Histoire Erotique

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Salement baisée par ma meilleure amie.

Bonjour, moi, c’est Mathilde, 23 ans, aujourd’hui, je vais vous raconter comment, il y'a deux ans, ma meilleure amie, Olivia, m’a prise, réalisant brutalement un de mes fantasmes. Le texte comporte deux narrateurs, Olivia, et moi, et chaque changement de narrateur sera indiqué.

Proposée le 2/01/2024 par Erotisation

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Thème: Première fois
Personnages: FF
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Nous avions rendez-vous chez elle, ce jour-là, entres amies. C’était un soir de l’année 2021, il y’a deux ans. Olivia était une belle brune, aux yeux bruns, fine, et élancée, et venait d’avoir 22 ans. Moi, c’est Mathilde, blonde, yeux bleus, fine mais moins grande, 21 ans, et secrètement bisexuelle, et peut-être un peu salope, ce qu’elle avait visiblement compris, comme vous allez le voir.

Je sonnais à sa porte, elle m’ouvrit, m’invita à venir.
Je m’assis sur la table, elle m’avait préparé un thé. Mais elle, restait debout un moment, occupée à lire un magazine, me permettant d’apercevoir ses courbes. Sa robe laissait en effet une longue ouverture qui découvrait ses bas noirs en résille, ainsi que son porte-jarretelle. En fait, plus j’y regardais, plus j’avais l’impression qu’Olivia se déhanchait devant moi. Depuis que je l’avais rencontrée, Olivia me faisait cette effet-là, mais je n’arrivais pas encore à savoir si elle le faisait exprès ou non.

Il n’empêche que je fantasmais sur elle depuis au moins quelques mois, et qu’elle envahissait régulièrement mon imagination lorsque je me masturbais.

La grande brune ferma son magazine, et vint à côté de moi, sur la table, se servir une part de gâteau. Nous discutions pendant ce temps de tout et n’importe quoi, de nos centres d’intérêts, les affaires du quotidien, l’université, nos amants (nous étions très ouverte d’esprit), bref, de tout. Au moment où nous évoquions de mon côté un problème de blocage, au niveau sexuel, Olivia collait au passage sa jambe contre la mienne (je portais de mon côté une jupe), et me donnait des conseils, comme le lavage annal pour la sodomie, mais je n’arrivais pas à me concentrer sur autre chose que le contact de sa jambe contre la mienne, je me mettais à penser à autre chose, et l’ambiance se fit d’un coup plus chaude de mon côté.

A un moment donné, il y’eu silence. Nos regards se croisèrent, avec une certain gène de ma part, comme si j’avais été surprise dans mon excitation. Un sourire malicieux se dessinait sur ses lèvres à elle, le regard pétillant, alors qu’elle posait la main sur ma cuisse droite, et me dit soudain :

- « Mais toi, Mathilde, je ne te fais rien ? »

- (Moi, gênée, et enthousiaste) « Si, un peu »

Changement brutal de situation, Olivia me mit debout avec elle, et m’embrassa avec fougue sur la bouche, tout en pelotant avec empressement mes fesses, sous ma jupe, comme si elle avait attendu ce jour toute sa vie.

« Viens-vite dans ma chambre », me dit-elle.

A peine étais-je arrivée dans son lit, qu’Olivia se mit derrière moi, à quatre pattes, et fit glisser ma jupe, toute excitée, découvrant ma culotte, puis mon haut, et découvrant mon soutien-gorge blanc, en dentelle.







(Le point de vue d’Olivia, nouveau narrateur) :



Mathilde se mit à quatre pattes dans mon lit, se déhanchant sensuellement pendant que je faisais glisser sa jupe, puis sa culotte, talons à l’air, et découvrant son sexe charnu rasé. Quelle salope, pensais-je. Je m’avisais de lui donner une fessée pour la punir, de m’avoir chauffée pendant des mois (quoique je l’eu aussi fait) :

« -Tu aime ça ma salope, hein, avoir le sexe à l’air devant ta meilleur amie »

« Continue putain »

J’étais sûre d’être sa première fois avec une fille, me disant : qu’elle s’en souvienne toute sa vie, la garce !
La jupe et la culotte baissée sur ses genoux, je lui enlevais son gilet, son haut, ne laissant que son soutien-gorge.





Mathilde :



Olivia m’avait presque foutue à poil devant elle, le tout en m’arrachant des plaintes, et des supplications, à quatre pattes, alors même qu’elle venait me traiter comme une salope, jupes et culotte baissée, et talons à l’air.

« Continue s’il te plaît », la suppliais-je.

« Mais avec plaisir », me dit-elle.

Je sentis un contact avec ma chatte, qui venait me triturer. Olivia commençait doucement à me masturber, enfonçant des doigts dans ma chatte, tout en jouant avec mon clitoris, tandis que je me déhanchais contre son bras, je devais vraiment avoir l’air d’une trainée à quatre pattes, mais j’en demandais encore plus, ce qui incita ma brune à se pencher pour lécher mon minou, plaisir que je n’avais jamais ressenti, je commençais rapidement à venir, et à ressentir un plaisir intense, ma chatte comme en train de brûler, torride, ruisselante, contre la bouche de ma pote.





Olivia :



Mon amie gémissait comme pas possible au moment où je lui léchais son sexe, où mon nez frôlait ses poils blonds, cambrée à quatre pattes.
Ma meilleure amie avait vraiment l’air d’une nymphomane, elle avait sûrement fantasmé depuis des mois, peut-être des années, à mon sujet. Que je vienne lui lécher le sexe avait été l’action de trop pour elle, et après avoir laissée couler une sacrée quantité de cyprine salée dans ma bouche, elle avait joui en quelques minutes, toute tremblante, ses fesses remuant contre ma bouche. C’était désormais à mon tour de prendre mon pied, mais je comptais bien garder mon rôle, et la dominer.

« C’est à tour de me donner du plaisir, alors tourne toi ».

Mathilde obtempéra, les joues encore toutes rouges, la jupe et la culotte encore sur ses genoux, me retirant mon gilet, et ma robe, ne laissant que mes bas, jarretelles, soutien-gorge, ma culotte et mes talons, et la coquine en profita pour peloter mes seins à travers mon soutient gorge, et lécha la partie non couverte de mes seins, décidément, elle était aussi forte pour me chauffer, qu’elle était encore émoustillée après son orgasme.

« Allonge toi sur le dos » lui-dis-je.

Ma blonde se mit comme demandé sur le dos, tandis que les cuisses écartées, j’approchais mon sexe de sa bouche. Elle allait bien lécher ma chatte, la salope.





Mathilde :




Ma belle brune se mit au-dessus de moi, jambes écartées, au-dessus de mon visage, et pour la première fois de ma vie, je pouvais respirer un sexe féminin, au moins aussi excitant qu’un sexe d’homme. La chatte de mon amie, parsemée de poils bruns, mais rasés courts, était presque lisse, avec une odeur de sexe, on voyait d’ailleurs qu’elle mouillait aussi, mine de rien.

« Tu veut bien me lécher la chatte ? », me dit-elle.

« Avec plaisir », gémis je, haletante.
Je léchais donc son sexe, elle agenouillée au-dessus de moi, prenant son pied, et découvrait un goût acide et salé, remplie d’effluves, qui bizarrement, ne me repoussait pas, m’excitait même, alors que je me remettais de mon orgasme, et avalant goulûment sa mouille, je savais trop bien de quoi j’avais l’air, mais je m’en fichais. Olivia confirma d’ailleurs cette impression :

« Putain, tu lèche bien toi, tu es sûre que c’est ta première fois ? »

J’acquiesçait.

« Oh la salope, tu vas me faire jouir si tu continues toi, salle chienne ».


Olivia me baisait désormais littéralement le visage, ce n’était plus moi, qui la léchait, mais bien elle qui ondulait son bassin sur ma langue, en étalant mon visage d’un mélange de mouille et de salive, qui formait un filament gluant entre ma bouche et son sexe ruisselant, que j’essayais tant bien que mal de nettoyer.

Ce n’était probablement pas sa première fois d’ailleurs, car au bout de dix minutes à m’insulter de tous les noms, et me baiser le visage, elle n’avait toujours pas joui.

Elle décida alors de se retirer de mon visage, me laissant respirer, puis, se levant du canapé, me dit :

« Mets toi bien contre le mur, ma pute, j’ai une surprise pour toi »

« Comme ça ?»

« Non, dos à l’air, et cambrée, et mets tes genoux sur le bureau, talons à l’air, jambes écartées. Je reviens tout de suite ».

J’attendis donc ainsi, dans cette position à la fois humiliante et excitante, à genoux, le temps qu’elle revienne, avec à la main… Un pot de lubrifiant, et un gode ceinture d’au moins 25 centimètres. Elle était malade ?

« Eh mais attends, ça ne va jamais rentrer ton truc ! »

« Ne t’inquiète pas, fais moi confiance ma cochonne », me susurra-t-elle.

Ma pote enduisit mon sexe de lubrifiant, puis glissa doucement le gland du gode, puis la moitié de celui-ci, et enfin les deux tiers. J’avais l’impression que mon ventre allait se déchirer, mais progressivement, la douleur s’estompa, pour faire place au plaisir, et je suppliais :
« Vas-y, défonce-moi avec ton gode ! »




Olivia :



Mon amie d’enfance, était là, devant moi, sur le bureau, presque nue, ses cheveux blonds et bouclés tombant sur son dos, avec pour seuls habits sa jupe et sa culotte, toujours baissés au niveau de ses genoux, et ses talons à l’air, jambes bien écartées, et avait bien cambrée le dos comme demandé, tournée vers le mur.

J’avais choisi un gode double, pour nous donner du plaisir mutuel, et après qu’elle ait été lubrifiée, cette chienne me suppliait désormais de lui défoncer la chatte. Puisqu’elle le demandait, je posais mes mains sur ses hanches, et entreprit de brutaux va-et-vient dans sa chatte, pendant que son corps se couvrait de spasmes, elle prenait cher, ma Mathilde.

Sachant que je commençais à venir, ne voulant pas être reste, je lui donnais une série de fessée, ce qui n’arrangeait pas sa situation :
« Dis-le, chienne, que tu aimes ça te faire baiser par ta meilleure amie ».

« Je … » elle était essoufflée.

« Dis-le, que tu aimes ça ! » dis-je alors que je m’apprêtais à jouir.

« J’aime … ça … Putain », alors qu’elle tremblait comme jamais.

J’eu soudain une idée perverse, qui n’allait sûrement pas lui déplaire. Je stoppais les va et viens, me mis sur le bureau en missionnaire, au-dessus d’elle, tout en enlevant le gode ceinture.

« Lèche moi bien ton gode, pendant que je nous fais jouir »

Je me mettais donc au-dessus d’elle, en ciseau, frottant nos chattes ruisselantes l’une contre l’autre, alors que je tenais fermement ses cuisses, et constatais …
Que cette chienne le faisait vraiment, elle léchait littéralement un gode qui sortait de sa chatte, et goutait directement à sa propre mouille, cette idée m’excitait trop, (elle aussi visiblement), et nous avons toutes deux eux un orgasme démesuré, dans une atmosphère de luxure indescriptible, tremblantes.

Après avoir finie de jouir, je regardais Mathilde dans les yeux, haletante. Ma blonde était toute rose, presque mignonne malgré son côté salope, et s’empressa de m’embrasser sur la bouche, dans un baiser mêlant tous types de sécrétions.

« Je t’aime, ma Mathilde »
« Moi aussi, Olivia ».



Mathilde :

Cette après-midi a été géniale, nous avons beaucoup baisées (où plutôt Olivia m’a baisée), et j’ai adoré cette première fois entre femmes, avec une personne qui me connaissait, une amie d’enfance, qui a su jouer avec mes désirs, mes pulsions, pour me faire jouir comme pas possible.

Lorsque la nuit est tombée, nous avons fait le choix de continuer notre séance, nos corps nus l’une contre l’autre, dans un sommeil presque amoureux.


Fin

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Commentaires de l'histoire :

alibi83
tres jolie histoire à laquelle jaurai bien voulu participer
Posté le 20/03/2024

Florent
Tout bonnement incroyable ! Si agréable à lire... Et je dois avouer, si fabuleux pour se masturber. Ma plus belle jouissance... Merci bcp !!!!!
Posté le 3/02/2024

PEGGY
tres jolie texte d'amour lesbien
Posté le 15/01/2024


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