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Soirée surprise dans le club libertin de mon amant

Quand son amant lui propose une soirée surprise pour réaliser un de ses fantasmes, Laura en est toute excitée. Néanmoins, elle est loin de tout connaitre de Marc, et d'imaginer que la soirée va s'annoncer plus torride et plus impersonnelle que prévue !

Proposée le 4/07/2025 par Léa4468

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Fantasme


« J’arrive ! ». On venait de toquer doucement à la porte. Un dernier regard au miroir, et je me précipitai pour ouvrir. J’avais attendu ce moment toute la journée.
« Une gosse », soupirai-je.

Semaine dernière, Marc m’avait annoncé une surprise des plus excitantes : « Le weekend prochain, je vais réaliser un de tes fantasmes. Tu mettras la robe noire en dentelle, celle que j’adore. ». Je n’avais pas réussi à en savoir plus, mais son regard brillait d’excitation quand il m’en avait parlé.


Des fantasmes, j’en avais des milliers. Une imagination débordante, un appétit sexuel inépuisable : à 38 ans, j’étais ce qu’on appelle « une femme libre ». Divorcée depuis 5 ans, deux enfants en garde alternée une semaine sur deux, un poste à responsabilités dans un grand cabinet comptable où je croisais une clientèle très riche et raffinée ; j’alternais les semaines working girl/festives et les semaines femme au foyer/mère modèle. De quoi devenir schizophrène, mais pas pour une fille comme moi. Je croquais la vie à pleines dents telle une boulimique, et ce rythme était devenu une drogue.

La garde alternée me donnait du temps pour ma passion : plaire, séduire, faire la fête, et surtout pour le sexe. J’enchainais les conquêtes, les unes après les autres… si ce n’est en même temps. Marc était le premier qui me donnait envie de rester, dont je n’étais pas rapidement lassée. Je pense que le fait qu’il soit marié et que notre relation soit secrète me convenait bien. Il était dans ce qu’on appelle un « couple libre » et sa femme validait ses escapades épisodiques. Néanmoins, la règle définie entre eux était claire : pas de relation suivie… Marc et moi enfreignions la règle depuis maintenant six mois. Notre liaison devenue « illégale » m’amenait frissons et excitation, et nos rencards peu nombreux étaient insuffisants pour me lasser de lui.


Il avait un charisme fort, et savait à la fois faire de moi une reine comme me rendre complètement soumise à ses désirs. Il avait un regard intense et perçant, qui pouvait me glacer comme me faire brûler de l’intérieur. Tant d’ambivalence en lui, dans ses gestes, dans ses regards, dans ses mots... Ce gars me rendait dingue. Et depuis que nous nous fréquentions, pas une nuit je n’avais pu ne pas rêver de lui. Même quand il était loin de moi, parce qu’il était avec sa femme ou en voyage d’affaires, un simple sms de lui et mon sexe frémissait. J’avais plusieurs fois dû m’absenter durant mon temps de travail pour aller me masturber dans les toilettes, tellement l’intensité de mon désir pour lui me brulait le bas ventre, et m’empêchait de me concentrer sur mes dossiers.

Oui, Marc avait une emprise sur moi intense et totale. Et je me demandais bien ce qu’il avait pu nous préparer ce samedi…


Comme il me l’avait demandé, je portais la robe noire en dentelle qu’il affectionnait tout particulièrement. Celle de notre rencontre, celle qui l’avait fait vriller. C’était également ma préférée. J’aimais comme elle soulignait ma silhouette. Très peu décolletée devant mais avec un joli dos nu, assez courte pour être sexy et mettre en valeur mes longues jambes mais pas trop pour rester chic. Elle épousait à merveille ma petite poitrine, ma taille fine et mes fesses rebondies. S’il m’arrivait parfois d’avoir des complexes, jamais dans cette robe. Je portais pour l’occasion une paire d’escarpins noirs avec un liseré doré, que rappelait mon sac à main assorti. J’avais lissé mes cheveux comme il aimait et les avais rassemblés en une queue de cheval haute et serrée. J’avais les cheveux très longs, et je les sentais tomber dans mon dos, sur ma peau à nue. Marc aimait me tenir les cheveux durant nos ébats. Il pouvait ainsi doucement mais fermement guider les mouvements de mon corps sur le sien, au fil des positions.

« Tu es magnifique Laura », me souffla-t-il en m’embrassant doucement.

« Tu vas enfin me dire où on va ? ». J’allais droit au but. Je n’en pouvais plus d’attendre, d’imaginer des scénarios tous plus fous les uns que les autres.

Mais Marc se plaça derrière moi, et apposa un joli masque rouge sur mes yeux. « Tu ne sauras pas avant d’y être. Patience ma belle. ».

J’étais à la fois déçue, et encore plus excitée par cette nouvelle frustration. Totalement aveugle, je me concentrais maintenant pour faire travailler plus fortement mes autres sens et deviner ce que je ne pouvais apercevoir. Je sentis ses mains se poser sur mes hanches, me tenant fermement le temps qu’il hume mon parfum. Je ressentais son souffle chaud sur ma nuque, sa respiration profonde dans mes cheveux. Lui aussi avait envie de moi. Je pouvais deviner son sexe se raidir contre mes fesses, à travers son pantalon de costume. Puis ses mains glissèrent sur mes cuisses, et remontèrent doucement sous ma robe. Ma respiration était courte, je me tortillais contre lui, ne sachant à quoi m’attendre. Il attrapa délicatement ma culotte et me la retira ; il me la fit toucher.

« Tu es déjà trempée Laura, et la soirée n’a pas encore commencé… Cette culotte est pour moi, je veux que tu te sentes libre et confortable ce soir. Je veux pouvoir observer ton jus couler le long de tes jambes lorsque le moment sera venu… ».


Et sans un mot supplémentaire, il me fit sortir de mon appartement, m’installa délicatement dans sa voiture et conduisit une bonne vingtaine de minutes. Lorsqu’il me fit sortir de la voiture, je l’entendis donner ses clefs à un voiturier. L’endroit devait être très chic et plutôt intime ; le voiturier n’avait même pas eu un soupçon d’étonnement dans la voix en me voyant les yeux bandés.


Une fois à l’intérieur, l’ambiance semblait feutrée et une douce musique de fond se faisait entendre. On me délesta de mon sac, de mon manteau, nous devions être dans un hall d’entrée. Je l’entendais dire bonjour à pas mal de gens ; il semblait plutôt à l’aise et connu dans cet endroit… Mais où étions nous donc ?


Enfin, Marc me retira mon masque. Nous étions dans une sorte de bar lounge. De beaux et impressionnants lustres en cristal diffusaient une lumière douce et tamisée, et une musique jazzy en toile de fond complétait cette ambiance cosy. Il y avait pas mal de monde, installé dans des canapés moelleux ou des fauteuils vintages, attablés autour de grandes tables basses ; ou bien papillonnant d’un groupe à l’autre autour de manges debout. Il y avait des seaux de champagne et des flutes partout, des petits fours et canapés sur chaque table, et une armée de serveurs passait entre les tables en s’assurant que chaque convive ne manque de rien. Les femmes étaient toutes habillées en tenue de soirée, et les hommes en costard. J’entendais des brides de conversations : business, affaires remportées, yatch, expositions… Mon impression initiale était la bonne : que du beau monde ce soir ! Et à ma grande surprise, tous semblaient connaitre Marc. Ce dernier nous faisait circuler d’un groupe à l’autre et me présentait à tous ces gens qui semblaient l’admirer et le respecter.

« Marc ! Te voilà enfin ! Mais où étais-tu donc passé ? Ça fait des lustres qu’on ne t’a pas vu ici ? » s’exclama une petite brune de type latino toutes en courbes, en se jetant dans ses bras.

« Sofia, n’en rajoute pas, ça fait à peine un mois ! Je te présente Laura, c’est avec elle que j’étais occupé » lui répondit-il amusé en lui adressant un clin d’œil complice.

« Je comprends mieux en voyant cette ravissante jeune femme… Bonsoir Beauté, bienvenue parmi nous. Nous sommes toujours ravis d’accueillir de nouvelles personnes dans notre cercle, surtout une charmante poupée comme toi. Marc, tu as toujours eu d’excellents goûts. Normal que ton club marche aussi bien. »

C’était trop d’informations en même temps pour moi. Je n’arrivais plus à suivre. De multiples hypothèses déroulaient dans mon cerveau à la suite de ces quelques phrases de Sofia.

« Oui, ce club m’appartient, confirma Marc devant mon regard perdu. Nous avons racheté ce bar il y a vingt ans maintenant avec ma femme, et nous en avons quelque peu changé le concept… Nous y allons parfois séparément, parfois ensemble, selon nos envies du moment. »

« C’est un club échangiste, Laura » ajouta-t-il, voyant que je ne comprenais toujours pas. Il scrutait avec attention ma réaction.

« Oh… je comprends mieux ! Tu es décidément plein de surprises Marc. Je comprends mieux où tu voulais en venir avec ta « surprise » ! J’avoue être un peu intimidée, je n’ai jamais été dans ce type d’endroit. Je ne suis pas sûre d’en connaitre les… codes ? » lui avouais-je quelque peu gênée.

« Pas de code ici ma belle, tu agis selon tes envies, tes feelings. Rien n’est attendu de toi. De personne d’ailleurs. Ici les gens viennent, parlent, rient, boivent, mangent. Le « petit plus » se fait à l’envie, quel que soit le moment de la soirée. Rien n’est établi ou convenu à l’avance. Certains viennent pour participer, d’autres pour regarder. Parfois les deux. Chaque soirée est différente et unique, et les échanges ou non dépendent des participants, des conversations, des regards… » m’expliqua Marc. « Certains comme Sofia sont là depuis les premiers jours de ce club, d’autres depuis moins d’un an. Pour venir ici il faut avoir été parrainé, et chaque nouveau client est « vérifié » avant d’être admis dans le cercle. C’est un espace de totale confiance et de sécurité Laura ».

Je me sentais rassurée par ses paroles, et je commençais à me détendre. Quelques gorgées de champagne aidèrent également.

« Ce soir, je veux que tu te sentes belle, puissante. Je veux que tu sois uniquement concentrée sur ton plaisir et la réalisation de tous tes désirs. Ne pense plus à moi Laura, amuse-toi. Cette soirée c’est mon cadeau pour toi, pour assouvir ton fantasme. Fais ce que tu veux, quand tu veux, avec qui tu veux. Je ne suis pas loin, à tes côtés dès que tu le voudras ».


Et sur ces mots, Marc m’abandonna en plein milieu du bar, partant au bras de Sofia saluer un groupe d’amis attablés beaucoup plus loin. Je me sentis soudain très petite parmi tous ces gens inconnus. Je vidai ma coupe de champagne d’un trait.


« Le champagne a l’air de vous plaire, quelle descente ! » fit une voix moqueuse dans mon dos. Je me retournai rapidement, et découvris un jeune homme des plus charmants. Il était vraiment élégant dans son costume, et malgré son jeune âge -moins de trente ans à vue d’œil- il semblait à l’aise et habitué des lieux.

« Olivier » se présenta-t-il, me baisant la main.

« Laura, enchantée » répondis-je.

Nous passâmes un long moment à discuter, et à boire du champagne (ces serveurs étaient exceptionnels, ma coupe n’était jamais vide !). Olivier était intéressant et bien éduqué, le stéréotype même du gentleman. Etudiant en médecine, passionné d’art et de gastronomie, il avait le dialogue facile, et devenait sur certains sujets même fascinant. Il m’avait rapidement mise à l’aise et me faisait même régulièrement rire. Parfois il me chuchotait quelques confidences propres à ce lieu, et son souffle dans mon cou me faisait frissonner de plaisir. J’avais même l’impression que ces rapprochements n’étaient pas si innocents. En tout cas, plus les bulles me montaient, plus mon corps semblait réclamer le contact avec le sien.


« Je te fais visiter ? » me proposa-t-il au bout d’un moment, un soupçon de mystère dans le regard. J’acquiesçais avec avidité, tant j’étais curieuse de découvrir les innombrables pièces de ce lieux énigmatique. Il me guida doucement en posant sa main dans mon dos. Le contact de sa main chaude sur ma peau nue me fit un effet immédiat … mon sexe frémit et je pus sentir quelques gouttes de cyprine couler le long de mes jambes.


« Amuse-toi » m’avait dit Marc. Ses paroles résonnaient dans ma tête, au fur et à mesure que la main d’Olivier descendait dans mon dos, arrivant peu à peu sur mes fesses. Mon désir pour lui, à l’inverse, montait de plus en plus, et le champagne aidait à me désinhiber.
Sortant de notre bulle, je pus constater que l’ambiance du bar avait changée. Les invités semblaient… beaucoup plus proches. Certains même ne pouvaient l’être plus. C’est avec stupéfaction que je découvris quelques clients avec un grand nombre d’habits au sol, voire totalement nus. Les canapés étaient presque tous pris d’assaut, et les personnes présentes paraissaient occupées à découvrir chaque centimètre d’intimité de leurs voisins.


L’avocat que j’avais salué tout à l’heure n’était plus du tout avec celle qu’il m’avait introduite comme son épouse. Il avait la tête bien enfoncée entre les cuisses d’une magnifique métisse, elle-même occupée à avaler le sexe de ce qu’on m’avait présenté comme un notaire. Sur ma droite, une partie de carte endiablée semblait avoir pour objectif de mettre tous les joueurs à nu, littéralement. Un peu plus loin, je retrouvais l’épouse de l’avocat. Elle ne portait plus qu’un soutien-gorge en dentelle noir et ses talons aiguilles. Un grand brun lui avait attaché les poignets à un pilier et lui donnait de petits coups de fouet sur sa vulve. D’abord effrayée par cette pratique, je pus constater qu’elle l’appréciait puisque je vis son jus gicler sur ses cuisses. Quelques secondes plus tard, elle poussait un cri de jouissance.


Je sentais la main d’Olivier de plus en plus appuyée sur mes fesses. Ses doigts semblaient avides de me pétrir. En gentleman qu’il était, il attendait sagement un regard approbateur de ma part.

Je fis mieux que ça. Doucement, je me tournai vers lui. Sans le lâcher du regard, je fis passer doucement ma main droite sur ma poitrine, descendre sur mon ventre, et glisser sous ma robe. Je vis qu’il respirait plus rapidement, et une lueur sauvage était apparue dans ses yeux. Avec délicatesse, j’insérai deux doigts en moi. Le message de mon corps était clair : il était prêt à participer à ce jeu de plaisir collectif. Je décidai qu’Olivier devait le constater par lui-même, et c’est à cet effet que je lui fis goûter mon jus, dont mes doigts étaient recouverts. Il les lécha avec avidité, puis m’attrapant par ma queue cheval, il m’embrassa fiévreusement. Ses mains glissèrent sous ma robe, et je le sentis monter encore plus en tension quand il découvrit mon sexe chaud et humide, libre de tout sous-vêtement. Brusquement, il me souleva et m’amena dans une pièce légèrement plus en retrait et dont la lumière était plus tamisée. Il me déposa sur un immense fauteuil rond en velours, couleur bordeaux. Mon jeune étalon entreprit de me déshabiller entièrement, embrassant chaque centimètre carré de ma peau avec avidité. Il se mit à me doigter, tout en jouant avec sa langue sur mes tétons tendus par le plaisir. C’est fou ce qu’il était habile de ses mains…

Était-ce le lieu, cet homme, le champagne ? Je fus submergée très rapidement par un orgasme intense, qui me redressa le haut du corps.


C’est alors que j’aperçus Marc, à quelques mètres de là. Assis dans un gros fauteuil en cuir beige, le pantalon sur les chevilles et sa chemise légèrement ouverte, il observait la scène avec un regard presque animal. Sofia était à genoux entre ses jambes en train de lui faire une fellation, une main posée sur la cuisse de mon homme, l’autre massant délicatement ses testicules. Je ne sus dire si ce furent les prouesses de Sofia, mon orgasme avec Olivier, ou les deux, mais je vis mon amant tout à coup rejeter sa tête en arrière et asperger la poitrine nue de sa partenaire avec son sperme.


Le sexe d’Olivier sur mes lèvres me ramena à nos affaires. Il avait ôté ses vêtements, et debout devant moi, il attendait que je lui montre de quoi j’étais capable. Je lui adressai un sourire malicieux et provocateur : il n’était pas prêt à ce qui allait suivre.

Doucement, le fixant avec intensité, je fis passer ma langue le long de son sexe pour l’humifier. La lueur qui s’alluma dans ses yeux me fit frémir de plaisir : il avait compris que je maitrisais mon sujet. Le décalottant avec délicatesse, j’introduisis son sexe dans ma bouche, prenant soin de dérouler mes lèvres sur son gland à l’introduction, les maintenant serrées, comme s’il rentrait dans mon vagin. J’avais faim de lui, extrêmement faim…

Je faisais passer lentement ma langue de gauche à droite tout en la maintenant plaquée contre sa verge, durant les lents allers-retours de ma bouche. Petit à petit, je me mis à accélérer les mouvements, et m’amusai alors à faire tourner et rouler ma langue sur son membre.
Mes yeux ne quittaient pas les siens. Parfois je m’attardais sur son frein, faisant passer dessus ma langue rugueuse. D’autres fois, comme une provocation, j’insérais entièrement son pénis jusqu’au fond de ma gorge.

Olivier poussait de petits grognements, et son sexe était gonflé de sang, prêt à exploser. C’était le moment de passer à la phase finale, ma botte secrète. Utilisant ma main pour accentuer la pression autour de sa verge, je me mis à exercer une aspiration en plus des mouvements de va et vient rapides. Deux minutes plus tard, Olivier vint dans ma bouche.

« Putain… tu es tellement douée ! » s’exclama-t-il sans retenue, tandis que j’avalais sa semence légèrement sucrée.


Durant notre moment de complicité, la pièce où nous étions s’était remplie. Un autre couple s’était installé sur notre grand canapé circulaire, et Sofia se dirigeait vers eux pour les rejoindre. Je les vis partir dans une danse sensuelle des corps, tendre et passionnée. Cela n’était pas leur première fois ensemble, impossible, tellement leurs mouvements étaient fluides et précis. Leurs bras, leurs mains, leurs jambes, leurs bouches… ils étaient partout à la fois, ne formaient plus qu’un seul et même corps. C’était beau à voir, hypnotisant. Quelle connexion !


Deux mains puissantes se posèrent sur mes épaules, et je sentis sa présence derrière moi. Marc s’était levé et était maintenant totalement nu. Lui aussi regardait le ballet sexuel qui se déroulait sous nos yeux et cela semblait l’émoustiller. Il m’embrassa langoureusement, tout en malaxant ma poitrine.

« Tu passes une bonne soirée ma chérie ? » me souffla-t-il.

« Merveilleuse », lui répondis-je, projetant mon corps contre le sien.
C’est alors que je sentis un deuxième corps se poser contre le mien. Tournant la tête, je constatai qu’Olivier souhaitait lui aussi un deuxième round. Je l’embrassai avec avidité, répondant ainsi positivement à sa participation.


Les deux hommes entreprirent de s’occuper de moi pour mon plus grand plaisir. J’étais en feu, prête à exploser. Je les sentais partout sur moi, partout en moi. Je n’étais plus que sensations, j’avais tellement de sens et de parties de mon corps sollicitées en même temps qu’il m’était impossible de suivre l’entièreté de ce qu’il se passait. Leurs bouches, leurs langues, leurs mains, leurs doigts, leurs sexes… ils étaient partout sur moi. Parfois même, ils étaient au même endroit, au même moment. C’est ainsi que pour la première fois, je pus tester une double fellation, mais aussi une double pénétration. Pourtant très ouverte, sans mauvais jeu de mot, cela ne m’avait jamais vraiment attiré. Mais leur douceur et leur prévenance m’avaient installée dans un climat de confiance absolu. Je me sentais en sécurité et j’avais laissé mon cerveau sur pause, me rendant totalement offerte à mes deux amants.

Au bout d’un moment Marc m’attrapa par les hanches, et c’est avec une forte possessivité qu’il m’attira à lui et me prit en levrette. Olivier saisit le message et nous laissa seuls, allant rejoindre le trio juste à coté de nous.


« Assez joué, maintenant je te veux toute à moi » me susurra Marc.
Il était soudain pris d’une sorte de rage quasi bestiale, semblant vouloir se réapproprier l’exclusivité de mon corps. Fini le partage, il était temps pour lui de réaffirmer sa place officielle d’amant.

Il me pénétra avec force, puissance, poussant à chaque coup de rein au plus profond de mon vagin. Ses mains tenaient fermement mes hanches et je pouvais sentir ses doigts s’enfoncer dans mes poignées d’amour. Ce côté dominant et animal décuplait mon plaisir, et je sentais un nouvel orgasme arriver. Lorsqu’il me mit une claque sur le cul, je partis dans une jouissance foudroyante, qui me laissa à court de souffle.

Ne me laissant pas le temps de reprendre mes esprits, il me souleva et me porta jusqu’au fauteuil où il s’était tenu un peu plus tôt avec Sofia. Il m’assit sur lui, m’empalant sur son sexe. Ses mains tenaient toujours fermement mes hanches.


« Baise moi maintenant Laura. Je veux que tu me chevauches comme tu sais le faire. Je veux sentir ton sexe et ton cul bouger sur moi. Je veux sentir ton jus se répandre sur mes cuisses. »

Répondant à ses désirs, parce c’étaient également les miens, je me mis à onduler sur lui, encore et encore. Ses mains soulevaient mes fesses pour accompagner mes mouvements. J’admirais la force de ses avants bras et me délectais de sentir ses mains puissantes recouvrir mon postérieur. Sa bouche mangeait mes seins dressés devant son visage. Nous jouîmes ensemble, yeux dans les yeux, en totale communion. Doucement, je ralentis mes mouvements et nous terminâmes cet instant de volupté dans un câlin plein de tendresse.


J’étais heureuse, épanouie, pleine d’hormones de bien-être. Mais j’étais également épuisée. Au bout de quelques minutes, Marc me souleva avec précaution, et me porta doucement jusqu’à mes vêtements jetés en boule dans un coin de la pièce. Il m’aida délicatement à me rhabiller, et me tint fermement par le bras jusqu’à sa voiture. A peine le moteur démarré, je m’étais endormie.



Le soleil filtrant délicatement à travers les rideaux de ma chambre me réveilla. Un coup d’œil au réveil : 10H00. Seule dans mon lit, j’ouvrai les yeux, et me demandai comment j’avais atterri jusqu’ici. Des images de la veille me revinrent en mémoire, par flashs, et je compris pourquoi mon corps était tout endolori. Tout cela semblait si irréel…

Mais un mot posé sur ma table de chevet me rappela à la réalité.

« C’était génial. On recommence quand ? »


Bientôt, pensais-je, très bientôt !

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