Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Les aventures sexuelles du jeune etudiant Mahdi (3)

Maintenant le jeune Mahdi est bien accroché aux sodomies. Il va se lancer seul et sans son mentor, il va choisir ses amants en public. Il va même faire l'expérience des zobs noirs et suivre son amant dans son logis pour d'autres expériences.

Proposée le 9/03/2024 par DALIDA

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


J’étais captivé par les nouvelles expériences sexuelles de mon jeune ami Mahdi. Je le laisse vous raconter lui-même la suite de ses aventures savoureuses :
Après les sodomies dans le ciné porno avec Said l’ami de ammi Ali et avec d’autres hommes, j’avais compris que ma Terma jouissait des zobs surtout s’ils sont gros et puissants et que j’étais donc devenu accroc aux sodomies. Le lendemain dimanche, mon logeur et amant Ali ainsi que son copain mon autre amant Said travaillaient en heures supplémentaires pour l’argent, donc j’étais libre pour aller en ville tout seul. Ainsi, je me suis promené un moment en ville dans le quartier des ciné porno ou j’étais sexuellement attiré par ma Terma. Après avoir jetés plusieurs coups d’œils aux photos et affiches pornos, je suis allé au petit parc juste en face de l’autre coté de la route, et je me suis assis sur un banc.

A peine assis, un homme très basané, presque noir, vint s’assoir à coté de moi et m’offrit une cigarette que j’ai refusée car je ne suis pas fumeur. Il rigola puis, d’autorité, il mit son bras autour de mes épaules puis tendrement autour de mon cou et approcha son visage du mien et me murmura à l’oreille : « ya kahba assaguira ! chouftouk 7’chamti li cinéma! yallah noudoukhlou ! bah n’zahilak etterma » (Petite putain ! tu as honte d’entrer au ciné ! viens, on vas y aller pour faire jouir ta Terma). Je n’étais pas très étonné, vu le lieu et son bras à mon cou, mais seulement surpris que sa demande soit si rapide et si directe. Alors, déjà excité, je l’ai laissé m’embrasser au cou plusieurs fois puis aux lèvres, ce qui commença à m’échauffer le ventre et me démanger de la Terma. Il me tourna vers lui et m’attira contre sa poitrine, puis son autre main fit le tour pour aller me tripoter les fesses et il comprit que je n’avais pas de slip sous mon jogging. C’est ainsi que ce premier client m’amena très vite au ciné, en face.

Et rapidement on était assis dans une rangée qui semblait vide et il sortit son zob et me poussa à le branler puis à me pencher pour le sucer. Sa main passa derrière moi, fit glisser mon jogging et rapidement ses doigts commencèrent à me caresser directement les fesses et à entrer dans mon cul. Je me suis soulevé un peu pour pousser mon pantalon par terre et soulever ma croupe nue pour lui offrir mes fesses. Rapidement il me poussa à m’assoir sur ses cuisses qu’il avait dénudées et son zob me pénétra le cul facilement jusqu’aux couilles. Il me murmura déjà la voix étouffée :
« ahhhh ! 3andak qar k’bir wa s’khoun ! » ( ahhhh : tu as un cul chaud et profond !) et il ajouta :
« 7’lou ! m’3assal ! zebi tanna’n wa t’gonfla 3lih » ( il est délicieux ! mielleux ! il a vite bondé et gonflé mon zob !). Moi aussi , son zob me remplissait le cul et m’affolait de sa puissance.

J’ai tortillé un peu ma croupe pour bien installer son zob dans ma Terma. Puis, penché, les mains sur le siège devant nous, je dansais de la croupe sur son zob. J’étais à jeun de sexe depuis ce matin et ce petit déjeuner était le bienvenu. Il me tenait les hanches et se penchait en arrière pour bien m’enculer et s’enfoncer en moi et ses vas et viens étaient vigoureux presque violents. Son zob était très basané, presque noir et si gros, long et avec une rondelle monstrueuse qui m’avait pénétrée sans problème. Tout ceci me faisait jouir en permanence et je soufflais, haletais et gémissais de plaisir en continu, en permanence. Lui aussi haletait bruyamment et me soufflait :
« 3ajbak zebi ! ghlith wa touil ! 3amarlak Teremtek ! » ( mon zob te plait ! gros et long ! il remplit bien ta Terma !).

Il était très fort et me secouait la croupe dans ses vas et viens et son zob se retirait presque jusqu’à la sortie puis s’enfonçait de nouveau avec vigueur et vitesse dans ma Terma jusqu’aux couilles. C’est à ce moment de ses enfoncements violents que mes jouissances atteignaient leur maximum et que le plaisir m’étourdissait et me faisait gémir haut, presque hurler sans tenir compte du voisinage. Le plaisir était si intense que j’avais peur qu’il ne s’arrête et alors je lui haletais : « zid ! zid bizzaf ! nikni bezzaf ! ma ta7bassach ! Teremti hablate 3ala zebek ! » ( encore ! encore plus fort ! nike moi fort ! ne t’arrêtes pas ! ma Terma est affolé par ton zob !). Et il continua ainsi pendant un bon quart d’heure, au milieu de nos halètements de jouissance, nos gémissements et les bruits de sussions de son zob quant il glissait au fond de ma Terma, sans tenir compte des gens autour de nous.

Enfin, après une longue série de vigoureux vas et viens de son zob dans mes entrailles, formidablement agréables et jouissifs, et que je ne comptais plus, il atteint son plaisir. Et, agrippant mes hanches, il se colla sensuellement à moi, à mes fesses, à ma croupe et son gros zob éjacula amplement dans le fond de mes entrailles quatre puissantes rasades de sperme brulant en poussant d'abord un feulement de satisfaction ensuite presque un hurlement de jouissances que tout le monde avait certainement entendu dans la salle. Il resta un long moment collé à moi avec son zob, profondément enfoncé dans mes entrailles, continuait à se vider de son sperme. Ce fut un moment de jouissance continue extrêmement agréable pour moi. Je ressentais le zob qui palpitait en moi et cela amplifiait mon plaisir et je continuais, doucement, presque en silence à gémir de jouissances agréables. Ensuite, et à regret, je me suis dégagé en libérant son zob qui restait bandé et gonflé. Puis je me suis accroupi par terre entre les rangées pour récupérer et calmer mon souffle tout en vidant mon cul de son sperme.

Le gars en profita pour me tendre son gros zob toujours debout et que j’ai embouché avec plaisir. Il avait très peu fléchi dans ses éjaculations et recommençait rapidement à se regonfler, à se rallonger et à durcir par mes longues sussions. Ma Terma, qui s’était vidée du sperme en bonne partie restait ouverte et offerte comme une bouche affamée et recommençait à me démanger de l'intérieur. Alors je me suis relevé un peu car je voulais avoir une seconde sodomie mais le gars continuait, avec ses larges mains, à pousser ma tête sur son zob pour le sucer encore et encore. A ce moment j’étais à demi levé et penché sur son zob, quand soudain, j’ai senti deux mains qui s’accrochaient à ma croupe, à mes hanches. Puis un zob s’est glissé sur mes fesses et commençait à se frotter et se branler entre elles. A ces contacts jouissifs, j’ai regonflé ma croupe poussée vers l’arrière, vers ce zob inconnu qui, rapidement ouvrit mon anus et se glissa dans ma Terma pour s’y enfoncer jusqu’aux couilles. Le bas ventre de mon agresseur claquait sur mes fesses. Un viol agressif mais jouissif, agréablement excitant.

J’ai lâché le zob que je suçais et me suis accroché d’une main au dossier de mon siège et de l’autre au dossier devant nous. Mes jambes étaient déjà écartées et les mains du gars tenaient bien mes hanches pendant que son zob faisait ses vas et viens jouissifs dans mon cul. Mon premier niqueur s’était assit confortablement dans son siège et se branlait doucement le zob et me regardait en souriant calmement me faire niquer par un autre devant lui. L’autre me branlait le cul avec son zob et me secouait dans ses vas et viens et nous haletons ensemble avec bruit sans tenir compte des voisins. Son zob qui me pénétrait me semblait plus long que le précédent et semblait aller plus loin au fond de mon cul, et cela me faisait jouir plus longuement. Pendant cette sodomie, je dois avouer qu’il m’a fait jouir nettement mieux que mon premier nikeur. Ma Terma l'avait accepté facilement et semblait ruisseler de plaisir et de jouissances permanentes et qui amplifiaient chaque fois que le zob s’enfonçait de nouveau dans mes entrailles.

Je lui ai dis, sans même le voir :
« hakedhak ! hakedhak ! zebek touil fi Teremti ! 3assal ! zid nikni ! zid bezzaf ! » (comme ça ! c’est comme ça ! ton est long dans ma Terma ! du miel ! nikni ! nikni plus fort ! ).
Je ne sais pas s’il m’avait entendu car mes paroles étaient étouffées par mes halètements affolés. Mais la sodomie dura aussi plus longtemps que la première et même cette position à demi debout et les jambes et cuisses largement écartées m’excitait et me donnait encore plus de jouissances et de plaisir qu'auparavant. Ce fut pour le moment, la meilleure de mes sodomies. Et avec un plus de jouissance car elle était pratiquement publique et j’en recueillais le maximum de plaisir sexuel et dans mes fantasmes psychiques.

Je savais que tout le monde voyait qu’on me nikait librement en l'air comme une putain, et que les coups de zob nettement visibles ainsi que les bruits de sussions qu'ils produisaient avec ma Terma étaient sans gêne, offertes au public. Et que toute ma croupe leur était amplement offerte sans gène. Mon violeur soufflait beaucoup et ses hans rauques étaient bruyants et excitants, et moi je haletais aussi de plaisir et tout le monde nous entendait. C’était formidable, jamais je n’avais été dans une telle situation sexuelle.

Mais, tout a une fin et quant les couilles du gars lâchèrent leurs quatre rafales de spermes, ce fut l’apothéose pour nous deux. Ma Terma était inondée de son sperme chaud. Nous sommes restés ainsi, accrochés par le zob à la Terma un long moment. Et après quelques minutes d’extase commune, il se retira de moi et recula et c’est ainsi que j’ai pu le voir pour la première fois. C’était un grand gaillard, noir de peau et de grande taille ainsi que son gros et large zob monstrueux mais affolant de désir. Son zob était incroyablement très long et très large, épais et noueux dans toute sa longueur. Je comprend mieux pourquoi ma Terma a été séduite et s’est ouverte jusqu’au fond à ce formidable monstre qui la remplissait totalement et nous faisait agréablement jouir. Je me suis accroupi encore une fois pour me vider le cul, mais j’ai attrapé son zob pour l’avaler. Il m’affolait et m’attirait.

Je voulais qu’il me nique aussi dans la bouche même s’il était très gros et épais. Il entrait difficilement dans ma bouche mais je l’ai d’abord léché et sucé agréablement de tout son long et de ses grosses veines qui gonflaient son épaisseur. Ce fut agréable et je me suis rassasié de sa douceur et de sa puissance en même temps et aussi de sa lourdeur qui a ajouté à mon excitation et m’a étourdi de désir. Rapidement ma Terma s’est enflammée de nouveau pour désirer une nouvelle sodomie, pour gouter de nouveau à ce merveilleux zob noir. Et mon cul recommençait à palpiter agréablement. Mais j’avais enfin réussi à faire pénétrer le gros zob dans ma bouche. Ainsi, le gars était debout et arquait son corps vers l’arrière, les jambes écartées, il me tendait son zob et commençait à me niquer la bouche par des vas et viens lents et continus qui me faisaient jouir autant que les plus violentes.

Je ressentais dans ma bouche son zob qui palpitait, qui gonflait encore et encore et vibrait de plaisir et je savais qu’il était archi près pour une autre sodomie immédiate. Ma Terma recevait aussi ce message de désir et d’excitation, et comme elle s’était largement vidée du sperme sur le sol, j’ai demandé au gars de se positionner autrement. Je lui ai dis de s’assoir sur le siège et de tenir son gros et long zob debout, vertical. Puis je me suis déplacé pour m’assoir sur son zob que j’ai facilement enfoncé totalement dans mon cul. Cette nouvelle pénétration de tout son long dans ma Terma fut encore une fois un paradis de jouissances. Ainsi, assis complètement sur ses cuisses, je suis resté un moment à jouir de la présence totale du gros et long zob dans mon intérieur. Ce fut un enchantement et il frétillait parfois de ses ondes de désir que je ressentais aussi agréablement dans la chair de ma Terma. Puis je me suis soulevé en partie, et accroché des mains au dossier devant, j’ai commencé à danser sur son zob. Comme je l’avais fait pour mon précédent nikeur.

En tortillant de la croupe et des fesses, en me soulevant un peu puis en m’enfonçant sur le zob, j’amplifiais mon plaisir et très vite, mes jouissances ont inondé tout mon corps. J’oubliais presque où j’étais et je ne faisais rien pour diminuer ou étouffer mes halètements de plaisir, mes gémissements jouissifs et parfois mes plaintes « ahhh ! » de jouissances, longues et rauques. Je savais que tout le monde du voisinage savait qu’on me niquait et je n'en tenait pas compte, j’en jouissais même. Pendant au moins les dix minutes suivantes ou plus , je me suis déchainé sur son zob par mes mouvements haut et bas et à droite et à gauche, tout en gémissements forts, en halètements rauques et accélérés. Je ressentais le zob qui glissait à merveille dans mes entrailles et ses ondes de plaisir irradiaient amplement tout mon corps. Et enfin l'homme atteignit son top, et criant son plaisir, il me bombarda les entrailles de ses puissantes salves de sperme brulant. Une apothéose de plaisir pour tout les deux et j’ai gardé son zob en moi pendant plusieurs minutes encore pour que ma Terma lui suce le maximum de son miel viril.

Enfin il s’assit sur son siège et son zob se retira de mon cul qui ruisselait de plaisir et de sperme. Je me suis accroupi pour la troisième fois pour vider mon cul mais j’étais fatigué pour lui prendre le zob et le sucer. Il était la, devant moi, assez courbé mais très long et désirable et luisait de sperme, un vrai monstre comme auparavant. Au bout d’un moment, j’ai repris mon souffle, alors j’ai attrapé le zob pour le branler et le sucer. Et, sans surprise, rapidement il reprit ses forces et s’allongea en durcissant de plus en plus. Incroyable, il était encore prêt pour une nouvelle sodomie et cette pensée me fit vibrer et mon anus à palpiter de désir. Je savais que ma Terma était insatiable et prête à tout moment, et je n’ai pas hésité.

Je me suis soulevé, et comme j’étais toujours nu sous la ceinture, je me suis agenouillé en partie sur le siège et en partie sur ses cuisses, un peu face au gars. Puis, j’ai écarté mes cuisses et en me soulevant légèrement, j’ai réussi à placer son zob sous mes couilles, directement face à mon anus. En farfouillant un peu, je suis arrivé à enfoncer son zob dans mon anus, sous mes couilles, dans mon cul par devant, et je me suis assis dessus, puis j’ai commencé des vas et viens. J’étais donc en partie face à lui et mon zob frottait sur son bas ventre et ma poitrine collait à la sienne. Ainsi, je me sodomisais par face à face et comme il avait un zob très long, il me pénétrait bien et mes jouissances étaient complètes.

Il était étonné mais il me tenait enlacé et commençait même à m’embrasser et à me caresser et masser les seins en grommelant et en gémissant. Ses longs bras, autour de moi, ont atteint ma croupe et ses mains me massaient la Terma et ses doigts s’enfonçaient dans mon anus. C'était un niqueur complet, il touchait et profitait de tout mon corps pendant que son gros zob me fouillait le cul. Moi je remuais et dansait du cul sur ce gros zob merveilleux d’épaisseur et de longueur. Mais j’ai aussi réussi à entourer son cou de mes bras en profitant de ses baisers et de ses caresses sur tout mon corps. Dommage qu’on ne soit pas dans un lit où j’aurais profité pleinement de cette sodomie face à face. Et malgré ses deux éjaculations précédentes et proches, je suis arrivé à l’exciter au point de remonter le désir de ses couilles et de les remplir de nouveau.

La preuve, son zob gonflé à bloc et dur comme du fer qui me remplissait le cul et les entrailles. Je suis tombé sur un nikeur de puissance et j’en profitais de partout à la Terma, aux seins, aux fesses et même mon zob se gonflait au contact sexuel de son bas ventre. Le fait qu’il jouissait non seulement de mon cul mais aussi de tout mon corps a aussi ajouté à ses désirs et il arriva de nouveau facilement au plaisir. Et soudainement, presque par surprise, j’ai ressenti les jets de ses nouvelles éjaculations dans mes entrailles alors que je dansais toujours mes vas et viens. Je me suis arrêté dès le premier jet et j’ai joui des autres éjaculations, pleinement. Il hurlait presque et m’embrassait fortement tout en malaxant mes seins pendant ses éjaculations. J’étais au paroxysme de la jouissance. Je me sentais totalement mouillé dans mon corps et ma Terma, noyée de plaisir et de sperme. Je me suis lové dans sa poitrine pour souffler avant de me détacher et reculer, pour une énième fois, m’accroupir et vider mon cul de son sperme.

Cette fois, comme une grande partie de mes cuisses et de ma croupe étaient pleines de sperme, le gars eu une réaction nouvelle. Il me souleva facilement et vint me positionna pour me lécher toutes les parties de mon anatomie où il y avait du sperme. C’était nouveau pour moi et cela m’a fait plaisir et du sentiment envers ce gars. Alors, moi aussi, j’ai recommencé à lui sucer son gros et long zob pour le nettoyer et même ses formidables grosses couilles. Enfin je me suis assis sur mon siège à coté de mon premier amant qui se branlait toujours doucement en me souriant. Il me demanda :
« teremtek chab3at bi zob wala mazal ? » (ta Terma est elle rassasiée de zob ou pas encore ?). je lui ai souris en répondant :
« Teremti m’a tachba3ach mina zbouba walaw kanou 3achrine !» (ma Terma ne sera jamais rassasiée même avec une vingtaine de zob !).
Et j’ai attrapé son zob qu’il branlait doucement. Je me suis penché sur lui et je l’ai aval. Puis je l’ai sucé adroitement et énergiquement. Il se pencha en arrière et me laissa travailler.

Comme j’étais penché sur lui, il pouvait caresser ma croupe et toucher mon anus et mon cul. Il me tritura avec ses doigts et réussi à exciter ma Terma qui recommença à me démanger agréablement. Comme son zob avait grossi et gonflé, je me suis levé et me suis assis dessus comme au précédent. J'aimais bien faire cela, cette position me remplissait bien le cul et je pouvais toucher comme je le voulais et toucher tous les coins et recoins de mon cul. Lui tournant le dos, j’ai enfoncé son zob dans mon cul jusqu’aux couilles et tenant le dossier devant nous, de mes deux mains, j’ai recommencé la danse de la Terma sur le zob. Cela dura plus longtemps qu’avant, mais j’ai réussi à le faire exciter à fond et j’ai senti un moment le désir qui l’avait envahi.
C’est alors, qu’il agrippa mes hanches et prit les choses en mains. Il me donna des coups de reins dans ses vas et viens à sa mesure et mon corps était souvent agréablement secoué par ses coups de zob.

Enfin, ses couilles lâchèrent leur cargaison et son zob remplit mes entrailles de trois ou quatre salves de sperme chauds et visqueux. Nous sommes restés un bon moment assis, avec son zob dans mon cul. J’étais fatigué de m’accroupir pour vider mon cul alors j'ai laissé le sperme s’infiltrer entre mes fesses puis mes cuisses jusqu’à sécher lentement. Je voulais finir en beauté avec ce gars qui m’avait abordé au parc en m’excitant par sa drague directe. Ensuite, on s’est rhabillé mais j’ai gardé son sperme séché sur mon cul, mes fesses et mes cuisses et lui sur ses cuisses. Et on est sorti du cinéma. On y était entré vers 9h ou 10h et il était 15h passée. On avait baisé pendant plus de cinq heures et j’ai reçu plusieurs sodomies et plusieurs rasades de spermes.

Dehors, on est allé d’abord s’assoir un moment sur le banc ou il m’avait dragué. Il m’a expliqué qu’il habitait le quartier voisin, trois bâtiments plus loin et il m’invita à déjeuner dans un restau de ses amis. J’ai accepté et on y est allé. Son copain c’était un africain qui tenait un petit restau juste au dessous du bâtiment ou mon dragueur habitait. Après qu’on s’est restauré, mon gars m’invita chez lui et on est monté dans son appartement. C’est assez bien équipé. La cuisine, la salle de bain et le petit salon étaient propres.Et la chambre à coucher assez vaste contenait un large lit à deux places et au coin un autre plus petit.

Rapidement on s’est déshabillé. J’ai voulu prendre une douche car mon corps était plein des derniers sperme mais il a refusé. Il voulait me niquer en sentant et goutant sur mon corps ce sperme mâle, ça m’a excité et j’ai du accepter. Il m’allongea dos sur le lit car on voulait niquer face à face. J’ai levé mes jambes jusqu’à ses épaules et il a soulevé ma croupe par un coussin. Quant il s’est agenouillé entre mes cuisses, mon anus était juste face à son gros zob. Il prit mes jambes d’une main et de l’autre il enfonça son zob dans mon anus où il s’enfonça d’un seul coup violent jusqu’aux couilles. Ce geste violent me donna une jouissance telle que j’ai hurlé mon plaisir et il m’a dit :
« ah ya kahba ! h’na enneik 7akiki ! nag3arlak teretek » (putain ! ici c’est la vraie sodomie ! je vas te défoncer la Terma ). Moi, en rigolant : « hahi leik Teremti ! ag3arda bi zebek ! rana wa7adna ! nikni bezzaf ! nikni kima t’hab ! ana qa7abtak dhorka ! » ( voici ma Terma ! défonces la avec ton zob ! nous sommes seuls ! niques moi fort ! niques moi comme du désire ! je suis maintenant ta putain !).

Il se lança dans une série acharnée de vas et viens qui mirent le feu dans mes entrailles, dans ma Terma et me font gémir et hurler de jouissances. Il soufflait fort et haletait et secouait mon corps dans ses coups violents. Un vrai viol de ma Terma. Cela dura un long moment, et j’ai pensé qu’il ne pourra pas éjaculer vu ce qu’il a produit dans le ciné porno. Mais il faut croire qu’il a du jus et la situation de liberté totale de ma Terma pour son gros zob a fait que ses couilles se sont remplies de nouveau et bientôt il éjacula par trois longs et bruyants jets puissants car il hurlait et moi aussi. Enfin il se sépara de mon cul. Et s’étendit le dos sur le lit. J’en ai profité pour attraper son zob et le lécher et sucer par plaisir et pour le nettoyer. Mais cela le fit encore se gonfler et se mettre debout vertical et dur. Alors je me suis assis dessus comme à mes habitudes et je l’ai enfoncé dans mon cul malgré le sperme qui coulait encore et j’ai recommencé à danser de la Terma. Ma Terma semblait acharnée, affolée de zob, insatiable ! elle ne voulait pas se séparer du zob qui la défonce et continuer à niquer !

Mais lui semblait fatigué et son zob commençait à faiblir. Je l’ai ressenti et lui aussi et il me regarda en s’excusant. J’avais compris qu’il ne pouvait pas aller jusqu’à la fin aux éjaculations. Alors j’ai arrêté et je me suis couché à ses cotés. Il me dit qu’il doit se reposer la nuit et demain ce serait parfait mais cela ne satisfaisait pas ma Terma qui était encore affamée d’une ou de deux autres sodomies pleines de spermes. Alors il se leva et me dit qu’il avait une solution. Encore tout nu il prit son téléphone et se mit en contact avec quelqu’un dans une langue que je ne comprenais pas. Il n’a pas voulu répondre à mes questions mais dix minutes plus tard, on toqua à la porte et il est allé ouvrir tout nu le zob courbé. J’étais aussi tout nu, allongé sur le lit. Et l’homme du restaurant, l’africain pénétra dans la chambre. Et sans un mot, il enleva ses habits et se présenta face à moi, le zob gonflé debout presque vertical et aussi gros et long sinon plus que celui de ceux que j’ai vu cet jour. Mon ami me demanda si ce gros zob pouvait satisfaire ma Terma pour cet après midi et à vu d’œil j’étais d’accord.

Je me suis levé et j’ai saisi ce nouveau zob qui était debout et dur comme un barreau de fer. Et je lui ai souri en lui disant :
« marhaba bi zeb eljadid ! khchine wa touil ! hadha wach yalzem li Teremti al ka7ba ! aya e’nikou ya sa7ab sahbi ! » (bienvenu au nouveau zob ! épais et long ! c’est exactement ce qu’il faut à ma putain de Terma ! viens on va niker ô ami de mon ami !).
Et vu sa consistance et sa longueur il pourrait satisfaire ma Terma. Alors j’ai commencé à le lécher et le sucer tout en nous rapprochant du lit. J’ai voulu d’abord l’essayer par derrière avant le face à face et je me suis mis à genoux sur le lit. Rapidement et sans un mot, l’africain se mit derrière ma croupe et me flatta les fesses de ses mains et ses doigts pénétrèrent mon anus et mon cul. Il était grand et avait de larges mains et très vite son zob se pointa à mon anus et plongea dans mon cul jusqu’aux couilles.

J’ai bien senti qu’il était plus large et plus gros que tous les zobs qui m’ont niqué ce jour au ciné et dans la chambre. Il savait que son zob était gros, alors il fit quelques vas et viens en douceur pour habituer mon cul au gabarit de son zob. Puis quant les glissades devinrent faciles, il accéléra. Ensuite, accroché à mes reins, à mes hanches, il se lança dans une série vigoureuses de vas et viens rapides et vigoureuses qui enflammèrent mon cul et tous les fibres de mon corps. Je hurlais de plaisir car ce gabarit me frottait la ou les autres ne m’avaient pas touché. Il m’écartait les entrailles largement plus que les autres et c’était si agréable que je ne pouvais me taire de jouissances. Et pendant plus d’un quart d’heure, il me niqua à sa manière, presque violente et sauvage mais si jouissante et permanente que je respirais difficilement de ses coups de reins rapides et puissants.

Enfin il arriva à son top et se crispa sur mes hanches et se colla à ma croupe. Et enfin, il éjacula une série de cinq ou six jets puissants dans mon intérieur. Ce fut une véritable inondation pour ma Terma. Le sperme la remplissait et le surplus sortait dans les coins sur ma croupe et descendait vers mes cuisses. Ma Terma a enfin été rassasiée. Ensuite, il fit quelques vas et viens malgré le sperme et enfin il sortit son gros zob de mon cul. Je restais à genoux presque étourdi, puis je me suis couché sur le ventre pendant un moment et je laissais le sperme s’évacuer doucement de mon cul vers mes fesses et plus bas vers mes couilles.

Soudain je ressentis un poids sur le dos. C’était l’africain qui se couchait sur moi et son zob piquait mes fesses. Il semble qu’il a encore envie immédiatement de ma Terma. Son zob était encore debout, vertical, dur et il chercha mon anus et le trouva. Ensuite, il poussa son zob qui me pénétra et s’enfonça dans mes entrailles toujours au fin fond. Et, bien couché sur moi, il recommença une série de vas et viens qui s'enfonçaient avec vigueur dans ma Terma qui en était enchantée. Je vous raconterais la suite la prochaine fois.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Aucun commentaire pour le moment.


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Les aventures sexuelles du jeune etudiant Mahdi (2)
Les aventures sexuelles du jeune etudiant Mahdi
Les aventures sexuelles du jeune etudiant Mahdi (4)
Les aventures sexuelles du jeune etudiant Mahdi (5)
Les aventures sexuelles du jeune etudiant Mahdi (6)