la novice. Il plonge une fois de plus dans la fente juteuse de Faustine tout en décidant de la sodomiser d’un doigt. Faustine bronche mais accepte de relâcher son sphincter pour accepter la pénétration. L’abbé regarde son pénis glisser lentement dans la chatte de Faustine tout en tentant de lui dilater l’anus.

Tout comme Pauline, l’abbé sent son orgasme approcher. Tous deux sont subjugués et au paroxysme de leur excitation par la scène de sœur Angèle qui s’enfonce les doigts dans son vagin béant en se masturbant toujours violemment. Ses jambes encore largement ouvert, ses gémissement sourds alimentent le coté hallucinant de la scène. C’est l’image qui l’accompagne alors qu’elle se convulse soudain partant dans un long spasme de plaisir que bâillonne une fois de plus l’abbé.

Pauline reste un long moment comme paralysée par l’intensité de ses sensations. Pauline comprend le pouvoir du sexe. Elle se relève lorsque leurs yeux se rencontre. Levant le doigt qui a été profond dans l'anus de Sœur Angèle, Pauline sourit et le lèche lentement avant de l'aspirer dans sa bouche.

Pauline souri en elle-même. Oui maintenant j'ai un réel pouvoir. Le pouvoir d'obtenir ce que je veux, qui, en ce moment, est un plaisir. Un vrai plaisir sexuel.

Pauline commençait à planifier comment elle allait exploiter son nouveau pouvoir. Pour continuer...

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