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III - Anna et les cocus

Nos vies partagées avec Éric qui ne vivait pas avec nous occupaient Anna. Périodes popote et compagnie. Anna avec notre complicité s’était découvert un appétit sexuel hors du commun. Nous étions en première ligne. On ne s’étonnera pas si le sujet vint de la bisexualité féminine.

Proposée le 18/04/2025 par NONNE

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FHH
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Fantasme


Rappelons que nous étions tous les trois des « matures » comme on dit. Moi j’avais les 49 ans, Anna 46 et Éric 47. Avant le départ de nos enfants nous avions une vie sociale plutôt pépère. Désormais, comme pour rattraper une vie trop sage, la folie du sexe est devenue le centre de nos distractions. Cela venait par vagues. Des périodes sauvages et bestiales d’autres très soirées couffins. Nos vies partagées avec Éric qui ne vivait pas avec nous, occupaient Anna. Périodes popote et compagnie. Elle râlait de temps en temps mais sans trop. Juste ce qu’il fallait pour obtenir une gâterie ! Anna avec notre complicité s’était découvert un appétit sexuel hors du commun. Nous étions en première ligne. On ne s’étonnera pas si le sujet vint de la bisexualité féminine.

C’est Éric qui déclencha la chose. Son intention était de faire gouter à ma femme une amatrice de Lesbos. Ou la trouver ? Pour nous une nana dans la lit d’Anna nous laisserait un peu de temps libre. Il plaisantait bien sûr. Nous adorions notre petite femelle.

Ce soir-là nous nous étions gavés de films montrant des filles se faire plaisir. Aucun de nous trois n’était resté insensible. On a jouée à la petite pute qui gouine ses copines. Faute de lèvres féminines nous avons testé un mets rare « le rimming » ou anulingus. Tu bouffe le cul de ta ou de ton partenaire jusqu’à le faire jouir. Il faut lui écarter les cuisses, les fesses et de te livrer à un exercice de lèche-cul approfondit. Inutile de dire que chacun doit être clean ! Pas évident mais terriblement délicieux ! On ne pouvait pas en rester là.

Nous étions des libertins qui cherchions une nouvelle maitresse pour nous distraire la voir s’amuser avec Anna. Pas évident. Faute d’idées originales nous décidâmes de tenter une incursion dans une de ces boites décrites comme l’entrée de l’enfer des sens. Il fallait trouver chic et pas de crad… un endroit haut de gamme. C’est encore Éric qui partit à la chasse sur la toile. Le SunSex était décrit comme un endroit chaud et de bon goût.. On décida d’en dire le moins possible sur l’endroit à Anna. Seulement qu’il s’agissait d’une cabaret produisant des spectacles interdits aux moins de 18ans. Nous savions seulement que toutes les heures et face aux spectateurs qui dinaient, des couples et des femmes se faisaient des câlins très sex.

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L’entrée du SunSex était d’une parfaite discrétion. Une plaque sur le bord de la porte en chêne et une belle hôtesse qui, tout sourire, nous accueillait. Nous un peu nerveux nous nous laissions conduire. Un homme l’intercepta et nous guida jusqu’au bord de la scène. Nous apprîmes plus tard qu’il était le patron du club. Il nous laissa sur place, un peu ahuris, alors qu’une hôtesse venait nous servir un verre de champagne. On essayait bien de paraitre décontractés mais être si prêt de la scène me dérangeait, nous dérangeaient. On sentait la présence du public derrière nous. Je n’aimais pas. Ne pouvant rien faire d’autre j’observais notre entourage. J’eus vite fait de constater que le patron avait fait installer au bord de la scène les plus belles filles de l’assistance.

Anna était silencieuse, avec son faux air de Monica Bellucci elle attirait l’attention. Ma femme n’aimait pas qu’on le lui dise, préférant être elle-même ! Les yeux noirs, de légères cernes sous les yeux rendaient son regard plus profond. Ma femme et amante d’Éric faisait forte impression. Ce soir-là elle portait un robe bleue longue dégagée aux épaules et dos nu laissant entrevoir la naissance de ses seins, un dos bien droit et ... aucun sous-vêtements. Éric tentait de la distraire sans trop de résultats. Nous savions l’un comme l’autre que la soirée était dédiée aux amours saphiques. Les quelques films pornos lesbiens que nous avions visionnés ensemble ne semblaient pas l’avoir vraiment inspiré. Nous étions curieux de voir les réactions d’Anna avec de vrais actrices devant elle.

La salle bruissait de conversations, on sentait une nervosité croitre sans en comprendre encore les causes. Moi je m’interrogeais sur les motivations des personnes présentes. Visiblement ils y avaient dans la salle des connaisseurs ou des habitués. La lumière se mit à diminuer. Devant nous une lumière rasante éclaira un plateau destiné aux acteurs. Un plateau qui se mit à tourner.

Deux personnages masqués vinrent danser lascivement devant nous tout en commençant à se déshabiller mutuellement. Une femme aux épaules carrées et une poitrine aux tétons vite durcit par les passages de la main de la seconde femme. Petite menue, sans poitrine, elle s’amusait à s’enrouler autour de la première femme en tentant de lui enlever un pagne qui tomba enfin.

La salle s’exclama, la femme magnifique aux fesses bien rondes nous faisait face : C’était un travesti ! Son sexe déjà bandé, il se frottait à la petite femme qui finalement se laissa faire. L’autre pris son temps. Dans la salle tout le monde retenait son souffle. Déjà un soupir de plaisir se fit entendre dans l’ombre. Des gens pressés ! Puis ce fut une seconde exclamation. La fille menue déshabillée, n’était autre qu’un garçon. Un garçon imberbe avec un sexe de femme. La stupéfaction était complète mais la séquence lubrique vint immédiatement après. Le travesti vint manger la chatte de la femme-garçon qui lui rendait la pareille. La séquence était torride et nous étions tous en ébullition.

Éric qui ne perdait jamais de temps avait profité de la semi obscurité pour estimer la température corporelle de notre Anna. A voir le pouce levé, il confirmait que la dame profitait du spectacle. C’était un truc que je connaissais depuis longtemps. La température du corps d’Anna grimpait de façon parfois spectaculaire lorsqu’elle était excitée. Bonne nouvelle. Les suites de la sortie s’avérait prometteuse !

Le couple s’amusa un moment devant nous puis s’enfuit dans l’obscurité pour laisser la place à deux filles qui nous montrèrent l’art d’un cunni haut de gamme. Elles ne faisaient pas semblant et gémissaient parfois bruyamment. L’affaire se corsa lorsqu’une troisième fit son apparition un sexe monstrueux autour de la taille. Honnêtement je ne dû pas être le seul à me dire, ça ne passera pas ! Hé bien si. Le godemiché devait faire au moins quatre centimètres de diamètre…

Ces deux nanas aimaient l’amour vache. Nous vîmes le god ceinture s’enfoncer dans son ventre sans difficulté. Le coït dura deux longues minutes et alors que nous pensions la prestation achevée, la femme au sex-toy retourna sa partenaire et sans autre préparation le lui enfonça dans l’anus. Cela relevait du fist. C’était lubrique, bestial, féroce. Nous l’entendions gémir mais nous étions tous persuadé que c’était de plaisir. La salle impressionnée était silencieuse même si des gémissements libérateurs s’entendaient déjà ici et là. !

Ni Anna, ni Éric, ni moi, nous nous attendions à un tel spectacle. Nous encadrions Anna et tous les deux avions les doigts glissés sur sa chatte. Elle était trempe et son ventre vibrait déjà. « Patience » glissa-t-elle entre ses dents. Ne me faite pas jouir de suite.

Nous eurent droit à un intermède sous la forme d’un couple d’hommes qui affrontait un couple de femmes. La lumière était partiellement revenue et nous vîmes les hôtesses nous proposer du champagne, qui fut bien accueillit : « Chaud devant » fut la première remarque d’Anna. Putain acheva-t-elle en buvant son verre d’un coup… va falloir que je m’entraine ! ».

En face les hommes avaient pris le dessus sur les filles et s’apprêtaient à les baiser lorsque la lumière s’éteignit à nouveau ne laissant deviner que des silhouettes de femmes qui sortaient de l’ombre. Les couples disparus, les silhouettes féminines se rapprochèrent des … spectatrices. La lumière venait, disparaissait et dans la semi obscurité les filles se rapprochaient des femmes du premier rang.

Anna visiblement faisait partit des cibles. Une brunette mince, aux yeux trop maquillés, le ventre glabre vint se poster devant Anna commençant à se masturber devant son visage de façon provocante. Éric et moi nous comprirent vite que la soirée Lesbos commençait. Les spectatrices faisaient face aux provocations des actrices. Toutes jouaient le jeu, des caresses, des pénétrations légères, des lècheries provocantes… Pourtant moi, j’ai vite deviné que cela n’était pas si clair pour Anna. La brunette avait un corps de sportive, de long cheveux tombant librement, un visage plutôt viril et des formes graciles et très féminines. Moi … je n’aurais pas dit non.. Mais c’était la fête à notre « meuf ».

Contrairement à ses collègues la brunette ne bougeait pas face à Anna, écartant sa chatte pour y enfoncer ses doigts tout en ne la quittant pas des yeux. On pouvait voir qu’elle mouillait beaucoup. Contrairement aux autres elle ne cherchait le contact qu’avec Anna. Surtout je découvrais qu’Anna se laissait entrainer par la lubricité de la fille. Celle -ci venait de se rapprocher encore jusqu’à toucher les lèvres d’Anna qui semblait sous le charme … et très excitée.

Tout alla très vite. La fille attrapa la tête d’Anna pour la pousser dans son bas-ventre. Sans retenue aucune, elle poussait sa chatte dans la bouche d’Anna qui sans hésitation se mit à la lécher et à lui mordiller la minette. La jeune femme soufflait fort et prenant Anna par le bras l’attirait avec elle. Anna semblait vouloir la suivre. Dans l’obscurité nous ne voyons pas vraiment ce qui se passait. Nous la vîmes partir avec l’actrice lesbienne mais nous en tenant à notre projet nous restâmes sans broncher. Nous étions émoustillés, intrigués mais pas inquiets.

Une fille vint nous rejoindre un papier en main. « Ne vous inquiétez pas de moi. Je passe mon examen de broute-gazon avec Mona et je vous rejoins à l’appartement. Ne m’attendez pas. »

A son retour – en taxi – Anna refusa de nous dire ce qui lui était arrivé, ni ce qu’elle avait fait avec cette Mona. En tous cas, elle avait gagné ses galons de broute gazon ! Nous… hé bien nous sommes restés sur notre faim. Façon de parler bien sur car sur la plan baise… elle nous a crevé tous les deux.

******************

Quelques semaines plus tard. Je rentre de mon job un peu tôt. Je reviens de deux jours réduit à un d’une rencontre sur un de mes chantiers en province. En principe la maison devrait être vide. Ce n’est manifestement pas le cas. J'entends crier :
- Oh oui, baise-moi plus fort, je viens, je viens, je viens ! La voix d’Anna monte crescendo. Je me suis figé. Mouille-moi la chatte, gémit encore Anna, clairement proche de l'orgasme.
- Tu es en train de devenir une parfaite salope lesbienne, commenta la voix. Une voix plus grave.
- Mmm, c’est bon, continue.
C’était Anna, sur ! Mais l’autre ? Qu’avait-elle manigancée ? Mais là je ne voyais pas. Cette voix ???
- Oh mon Dieu, j'adore ta façon dont tu me baises," gémissait Anna.
- Parce que seules les salopes comme moi savent comment faire jouir les filles, a déclaré l’inconnue. Vas-y pisses ma cochonne, tu vas me remplir la chatte.

La salope. Elle cherchait la fessée la garce. J’avais fait du bruit en arrivant pourtant trop occupée à gouiner avec sa copine, les deux nanas ignoraient toujours ma présence. Ça devait être drôlement chaud. Des frissons ont parcouru mon ventre et j’ai senti ma verge frétiller déjà… La voix grave soufflait des mots crus auxquelles répondait ma femme. Anna grimpait au ciel, sur ! Je notais que leurs gémissements sortaient de la salle de bain. Qu’allaient-elles y faire. La réponse vint vite dans ma tête.

Depuis notre passage au SunSex je n’avais pas manqué de constater la forte impression et la réaction d’Anna après l’épisode Mona. J’avais noté d’imperceptibles changements. Une chose surtout m’avait fait forte impression. Anna lors de ces jouissances extrêmes devenait une femme fontaine. Lorsqu’elle jouissait dans ma bouche, elle me lâchait de plus en plus souvent un peu d’urine puis venait m’embrasser goulument comme si elle trouvait là un motif de plaisir supplémentaire. Au début j’avais mis cette « générosité » sur le compte d’un orgasme plus intense que d’autres.

Les bruits, les gémissements, les mots échangés créaient dans ma tête l’image de deux femmes en train de prendre du plaisir en se pissant sur leur chatte. Bien plus tard j’ai réalisé que j’avais mis le doigt sur un aspect méconnu des plaisirs de ma femme sans l’avoir vraiment compris. Puis j’ai entendu les râles des deux femmes, des rires puis le bruit d’une douche et encore des rires complices. Hésitant sur la conduite à tenir je décidais de m’en tenir à la version la plus courtoise de l’hospitalité : j’allais me servir un verre d’un bon Chivas et j’attendis.

Elles étaient à l’étage. J’eus donc la satisfaction de voir deux nanas nues qui se croyaient seules surprises par ma présence. Ma femme épanouie par sa partie de jambes en l’air et l’autre – Mona, bien sur – qui tenta un bref instant de se cacher derrière elle. Le moment resta suspendu chacun se cherchant une bonne excuse sans pouvoir en trouver une. Je me souviens avoir dit à Anna en ignorant sa nouvelle amie
– Es-tu encore en forme ma chérie ? J’avais un petit sourire que je voulais ironique. Surtout je ne voulais pas laisser paraitre la jalousie qui me mordait l’égo. Anna a compris. Je ne voulais pas d’explications ou de discussions intimes devant Mona. Elle a sourit … les yeux encore brillants de sa joute lesbienne.
- Oui, pour toi, ce sera toujours le cas.

J’ai écarté le journal que je faisais semblant de lire… j’ai un problème qui réclame ton expertise ! Je gardais un ton enjoué mais je bandais comme un âne. La présence de Mona… Imaginez : un petit corps de garçon manqué, yeux charbonneux, ventre plat et cuisses moulées par un sculpteur de la Renaissance.. Putain.. Je kifais !

J’ai laissé Anna venir me saisir mon membre tout en faisant signe à Mona de venir vers moi. Je ne dirais pas qu’elle le faisait avec plaisir mais elle vint suffisamment prêt pour que je l’attrape et mette sa chatte à hauteur de ma bouche. J’ai mis ma main sur ses fesses mignonnes et sans m’occuper d’Anna en train de se faire pardonner j’ai soufflé à Mona…

- Montre-moi ce que tu sais faire petite pisseuse. Ses yeux se sont écarquillés de surprise en tentant de reculer mais je la tenais bien… : Montres moi petite salope.

Elle était bien tenue et j’ai commencé à lui caresser la foufoune. Pas de doute elle était hypersensible et sa récente séance de broutage de minou avait exacerbée ses sens. Elle n’a pas tardé à se tordre de plaisir toujours en essayant de se débattre.

Anna est venue à mon secours. Elle s’est levée et s’est collée au petit corps de Mona pour la coincer contre moi, contre ma bouche puis mes doigts virent à la rencontre de ceux de ma femme qui se mit de la partie pour torturer son amante en fouillant sauvagement son con. Je découvrais une Anna dominante et vicieuse qui n’hésitait pas à promener ses doigts dans tous les orifices de Mona. Je la vis qui mettait ses doigts mouillées des humeurs de sa victime en lui soufflant à l’oreille : montre lui… il l’apprendra de toutes façons !

Je n’eus pas le temps de reculer, d’éviter ce qui me giclait dessus. Je ne m’attendais pas à une telle démonstration. Mais Mona me pissait dessus par spasmes tout en gémissant de plaisir. Pas de doute elle jouissait. Je n’étais pas prêt mais j’ai dû faire avec.

Plus tard Mona me raconta combien elle avait honte de cette addiction. Elle ne pouvait avoir du plaisir sans vider sa vessie ou se lâcher un peu. Son plaisir était quasi proportionnel à cette libération. C’était pervers mais.. Et de m’apprendre quelle avait deviné qu’Anna réagissait positivement à la poussée de son urine dans sa bouche. Et de conclure avec un petit rire : nous sommes deux vraies salopes. Les deux nanas semblait ravies de leur découverte mutuelle.. Je mis quelque temps à me mettre « au parfum ». J’avoue que la ferveur des deux femmes lorsqu’elles jouaient ensemble était un spectacle que je vous souhaite de voir un jour.

On dit les mecs « cochons » … Ceux qui disent cela n’ont jamais vu deux salopes frappées de folies lubriques. Je précise qu’Éric nous a abandonné cette version humide du sexe. Pour le reste nous nous en sommes tenus à la question centrale : Et maintenant que nous reste-il à découvrir avec Anna ?

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