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Faut quand même pas pousser

Un pion plus âgé et bienveillant veut m'initier aux plaisirs charnels entre hommes. Je ne dis pas non, mais il y a quand même des limites. Certes, ce surveillan par ailleurs séminariste m'a surpris une nuit en pleine branlette avec un copain du pensionnat, mais sa punition fut assez rigoureuse.

Proposée le 26/07/2023 par Sacha

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Thème: Homme dominé
Personnages: HH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie


Une stricte éducation catholique m'avait amené à considérer comme "contre-nature" tout ce qui n'était pas coït entre mâle et femelle. D'accord, mais quand on se retrouve interne dans un pensionnat de garçons, aucune vulve à l'hotizon, que faire?

Certes, les jeux érotiques entre garçons et fiers de l'être échappaient souvent à la vigilance de nos surveillants, en plein jour dans les bois avoisinants, ou dans le dortoir.

Il suffisait d'attendre l'heure à laquelle, en principe, tout le monde dormait. Alors il était facile de rejoindre la couche du voisin et, serrés l'un contre l'autre, de se branler ensemble. Nos queues assoiffées de plaisir n'en pouvaient plus de s'accoquiner, elles voulaient s'encanailler davantage, se frotter l'une contre l'autre, éjaculer de concert. Mon voisin ne demandait que ça, que je branle sa queue toute raide, et moi j'offrais la mienne, dans le même état, bandant au ciel.

Jusqu'au jour où le pion de service nous a surpris. Il a soulevé le drap et, à la lumière de sa lampe de poche, a vu nos deux queues l'une contre l'autre et fièrement dressées. Il en est devenu tout rouge.

Comme c'était moi qui découchais, c'était forcément moi le coupable, la punition serait donc pour moi, et en guise de punition je devais me rendre seul dans sa chambre le lendemain soir à l'heure de l'extinction des feux. Il avait même ajouté: tout nu, de préférence, comme pour m'humilier davantage.

Donc Il a bien fallu. Et je suis arrivé tout nu, respectant scrupuleusement la consigne.

Il m'a alors ordonné de m'allonger à plat ventre sur son lit, en me disant que la punition, c'était d'abord une fessée. Il me donna une bonne fessée. Mais bizarrement, les claques qu'il m'administrait alternaient avec de tendres caresses sur mes fesses, il me fallait demander pardon au Seigneur de m'être accouplé avec un garçon, puis remercier le Seigneur de m'avoir accordé un si beau cul, des fesses bien charnues et rebondies qu'il me demandait d'ailleurs d'écarter davantage, dans ses moments de tendresse, afin que la punition fût complète.

Il me disait qu'il éprouvait un amour et un désir immense pour la créature que j'étais, mais que qui aime bien châtie bien.

Lorsque, fatigué peut-être de l'énergie qu'il avait déployée à me frapper, il se contenta de me caresser les fesses que je lui offrais, les miennes, bien ouvertes, la raie et le petit trou bien en évidence. Un dialogue un peu surréaliste s'ensuivit:

- T'as pas honte de faire ce que tu fais la nuit avec ton copain de chambrée?

- Pas du tout, Monsieur, et c'est qu'on se donne bien du plaisir tous les deux, nos queues bien serrées et affolées l'une contre l'autre, c'est que Dieu a dû nous créer comme ça, et avec ces goûts là. Et on jouit bien ensemble quand on se fait éjaculer mutuellement.

- Mais, mon pauvre garçon, si tu continues comme ça, tu files droit vers Sodome, l'abimination des abominations. Tu sais ce que c'est?

- Non. J'y suis jamais allé.

Le pion était séminariste, il devait savoir de quoi il parlait. C'est alors qu'il voulut me montrer "l'exemple même de ce qu'il ne faut pas faire". Désireux de m'instruire en ces matières, je me suis donc prêté volontiers au jeu, tandis qu'il ne cessait de peloter ce qu'il appelait "ton beau petit cul".

Pour toute explication, il me dit que la punition irait jusqu'au bout, vu la gravité du péché mortel que j'avais commis.

En fait, il commença par passer langouresement un doigt dans ma fente, en s'attardant parfois, et même de plus en plus souvent, sur mon petit trou. Il tournait autour. Puis poussant un peu. Je n'ai pas tardé à comprendre, vu la sensation délicieuse et si troublante que j'éprouvais, que ce n'était plus son doigt mais bien son gland qui semblait savourer les abords de ma rondelle.

Il me fait alors réciter la déclinaison de rosa en latin, rosa, rosa, rosam, rosae etc., puis me dit c'est bon, donne moi ton petit bourgeon, ta petite rose écarlate.

Je sentis son gland s'enfoncer un peu en moi, ce fut délicieux, je jouissais du cul, j'en redemandais, si c'était ça la punition, j'en voulais encore.

Je ressentis une légère douleur au moment de l'effraction, puis tout coulissa très bien, mon anus se montrait fort friand de sa queue et se dilatait bien pour l'accueillir. Un séminariste m'enculait en disant "Dieu nous pardonne, mais après tout c'est ta punition bien méritée", j'ai voulu lui répondre "Dieu nous bénisse", mais sa main qui me branlait m'a fait éjaculer au moment où il répandait en moi sa semence

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