Fanny sort d'une relation hétérosexuelle intense. Elle ne parvient pas à surmonter sa rupture. Heureusement, Léa sa colloc' va l'y aider en lui faisant découvrir de nouveaux plaisirs.
Proposée le 13/05/2025 par Léa4468
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Thème: Première fois
Personnages: FF
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
« Maintenant ça suffit ! » cria Léa en faisant irruption dans ma chambre.
Ma colloc’ semblait hors d’elle. « Putain mais regarde toi Fanny ! Ça fait des semaines que ça dure… ». Je jetais un regard à mon miroir. Le reflet n’était pas tendre.
J’avais la peau pâle. Trop pâle. Conséquence de semaines passées dans le noir et sans sortir respirer de l’air frais. Mes yeux étaient cernés et rouges. Conséquence des nuits blanches passées à pleurer.
Cela faisait un mois et demi environ que mon mec m’avait larguée. Si je n’étais pas du genre à faire dans le sentiment, celui-ci il m’avait … envoutée. Notre rencontre avait été explosive. Un regard échangé au bar d’une boite de nuit, deux danses endiablées, et il me faisait jouir comme jamais dans les toilettes. Notre histoire avait duré six mois. Six mois de passion intense. Nous avions une attraction mutuelle inexplicable, presque animale. Juste le fait d’être dans la même pièce mettait nos sens en délire, et nous étions nus deux minutes plus tard. Avec lui, je crois que j’ai exploré l’entièreté de mon corps, découvert toutes mes zones érogènes possibles. J’ai découvert des plaisirs insoupçonnés et me suis adonnée sans réfléchir à de nouvelles pratiques sexuelles, parfois obscures. Rien ne semblait avoir de limite lorsque nous étions ensemble. J’avais une confiance totale et aveugle en lui, et j’arrivais dans nos ébats à ne me laisser guider que par mes sens et mon plaisir.
Puis un jour la douche froide. Un post-it au réveil sur la table de nuit : « C’était sympa. Prends soin de toi. Marc ». Et plus jamais je ne l’ai revu. J’ai tenté de l’appeler, de lui envoyer des mails. Il m’avait totalement ghostée. Sans explication. Léa m’avait ramassée à la petite cuillère, et s’acharnait depuis des semaines à faire preuve de patience, de compréhension et de soutien. Mais là c’en était trop. Et elle semblait plus déterminée que jamais.
Elle ouvrit d’un coup sec les rideaux, laissant la lumière pénétrer dans ma chambre. Il faisait un temps magnifique et les arbres étaient en fleurs. Je remarquais seulement alors son short en jean. Nous étions déjà fin mai. Je constatais à quel point mon amie était belle, surement à cause du contraste que mon reflet dans le miroir offrait. Sa peau avait déjà commencé à dorer avec le retour du soleil, et ses longs cheveux blonds tombaient en ondulations sur sa magnifique et généreuse poitrine. Léa était toute en courbes, pulpeuse. Ses hanches n’attendaient que d’être empoignées fermement, et ses fesses rebondies ressortaient par-dessous son short trop court. Je me pris du désir de les mordre… Je me ressaisis.
« Léa, fiche-moi la paix. Je n’ai pas fini mon deuil », implorais-je.
« Tu te tais, tu te lèves, et tu vas prendre une douche. Fais un bon shampooing par la même occasion… Sérieux Fanny tu as vu ta tête ? ».
Je me mis à pleurer, de sanglots qui viennent du fond des tripes. Intenses, profonds. Pas le petit chagrin d’adolescente, celui qui relève de la perte d’un être cher. Marc en six mois était devenu mon monde, ma raison de vivre.
Léa se radoucit, et me prit dans ses bras. Lentement mais fermement, elle me dirigea vers notre salle de bain. Elle mit l’eau à couler, et pendant que la baignoire se remplissait, elle entreprit de me déshabiller. Elle me retira mon t-shirt, puis mon pantalon de pyjama. Le glissement du tissu sur mes jambes me fit frémir. Doucement, elle retira mon soutien-gorge, puis ma culotte. Elle me contempla un moment, puis finit par me dire : « Tu es belle Fanny, magnifique. Promets-moi que plus jamais tu ne laisseras quelqu’un te briser le cœur ». Je hochais la tête timidement, à la fois un peu gênée d’être totalement nue devant elle, mais surtout parce que je ne pouvais m’engager à de telles promesses n’étant toujours pas remise de ma dernière rupture.
Elle m’aida à rentrer dans la baignoire. Elle retira son haut et son short et s’assit au niveau de ma tête. Elle arborait de jolis sous-vêtements rouges en dentelle : un soutien-gorge corbeille, avec de petits anneaux dorés, et un tanga avec de petits nœuds sur les côtés. Léa était tellement féminine… Je l’enviais souvent depuis notre adolescence.
Mon dos reposait sur ses jambes. Je les caressais en guise de remerciements pour l’attention qu’elle me portait. Elle commença par me laver les cheveux. Doucement. Elle me massait le crâne en faisant pénétrer le shampooing. Jamais on n’avait pris soin de moi comme ça. Peu à peu je me laissais aller à la rêverie. J’étais bien, dans cette eau chaude et parfumée. Délicatement, elle rinça avec de l’eau chaude, tout en continuant ses massages. Les vapeurs et les massages de ma colloc’ me faisaient aller vers un état second.
« Je vais te laver maintenant, si tu es d’accord ». Sans vraiment prendre conscience de ses paroles, toute à ma rêverie, je hochais la tête. C’est alors que je sentis ses mains me parcourir. D’abord la nuque, les épaules puis les bras. Ses mains descendirent ensuite sur ma poitrine, qu’elle commença à pétrir délicatement sous ses doigts. Je me mis à rougir. Ses mains étaient si douces, si sensuelles. Elle se mit à jouer avec mes tétons qui pointaient de plaisir, et je sentis une vague de désir gagner mon entrejambe. Elle se pencha alors plus en avant, pour me savonner le ventre. Sa poitrine était au niveau de mon visage. Je pouvais respirer son odeur et cela m’enivrait. Ses seins étaient beaux : ronds, fermes. Un appel aux fantasmes les plus fous.
Je ne sais pas ce qu’il me prit, mais je les embrassais. Elle se mit à soupirer de plaisir, ce qui m’émoustilla encore plus. J’entrepris alors de les lécher, les mordiller, les dévorer. Léa en se penchant pour être encore plus accessible à ma bouche, avait alors accès avec ses mains à mon intimité. Je sentis ses doigts chercher ma vulve, et se mettre à caresser mon clitoris. Elle me caressait, encore et encore, sans s’arrêter. Et moi la tête perdue entre ses seins, j’oubliais tout. Mon pouls et ma respiration étaient de plus en plus rapides. Mes jambes tremblaient de plaisir. D’un geste expert, elle fit rentrer son index et son annulaire dans mon vagin, laissant son majeur à l’extérieur sur mon clito. Ainsi elle me doigtait tout en asticotant mon clitoris. Je n’en pouvais plus, l’excitation était à son comble. Je jouis sous ses doigts en laissant échapper un cri puissant. Un orgasme fort, intense, libérateur. Avec cette énergie expulsée de mon cœur, l’emprise de Marc avait suivie. Je me sentais alors apaisée, calme, puissante.
D’un geste rapide je fis basculer Léa dans la baignoire avec moi, et l’embrassait avidement. Sa langue sur la mienne me fit frémir. Ses lèvres pulpeuses me donnaient envie de les mordre. Je lui retirais sa culotte et lui pris ses fesses rebondies à pleines mains. Je la retournais et entrepris de réaliser mon fantasme de tout à l’heure. Je lui embrassais son postérieur, le léchais, le mordillais. Elle s’était mise à haleter. « Continue », souffla-t-elle.
Je laissais passer ma langue entre ses fesses et descendre jusqu’à sa chatte. J’introduisis ma langue dans son vagin et goutais à sa mouille. C’était une première fois pour moi. De gouter une femme. Et … c’était divin. Toutes les dernières semaines me revinrent en mémoire : Léa avait tant fait pour moi. Je ne pouvais pas la décevoir. Alors je fermais les yeux, et me concentrais entièrement sur elle. Je me mis à écouter et ressentir le moindre de ses gestes, de ses soupirs, les battements de son cœur, sa respiration. Je me mis à la lécher, d’abord vers son vagin, puis vers son clitoris. J’aspirais ses belles lèvres, et les suçais avec avidité. Je me mis à jouer avec le bout de ma langue autour de son clitoris maintenant sorti et gonflé. Puis avec ma langue bien à plat, je me mis à la lécher sur toute la vulve de manière ferme et appuyée. Avec mes doigts, je jouais avec ses seins, m’amusant à pincer ses tétons. Elle gémissait de plus en plus. Elle allait jouir. Avide de regoûter à son jus, je lui surélevais un peu plus les fesses pour être sûre de n’en perdre aucune goutte dans ce bain merveilleux. Quand elle vint, j’étais prête à la recevoir. Pendant qu’un cri de plaisir s’échappait de sa bouche magnifique, je me délectais de son doux breuvage salin. Un délice. Je su à ce moment que plus jamais je ne pourrais me passer de la chatte d’une femme.
Mais je n’en avais pas fini avec ma colloc’. J’introduisis mes doigts en elle, et me mit à la doigter, de plus en plus rapidement et profondément. Je sentis peu à peu son vagin se contracter autour de mes doigts, ce qui fit augmenter encore plus mon excitation. Je me mis à me doigter en même temps, avec ma main libre restante. Se rendant compte que j’avais lâché sa hanche, elle tourna la tête vers moi. Dans un regard intense partagé, nous jouîmes en même temps sous mes doigts.
Doucement je ralentis le mouvement, puis retirais mes mains de nos intimités. Nous restâmes quelques secondes haletantes à nous regarder, puis Léa se leva, récupéra ses affaires, et ouvrit la porte de la salle de bain. Alors qu’elle passait le seuil de la pièce, elle lança d’un air léger et totalement normal : « J’ai grave la dalle, je nous commande des pizzas ! ».
Je me retrouvais seule dans cette pièce humide et pleine de vapeur. Avais-je rêvé ? Je mis mes doigts dans ma bouche et me délectais une dernière fois de son jus. Non c’était certain.
J’avais une colloc’ en or, qui avait tout donné pour me permettre d’oublier Marc. A partir de ce jour je lui étais à jamais redevable et serais prête à tout pour elle. A tout…
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