Histoire Erotique

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Espoirs estudiantins.

Jusque-là, j’avais été une femme réservée, soucieuse de préserver mes secrètes errances intimes, mes fantasmes et mes obsessions. Le sexe était depuis quelque temps moins présent dans ma vie, moins intense, alors, comme tout un chacun, je me suis tournée vers la pornographie, moi la professeurs!!

Proposée le 3/07/2023 par maximilien7

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FF
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme


Jusque-là, j’avais été une femme réservée, soucieuse de préserver mes secrètes errances intimes, mes fantasmes et mes obsessions. Le sexe était depuis quelque temps moins présent dans ma vie, moins intense, alors, comme tout un chacun, je me suis tournée vers la pornographie, cherchant à aiguiser mes sens par ce moyen-là. Je découvrais alors les diversités de genres, et les divergences qui pouvaient exister dans les scénarios qu’on me proposait.
Ils étaient par conséquent plus ou moins intéressants, plus ou moins réalistes pour que j’adhère à l’histoire présentée. De voir un homme se masturber me procurait déjà une forte excitation, le voir éjaculer me jetais aussitôt dans un espace proche de l’extase. J’ai toujours aimé voir cela, alors j’invitais mes partenaires à se faire plaisir de cette façon devant moi.
Certains étudiants qui se sont pliés à l’exercice, se libéraient prestement de leurs vêtements, certains en rougissant gardaient les yeux baissés, d’autres sans la moindre hésitation, exhibaient une verge cramoisie qui dépassait largement la main qui la tenait. Mais tous, tous ont donné libre cours à cette envie de câliner leurs sexes sous mes yeux. Ils cherchaient évidemment à découvrir mes propres plaisirs pendant qu’ils pratiquaient ce qu’ils faisaient d’ordinaire en cachette. Après un temps plus ou moins long, ils arrivaient toujours au bout de leurs quêtes et moi, j’exultais de les voir aussi gênés quand cela se produisait.

Lorsque jaillit l'humeur blanchâtre hors de leurs pénis, c’est ce moment-là, qui me procure le plus de sensations, ils tressaillent et gémissent et je les vois perdus, presque inconscients, s’étaler sur le canapé. À mon tour, alors je suis frappée d’un formidable orgasme, car ces jeunes corps nus, qui s’ébrouent et s’entortillent, sont à couper le souffle. Pour certains, l’aventure sensorielle s’arrête là, pour d’autres, elle continue et je m’étonne de voir renaître leurs virilités avec autant de puissance, pour qu’encore en fois, ils éclaboussent de leurs semences leurs toisons intimes. Quelques-uns ont eu le courage de me demander de les satisfaire, alors je me suis fait ce plaisir en appliquant un savoir acquis au cours de mes relations, je les traitais donc en élèves pour asseoir mes instructions, en exigeant des postures dociles.

J’étais leur éducatrice et ils étaient mes subordonnés, le jeu n’en fut que plus charmant. Alors, roulants et étirant les sexes érigés entres mes mains, je les regardais s’ébattre les yeux fermés, je mouillais en voyant leurs ventres se dresser quand d’une main, j’enfermais leurs couilles avec précaution. Une fois de plus, les bites se branlaient au moment le plus sensuel, puis, arrivant à l’apogée, ils crachaient encore leurs germes visqueux, un frisson frappait alors mon être entier et entre mes cuisses, la fontaine subitement coulait douce et apaisante.

Mais un soir, l’un d’entre eux, ne pouvant se satisfaire de ce que je pouvais lui offrir, me saisit par la taille, et prestement me jeta sur le bureau en faisant voltiger tout ce qui s’y trouvait, et enfin, je subissais ce que j’avais souhaité, une attaque en règle, certains auraient dit un viol. Mais non, il n’y avait là rien que je n’aurais accepté, soit dit honnêtement, que ce ne fut pas le dernier outrage qu’il me fut donné de vivre avec celui que je nommais le Viking, tant il était imposant. Nous sommes restés, amants, et lorsque Charles me posa un jour cette question ; ‘’ chérie, tu me trompes ?’’, je lui répondis en souriant ;’’ non, mon chéri, c’est moi que j’ai trompée en t’épousant !’’, alors nous nous sommes séparés !

Ma vie de femme était conditionnée à ce moment-là, par de petites aventures qui se jouaient au fur et à mesure des rencontres que je faisais avec cette jeunesse en recherche de sexe. J’avais l’avantage de représenter pour ces jeunes gens l’autorité et la maturité d’une femme mûre. Les filles comme les garçons me le faisaient savoir par de charmantes lettres dont certaines, n’étaient autre que des invitations. Ainsi, j’allais de surprises en surprises, quand ils étaient plusieurs à vouloir coucher avec moi, et si possible ensembles dans un même lit, il me paraissait tout de même hasardeux d’accepter sans réfléchir une telle invitation.

Puis un jour, j’ai cédé à un groupe de filles trop mignonnes pour que je ne les ignore, trop jolies pour ne pas me faire des idées perverses pour qu’elles ne puissent se réaliser. Il s’agissait en vérité d’une sorte de bizutage, sans aller toutes fois dans les extrémités que l’on connaissait alors. Les plus jeunes de la sororité avaient été adoubées sans qu’il n’y ait eu de dérives, car évidemment, je n’aurais pas accepté qu’il puisse y avoir des agressions de quel ordre que ce soit.

Quatre d’entre elles mon proposées néanmoins de prolonger la soirée, et elle le fut magnifiquement puisqu’elles se sont occupées de moi plus que je ne l’aurai souhaitée. Le moins que je puisse dire, c’est qu’elles m’en ont fait voir de toutes les couleurs. Elles étaient plus jolies les unes que les autres et rapidement, je remarquais une belle brune au teint hâlé, d’une tête plus grande que les autres avec une superbe chevelure, longue et soyeuse qui retombait élégamment dans son dos, jusqu’au-dessus de ses fesses. Séduite par autant de beauté, je le lui fis remarquer en suivant d’une main sa magnifique chute de reins pour m’attarder un instant sur le galbe de son petit séant bien rondelet. Il ne fallait que cela pour que la demoiselle ne vienne prendre d’assaut ma bouche, puis, piquant mes lèvres d’une langue fureteuse, elle prit possession de mon esprit en l’espace de quelques millisecondes ; ‘’ Ce soir, madame, je vous ferais l’amour’’ susurra-t-elle en me mordant le lobe de l’oreille !

L’instant d’après je venais de perdre mon statut d’enseignante pour devenir sa chose, elle venait par cette déclaration, de réinitialiser un mode de fonctionnement que j’avais oubliée. Iris vint se caler sur ma poitrine, la tête entre mes seins, et tandis que je refermais mes bras sur ce corps qui venait de m’adopter, nous basculions sur le canapé sous le regard des filles, sidérées par l’image que nous leur offrions.
Son visage était d’une finesse d’un autre âge, je goûtais ce parfum de jeunesse avec avidité, léchant et embrassant chaque parcelle de sa peau, et tout en perdant la notion du temps, je m’accrochais à cette âme qui venait de me séduire. Avant que je ne m’en rende compte, on la déshabilla puis, on me l’enleva un instant. Un peu démunie de me voir subtiliser ma petite amante, je n’eus que le choix de laisser des mains bien téméraires, s’emparer de mes vêtements. Elles me semblaient indomptables, ces tentacules rusés, tant je ne pouvais m’en détacher, elles tiraient, déboutonnaient, retiraient tout ce qui leur semblait inutile. Puis lorsque je me retrouvais entièrement nue, la jeune fille revint s’allonger sur moi. Cette merveilleuse poupée de porcelaine était chaude comme la braise, câline comme une chatte et tendre comme un fruit mûr. Elle savait aussi parler d’amour et tout en mordillant mon cou et mes lèvres, tout en promenant sa langue sur mon visage, elle m’abreuva d’une douce prose, des mots d’une tendresse infinie.

Plus bas, il se passait des choses innommables, une multitude de doigts parcouraient nos corps, s’immisçaient sans vergogne aux sexes en suivant langoureusement les rondeurs de nos cuisses, puis soudain, je me sentis envahie par de curieuses petites bêtes que je ne pouvais pas voir, mais ces appendices experts franchissaient sans que je ne puisse m’en défaire, les lisières de ma vulve. Elles s’aventuraient dans nos cavernes, cherchant effrontément à atteindre les derniers recoins de nos secrets de femmes. Iris se débattait, visiblement instrumentalisée elle aussi, quelques petits cris annonçaient sans doute sa reddition, alors je la serrais contre moi, comme si je devais la protéger. Puis, vaincue par les frottements incessants qui s’opéraient dans mon vagin, ma vie de femme semblait basculer vers une autre dimension. Je crois avoir vécue ce soir-là, un choc émotionnel d’une telle intensité, qu’il m’aurait été impossible de l’imaginer. J’étais scrutée par des yeux curieux, et émus par l’attention qu’on me portait, perdant par cela le contrôle de mon corps, je n’étais plus que la gémissante expression de la femme que j’étais censé être. On s’occupait aussi de mes jambes et jusqu’aux extrémités de nos pieds des bouches avides ne reculaient devant rien pour notre plus grand plaisir.

Iris fut la première à être pénétré, je le vis dans ses yeux, alors qu’elle fut tirée vers le bas, ses seins frôlaient mon pubis. Marine, une grande et belle brune harnachée d’un superbe sexe en latex, se mit à chevaucher ce corps qui venait de s’abandonner, étendue en étoile sur mon ventre. Jamais de ma vie, je n’avais ressenti une telle montée d’adrénaline, mais jamais non-plus, il ne m’avait été donné de voir une si jeune fille être baisée ainsi, de l’entendre gémir sous le joug d’un diable sans pitié, formidablement fourragée par son amie. Entre mes jambes, le bassin de Marine tapait en même temps mon périnée, et je sentais couler la cyprine sur mes fesses, il n’en fallait pas plus pour qu’un orgasme me frappe fortement et me jette dans un monde de volupté.

Ce fut mon tour ensuite, Iris exténuée par l’expérience n’était plus qu’une poupée de chiffon, elle couchait à côté de moi, et semblait dormir. Les filles toujours aussi douces et prévenantes engagèrent des préliminaires que je subissais un peu honteuse, ne voulant pas céder la moindre parcelle de mon corps à ces petites ingénues, mais…, ‘’envie’’ quand tu nous tiens, et que faiblesse est notre mère’’, alors il n’y a plus rien à faire et femme de petite vertu, tu deviendras. Et je le devins… Femme de petite vertu, écartelée et contrainte par ces fées passionnées, qui donnaient libre cours à d’innommables bassesses, je fus gratifiée au moins des plaisirs sexuels qui les accompagnaient.

Ainsi, je fus baisée, par l’avant et par l’arrière, au point même où elles se relayèrent pour assouvir leurs plaisirs, mais j’en fis autant en persécutant ces foufounes à tour de rôle les unes après les autres, frappant ces culs et léchant leurs seins et leurs fentes mouillées. Nos relations en ont été affectées bien sûr, car je peux affirmer sans rougir que je suis un professeur qui aime ses élèves, plus que tout, et qu’ils me le rendent bien. La nuit fut longue et le ressentit mémorable, et depuis ce temps, j’aime les femmes, j’aime leurs douceurs et leurs savoir-faire, car elles aiment passionnément et sans conditions, j’aime aussi les hommes, quand ils s’imposent et vous couchent sans défenses sur un lit de paille, j’aime les hommes quand ils percent vos secrets et quand ils vous baisent jusqu’à en perdre la raison. J’aime l’amour quand il s’empare de vous et ne vous laisse d’autre choix que d’en goûter les multiples plaisirs.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

El Niño
Tu écris comme on peint, avec un choix subtile des coloris. Tout est suggestion. Bravo. Ma blonde dort paisiblement sur l’oreiller d’à côté et mon sexe s’émeut seul sur tes mots.
Posté le 4/07/2023


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