Être gay n'est pas un choix, juste une envie irrésistible. Céder à céder envie n'est pas bien difficile, mais lutter contre vous rendra malheureux toute votre vie. Autrement dit: le mieux est de s'assumer comme gay, rien à y perdre, tout à y gagner. Et ce qui suit, c'est mon histoire
Proposée le 23/04/2025 par Sacha
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Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Dès l'âge de seize ans, les garçons m'attiraient. J'aimais bien les douches collectives, où je pouvais les voir nus. Je diisimulais alors tant bien que mal mon érection, et j'allais me branler dans les toilettes du vestiaire.
Sauf une fois, où j'ai repéré un mec qui bandait, et que mon corps ne laissait visiblement pas indifférent. On s'est retrouvés dans les toilettes, et on s'est très bien branlés mutuellement. C'était mieux, beaucoup plus excitant. On s'est aussi caressé les fesses.
Quelques années plus tard, un homme m'initia. Il avait environ 20 ans de plus que moi, et savait y faire. Il commença par nouer avec moi des relations amicales, sans cacher pour autant son attirance pour les garçons. J'espérais bien un geste de sa part. Mais à ma grande surprise, rien ne se passait, même après les invitations à dîner, quand je restais dormir dans sa chambre d'ami. C'est tout juste si, quand il me frôlait, je sentais ses mains baladeuse, effleurant comme par mégarde mes fesses où mon sexe, très sensible à ses attentions.
Jusqu'au jour où, prequ'à moitié endormi, je sentis une présence dans la pénombre. C'était lui, enfin. Il souleva le drap, et, comme j'étais nu dans l'attente de son approche, il commença à me caresser voluptueusement les fesses. Mon amant flattait ma croupe.
Parfois mon corps était comblé quand sa main s'attardait dans ma fente et taquinait mon anus. Alors je n'en pouvais plus d'attendre sa queue dans mon cul, je me dandinais et tortillais du cul comme une gonzesse.
Comme en plus j'avais de petits seins, il me les caressait vontiers, en me baisant, mordillant et pinçant les têtons.
Puis il me demanda de soulever un peu mon cul, pour pouvoir palper mes couilles et entourer ma queue, de sa main, ma queue qui déjà bandait ferme. Il me branlait doucement.
Il me prit en bouche, et moi je fis pareil avec son sexe. On s'est sucés en 69. C'était génial.
En plus, ses caresses sur les fesses m'avaient tellement excité que ma fente l'attendait. Mes fessesn ne demandait qu'à s'entrouvrir pour lui faciliter le passage. Il me lécha l'anus, mon petit trou qui se contractait et se dilatait, comme une vulve, en attendant de sentir son gland, dès qu'il l'aboucherait à ma ventouse. Ce qu'il fit, après m'avoir demandé de me mettre en levrette. Il m'a sauté. On a joui.
J'aimais bien aussi son langage cru, quand il me traitait de petite salope en coïtant en moi. J'aimais bien qu'il me baise, enfin, et l'idée qu'à présent nous étions amants, que j'étais son partenaire, qu'il me reprendrait bientôt.
Le lendemain, au cours du déjeuner avec un couple gay des ses amis, il dit devant eux , parlant de moi: "je me l'suis fait'. Ça m'a bien plu. Enfin j'en étais. Tout en disant cela, il a posé sa main sur la bosse se mon pantalon, comme pour prouver qu'avec moi il était désormais en terrain conquis, qu'on était cul et chemise, ce qui était le cas .
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