Quand mon boss me confia sa nièce Claire comme apprentie, ma première impression fut que les deux prochaines années allaient être longues et ennuyeuses. Un soir, alors que ma femme avait invité la petite à dîner, je pu constater une toute autre facette de celle-ci...
Proposée le 17/06/2025 par Léa4468
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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
« Tiens Paul, tu tombes bien ! » m’interpela mon chef.
On était lundi, j’avais embauché il y a à peine 10 minutes… Dur. Même pas le temps de prendre un café. Mais la voix de mon supérieur débordait d’un enthousiasme inhabituel, et la curiosité l’emporta.
« Besoin de moi ? » demandais-je intrigué.
« Je te présente Claire, ta nouvelle apprentie ! » annonça Nicolas, surexcité.
C’est là que je la vis pour la première fois. Elle devait avoir dans les 20 ans, la moitié de mon âge (et encore…). Elle semblait si jeune, si pommée dans le grand bureau de mon boss…
Un petit mètre soixante-cinq, les cheveux longs, lisses et d’un noir corbeau, de grand yeux verts candides, et une bouche plutôt fine. Sa tenue semblait avoir été empruntée à sa mère : une jupe longue fluide, terne, qui laissait voir des ballerines vernies, un chemisier bleu ciel un peu ouvert sur une mini poitrine. D’un classicisme navrant, d’un ennui mortel. Rien à voir avec les deux secrétaires blondes aux formes généreuses et aux tenues équivoques, que Nicolas avait récemment recruté !
Plusieurs préjugés se présentèrent à moi : Claire vivait encore chez ses parents, elle devait passer ses soirées à lire, elle ne buvait surement que des mojitos sans alcool, elle serait d’une timidité excessive. Bref, Claire allait être carrément barbante !
« C’est ma nièce, je te la confie. Prends soin d’elle hein ?! » me fit Nicolas en poussant la jeune fille vers moi d’un air paternaliste. La blague… il avait déjà sauté ses deux secrétaires une bonne dizaine de fois, alors qu’elles n’étaient dans la boite que depuis un mois. Jouer les oncles poules ne lui allait pas, et moi je n’étais pas vraiment d’humeur à m’occuper d’une sainte nitouche mal dégourdie.
« Contente de te rencontrer Paul, j’ai hâte qu’on commence à travailler ensemble ». La voix de Claire venait me sortir de mes réflexions. Je sursautai. Sa voix était plus grave que je ne l’aurais pensé… chaude même, et elle dégageait quelque chose de … sensuel. Mon regard se posa sur son décolleté. Les rayons du soleil tapaient sur sa peau pale. Ils semblaient tout de même mignons… ses petits seins…
Trois mois ont passé et Claire s’est décoincée. On a appris à se connaitre, et j’avoue que j’apprécie énormément travailler avec elle. Mon apprentie s’était révélée être une jeune femme pleine de vie, toujours prête à rire et toujours volontaire pour des activités d’équipe. Elle était aussi très vive d’esprit. Très vite elle avait compris le fonctionnement de l’entreprise, mon job et ce que j’attendais d’elle. En trois mois elle était devenue indispensable à mon quotidien, et je la voyais davantage comme une collaboratrice que comme mon apprentie. Sa tenue vestimentaire elle aussi avait évolué, et je la préfèrerais nettement mieux ainsi. Petit jean moulant qui mettait en valeur son fessier rebondi, pull noir moulant, baskets blanches. Simple et efficace. On ne pouvait ignorer qu’elle était mince et musclée, et si je dois être franc, il m’arrivait souvent de l’imaginer nue.
Plus les semaines passaient, plus je la sentais à l’aise avec moi et devenir tactile. Je n’arrivais pas à savoir si c’était elle qui venait « chercher » quelque chose, ou si tout simplement les frôlements anodins de nos corps prenaient une ampleur démesurée pour moi à cause d’une mystérieuse alchimie.
Plus les jours passaient, plus je sentais mon corps se tendre vers elle à son approche. Mon nez recherchait son parfum. Mon bras cherchait à frôler le sien. Ma cuisse voulait le contact de la sienne lorsque nous étions assis côte à côte.
Mais je ne faisais rien bien sûr. Parce que c’était mon apprentie. Parce que c’était la nièce de mon boss. Parce que j’avais plus de deux fois son âge. Parce que j’étais marié, père de famille respectable, et en couple exclusif.
Enfin, en mettant mon égo de mâle de côté, il était aussi évident que cette jeune femme ne s’attarderait pas une minute sur un mec de 45 ans comme moi. Soyons clairs. Je me la jouais mec professionnel et fidèle mais un seul geste de sa part et tous mes principes auraient volés aux éclats.
Un jour, ma femme me proposa qu’on l’invite à dîner. Depuis que les enfants étaient partis en internat, Lisa et moi retrouvions une nouvelle jeunesse. Nous aimions à recevoir et à sortir, même en boîte de nuit jusqu’au levé du jour, malgré nos quarante ans plus que révolus.
Claire arriva chez nous ce vendredi soir de juin, dans une magnifique robe noire moulante, et surtout très courte. Elle portait des escarpins noirs et dorés, ce qui rendait ses jambes interminables. Ses cheveux étaient relevés en une queue de cheval haute et serrée. En lui ouvrant la porte, j’étais partagé : j’étais pétrifié de désir par sa beauté et la puissance sexuelle qu’elle dégageait ; j’étais paniqué à l’idée que ma femme se ferait en pensant que je bossais chaque jour à ses côtés dans cette tenue.
Je la saluais maladroitement d’une bise, et la fis entrer. Ma femme arriva et l’embrassa chaleureusement. Je soupirai de soulagement, elle n’avait même pas sourcillé en rencontrant Claire ni en voyant sa tenue. Elle avait même eu l’air d’apprécier.
Je dois dire que Lisa n’avait rien à envier à la petite. Ma femme faisait la jalousie des voisins du quartier. Pulpeuse, sportive, avec des hanches et une poitrine généreuse, un visage qui paraissait 10 ans de moins, c’est clair que j’étais un sacré veinard. J’aimais observer depuis notre 2ème étage les jardins du voisinage lorsque Lisa bronzait nue l’été près de notre piscine ; c’est fou le nombre de voisins qui alors s’occupaient de leur toit, de leurs haies, de leurs arbres… !
Ma femme portait ce soir une robe blanche longue et légère, à la limite du transparent et fendue depuis la hanche, avec un décolleté plongeant devant comme derrière. Elle était superbe. Je remarquai quand elle se pencha qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, et ma main sur ses fesses confirma qu’elle avait également décidé de ne pas mettre de culotte. Elle me sourit avec une lueur lubrique dans les yeux quand je m’en aperçu. La fin de soirée s’annonçait caliente. Vivement le départ de Claire !
Nous nous installâmes au patio, pour l’apéritif. J’avais mis du champagne au frais, et Lisa avait déjà posé sur la table basse des choses fraiches à grignoter. Il faisait encore chaud, et Claire fut ravie de voir tout un assortiment de fruits frais et juteux à disposition.
Les conversations s’enchainaient, étaient fluides, tantôt sérieuses, tantôt drôles. On avait l’impression de se connaitre depuis longtemps.
2 heures plus tard, nous étions toujours au patio, et la 3ème bouteille de champagne était finie. Lisa se leva pour en rechercher une, et Claire se leva également pour l’aider à ramener des ramequins vides. J’en profitai pour vérifier quelques mails sur mon téléphone, et modifier la playlist de l’enceinte. Le champagne commençait à me rendre un peu plus gai, désinhibé, et la chaleur montait en moi. Je mis une playlist plus suave, plus lente, plus sexy. Les filles revinrent avec le champagne, et je notai un changement. Claire avait les joues et le tour de la bouche rouges, sa coiffure n’était plus aussi stricte et soignée qu’en arrivant. Lisa semblait imperturbable, même s’il me sembla observer une trace de morsure fraiche près de son téton lorsqu’elle me servit mon verre.
Je secouais la tête. « Paul, ressaisis toi ».
Mais la playlist en arrière-fond n’aidait pas, ni cette énième coupe de champagne. J’avais l’impression que les filles s’échangeaient des regards complices, coquins. J’avais l’impression qu’elles passaient plus souvent qu’avant leurs mains sur leurs cuisses, leur poitrine, leur langue sur leurs lèvres. « Paul, tu as l’impression. Calme toi putain… ». Il fallait que je me ressaisisse, et vite.
Je me levai précipitamment et prétextai d’aller chercher un réassort de choses à grignoter. Durant le trajet, je sentais mon sexe essayer de sortir de mon boxer, il était en tension maximale lui aussi. Quelle idée de merde d’avoir invité Claire. J’avais une furieuse envie de les baiser toutes les deux, là maintenant, dans ce patio…
C’est alors qu’elle apparut dans la cuisine. Claire s’était adossée à l’encart de la porte, les mains dans le dos. Elle me regardait avec un feu dans ses yeux… mon cœur s’accéléra d’un coup et ma respiration avec. Je ne pouvais détacher mon regard de ses courbes, de ses jambes interminables, de sa bouche légèrement ouverte qui semblait m’appeler… On aurait dit qu’elle attendait un signe de ma part pour approcher. Putain Claire… j’ai bu, j’ai le sexe en feu, tu es une bombe sexuelle, comment peux-tu croire que je suis apte à prendre quelque décision ?
Soudain, Lisa apparut à son tour. Elle s’approcha de Claire, et commença à l’embrasser dans le cou, lui titiller le lobe de l’oreille, l’embrasser sur l’aile du nez. Puis elle empoigna fermement sa queue de cheval et attira sa bouche à la sienne. Leurs langues se mêlèrent avec avidité, leurs mains étaient en exploration constante de chaque partie de leur corps. Claire enfuit son visage dans la poitrine de ma femme, et je la vis mordiller un de ses tétons.
Et moi j’étais là, comme un con, à 1m50 d’elles, immobile, à les observer. A la fois surpris et questionnant la réalité de la scène se déroulant sous mes yeux… et excité comme jamais. Sans vraiment m’en rendre compte, j’avais défait les boutons de mon pantalon, et ma main était passée sous mon caleçon afin de libérer mon membre plus que prêt à participer à ces échanges… Mais y étais je invité ? Je ne savais pas ce qu’elles attendaient de moi : que je regarde ces deux déesses tout en me masturbant, ou que je vienne leur donner encore plus de plaisir.
Je n’osais bouger, de peur de casser la magie qui s’opérait, de peur que tout s’arrête. C’était trop beau pour être vrai.
Claire et Lisa continuaient à se découvrir : avec leurs mains, avec leurs bouches, avec le frottement de leurs peaux. Elles semblaient être dans leur bulle, une bulle de plaisir et de sensualité. Très vite elles se retrouvèrent nues, et moi aussi par mimétisme. Lisa pris la main de Claire et l’amena au salon. Elle l’installa doucement sur le canapé, et commença à lui embrasser le sexe. Je m’étais installé en face, dans mon fauteuil préféré, et je me branlais doucement, au rythme des coups de langue de ma femme sur la fleur de mon apprentie. Claire commençait à gémir de plus en plus, et elle réclamait la bouche de Lisa. Elle put ainsi se goûter, ce qui nous excita beaucoup tous les trois. D’ailleurs le remarquant, Claire se leva et se positionna debout devant moi. Elle se caressa sensuellement, puis fit glisser ses doigts en elle, lentement, profondément. Elle ne me lâchait pas du regard, tandis qu’elle effectuait ses mouvements de va et vient, de plus en plus rapides.
Alors qu’elle était presqu’à jouir, Lisa lui mit une claque sur les fesses et lui retira sa main. « Pas maintenant Claire, tu mérites mieux que ça ce soir… ».
Alors Claire s’approcha de moi et me glissa ses doigts pleins de son jus dans la bouche. Un délice. Je les suçais avec délectation.
Lisa allongea délicatement Claire sur le tapis, sur le dos. Elle se mit ensuite à genoux, au niveau de sa tête, et vint poser son sexe sur sa bouche. C’était au tour de Claire de donner du plaisir à ma magnifique femme. Claire semblait n’avoir attendu que ça de toute la soirée, si on interprète ainsi l’avidité avec laquelle elle lui empoigna les hanches, et enfouit son visage dans le sexe de Lisa. Ma femme ouvrit la bouche de surprise et de plaisir, j’en profitai pour lui amener doucement mon sexe sur sa langue. Elle l’attrapa goulument, en entier, puis se mit à le sucer… comme jamais. Plus son plaisir montait, plus sa langue et ses aspirations s’accéléraient sur mon pénis. J’allais jouir.
Je me reculais pour échapper à cette bouche démentielle. Je décidais de m’occuper un peu de mon apprentie. Moi aussi j’avais envie de la goûter. Alors que Claire était toujours allongée sur le tapis et occupée à donner du plaisir à ma femme, je passais ma tête entre ses cuisses et commençais à jouer avec ma langue sur ses grandes lèvres. Je sentis son bassin commencer à onduler de plaisir. Plutôt bon signe…
J’explorai alors plus en profondeur avec ma langue, jusqu’à trouver son clitoris. A force de jeux et de caresses, celui-ci sorti complètement de sa cachette et s’offrit à moi, gonflé de plaisir. Mon moment préféré : celui où on est à la porte de l’explosion. Je me mis à jouer avec elle, de la même manière que je jouais avec ma femme. Je savais que par mimétisme non maitrisé, elle reproduirait les mêmes mouvements et intensités sur le sexe de Lisa avec sa propre langue. Quand j’entendis les sons bien connus de respiration et de gémissements de ma femme, j’accélérai mes mouvements et la pression de ma langue sur son sexe. 30 secondes plus tard, j’eu le bonheur d’entendre mes deux partenaires gémir d’un orgasme simultané et puissant.
Je me délectai du jus de Claire, chaud, salé. Puis je l’embrassai à pleine bouche pour qu’elle se goutte, et pour que je goutte ma femme. Nous ne faisions plus qu’un à cet instant.
Lisa semblait apprécier ce quelle voyait et avait commencé à faire aller et venir ses doigts en elle. Sous son regard de braise, j’attrapai Claire par les hanches et la mis à quatre pattes avant de la pénétrer d’un coup de rein assez bestial. Elle lâcha un cri de surpris, mais me rassura d’un « encore Paul ; baise moi sale, mais baise moi bien ! ». Il n’en fallait pas plus pour faire monter encore plus mon désir (était ce seulement possible ?) et je commençai à lui donner des coups de reins lents et profonds, tout en jouant avec ses tétons et son clitoris. Quand elle fut aux portes de l’explosion, je lui adressai une grande claque sur la fesse, et elle partie dans un orgasme fulgurant.
Je décidai alors de l’abandonner un peu pour m’occuper de ma femme. Celle ci ne s’était pas laissée de côté, et pendant que je m’occupais de notre « invitée », elle s’était redonné un deuxième orgasme en solo. Je lui relevai les jambes sur mes épaules, et la pris dans un missionnaire bien profond comme elle aimait (position de l’enclume pour être exact). C’est fou comme elle était souple. A chaque fois je m’en étonnais, à chaque fois cela me faisait monter encore plus l’excitation. Elle était tellement humide qu’il fallait que je contrôle mes mouvements pour ne pas sortir de son vagin si accueillant. Je sentis Claire s’installer derrière moi, frotter sa poitrine contre mes fesses, son sexe trempé contre mon mollet. Mais je devais d’abord m’occuper de ma femme. J’accélérai les mouvements, et rajoutai trois doigts en plus de mon pénis dans son vagin. Ma botte secrète. Elle se mit à onduler de plus en plus sous moi, jusqu’à ce que j’applique ma dernière astuce, je lui mordis le téton. Elle partit dans un nouvel orgasme en poussant un cri long et profond. J’étais au paradis.
C’est alors qu’un fantasme s’imposa à moi, comme une évidence. Je les fis mettre l’une à côté de l’autre, à genoux sur le canapé, culs tendus. Elles me tournaient le dos, me présentant leurs vulves humides. Je me mis à me masturber d’une main ferme et puissante, et il ne me fallut pas longtemps après tout ce plaisir contenu, pour les recouvrir de mon sperme chaud. Je les sentis frémir de plaisir en sentant ce jus chaud recouvrir leur dos, couler entre leurs fesses, asperger leur sexe. Je me délectais de les voir ainsi marquées de mon plaisir, de ma masculinité. Quel spectacle magnifique… Je me plaisais à observer ces corps haletants, rouges, épuisés de l’intensité des nos ébats, et marqués par le plaisir.
Nous prîmes une douche tous les trois. Douce, sensuelle, longue. L’eau tiède remettait nos esprits en place, délassait nos corps. On se savonnait, on s’embrassait.
On était bien.
Personne ne parlait, pas besoin. Nos corps entremêlés, nos respirations, nos caresses, le faisaient pour nous.
Je n’avais pas envie que cette soirée s’arrête. Et je connaissais suffisamment Lisa pour savoir qu’elle non plus. Je me lançai : « Claire, tu veux rester dormir avec nous ce soir ? ». Elle chercha Lisa des yeux pour obtenir son consentement, puis acquiesça d’un sourire timide mais soulagé. Elle aussi avait envie de faire durer cet instant.
Tout s’était passé de manière si fluide. Si intense. Nous avions ressenti une telle connexion entre nous trois. Cela ne pouvait tout simplement pas s’arrêter. Une sorte de coup de foudre.
En sortant de cette douche, nous sûmes que plus rien ne serait comme avant.
En s’endormant dans les bras l’un de l’autres, nos trois corps nus entremêlés, nous sûmes que quelque chose commençait.
Claire allait faire partie de nos vies.
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