Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Kamal, étudiant, dépucelé au douar, par Si Ali (2)

Kamal est maintenant totalement accroc à la sodomie. Et Si Ali va le dépuceler facilement et le niquer à sa convenance. Kamal, enchanté et soumis va en demander encore plus et son histoire sexuelle va être totalement et merveilleusement bouleversée.

Proposée le 29/03/2024 par DALIDA

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: Toilettes
Type: Fantasme


Et maintenant, moi je désire qu’il me nique en urgence ! étonnant mais vrai !
« ya Si Ali, wach rak tassana ! douk zebek ! dhorka ! rani wajad ! » (ya Si Ali ! qu’attends tu ! enfonces ton zob ! maintenant ! je suis prêt !. et impatient j’ajoutais !
« rani n7iss bili teremti ma7loula ! achtar ! » (je sens que ma Terma est ouverte ! vite )
Et si Ali obéit à mon désir sexuel. Il retira ses doigts et pointa son gros zob sur mon anus et poussa, mais ça ne rentre pas tout de suite, mon anus était trop serré.

Alors, il lubrifia encore avec la salive, remis deux doigts et même trois doigts, puis reprit son zob. De mon coté, je me suis penché au maximum en écartant mes cuisses. Et j’ai placé chacune de mes mains sur chacune de mes fesses pour les écarter au maximum et offrir ainsi comme un vrai « 3atay Terma » (donneur de Terma), directement mon anus palpitant au zob. Je poussais aussi pour ouvrir mon anus et Si Ali a bien suivi et comprit. Alors, il en profita pour bien pointer son zob et le poussa au moment opportun, avec énergie. Et la grosse tête de son zob me pénétra. Cela me fit assez mal mais elle passa l’obstacle de la rondelle de mon anus. Le plus gros du zob de Si Ali était dans mon cul. J’avais mal mais c’était acceptable.

J’ai même ressenti comme une petite déchirure au cul, mais c’est passé rapidement. Enfin, j’avais le gros zob d’un homme à l’intérieur de ma Terma et cela m’enchantait. Je n’avais aucune appréhension d’interdit ou de péché. Bien plus, j’étais agréablement consentant comme si j’attendais cela depuis des années, ces années de blocage et d’isolement. Et Si Ali commenta la chose :
« khlass ! rah zébi dakhal rassou ! sahbi, raya7 chwaya ! etnafass wa ousbour ! »
( ça y est ! la tête de mon zob est entrée ! mon ami, reposes toi un peu ! respires et patientes !)

Et moi, impatienté par les nouvelles sensations dans ma terma et dans ma tête, de répondre
« ya Si Ali ! ma tkhafach ! dakhal zebek kamal ! madam rani wajed ! daz zebek ! dakhlou ! » ( ya Si Ali ! ne craint rien ! pousses ton zob complètement ! puisque je suis prêt ! pousses ton zob ! enfonces le ! )
Et comme je ressentais agréablement le zob dans la chair interne de mon cul, j’ajoutais dans un long gémissement déjà de jouissances :
« ma takhafach ! rani hasseyt qari etartag ! lastic ta7alate ! dakhal zebek kamal ya rajal ! »
(ne craint rien ! j’ai senti mon cul exploser ! et l’élastique de mon anus a lâché ! pousses ton zob en entier ! ô homme !)
Et Si Ali n’attendait que cela. Alors, il poussa son zob dans ma Terma, mais doucement, ayant peur de me faire trop mal. Après tout c’était un dépucelage dans une jeune Terma vierge !

Comme mes mains étaient toujours au niveau de mes fesses, et que je voulais forcer Si Ali, j’ai empoigné la partie externe de son zob et je l’ai enfoncé avec force dans ma terma. Et le zob me pénétra à fond jusqu’aux couilles. J’ai entendu et senti son bas ventre qui claquait sur mes fesses et ses couilles contre l’intérieur de mes cuisses. Ça m’a fait mal mais atténué rapidement, et la sensation du rut brutal a été tellement formidable et déjà jouissif que j’ai hurlé de douleur et de plaisir :
« ahhh ! ya zeb lakhchine ! g’3atli qari ! bessa 7 7’louwa hadha enayka ! ya Si Ali ! zid ! »
( ahhh ! ô gros zob épais ! tu m’as défoncé le cul ! mais ô combien c’est agréable et jouissif cette nayka ! ya Si Ali !)
et comme il commençait ses vas et viens en haletant, j’ai ajouté :
« zid ! ana qari layk ! zebek khchine wa enayka h’louwa ! »(continues ! mon cul est à toi ! ton zob est gros et ta nayka agréable ! )

Et Si Ali, qui avait aussi poussé presque un hurlement de plaisir et de surprise quant j’ai enfoncé son zob profondément dans mon cul, répondit à mon désir :
« ya zébi ! ch’7al qarak skhoune ! wa 7lou ! » (ya zébi ! comme ton cul est chaud ! et doux, agréable ! et toujours haletant et le souffle saccadé :
« ya qa7ba ! dhork n’chab3ak neyk ! » (putain ! je vais maintenant te rassasier de niquée !)
Et il se recula doucement son zob en arrière, mais sans le sortir de mon cul, laissant sa tête à l’intérieur. Ce mouvement progressif de son zob était si agréable à ma chair intérieure que je n’ai pas pu m’empêcher de gémir encore et encore, en tortillant mon derrière, cherchant encore le plaisir du contact.

Comme je m’agitais trop, Si Ali me donna un petit coup sur la fesse et m’ordonna :
« ray7i trankil ya qa7ba ! khali zebi i7oulouk Teremtek ! » ( restes tranquille putain ! laisses mon zob te grotter la Terma !). Jarrêtais de trop bouger et il me dit !
« mine ba3ade raki tahissi bi chahwa al 7arra ! ousbouri ! » ( ensuite, tu sentira le vrai plaisir brulant !).
Alors, je suis resté tranquille malgré les sensations agréables de plaisir qui commençaient à me démanger à fond dans mon cul et les frissons de mon corps. Si Ali commença ses vas et viens, lentement et quant il enfonçait son zob, il y allait doucement. Cela m’affolait et je voulais encore plus et je me contentais de hurler de plaisir.

Je voulais des coups de butoir de ses reins pour que son zob s’enfonce encore à fond, mais Si Ali y allait lentement. Après une dizaine de ce rythme, j’avais une sensation bizarre de mouillé dans ma terma. J’ai cru que le zob de Si Ali avait lâché son jus et je l’ai dit
« Si Ali ! wach ! zebek tlag hlibou déjà ! rani n’hass fi lablal dakhal qari ! »
( Si Ali ! alors ! ton zob a déjà laché son jus ! je sens du mouillé dans mon cul !)

Et si Ali, avec toujours son ricanement sonore m’a expliqué :
« ya ka7ba ! hadhak rah qarak ! houwa li yatlag fi chahwatou ! ki lamra ! » ( putain ! c’est ton cul ! c’est lui qui lâche son suc, son plaisir, son désir ! comme la femme !)
« ibalal ezéb bah i7ouk al qar bi souhoula ! »( il mouille le zob pour qu’il glisse avec facilité dans le cul !)
et encore ! « wi tala3 chahouate ezeb akthar ! signal al terma ! rahi wajda li neyk à fond ! »
( et va augmente le désir du zob encore plus ! signal de la terma ! qu’elle est prête à se faire niquer à fond !).

Un vrai professeur ce Si Ali ! Et il fonça ! Ses vas et viens devinrent des coups de reins puissants et accélérés. Il recule le zob avec douceur mais il l’enfonce avec toute son énergie. Ce sont ces coups de reins que je voulais et effectivement, encore novice, j’avais deviné qu’ils me donneraient de la jouissance et du plaisir à fond. J’ai commencé et continué à hurler de plaisir mais Si Ali avait peur que je n’attire des curieux à nos ébats, alors me plaqua sa main sur la bouche et me dit avec force :
« sakri foumok ya qahba ! ma takachfinach ! 3adhi nsalak wa ideyk ! »
( fermes ta bouche ! putain ! tu vas nous faire découvrir ! mords ta langue et tes mains !)
Et j’ai fait cet effort, mais c’était tellement agréable, ces démangeaisons et ces frissons. Je me sentais rempli par ce zob et possédé par cet homme et ces sensations m’étaient aussi agréables et jouissantes.

Mais aussi je faisais l’effort d’aider à ouvrir mon anus. Seulement, les coups accélérés de Si Ali me secouaient contre le mur. Et lui aussi était envahi par le plaisir et les jouissances et criait : « Ahhh ! ya qahba ! ch7al 7’louwa Teremtek ! » (ahhh ! putain ! comme elle est douce ta terma !)
et encore : ( zebi matanane rah ghadi youkhrj mine goudam karchak ! » (mon zob gonflé à fond va sortir par devant ton ventre !)
et enfin : « ahhh ! rahi jaya ! rahi jaya ! » ( ahhh ! ça vient ! ça vient !)

J’ai compris qu’il allait éjaculer. Je ressentais la douceur des glissements de son zob en même temps que ses coups au fond de mon cul. Et le plaisir devint continu dans mon intérieur et j’attendais le lait de son zob avec impatience. Enfin, il colla avec violence son ventre contre mon derrière comme pour enfoncer son zob plus profond dans mon cul et gueula :
« hahi jaya ! zébi ra7 yatartag ! ya terma al baydha ! haki ! haki ! »
( ça vient ! mon zob va exploser ! ô blanche terma ! tiens ! tiens !)

Et avant qu’il ne termine sa phrase, il éjacula par trois ou quatre puissants jets de sperme chauds que j’ai bien ressenti dans le fond de mes entrailles. Si Ali gémissait et soufflait fort et moi, suivant son conseil, j’essayais d’étouffer mon plaisir, mais je criais quant même :
« ahhh ! ya Si Ali ! zidni hlibak ! s’khoune ! » ( ahhh ! ya Si Ali ! encore ton lait ! brulant !)

« 7asseyt zebek rah doubla ! ya Si Ali ! 7alaytli qari bi s houla ! » ( j’ai senti ton zob qui a doublé ! ya Si Ali ! tu as ouvert mon cul facilement !

« radayte teremti qahabek ! wa 3amartouli qari bi zana n ta3ak e skhouna ! »
( tu a rendu ma Terma ta putain ! et tu as rempli mon cul avec ton sperme brulant !)

A chaque éjaculation, je ressentais aussi, dans ma chair interne, les pulsations de son zob qui gonflait et se compressait pour me bombarder de sperme. Et Si Ali y ajoutait un coup de rein supplémentaire à tel point que, chaque fois, ma tête cognait le mur du WC car j’étais assez penché. Si Ali se reposa un instant tout en restant dans ma Terma et cela me donna aussi beaucoup de plaisir. Je ressentais le zob et le sperme qui me remplissait le cul et je serrais les fesses pour essayer de les garder au maximum, quoique maintenant, une bonne partie suintait entre mes cuisses.

Même ce sperme qui glissait lentement entre mes fesses et mes cuisses était nouveau pour moi. C’était le premier jus d’homme qui sortait de mon cul et coulait sur mes fesses et mes cuisses et me donnait des frissons inédits. Je venais d’être niqué réellement par le zob d’un homme et son sperme m’a rempli le cul. Il n’y a même pas une heure, j’étais un garçon coincé, au cul vierge sec et interdit même de parole. Et j’osais seulement me branler en cachette pour avoir un semblant de plaisir sexuel. Et maintenant, je donnais ma Terma et mon cul au zob d’un vieil homme presque inconnu et son sperme m’inondait le cul et coulait sur mes cuisses et me faisait plaisir. Ou bien Si Ali était un sorcier qui m’a hypnotisé ou bien c’est moi qui avait des prédispositions pour ma Terma et le sexe.

J’ai dis à Si Ali qu’il était un prof de sexe et il m’a confirmé cela :
« hadha sa7 ! choufoute teremtek fi dahkal WC ! 3aridha wa baydha ! malssa bla zghab ! » (c’est vrai ! j’ai vu ta terma dans le WC ! large et blanche ! lisse et sans poils ! )
Et il ajouta en me faisant quelques caresses sur les fesses et tout en gardant son zob dans la Terma :
« 3rafatahaTerma nta3 zbouba ! » ( j’ai su qu’elle était une Terma pour des zobs !)

et encore ! « ki tkalamate ma3ak 3ala ezeb ! wanta qbalate tchou zebi ! 3arafate bili enikak al youm ! wa teremtek t7ib enayka ! » ( quant on a discuté sur les zobs ! et que tu as accepté de voir mon zob ! j’ai compris que je te niquerais ce jour ! et que ta Terma aimera cela !)

J’ai répondu que ma vie était complètement le contraire de cela et il m’a expliqué :
« n’ta ghayr ma laqaytach ezeb elazam ! » ( c’est seulement parce que tu n’avais pas encore rencontré le zob qu’il fallait !)

et que : « teremtek chamate ezob enayak ! halate qarha ! wa chtatou ! »
( ta Terma avait ressenti le zob baiseur ! elle lui a ouvert son cul ! et elle l’a aimé !)

Son zob, dans mon cul ne semblait pas avoir fléchi et moi, après ce moment de repos, c’est sur, je recommençais à ressentir les démangeaisons de ma Terma. J’ai fais quelques balancement du derrière et quelques mouvements de la croupe tout en donnant quelques coups de cul au ventre de Si Ali qui a saisi immédiatement le message et qui ricana a son habitude :

« al qasba klatak ! ha qoutlouk ! dhagate zébi ! wa 7’sal zébi ! khlass ! ma tachbarach minou ! haya bina »
( la putain te démange ! je te l’ai dit ! elle a gouté mon zob ! et le miel de mon zob ! c’est fini ! elle a besoin d’être rassasiée ! allez viens !)

Et il ressortit son zob pour laisser le maximum de sperme s’écouler. Puis sans changer de place et moi de position, il enfonça de nouveau son zob dans ma terma avec un geste violent et un « han » de désir. Cette pénétration brutale du gros zob jusqu’aux couilles et au fond de mon cul me donna encore un choc sexuel malgré que j’étais préparé. J’ai senti mon cul exploser de mouille et de plaisir jouissant que j’ai hurlé à Si Ali :
« bi chawa ya Si Ali ! zebek rah madfa3 ! ga3arli qari ! » ( vas y doucement ya Si Ali ! ton zob est un canon ! il m’a défoncé le cul !)

Mais le désir le plaisir étaients tels que j’ai ajouté :
« bessah zid ! zid ya Si Ali ! 7assat zebek fi qari h’louwa ! tahabal zouki wa moukhi ! nikni »
(mais continues ! continues ya Si Ali ! les sensations de ton zob dans mon cul sont délicieuses ! elles affolent mon cul et ma tête ! nikes moi ).

Et encore : « bizza7 ya Si Ali ! rani 7abayte zebek ! nikeni ! ma tkhafach ! nikeni bezzaf! »
( mais ya Si Ali ! j’ai aimé ton zob ! nikes moi ! m’ait craintes ! nikes moi fort !)

Si Ali, encore une fois, ricana bruyamment comme chaque fois que je demandais plus à son zob, cela amplifiait sa fierté, son égo mais ajoutait aussi à la puissance de son zob et de ses coups de reins. Ce qui augmentait les jouissances de ma terma et de mes fantasmes. Et il recommença ses vas et viens et comme le sperme s’était presque totalement échappé, je ressentais maintenant, directement la chair de son zob dans mes entrailles. Ce contact direct de sa chair et l’élargissement de ma chair interne, à chacun de ses coups de reins, me donnaient des chocs de jouissances tellement agréables et délicieux que je perdais de plus en plus la maitrise de mes pensées.

Je devenais totalement esclave de ce zob, de ses coups, de son contact, des jouissances affolantes et Si Ali continuait à me niquer à me faire jouir, sans merci. Il me tenait les hanches et me cognait de ses reins et de son gros zob, et moi, je perdais petit à petit l’esprit. Même les coups de ma tête, parfois contre le mur, je ne les ressentais plus. Ma Terma brulait de plaisir et mouillait de son suc de désir et le zob glissait sans aucune difficulté dans mon cul, en terre totalement conquise et agréablement ressenties. Puis, plus rien, j’avais perdu la suite et conscience.

Et c’est seulement quant Si Ali est arrivé à son top de plaisir et c’est la nouvelle première décharge de son zob dans mes entrailles, brulante et abondante, qui me fit reprendre un peu conscience.
Je l’entendais dire : « ouchourbi ya Terma al qahba ! nasguik bi 3assal klawya ! ouchourbi mine zebi ! » (bois ô putain de Terma ! je t’arrose avec le miel de mes couilles ! bois de mon zob !)

Je voulais rester ainsi encore longtemps, car c’était agréable, non seulement ces glissements de zob et ces coups d’éjaculations mais aussi cette inondation qui me remplissait les entrailles. Quant il a vidé ses couilles par une troisième ou quatrième bordée, il s’est immobilisé dans mon cul, collé à fond à mon derrière. Je voulais me relever mais sans perdre son zob qui était dans mon cul et je lui ai dit ce que je voulais/

« rani chahi enouth ! bessa7 khali zebek fi qari ! nhab n7ass bih wana wagaf ! wach rayak »
( j’aimerais me relever ! mais tu dois garder ton zob dans mon cul ! je désire le sentir quant je suis debout ! tu veux ?).
Et il était d’accord : « t7ab enikak wagafi ! bagari ! ki nta3 al khad3a ? machi ! hate qarek ! »
( tu veux que je te nique debout ! à la mode des bœufs ! comme par surprise ! ok ! donnes moi ton cul ! ).

Oui, il a accepté et je me suis redressé tout doucement en gardant son zob dans mon cul. Ce n’est qu’ à ce moment qu’il a compris pourquoi j’avais demandé cela. Quant je me suis trouvé debout, ma terma, automatiquement a resserré ses muscles et surtout ceux de l’anus et du cul. Et cela à fait une grande pression sur son zob, comme des sussions, ce qui a poussé Si Ali à gueuler de plaisir tout en donnant un coup de rein automatique.

Moi, je ne savais pas mais je voulais faire une expérience et ça a marché. Si Ali :
« ahhh ! ya zébi ! teremtek massate zebi ! rah tanane mine thani ! hate nzidou nayka ! bil wagafi ! » (ahhh ! mon zob ! ta terma l’a sucé ! et il s’est regonflé, debout de nouveau ! viens on va niquer encore !à la mode bagari, debout )

Et moi, bien sur j’ai ressenti tout cela, quoique la pression et ce type de sussions sur le zob étaient automatiques donc involontaires. Mais le zob a réagit et s’est regonflé et cela, ma terma l’a bien ressenti comme signal et elle a réagit aussi en lançant sa mouille. Et Si Ali, debout, les mains sur mes hanches, mes cuisses bien écartées, se baissa un peu, ressortit un peu son zob puis brutalement il l’enfonça dans mon cul totalement ouvert comme une bouche affamée de désir.

Lui, il a gueulé un coup et moi j’ai gémit à cause de cette violence, agréable et même affolante, tellement désirée et espérée continue. Debout, je sentais que la niquée a un sens et une impression différentes de celle qui nous oblige à se pencher pour tendre le derrière et la Terma. Peut-être que l’offre de la Terma est plus facile, car juste face au zob, alors que debout, il faut forcer l’anus à s’ouvrir. Mais quant c’est fait et qu’on ressent le corps de l’homme contre son dos, pas seulement ses fesses, on a un autre type de sensations.

En tous cas, moi, je tendais le dos pour me coller à la poitrine de Si Ali.
Je lui dis « wach rayak law tmassli bzazli ? » (que penses tu si tu touchais mes seins ?)

Et l’homme obéit sans un mot, juste son souffle rauque et accéléré par les vas et viens puissants de son zob. Il libéra une de ses mains et la poussa sous ma chemise vers un de mes seins qu’il empoigna et malaxa avec plaisir. Il ne le savait pas, mais moi, je savais que j’avais des seins légèrement plus développés que ceux des garçons de mon âge à la fac. Mes copains se dénudaient la poitrine sans complexe mais moi je portais toujours un vêtement pour cacher mes seins avec leurs bouts qui pointaient de désir.

Mais quant Si Ali palpa mon sein et constata sa consistance et les bouts qui étaient gonflés de plaisir sexuel,
il me dit : « ha goutlouk ! teremtek wa jasmak kamal qahab ! makhloukine ila nayk ! ila zbouba ! » ( je te l’ai dit ! ta Terma et ton corps complet sont des putains ! faites pour la niquée ! pour zobs !)

Et il continua : « chouf bzazlak ! manfoukhine bi chahwa nayka ! ki lmra ! » ( regardes tes seins ! gonflées par le désir de la niquée ! comme la femme !)
Ses paroles ajoutèrent à mes frissons agréables et je tendais encore mieux mon cul à son zob. J'avais besoin de ce contact permanent de la bite et des poils drus de l'homme contre mes fesses. C'est un plus sexuel que j'adore maintenant.

Et il continua ses vas et viens tout en me palpant avec vigueur mon sein. Enfin, au bout d’une dizaine de coups de reins, il arriva encore un fois au plaisir et lâcha mon sein pour mieux s’accrocher à mes hanches et il colle à fond son ventre contre mon derrière. Puis, il éjacula par au moins deux longs et puissants jets de sperme dans mon cul en gueulant à chaque pulsion, sensation interne qui me poussait à hurler moi aussi, mon plaisir à l’unisson avec Si Ali. Le plaisir et les jouissances que j’ai eu, en continu, durant ces vas et viens et surtout les bombardements des ses éjaculations de sperme brulant dans mes entrailles.

Mais ce qui a aussi fait augmenter mon excitation dans cette position verticale complète, ce sont les contacts de son corps, sa poitrine puissante avec ses poils affolants contre mon dos imberbe et aussi les poils drus et riches de son pubis directement contre mes fesses et mon cul. C’était aussi grisant que les contacts de son zob et de son sperme à l’intérieur de ma Terma. J’étais comblé de l’extérieur et de l’intérieur avec cet homme mûr, viril, total.

Ensuite, il se retira de mon cul et le sperme coula en abondance entre mes fesses et le long e mes cuisses. Son zob, en partie bandé, brillait de son sperme blanchâtre. Même ainsi, pratiquement courbé sur sa cuisse, il était superbe. Alors, je me suis accroupi et je l’ai empoigné pour le mettre dans ma bouche. Je l’ai léché, sucé et nettoyé tout en le branlant un peu et en le soupesant. Un vrai zob d’homme mûr, lourd et puissant, prêt à défoncer les chattes mais aussi les Terma affolées par son volume, sa chair douce et en même temps dure quant il est gonflé. Oui un vrai zob d’homme que je viens de découvrir et d’aimer car il m’a dépucelé facilement, m’a niqué plusieurs fois et m’a initié aux sodomies, ce plaisir masculin que je croyais interdit et difficile alors qu’il était si facile, si merveilleux et si agréablement délicieux.

Dorénavant, ce sera mon sport sexuel favori. Je vais le pratiquer avec Si Ali pendant toutes mes vacances et quant je retournerais à la fac, je chercherais un ou plusieurs hommes, comme Si Ali pour nous faire plaisir à moi et ma terma. Bien sur, je ferais attention dans mes choix mais je suis sur de réussir car je sais maintenant que j’aime la sensation du zob au fond de ma Terma et aussi quant il pulse son miel brulant et aussi les coups de reins puissants et même violents qui me donnent du plaisir et de la jouissance.

Avant de me quitter, Si Ali m’a dit :
« ghoudwa, nadik fi zriba nta3i ! enikak fi srir la3rith n’ta3i ! enikou 3arianine ! tchouf 7lawate ezeb fi enayk 7or ! »
( demain, je t’amènerais dans mon gourbi ! je te nikerais dans mon large lit ! nous nikerons tout nus ! tu verras la jouissance du zob en totale liberté !)

Et il m’a quitté en vitesse. Je voyais déjà la scène, nous deux entièrement nus et ma terma et mon corps aussi entièrement à son gros zob et son merveilleux corps poilu et cette image me fait frissonner. Ma terma recommençait à me démanger, et automatiquement, ma main se projeta sur mes fesses pour s’infiltrer dans leur sillon et m’enfoncer deux doigts dans le cul.

Puis, quelques vas et viens à l’intérieur et même quelques coups violents pour calmer le désir des démangeaisons de ma terma. Il n’y a plus de doute, je suis accroché et ma terma est insatiable. Il faudrait me procurer un zob artificiel, même un fruit ou un légume ou un pieu de bois assez lisse et doux, pour me calmer le cas échéant en l’absence de mon amant et que je pourrais enfoncer dans mon cul lorsque les démangeaisons s’amplifient et je le garderais bien enfoncé tant que le désir sera présent. Je crois que j’aurais même du plaisir en marchant et oscillant des fesses avec l’objet dans mon cul. Je n’étais plus moi-même, le jeune étudiant bloqué avait disparu.

Ainsi, tout un nouvel avenir s’ouvrait pour moi avec la découverte des plaisirs enivrants des sodomies et que ma Terma m’avait cachés pendant des années. En tous cas, je me suis engagé, pour l’avenir, à lui assurer tous les désirs, les plaisirs et les jouissances qu’elle exigera de moi et de mon corps.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Aucun commentaire pour le moment.


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Kamal, étudiant, dépucelé au douar, par Si Ali (7)
Kamal, étudiant, dépucelé au douar, par Si Ali (6)
Kamal, étudiant, dépucelé au douar, par Si Ali (5)
Kamal, étudiant, dépucelé au douar, par Si Ali (4)
Kamal, étudiant, dépucelé au douar, par Si Ali (3) :