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Fétichisme narcissique

Depuis que je suis enfant, j’adore attirer l’attention sur moi. J’ai la chance d’être un joli garçon et il ne m’a pas fallu longtemps pour comprendre l’attraction que j’exerçais sur mes semblables. A l’école j’étais très courtisé par les filles et les garçons.

Proposée le 13/06/2025 par NONNE

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: HH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme


Depuis que je suis enfant, j’adore attirer l’attention sur moi. J’ai la chance d’être un joli garçon et il ne m’a pas fallu longtemps pour comprendre l’attraction que j’exerçais sur mes semblables. A l’école j’étais très courtisé par les filles et les garçons. Pendant longtemps je me suis demandé si j’étais homo, bi ou autre chose ? En fait j’étais surtout moi, c’est-à-dire un garçon fasciné par le pouvoir que j’exerçais sur les autres. De plus j’adorais me montrer, notamment tout nu. J’étais fasciné par l’idée de nudité publique. Je pense que pour moi le risque a toujours été de le gérer. Je jouais à m'exposer dehors, voir jusqu'où je pouvais aller, partagé entre la peur de me faire surprendre et l’excitation que cela engendrait chez moi.

Accro à mes petits jeux narcissiques je suis devenu exhibitionniste me faisant régulièrement de grosses chaleurs mais aussi de belles découvertes. Mon fétichisme n’était pas commun mais parfois il m’arrivait de drôles d’histoires dont le souvenir faisait saliver mon sexe. Finalement mon addiction n’était pas si rare ni banale. Pour les menus plaisirs je m’amusais à laisser ma braguette ouverte en laissant juste dépasser mon gland…

Ma petite manie durait. Jamais de problème seulement des émotions dont le souvenir gonflaient mon pantalon. Sous prétexte de naturisme je me mettais dans des situations qui laissaient deviner mes attributs. Je poussais le plaisir en affichant ouvertement mon sexe en laissant croire que j’étais bourré. C’est ainsi que je me suis retrouvé un soir dans le métro, non loin d’un beau garçon… une sorte de boyscout sauveur de la veuve et de l’orphelin… en tous cas c’est comme cela que je l’ai senti.

Il se faisait tard. Nous n’étions que nous deux dans l’espace des sièges. Ma bête n’était pas loin de sortir. Je l’ai encouragé et mon sexe est sorti non loin de lui. Il ne pouvait pas le manquer. Je ne me gênais pas pour astiquer discrètement mon paquet en le guettant du coin de l’œil. Au début le regard est furtif. Ensuite il regarde si personne d’autre ne voit mon exhibition… enfin il regarde franchement ma main qui flatte mon engin… Moi, je refuse de rencontrer son regard… je le laisse prendre l’initiative. Je le sens dans mes tripes ce type va bouger ! L’idée de me faire toucher ma bite m’excite à mort. Le voilà. Il est à côté de moi. Sa main est hésitante mais ça bouge vite. Sa main chaude branle mon sexe doucement, comme s’il avait peur de me faire mal ou de ma réaction… Je ne bronche pas. J’attends le moment où mon jus va l’inonder et le faire fuir. Amusant.

Je ne crois pas étonner les lecteurs en constatant que la majeure partie des gens que je côtoyais, la bite sortie, n’y prêtaient pas attention, d’autres tout aussi étonnamment faisaient comme s’ils n’avaient rien vu. Rares, très rares étaient les réactions qui m’obligeaient à m’éclipser la bite revenue à son endroit naturel. Plus rares encore des réactions, comment dire : « encourageantes ! ».

Nous étions à l’été 2001 et les occasions de me promener très légèrement vêtu ne manquaient pas. Je naviguais généralement entre le 2e arrondissement et l’île Saint Louis. Les connaisseurs savent pourquoi. Parfois du coté de Beaubourg. Ce jour-là j’avais une longue chemise blanche transparente, un short minimaliste qui ne cachait rien ou pas grand-chose de mes jolis bijoux (et bien sûr, rien d’autre !)

Je ne l’ai pas remarqué immédiatement… Un homme aux cheveux gris qui me fixe en se frottant le paquet. Pas laid… plutôt quelconque jusqu’au moment où je rencontre son regard. L’invite était claire. L’homme a ouvert sa braguette en me fixant et à mon grand étonnement commence à se branler. Mon sang s’est mis à bouillir. Je dégage à mon tour ma bite déjà dure et je fais de même. Bien sûr, vous ne le croirez pas mais durant trois ou quatre minutes nous nous sommes caressés sans attirer l’attention de quiconque. Je le vois qui se tourne légèrement pour jouir, ce que je fais à mon tour. Lorsque je relève les yeux, il n’est plus là. Après quelques secondes de dépit, je réalise qu’il ne pouvait y avoir d’autres choix. L’aborder signait la fin de notre excitation mutuelle. N’empêche pendant des semaines je suis revenu sur place, sans succès

Une autre recette de mes expériences d’exhibitionniste a été de louer des vélos et de me promener assis sur ma selle avec le short si bas qu’il dégageait mes fesses et la raie de mon cul. Je faisais comme si je ne me rendais compte de rien mais les quelques remarques salaces de mes voisins cyclistes et motocyclistes me chauffaient le sang. J’ai dû arrêter le jour ou un motard sans complexe a glissé sa main dans l’ouverture pour me titiller l’anus. Putain, c’était chaud ! To Much.

Contrairement aux idées reçues, exhibitionniste, je ne suis jamais passé dans un jardin d’enfants. Je n’étais pas sage mais cela me répugnait. Je cherchais le regard de voyeurs. Encore fallait-il le trouver. Mes visites dans le métro m’ont fait vite comprendre que je n’étais pas une pièce unique. Dans les tunnels du métro on avait la possibilité de s’installer à un tournant où passait beaucoup de monde. Les gens circulaient si vite que ceux qui s’apercevaient de mon petit manège étaient engloutis dans la foule avant de pouvoir réagir.

Un soir je me suis trouvé un concurrent. Je le trouvais gonflé et surtout je pouvais voir qu’il était sacrément bien monté. Un homme mur, le teint basané, légèrement corpulent mais … p.. Quelle bite !

Nous surveillant l’un l’autre nous passions de longs moments à montrer notre sexe mi bandé aux passants. On se prévenait en cas de danger… Un soir je fis un pas vers lui. Je me suis rapproché sans qu’il cherche à se cacher ou à s’échapper. J’ai pris son sexe dans ma main et j’ai commencé à le caresser. Il a jouis de suite. C’était la sortie des bureaux. Personne n’a fait attention. Je me souviens simplement avoir murmuré : « A demain soir ».

Il était là.

Après avoir soigneusement déboutonné mon manteau, mes doigts ont trouvé et ouvert ma braguette. Difficile de décrire l'excitation de cet acte, même sous le couvert de l’ombre. J'ai glissé ma main sous ma bite pour libérer mon paquet jusqu'à ce que tous mes organes génitaux dépassent de mon pantalon. Mon manteau entrouvert, un observateur aurait pu voir ma bite mais moi je voulais la montrer à « l’autre ».

Le cœur battant, je faisais semblant d’attendre le métro adossé au mur, planqué à côté d’une machine qui vendait des friandises comme si j'en étudiais le sélection, tout en me masturbant subrepticement à travers mon manteau. En face de moi, mon « concurrent » était le dos tourné à la foule. Nos deux queues sorties ce sont rapprochées à se toucher.

On ne se connaissait pas mais cela n’avait pas d’importance. Nos yeux brillaient, nos bites étaient dures et se frottaient l’une à l’autre. On ne faisait plus attention à rien d’autre et les passants nous ignoraient. J’avais un sexe fin et long, sa verge était épaisse et courte. Nous avons frotté nos sexes sans un mot, concentrés sur notre excitation. J’avais du mal à m’empêcher de jouir. Je n’ai pas pu résister lorsqu’il a attrapé mon sexe pour le glisser dans le prépuce de son membre. C’était comme si je le baisais par l’intermédiaire de cette étrange liaison. J’ai jouis dans un gémissement venu du fond de mes tripes. Il a souri. Il a ensuite rangé son petit meuble dans son pantalon et il m’a juste dit : « A demain » Pas un mot de plus.

Le lendemain il était là. Nous ne nous parlions pas. Nous nous touchions le sexe langoureusement jusqu’à l’éjaculation. Pas question de nous sucer. Finalement c’était assez frustrant. J’avais envie de mieux. De plus.

Cet après-midi-là, une question, soudain :
- Aimerais tu que je te baise ? Moi, un peu étonné et intrigué..
- Pourquoi pas, mais où ?
- Ici m’a-t-il rétorqué. Et il n’a pas attendu ma question…
- Fais un trou dans ton pantalon sous ta gabardine. Je trouvais l’idée démente et pourtant j’étais excité comme rarement.

Durant les deux jours suivants j’avais la bite sauvage. Heureusement que c’était les vacances.

Il m’a donné rendez-vous à notre endroit habituel. J’avais récupéré un vieux jean que je l’ai découpé afin de libérer l’accès à mes fesses. J’adore le sensation de fraicheur que je ressens protégé par ma gabardine, en plus cela me donne des idées. A deux reprises au moins, je fais exprès de laisser entrevoir mes fesses à des voyageurs enfermés dans les wagons du métro en me tournant vers eux. Image fugitive mais quelle excitation !

Il m’attend. Cette fois, je sens son ventre qui se colle à mes fesses. J’appréhende la douleur de la pénétration et j’ai pris quelques précautions. Mon trou est rempli de crème pour faciliter son intromission. Mais je ne suis pas trop inquiet. Mes exercices solitaires m’ont habitué à des pénétrations « envahissantes ».

P.. ! Je sens le bout de son membre qui cherche mon anus. Il bataille un instant. J’adore. Sa bite cherche et caresse mes fesses, ma raie, ma porte de service. Par réflexe je me détends pour lui faciliter les choses. Son gland est arrivé à destination, moi la chatte ouverte pour l’avaler sans difficulté. C’est merveilleux. La situation nous oblige à nous mouvoir avec précaution à la fois pour le sentir au fond de moi et pour éviter d’attirer trop l’attention.

C’est comme cela que j’ai commencé un long apprentissage d’enculage public. Jamais je n’ai su le nom de mon acolyte. Jamais je n’ai pu l’enculer. Jamais il ne m’a invité même à boire un pot. De semaines en semaines il m’enculait et jamais nous ne nous sommes fait prendre. Moi j’étais devenu accro à l’étrange attelage que nous formions. J’en arrivais à me masturber rien que d’y penser. Et puis un jour. Plus rien.

Je n’ai jamais su pourquoi il avait disparu, ni quelle aventure ou mésaventure l’avait fait disparaitre. Mais depuis, je ne me contente pas de montrer mes bijoux de famille, mais en plus je laisse deviner mon postérieur et mes appâts de minet. J’ai découvert, lorsque je choisis le bon endroit, que je ne reste pas longtemps seul. J’adore me faire prendre debout, dans un coin… sentir la queue qui cherche à me pénétrer, les doigts qui me fouillent, les caresses sur mes fesses et mes parties… je suis et je reste exhibitionniste : j’aime que l’on regarde lorsque je me fait prendre. La prochaine fois que vous prendrez le métro … marchez moins vite. Je suis généralement proche des armoires à friandises…

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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