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Kamal, étudiant, dépucelé au douar, par Si Ali (1):

Kamal, jeune étudiant traditionnel et bloqué sexuellement va vivre une aventure et une initiation grâce au vieil cultivateur Si Ali, veuf et vivant seul mais grand amateur de jeunes Terma Il va draguer et réussir à faire ouvrir le cul vierge de Kamal qui va désirer être dépucelé par le vieux.

Proposée le 29/03/2024 par DALIDA

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Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: Toilettes
Type: Fantasme


Je suis kamal, âgé de 22 ans et étudiant en fac de lettres depuis trois mois. J’ai longuement hésité avant de vous raconter ma toute nouvelle vie depuis ces trois derniers mois avant lesquelles j’étais puceau sexuellement et même complètement bloqué. Je viens d’un petit village traditionnel où j’ai fais mes études primaires puis à la 6em, mon père m’a mis dans un institut religieux situé dans une sorte de monastère un peu plus haut dans la montagne. On vivait comme des militaires et, en plus des matières normales, on nous enseignait la rigueur et les interdits sexuels et érotiques comme des péchés mortels. On nous mettait même des produits dans la nourriture pour affaiblir et même tuer nos désirs et chaleurs sexuels.

Donc, quant on a passé le bac, on s’est dispersé et moi j’ai été inscrit dans la grande ville voisine, en Lettres. Mes camarades étudiants semblaient plus détendus, plus libres sur tout sujet et surtout sur les problèmes sexuels contrairement à moi qui fuyait chaque fois que l’on évoquait ces sujets. Mes camarades commençaient même à avoir des copines dans la cité voisine des étudiantes et certains amenaient parfois des filles dans leurs chambres, ce qui était un blasphème pour moi. Ainsi, j’ai vécu le premier trimestre en solitaire, en paria même et on se fuyait mutuellement.

Mais la nature étant ce qu’elle est et comme je ne consommais plus de bromure, mon sexe se gonflait et bandait tout seule souvent et il m’est arrivé plusieurs fois de constater, le matin, du sperme séché dans mon slip et cela m’obligeait à me doucher chaque matin et à laver mon vêtement. Alors j’ai réfléchi et décidé d’une solution, certes osée pour moi, mais pratique. En effet, si en début de soirée je sentais mon sexe qui s’échauffait, alors je me masturbais et éjaculais dans les toilettes, puis je me nettoyais, évitant ainsi la douche froide du matin et les salissures à mes slips.

Cela dura ainsi durant le premier trimestre et je me suis pratiqué au moins tous les trois à quatre jours. Et quant on a eu les vacances d’hivers en décembre, je suis retourné au village pour quinze jours. Tout allait bien dans un premier temps, mais dès que l’envie de mon sexe s’est déclarée, je me suis caché dans la cabine d’un WC commun, isolé loin des maisons, pour me soulager, mais je savais qu’il y avait des fissures dans le mur et même des trous.

Tout en me branlant, j’ai vu des yeux qui m’observaient par l’un des trous et je me suis bloqué, remis mon sexe dans mon pantalon puis je suis sorti en urgence. Dehors, c’était un de nos voisins, le vieil Si Ali, cultivateur, veuf de cinquante ans environ, et vivant seul depuis le mariage et le dernier départ de sa fille cadette, et qui m’avait observé. J’ai essayé d’être fâché car c’était péché et interdit et je le lui ai dis, mais il m’a répondu :
« anta thani rak direte 7aja 7aram ! » (toi aussi, tu faisais une chose péché).
Et comme il rigolait, cela m’a calmé. Puis il a ajouté, complice, en riant :
« oud khoul ! kamal zahouatak ! » (entres ! et termine ton plaisir)

Je voyais qu’il parlait sérieusement, alors j’ai repris ma place dans le WC et recommençais à me masturber à l’aise. Et quant le plaisir arriva, la force de l’éjaculation m’a fait me mettre tout debout, tenant fermement mon sexe. Mais, en même temps, mon pantalon glissa à mes pieds et dénudant tout mon derrière, ma croupe et mes cuisses.
Tout en pressant toujours mon sexe pour puiser le maximum de sperme, j’ai jeté un coup d’œil au trou et j’ai vu l’œil de Si Ali qui m’observait encore. Puis, je me suis rhabillé et sorti du WC.


Si Ali, qui me regardait toujours en souriant, m’a dit :
« anta chabab wa lakine 3a' n' dak zeb kbir ! » ( tu es jeune mais tu as un grand zob)
Cela m’a choqué et un peu flatté mais je l’ai regardé comme pour le sermonner, lui un homme de cinquante ans qui parle ainsi dans notre milieu traditionnel. Mais j’ai vu qu’il continuait à ricaner d’un air vicieux et il m’a même fait un clin d’œil cochon, puis il a ajouté :
« lakine, zebek ma yal7ag’chi zebi ! ta7ab n' warih zebi ? » (mais ton zob n’atteint pas le mien ! tu veux que je te montres mon zob ?

Moi, j’ai hésité dans ma protestation car je n’avais jamais encore vu en direct la bite d’un adulte. Mais, bizarrement, j’ai senti comme un frisson dans tout mon corps. Ses paroles crues m’ont touchées et aussi réveillées en moi presque la même sensation de désir que lorsque j’ai envie de me masturber. J’avais même la sensation que mon sexe s’agitait et cela n’était pas du tout désagréable, au contraire. Alors, j’ai répondu timidement :
« wari n’choufou ! n' ta toukhrout » (montres pour voir ! sur que tu mens).

Alors il sortit son zob de la braguette. Oh ! En effet, il était énorme, gros, long et épais. C’est le premier zob d’homme que je voyais, mais sûr, il était bien développé ! Il bandait à fond. Certainement depuis qu’il avait vu le mien dans le WC. Je n’ai pas pu retenir mon admiration et le lui ai dis :
« yahh ! cha7al zebek kbir ! wa ghlith ! wa matanane ! » (ahh ! comme ton zob est grand ! et épais ! et debout bien gonflé ! )
Alors, j’ai sorti le mien du pantalon pour comparer. Bien sur, le mien était nettement plus petit et en plus, il était couché, épuisé par l’éjaculation de tout à l’heure.

Si Ali a ricané en ajoutant : « zébi tanane ki chaf teremtek ! » (mon zob s’est gonflé quant il a vu ta Terma !).
En effet mon pantalon qui était tombé quant je me branlais avait découvert ma croupe, ma Terma. Et il ajouta :
« Terma smina wa baydha ! safia bla sghab ! Termet nta3 toufla ezwayna ! » (une Terma ronde et blanche ! nette et sans poil ! une Terma comme celle d’une belle fille !) .

Non seulement j’étais étonné mais fâché car il me parlait de ma Terma, de mon cul et me comparait à une fille. J’allais protester mais il me coupa la parole et ajouta :
« zébi tanane 3ala teremtek ya habibi ! wa chahi idhouk ha ! » ( mon zob s’est gonflé pour ta Terma ! il désire la gouter !)
Et d’un air vicieux il ajouta :
« sahbi, khalini nahouk zébi 3ala teremtek ! » (mon ami, laisses moi frotter mon zob sur ta terma !). Je voulais me fâcher mais, comme pour me convaincre, il ajouta rapidement d’un air complice :
«ghayr bi chwaya bark ! ma takhafach ! » ( seulement un petit peu ! ne craint rien !).

Je le regardais n’en croyant pas mes oreilles. Ce vieux me demande de frotter sa bite d’homme sur ma croupe, contre ma Terma alors que c’est interdit et pêché.
Il me regardait d’un air convaincu et ajouta encore :
« idha 3ajabtak l'7al, gouli n' zidou ! wala na7bass ! » ( si ça te plait, dis le moi et on continue ! sinon on arrête !).

Bien sur, j’étais contre, d’abord c’était péché et interdit et j’avais peur car je n'ai jamais vécu ce genre de choses. Mais la vue de son gros zob qu’il agitait érotiquement devant moi me troublait et m'excitait. Et les sensations que je recevais de mon corps et surtout de ma propre bite qui recommençait à s’exciter. On dirait que mon sexe avait envie que je me masturbe de nouveau. Et je me disais que si je laissais Si Ali frotter le sien contre ma Terma, peut-être que ce sera encore plus agréable. Mais je ne le laisserais pas entrer dans mon cul, pas question, je ne suis pas un « 3atay » (gay).

Comme j’hésitais et réfléchissais, Si Ali, en connaisseur, ajouta :
« jarab ! wa tchouf cha7al 7louwa ! » (essaies ! et tu verras combien c’est agréable et délicieux ! ).
J'étais presque convaincu de ses paroles. Mon attitude passive était déjà de son coté et il l’a compris et ajouta :
« Ya oulaydi ! ezob 3ala terma rah 3assal fil foum ! jarab ! » ( ya mon fils ! le zob sur la terma, c’est comme du miel dans la bouche ! essaies !). Il m'a assommé et totalement convaincu avec ses arguments.

C’était certainement vrai et tentant, et je pourrais refuser ensuite si c’était faux. Je réfléchissais, mais Si Ali précipita les choses. Sa main droite tenait et agitait son gros zob gonflé de façon érotique devant moi. Et soudain, il lança son autre main vers mon derrière et toucha largement ma Terma à travers mon pantalon. Et avec insistance, il me fit quelques caresses appuyées et des massages le long de mes fesses. C'était si agréable et excitant.

Puis, ne voyant aucune réaction négative de ma part, il glissa sa main sous mon pantalon pour aller caresser directement la chair de mes fesses. Je voulais bien protester mais mon corps refusait de bouger et l’homme poussa sa main et ses doigts entre mes fesses dans le sillon et atteint mon anus qui commençait à palpiter de désir. Je restais comme hypnotisé tellement la sensation était agréable, délicieuse.

Soudain, et sans même le vouloir, mon zob fondit aussi et se gonfla encore plus. Et moi aussi, je tendais mon derrière, attiré vers ces caresses pour permettre aux doigts de bien s’incruster entre mes fesses, sur mon anus, sur ma Terma. Oui, j’ai fait tout cela alors que c’était la première fois de ma vie qu’un homme touche à mes fesses avec des intentions bien précises. Et ce vieil homme le faisait avec l’intention claire de me niquer, de faire entrer son zob dans ma vierge Terma. Et cela me plaisait et m'étourdissait déjà de désir sexuel.

Je l’entendais me murmurer:
« chouf ! Teremtek 3ajabha 7kouki ! dhorka tabda takoul fik echahwa »
( voies ! mon touché plait à ta Terma ! bientôt elle va te démanger de désir ).
Il avait raison, j'y étais déjà, en plein milieu. Et immédiatement j'ai attrapé son zob qu'il agitait devant moi Et je l'ai saisi à pleine main pour le caresser, le serrer, gouter sa dureté, sa douceur et sa lourdeur virile, masculine. Il me grisait de virilité sexuelle. Et cela m'a donné encore des frissons dans tout le corps. Alors, presque sans volonté de ma part, automatiquement, je me suis rapproché encore de Si Ali et mon autre main est allée, sous mon pantalon, rejoindre celle de l'homme qui était entre mes fesses et pour la presser et la pousser encore mieux sur mon anus qui palpitait d'impatience.

J'étais complètement conquis et sans volonté de résister, bien au contraire. J'étais tombé totalement dans les filets de Si Ali. Mes deux mains participaient déjà à l'action, sur son zob dehors et sur sa main dans mon pantalon, sur mon anus.

Si Ali, convaincu de sa victoire, est passé à la phase suivante de son désir et, en haletant déjà d'excitation, il me dit :
« haya ! barka ma takdhab 3ala teremtek ! raha dawar 3ala zob bach nik ha ! haya ! »
(viens ! arrête de mentir à ta Terma ! elle cherche le zob pour la niquer !allez viens !)

Et moi, pour essayer un dernier semblant de resitance et défendre, soi disant, mon honneur, je lui ai murmuré :
« lakine fi 7ayafi, wa7ad ma massli hakadha Teremti » ( mais jamais personne ne m’a touché ainsi la Terma ). Et timidement, déjà vaincu et acceptant le fait, j'ai ajouté
« ana ma na3rafch hadha ! » ( moi, je ne connais pas ces choses là !).

Il me regarda avec peu de surprise et tout joyeux :
« ithane teremtek j’dida ! mazal ma dhagtach zob ! » (donc ta Terma est vierge ! elle n’a pas encore gouté le zob !). et en ricanant vicieusement ;
« ma takhafach ! ana na3almak bi souhoula ! » ( ne craint rien ! moi, je vais t’apprendre facilement).

Et il me poussa d’autorité pour prendre position contre le mur et m’ordonna :
« haya ! habate saroualak ! » ( allez ! descends ton pantalon) et encore :
« soud lal 7eyt ! wa3tini teremtek ! » ( tournes toi vers le mur et donnes moi ta Terma).
Il était devenu mon maître et me donnait des ordres sans discussions. Et j’ai obéis presque automatiquement à ses paroles.

Il avait descendu lui aussi son pantalon et je voyais ainsi, non seulement toute sa bite, son gros zob gonflé mais aussi ses larges cuisses poilues. C’était aussi excitant pour moi sinon plus que son zob, car c’était la première fois que je voyais aussi ces parties très poilues et viriles d’un homme. C’était tout le contraire de moi qui avait presque tout le corps lisse et sans poils, presque féminin comme il me l’a déjà dit.

Puis il se colla à mon dos et me poussa à me pencher et à ouvrir largement mes cuisses. Immédiatement, j’ai ressenti son zob qui touchait et se collait à mes fesses. C’était une sensation très excitante, affolante, d’un zob d’homme sur mes fesses. Tenant sa bite à la main, il la frotta contre la totalité de mes fesses et la fit glisser entre elles, dans le mystérieux sillon obscur où se cache mon anus, la porte de ma Terma. J’étais déjà à lui, à son gros zob.

Puis, je l’ai entendu qu’il se salivait les mains et le zob, puis il me lubrifia aussi les fesses et leur sillon, abondamment. Maintenant son zob glissait plus facilement sur ma peau. Il m’écarta un peu les fesses avec ses doigts et son zob s’incrusta dans leur sillon et toucha plusieurs fois à mon anus pour provoquer ma Terma. J’attendais avec impatience que son zob me pénètre mais j’avais peur qu’il me fasse mal car je savais que mon anus était très serré.

Mais je ressentais la grosseur et l’épaisseur du zob entre mes fesses et même sa longueur et sa lourdeur excitante quant il s’y glissait doucement. C’était une première pour moi et c’était déjà très agréable, délicieux, et tentant. Mon anus frétillait et encore plus à chaque passage du zob à son niveau. Il semble s’ouvrir comme pour appeler et avaler le zob et c’était une sensation agréable. Mais je savais que mon anus était trop serré pour ce gros zob d’homme, même s’il frémissait alternativement au rythme des passages du zob à son niveau.

Mais je savais que Si Ali allait trouver des solutions et qu’à la fin, mon anus sera ouvert au zob qui va le pénétrer et laisser Si Ali me niquer. C’était une évidence et une certitude, ce n’était qu’une question de temps et de patience. Cette idée que je refusais tout à l’heure, maintenant je l’acceptais et avec un plaisir nouveau qui faisait vibrer mon corps et ne trouvait plus d’obstacle dans ma tête. Au contraire, plus son zob me frottait et provoquait mon anus et plus j’avais une folle envie qu’il l’ouvre rapidement et me pénètre. Je savais que j’étais déjà loin dans le péché mais ça me grisait la tête et mouillait ma Terma. J’étais déjà un gay, un « 3atay Terma » (donneur de Terma).

Le vieil homme a du deviner mes sensations et mes pensés car il me dit :
« wach raya k ? 3ajbak hak zébi 3ala teremtek ? » ( alors, qu’en penses tu ? tu aimes les frottements de mon zob sur ta terma ?). Je n’ai pas répondu et il ajouta :
« rak tahass fi qarak yata7al wa7dou ? » ( tu sens ton cul qui s’ouvres tout seul ? ).
Il avait raison. Mon anus palpitait en permanence tout seul d’excitation et il m’expliqua :
« rah qarek chahi ezob yad khoul fih ! » ( ton cul désire que le zob le pénètre ! » et enfin :
« haya ! tahab enikou ? » ( viens ! tu veux qu’on nique ?) .

Directement, il me l’a demandé et cela ne m’a pas choqué, bien au contraire c’est ce que j’attendais avec impatience depuis un moment, alors que ma Terma était déjà à lui, face à lui, offerte et conquise. Et moi, totalement conquis et sans volonté, je lui ai répondu dans un murmure de vaincu, attendant ces plaisirs inédits sexuels que je n’ai jamais connu dans ma vie « hatou ! hatli zebek ! dakhlou bessah bi chwaya ! » ( donnes le ! donnes moi ton zob ! mais fais le entrer tout doucement !). et timidement : « ma tawja3nich ! » (ne me fait pas mal).

Et lui, avec un gros ricanement bruyant de mâle victorieux :
« ma takhafach ! rani malaf nahil terma !» (ne crains rien ! j’ai l’habitude d’ouvrir les terma). et pour me rassurer : « ki zébi yadkhoul fi qarak ! tgouli zid zid ! » (quant mon zob sera dan ton cul ! tu me dira ! encore et encore) et il ajouta, rassurant :
« ma takhafach ! ne7alak qarak bi chouiya ! » (ne crains rien ! je vais t’ouvrir le cul tout doucement).

Il me lubrifia avec abondance l’anus avec sa salive et entra, avec quelque effort, un doigt dans mon cul. Puis, il fit des vas et viens dans mon cul avec ce doigt, tout en essayant d’élargir l’ouverture ou d’assouplir la rondelle. Ensuite, il le retira et le lubrifia encore et recommença ses gestes plusieurs fois. Et à un moment, il réussit à faire entrer deux doigts. Certes j’avais un peu mal mais c’était surtout une sorte de gêne car je n’avais pas l’habitude de ces manipulations dans ma Terma. Il me branla le cul avec ses deux doigts en les écartant parfois avec effort, ce qui élargissait la rondelle de mon anus et augmentait sa souplesse, mais cela me faisait plus mal, un mal facilement acceptable.

Si Ali tout en continuant à m’assouplir l’anus me fit la confidence :
« Ya sahbi ! la7mat teremtek chabab ! la7mat qarak astic ! » (mon ami ! la chair de ta terma est jeune et souple ! la chair de ton anus est aussi élastique !) et très content de lui, il ajouta :
« qarak chabab t7al fissa3 ! ousbour nzid sbou3 thalath ! » (ton jeune cul s’est ouvert facilement ! patientes un peu, j’ajoute un troisième doigt !) Et le geste à la parole il ajouta :
« hahou dkhal bi souhoula fi qarek ! » (et voila : il entre facilement dans ton cul !).
« dhorka nagdar ndakhal zébi fi Teremtek » ( maintenant je peux faire entrer mon zob dans ta Terma )

Effectivement, il me manipula avec trois doigts et me masturba la Terma avec. C’était encore plus douloureux mais ça commençait aussi à me donner certains frissons dans le corps. Je m’imaginais maintenant, avec ces trois doigts comme son zob, qui était quant même plus gros, et qui allait pouvoir m’ouvrir, me dépuceler le cul. Et cette pensée, péché et interdite il y a quelques heures, me fit frissonner encore plus. Alors, avec mes muscles du cul, j’essayais des pressions pour aider à ouvrir mon anus par des palpitations et des sussions sur ses doigts.

Bien sur, Si Ali remarqua mes efforts et comprit que je rentrais dans le jeu sexuel et il ricana de nouveau:
« ahh ! raha jatak echahwa ! bada qarak yab3ath’lak signal ! » (ahh ! tu sens le plaisir sexuel !
ton cul commence à t’envoyer son signal) et :
« edawar qarak thorka 3ala ezeb ! edawar enikak fissa3 !» ( ton cul veux maintenant un zob ! il veut que je te nike vite ). En effet, je désire son zob vite dans ma Terma car elle me démange assez. Et professeur, il ajouta :
« ahhh ! ga3 latrame qa7ab ! ki e7issou bi zeb, i7ilou qarhoum ! (ahhh ! toutes les Terma sont des putains ! dès qu’elles sentent le zob, elles ouvrent leur cul !)

Et pressé, il m’ordonna : « aya ya Terma al baydha wa jdida ! hili qarak ! hili ! » ( allez viens ô blanche et vierge Terma ! ouvres ton cul ! ouvres !)
Et comme répondant à ses ordres, je sentais mon anus qui s’ouvrait avec facilité et les frottements des doigts sont devenus très chatouilleux, agréable et ma Terma s’ouvrait de plus en plus. Ce sorcier de Si Ali est formidable, en très peu de temps, il a réussi à me draguer, à me manipuler le derrière, à me montrer son zob, à me caresser et à malaxer les fesses puis à me manipuler ses doigts dans ma terma et prêt à me pénétrer avec son gros zob !

Et maintenant, c’est moi qui désire qu’il me nique en urgence ! Étonnant mais vrai, j’étais impatient d’être pénétré par son gros zob :
« ya Si Ali, wach rak tassana ! douk zebek ! dhorka ! rani wajad ! » ( ya Si Ali ! qu’est ce que tu attend ? enfonces ton zob ! maintenant ! je suis prêt !)

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Commentaires de l'histoire :

lailatvx
J'ai adoré votre récit !!!!!!
Posté le 30/03/2024


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