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Période d’essai – Chapitre IV

Je m’appelle Marie-Jo. Pour bien commencer, je vous invite à lire les épisodes précédents qui décrivent comment je me suis retrouvée coincée dans une chambre d’hôtel complètement à la merci du gérant et de son jeune réceptionniste.

Proposée le 1/02/2023 par Cutemarie

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Thème: Femme dominée
Personnages: Groupes
Lieu: Hôtel
Type: Fantasme


Je reste sans réaction, comme anesthésiée, l’esprit agité par une foultitude de pensées. Je suis en pleine confusion, tout cela est trop imprévu, trop rapide. Je n’ai toujours pas oublié que je suis en plein dans ma période féconde.
Après ça, que va-t-il donc encore se passer ?
Suis-je réellement disposée à me laisser engrosser par ces Arabes ?
Monsieur Messaoudi s’impatiente. Je darde ma langue et l’avance vers sa forêt de poils.
J’imagine que je peux encore les faire jouir tous les deux. Ensuite, il sera toujours temps de réévaluer la situation. Je ne sais plus trop où j’en suis ni ce que je souhaite réellement.

Période d’essai – Chapitre IV Ainsi, alors que, même pas une heure plus tôt je m'insurgeais et leur faisais les gros yeux lorsqu'ils avaient cru pouvoir s'affranchir du vouvoiement à mon égard, j’étais maintenant en train de leur lécher le cul.
Lorsque Monsieur Messaoudi m'avait complimentée, quelque chose dans le genre
- Chérie tu as de belles jambes
Je lui avais dit merci en le priant instamment de ne pas me tutoyer.
En même temps, je n'étais pas dupe quant à la suite des événements et lorsqu' il s'excusa de m'avoir tutoyée je jubilais à l'idée que j'allais prendre trivialement son foutre dans la plus stricte des politesses.
Ce vieux cochon souillerait ainsi mon corps en dehors de toute intimité et au bout du compte, j'accepterais sa semence tout en refusant le tutoiement. Curieusement, cette pensée m’avait excitée, car en même temps, je brûlais d'envie de lui annoncer que oui, j'étais féconde. J’étais tout à la fois terrorisée et excitée par cette situation imprévue, alors, autant en finir avec cette comédie et lui ouvrir mes cuisses.
Je mouillais déjà en pensant que vu mon état, l'un ou l’autre, des nombreux étrangers présents dans cet hôtel pourrait facilement m'engrosser en m'infligeant, malgré moi, tout le plaisir possible.

Depuis le début, j’en étais sûre, ils avaient tous les deux deviné, rien qu’à mon teint, que j'étais féconde et en chaleur. Maintenant, ma conduite ne pouvait que conforter leur hypothèse.
De fait, là, à quatre pattes, tout près de leurs fesses, je ne faisais rien d’autre que de suivre mon instinct en les excitant comme une chienne en chaleur.
En somme, en plus de me faire jouir contre mon grès, ils allaient, encouragés par mon attitude de soumission, se fixer un autre objectif : m'engrosser en se vengeant ainsi de toutes ces petites Françaises mijaurées qui les avaient humiliés par leurs rebuffades. Ils allaient me transmettre leur race en me possédant encore et encore.

Mais qu’attendaient-ils donc ?
Je pensais qu’ils voulaient tout me faire avant. Profiter de moi de toutes les manières possibles, ces salauds allaient tout me faire avant que de m’engrosser.
Peut-être attendraient-ils même que je les supplie de me remplir l’utérus ?

Je reviens subitement sur terre en m’apercevant que mes seins ont encore augmentés de volume sous l’effet de l’excitation, mes tétons eux sont gonflés comme jamais et horreur, ils sont maintenant en train de suinter. Cela m’est déjà arrivé une fois au moment d’arrêter la pilule et je sais que l’écoulement peut être très important.
Mon mamelon gauche fait au moins deux centimètres et est tout dur lorsque je l’enfonce dans l’anus de Monsieur Messaoudi.
Je presse mon sein et je sens le liquide qui gicle abondamment dans le trou de son cul.

— Putain, cette salope est en train de me donner une tétée par le cul.
Ah c’est bon, putain que c’est bon !!! Je ne sais même pas comment dire ça, je ne savais pas qu’une femme pouvait faire des trucs aussi vicieux.
C’est ça, oui, je tète Marie-Jo avec le trou de mon cul. Cette salope va me faire un véritable lavement avec tout son lait.
Ce vieux cochon d’Arnaud avait raison, je sens qu’on n’a pas fini de se faire du pognon avec cette belle petite pute.

Abdel lui aussi veut sa part. Je n’oublie pas qu’il m’a déjà fait jouir par les nichons.
Lui aussi veut sentir mon lait entrer par saccades.
J’abandonne son patron et le fais téter à son tour. Il commence par me sucer le téton droit puis se remet en position en me demandant aussitôt de lui mettre le gauche dans le cul. Je m’exécute sous les sarcasmes des deux Arabes.
— Ah Marie-Jo, c’est trop bon. Tu vois chérie, lorsque je t’ai vu débarquer dans notre hôtel, j’ai tout de suite deviné que tu étais une belle salope, mais de là à imaginer que tu allais me mettre un de tes tétons dans ma bouche et l’autre dans mon trou de cul ! Tu es la reine des salopes !
J’essaye de lui propulser mes giclées dans le trou de son cul. Et je ne fais pas qu’essayer ! Bien entendu, il commente cruement la scène.
— Putain, patron ,cette salope veut me faire téter par le derrière. Je la tète avec mon cul ! Ah c’est bon, c’est bon.
Je me saisis de sa queue, la tire vers moi. Je suis comme hypnotisée. Son gland me parait plus gros et plus rouge que jamais.
Je me soulève légèrement et colle mes deux yeux sur ses boules. C’est vrai qu’elles sont velues et grosses à souhait. Une fois bien en place les couilles de l’Arabe me recouvrent la moitié du visage. Le nez calé dans sa raie poilue je lui bisouille le trou du cul et lui mets la langue. Une fois bien humide je le chatouille un peu avec le bout du nez et commence à souffler. La sensation de froid l’électrise. Je recommence à plusieurs reprises : petits coups de langue, petits bisous et air froid. Je lui mets un doigt puis deux pour l’assouplir, il est prêt. Je me place sur le côté et lui demande s’il veut que je continue à lui donner la tétée. Pendant ce temps, M. Messaoudi qui s’est placé derrière moi me donne des tapes sur les fesses et cherche mon cul. Visiblement, il veut maintenant m’enfiler par-derrière. Il m’a attrapé par les nichons et les presse convulsivement.
Sous la pression, mon lait gicle en cadence entre les fesses et sur les couilles d’Abdel. J’approche mon téton et le lui enfonce. Le pauvre garçon n’en peut plus, il est prêt à tout lâcher.
M. Messaoudi toujours dans mon dos m’enfonce deux puis trois doigts dans le derrière. Je comprends qu’il veut m’élargir avant de disposer de moi. Sans changer de position, il se saisit d’un de mes escarpins et après m’en avoir enfoncé le talon de 85mm à fond dans le cul il se dirige vers la table derrière nous. Il revient avec mon smartphone et une bouteille de Coca-Cola en plastique coupée en deux. Il retire mon escarpin et m’enfonce vivement le goulot dans le derrière. Je commence à comprendre et relève docilement mon cul vers lui. Voyant ma coopération manifeste M. Messaoudi commente.
— Hé bien, Marie-Jo, ma salope, tu sais que j’ai une grosse envie maintenant. Tu sais quoi ? Tu vas me servir de cabinet. Allez ma belle, à quatre pattes, le cul bien en l’air?!
La tête posée par terre, mes fesses sont vraiment très relevées, mais cela ne suffit pas.
— Allez Marie-Jo, un effort, encore plus haut. Je vais prendre une photo.

Ne sentant plus ma langue, Abdel s’est retourné vers moi, il tient mon mobile, me l’agite sous le nez puis s’agenouille, les fesses sur les talons, les mains posées sur ses cuisses, il m’attire à lui.
— Lèche-moi la queue salope, j’appelle ton futur mari. Tu fais tout ce que je te dis ou j’enclenche la vidéo.

Et M. Messaoudi aussitôt de surenchérir.
— Ma petite pute je vais te laver le cul avec ma pisse, tu vas être bien propre du cul après ça.
La sonnerie retentit deux fois, Damien vient de décrocher. Je les supplie en murmurant.
— Non, je vous en supplie, pas ça, c’est répugnant, c’est sale, non je vous en prie pas ça.
Et de fait, ce porc se met aussitôt à me pisser dans le cul. Je sens mon ventre se gonfler d’urine chaude.
— Ah oui, et bien maintenant je te pisse au cul, sale putain pervertie, on en a tous envie, après cela sera le tour d’Abdel, çà va te faire kiffer de te laisser pisser au cul par des Arabes en parlant à ton amoureux. Non??

Abdel s’impatiente et agite sa grosse queue sous mon nez. Il menace maintenant de me mettre sous haut-parleur. Je récupère mon mobile et fais ce qu’il dit. Je suis à la bonne hauteur pour lui lécher les couilles. Et voilà que j’ai maintenant Damien, mon futur mari en ligne. Je ne sais pas trop que dire, il y a du bruit et je suis un peu paniquée.
— Allô! Mon chéri, c’est toi?? Tu me manquais... je sais, j’ai raccroché tout à l’heure. Une seconde…
Je prends Abdel en bouche, quelques aller-retour et deux trois coups de langue sur ses couilles poilues. Puis je recommence en tenant toujours mon téléphone près de mon oreille gauche, sans cesser de sucer Abdel, j’écoute Damien qui s’est lancé dans une longue déclaration. Il me suffit de faire un « hum, mmm » de temps à autre. Je dois reconnaître que cela m’excite de sucer une grosse queue arabe tout en parlant à mon fiancé. Mon logeur qui rajoute encore à mon excitation en continuant d’uriner dans mon derrière a bien raison. Je suis la reine des salopes. Je reste encore un long moment silencieuse puis reprends ma conversation avec Damien . S’il savait à quel point je suis chienne !
— Allo! Oui mon chéri, excuse-moi, je suis désolée, mais je suis très occupée en ce moment. Comment vas-tu ?
Mon logeur me fait signe de mettre le haut-parleur. Tout en abusant de moi, ces gros vicieux ne veulent rien manquer de la conversation.
— Tu en fais trop ma chérie, tout cela est nouveau tu devrais te reposer.
— Oui, tu as raison. Là, j’en ai vraiment assez. Tu sais, je crois que je vais être très sollicité dans ce nouvel environnement.
— Je comprends … Tu sais dans ma boîte, c’est une peu la même chose, tu n’en fais jamais assez. Vraiment, j’en ai plein le cul.
— Ne t’en fais pas, essaye de le prendre cool, tu sais, moi aussi j’en ai plein le cul, mais je fais avec. Il faut voir le bon côté des choses. Demain cela ira mieux.
— Oui, le bon côté…facile à dire, mais ma chérie, qu’est ce que tu veux dire par « j’en ai plein le cul moi aussi » ? Ce n’est pas par rapport à moi au moins ? Tu sais que je fais tout mon possible pour t’aider.
Autour de moi, les deux Arabes n’arrivent plus à se retenir, ils pouffent de rire. Satisfait de la tournure de la conversation, Abdel sourit d’un air béat.
— Non, non, bien sûr que non. Tu sais, je me sens vraiment toute gonflée. Parfois, j’ai l’impression que mon ventre va éclater et qu’un bus vient de se garer sur ma vessie. C’est le stress. Oooh, là j’ai encore vraiment envie de faire pipi. J’ai tout le temps envie, tu sais…
Je vais te quitter un instant. Je dois aller aux toilettes.
M. Messaoudi me pisse toujours au cul et ne s’arrête qu’après avoir complètement vidé sa vessie.
— C’est bon j’ai fini de pisser?! Je vais lui placer le gode dans le cul pour qu’elle garde bien tout. On va attendre que ça la nettoie bien?! Allez Abdel à toi. C’est ton tour?! Cette grosse salope aime avoir son chéri au téléphone pendant qu’on lui fait ça.

En l’entendant, je coupe le son du haut-parleur aussi vite que je peux. J’espère que Damien n’a rien entendu.
Abdel s’adresse maintenant à moi en me regardant d’un air vicieux.
— Je vais remplacer mon patron et te faire un petit pipi dans le derrière pendant que tu continueras de parler avec ton petit ami.
M. Messaoudi surenchérit en s’adressant à moi.
— Et moi, ma belle petite Marie-Jo, je vais tout simplement me branler dans tes beaux cheveux. Maintenant, je veux laisser ma marque dans ta chevelure.
Abdel enlève le plug et commence aussitôt à m’uriner dans le derrière. Il a réussi à m’enfoncer sa queue, empêchant toute évacuation et de fait, son urine vient s’ajouter à celle de son patron et c’est le cul rempli de pisse que je dois continuer à parler à mon futur mari qui commence à s’impatienter. Mon mobile est maintenant sur le sol. J’ai hâte d’en terminer. Je vais pour répondre à mon fiancé lorsque Abdel qui vient de terminer d’uriner en moi m’enfourne une fois de plus dans la bouche son gros machin à peine sorti de mon cul.
Il écarte les bras faisant mine de s’excuser :
— Et oui c’est tout, je regrette de ne pas en avoir plus à t’offrir, c’était si bon, si sale, si dépravé. Tu aimes ça quand c’est dépravé hein?? Salope??!
— Euh, oui, oui.
— Tu aimes les Arabes bien vicieux. Hein petite cochonne??
— Euh oui, je n’aurais jamais cru que l’on puisse être aussi vicieux.
Derrière moi, j’entends M. Messaoudi qui s’escrime toujours dans ma chevelure .
— Une minute, une minute, ça vient, ça vient … j’ai presque terminé.
Et de fait, je dois continuer à converser maritalement avec mon futur conjoint.
Cédant une nouvelle fois à l’insistance de mon logeur j’ai remis le HP en fonction. Je ne sais plus ou j’en suis. J’ai de nouveau perdu le fil de la conversation, dans un dernier effort de lucidité, j’entends encore que Marc mon mari est en train de s’excuser maladroitement sur notre absence de rapport sexuel avant mon départ de Pau.
En entendant ces mots, les deux Arabes se mettent à s’agiter de façon obscène. Ils bandent toujours comme des ânes et je n’ai aucun doute sur la suite des événements.
Je sens que ça vient, je n’en peux plus et je commence à uriner sur le sol à l’instant même ou je réussis à enfin prendre congé de Damien.

Mais quelle grossièreté! Ce qui vient de se passer est épouvantable. Quelle perversité !
Ces types sont répugnants, il n’est pas du tout question de les informer de mon état. Comment ai-je pu en penser autrement ? Me sachant saine je suis bien certaine qu’en apprenant que je suis en pleine période d’ovulation, ces deux-là, seraient tout à fait capables de me la mettre sans précaution, le plus profond possible pour avoir un maximum de chance de m’inséminer.
Dans le même temps, certaines images de fantasmes traversaient mon esprit sans que je puisse l’empêcher. Cela se passait en Tunisie pendant nos vacances de fiançailles, depuis l’hôtel, tôt le matin je me rendais seule à la plage toute proche en maillot de bain.
Des hommes, de parfaits inconnus me suivaient jusque dans une petite ruelle, je me défendais, mais ne pouvant rien faire je finissais par me laisser faire et je profitais à ma grande honte. La situation se répétait plusieurs fois et à la fin de mon séjour, je me retrouvais enceinte.


Je sens une bonne tape claquer sur mes fesses toujours douloureuses, suivi d’un
— Ah la salope, elle vient maintenant de me fourrer son nez dans le trou du cul.
Et voilà que brusquement, je reviens à la réalité : Il n’y a même pas une heure ces deux types me dégoûtaient et maintenant je suis en train de leur enfoncer une nouvelle fois ma langue dans le derrière.

Je m’écarte un instant, mon regard est attiré par les couilles poilues de M. Messaoudi, la position s’y prête, je ne peux me retenir de les lui toucher, je les soupèse de ma main droite, elles sont vraiment énormes, Damien est un petit garçon à côté de lui. Je ne peux m’empêcher de penser qu’il va certainement me les vider dans le ventre, plusieurs fois peut-être, une nouvelle chaleur m’envahit. Les deux hommes sont maintenant sur le canapé.
Allongés, côte à côte, sur le dos, ils me présentent leur anus. Agenouillée à leurs pieds, je passe rapidement et docilement de l’un à l’autre. En gardant leurs bras croisés sous les genoux, ils parviennent à se maintenir les jambes bien relevées. Cela me facilite l’accès à leur cul et lorsque j’enfonce ma langue, je soulève leurs couilles avec le bout de mon nez et elles viennent s’écraser contre mes paupières. Cela les fait beaucoup rire et ils m’insultent en arabe.
Cela m’excite
La position est plutôt inconfortable pour eux, avec ensemble, ils se retournent et s’agenouillent au bord du canapé. Les deux lèvent le derrière. De les voir ainsi impudiquement offerts en batterie est excitant, un peu comme si je me sentais fière du pouvoir que j’exerce sur eux.
Je ne peux m’empêcher d’agripper et de tâter à deux mains le gros zob de Monsieur Messaoudi. Il pend librement entre ses cuisses, encadré par sa grosse paire. Je m’amuse à le faire osciller. Il se laisse faire.
Je lui enfonce ma langue tant que je peux. Le plus profond possible dans le trou du cul, puis je me recule un peu pour respirer.
Je pense maintenant que je suis à leur merci et qu’ils vont me baiser. J’en ai envie.

Alternativement je lui lèche l’anus et lui souffle de l’air dessus. Il gémit, l’air et la sensation de froid produit par la salive qui s’évapore le comblent d’aise. Je coule mes deux mains entre ses cuisses et me saisit de son sexe. D’une main je le branle et de l’autre je tire sur ses grosses couilles. Je les attire en arrière, vers mes lèvres. Je fais mine de les gober puis je me mets à les léchouiller. Maintenant, je le fais bander à mort. Il l’a très grosse. J’aime et je vois très bien ce qui m’attend. Inutile de continuer dans cette voie. Je les astique depuis près de trois quarts d’heure. J’ai perdu le compte du nombre de leurs éjaculations, mais je les fais toujours bander, encore et encore.

Tout cela est d’une évidence aussi clinique que mathématique. Je peux déjà vous faire un résumé du prochain chapitre.
Présentation de mon derrière aux deux hommes. Pénétration profonde en levrette. Chacun son tour. Éjaculations abondantes et violentes. Glands collés et écrasant le col de mon utérus.
En conséquence, orgasmes suivis de spasmes multiples et puissants. Contraction de l’utérus plus effet de gravité (cul toujours bien en l’air). Sperme directement dans les trompes. Fécondation assurée.
Photos et film prouvant l’intensité de ma jouissance pendant l’insémination fécondante pour diffusion.
Je suis trempée, je ne peux empêcher ma mouille de venir se rajouter à mon urine qui fait flaque sur le carrelage.

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