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La première fois de Manolo

Mon nom est Manolo, je suis originaire de Cuenca en Espagne, où j’ai vécu presque toute ma vie. Je vie de la vente de mes toiles, qui se vendent très bien en Espagne. Depuis peu, je me suis installé sur la petite île de La Digue où je continue à peindre dans une sérénité absolue. Je suis naturiste

Proposée le 19/11/2022 par Alexandra

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Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: Mer, piscine, plage
Type: Roman


Je suis Katya de Berlin. Depuis presque une année maintenant j’habite l’île de La Digue dans une villa simple mais accueillante, aux grandes vérandas dont une donne sur une magnifique piscine surplombant la plage de sable fin et la mer turquoise. Je me suis liée d’amitié avec un peindre espagnol: Manolo, Manolo Bello Sanchez pour tout vous dire, de Cuenca en Espagne.

La première fois de Manolo L’isolement de cette petite île m’avait naturellement portée à rencontrer d’autres étrangers venus s’installer à l’année dans ce pays si merveilleux. Nous étions peu nombreux et cela facilitait les échanges. Ainsi Manolo qui occupait une vieille case à Gros Roches, de l’autre côté de l’île , venait souvent me rendre visite. J’appréciais nos échanges.

Nous passions du temps à bavarder de choses et d’autres. Nous dépendions tous les deux du travail que nous revendions dans nos pays d’origine. Pour moi, l’écriture et pour Manolo, la peinture. Il avait été assez populaire à Cuenca et ses tableaux, un peu abstraits à mon goût, se vendaient très bien dans une galerie en Espagne. Manolo était un bel homme d’une petite quarantaine. Il avait vraiment la trempe d’un peintre: mal rasé et cheveux aux quatre vents. Il était sympa et nous avions beaucoup de choses en commun.

Nous ne nous étions pas vu souvent le dernier mois car des amis étaient de passage et la maison était devenue, un peu : « la maison du jouir ». Il s’en passait de mûres et de pas mûres aventures avec mes invités. Mais qu’à cela tienne, nous avions tous les deux plaisir à vivre nus ou quasiment nus dans nos demeures respectives et adorions découvrir les petits coins secrets de notre île dans les plus simple accoutrement, nus en l’occurence. Naturistes? Sans doute mais un ultime plaisir à vivre en harmonie avec la nature.

Il passa à la villa un beau matin pour prendre un café. Je ne l’avais pas revu depuis plus de 5 semaines. Je sentis qu’il avait besoin de parler. Deux jours avant, il lui était arrivé une petite aventure dont il tenait à partager les détails. Il savait très bien que mon écriture était aussi lié à de petites histoires, plutôt érotiques, pour le compte d’un magazine allemand. Il savait très bien qu’il aurait toute mon attention.

Voici son histoire que j’ai pris le soin de mettre sur papier tout en restant le plus possible fidèle à son récit.

Manolo

Mon nom est Manolo, je suis originaire de Cuenca en Espagne, où j’ai vécu presque toute ma vie. Je vie de la vente de mes toiles, qui se vendent très bien en Espagne. Depuis peu, je me suis installé sur la petite île de La Digue où je continue à peindre dans une sérénité absolue. Je suis naturiste et j’adore faire des ballades autour de l’île dans ma tenu d’Adam.

« Hier matin, je me suis levé vers 05h30. Les couleurs rouges du levée du soleil se diluaient peu à peu, laissant place à de multiples nuances de bleus. Pas de nuage en vue, la journée s’annonçait radieuse. Je pris un café puis, vêtu d’un simple paréo de coton et d’un petit sac à dos contenant une bouteille d’eau et de l’huile solaire, je me suis mis en route vers le sud. Je voulais me rendre jusqu’au bout de la route, bourrer mon paréo dans le sac et profiter de cette belle journée pour me rendre jusqu’à Anse Coco, nu bien entendu. Mes pinceaux attendraient mon retour.

J’aimais particulièrement crapahuter tout nu dans les entiers, frôlant les lianes. La chaleur du soleil et la douceur du vent chaud, déjà à cette heure matinale, me procurait un bien être sans pareil. Il m’arrivait même d’avoir une érection tout en marchand tant la sensation était forte.

Je me laissais porté en profitant de cette belle nature. Je devais passer par Anse Fourmis où j’avais habitude de me laisser glisser dans la mer avant de repartir vers la colline qui me mènerait à Anse Coco de l’autre côté. Le trajet prenait environ 45 minutes et d’en haut de la colline, on apercevait toute la baie et sa mer turquoise. Ce matin il n’y avait âme qui vive. La plage était encore déserte et je pouvais compter un bon 2 à 3 heures avant l’arrivée des premiers touristes.

Il n’y en avait jamais beaucoup et chaque petit groupe se gardait bien d’envahir les autres, chacun gardait ses distances. Plusieurs pratiquaient le nudisme car la baie restait relativement isolée.

Parfois, lorsque enfin j’arrivais en bas de la colline, je laissais tout tomber et l’envie de me masturber était irrésistible. J’avais tout de même marché, bandé comme pas possible et l’excitation montait à son comble. Une main caressait les parois de mon sexe puis le mouvement s’accentuait et je laissais le plaisir me porter à la jouissance et j’éjaculais sur le sable fin. J’aimais sentir entre mes mains mon penis gonflé de plaisir. Il faut dire que je vivais seul elles rencontres étaient plutôt rares. J’avais l’impression de vivre pleinement.

Cette fois par contre, rien de tout cela n’arriva, Il y avait en bas juste en arrivant sur la plage une espèce de piscine naturelle, protégée pas de gros rochers de granite. L’eau de la mer y était transparente comme le cristal. C’est à cet endroit que je me reposais en admirant toute la splendeur du décors.

J’étendis mon paréo sur le sable, un peu à l’ombre, y jeta mon sac à dos puis entrepris de me rendre jusqu’à l’autre extrémité de la plage, un petit kilomètre de distance. Je me badigeonna d’huile solaire et me mis en marche, tout en marchant au bord de l’eau, sans aucun vêtement comme je le faisais souvent sur cette plage déserte. Le sable fin était d’une pureté inégalée.

Il arrivait parfois que d’autres personnes arrivent par l’autre extrémité, mais qu’à cela ne tienne, je n’allais certainement pas rebrousser chemin et puis après tout, qu’ils me voies nu cela n’avait aucune importance pour moi. Je n’avais et je n’ai toujours rien à cacher. Au contraire, je ne pensais pas être Apollon ou Hercule mais je me sentais bien dans mon corps et n’avais aucune raison de le cacher. Je crois bien que certaines personnes n’étaient pas indifférentes en découvrant mon corps nu. De toute façon, plusieurs d’entre eux allaient suivre mon exemple et profiter de l’isolement pour se mettre à poil.

Personne n’apparu et arrivé au bout, je fis marche arrière pour retourner au « campement » et m’allongea sur le paréo face au petit lagon. Après cette marche, je sombra aussitôt dans un somme réparateur.

Le clapotis des vagues me fit ouvrir les yeux. J’ignorais combien de temps je m’étais assoupi. Mais je sentis mon sexe dressé comme un porte étendard. Combien de temps avais-je dormi? Je sentis une présence et là, devant moi, se tenait une homme, nu, dans l’eau jusqu’aux cuisses regardant la mer. Je ne vis que ses fesses, bien fermes. Il devait avoir entre 30 et 35 ans, Je remarqua aussitôt son bronzage qu’aucune marque de maillot n’apparaissait sur laa peau de son corps. Pour une raison ou une autre j’imagina aussitôt qu’il devait passer de nombreuses heures, nu, comme moi, au soleil. Il avait un appareil photo dans les mains qu’il tenait tendues au-dessus de sa tête pour éviter d’être éclaboussé par les petites vagues qui se fracassaient contre les rochers.

Sans doute m’avait-il observé pendant que je somnolais. Avait-il profité de ces instants pour scruter mes moindres petits coins? Il avait surement remarqué mon érection. Car j’étais bel et bien bandé et j’ignorais depuis combien de temps.


Comme pour répondre à mes craintes, Il se retourna lentement pour revenir à la berge et je fus étrangement surpris de découvrir son corps nu, de face, équipé d’un membre dressé comme je l’étais. J’en éprouva de petits soubresauts au bas de mon ventre. Je ne suis ni gay ni bi, mais là je devais me l’avouer, la vue de ce corps nu ne me laissa pas indifférent. Ce gars avait un très beau corps et la lumière dessinait les formes bien tendues de ses muscles. Lorsqu’apparu son sexe dressé, un jet de luminosité le fit resplendir attirant automatiquement mon regard. Il possédait un beau sexe à la peau lisse surmonté d’un gland parfaitement formé. Si je ne me sentais ni de loin ni de près Apollon, lui par contre en était le parfait sosie.

Il remarqua que je l’observais et s’approcha doucement, sans aucune inhibition, le sexe dur pointant devant lui. On aurait dit qu’il flottait en marchant. Il ne semblait pas toucher le sol. Il avait du apercevoir mon érection pendant mon sommeil. Cela me gêna un peu mais je ne fis rien pour me cacher et le laissa s’approcher lentement. Je dû admettre qu’il était beau. Il émanait une sensualité redoutable de ce corps. On aurait dit qu’immédiatement, n’importe qui aurait envie de le caresser, de le sucer , femmes et hommes, il n’y avait sans doute aucun tabou avec ce type de personne, mi-homme mi-dieu.

Il porta l` appareil photo en bandoulière , c’était sa seule protection, rien d’autre et cela en valait le coup d’oeil.

Sans aucune gêne, il me dit bonjour:

« J’espère que je ne vous dérange pas? » Me dis-il en me souriant.

«  Je vous ai vu en arrivant, vous dormiez alors je n’ai pas voulu vous déranger. Je me suis installé à quelques mètres un peu plus loin»

Il regarda mon sexe

«  Je n’ai pas pu m’empêcher de remarquer votre état, j’apprécie , vous deviez certainement rêver à quelque chose d’agréable: un rêve érotique possiblement pour être dans un tel état? Je suis naturiste et j’aime beaucoup venir sur cette plage »

Puis il m’expliqua que, si cela ne me gênait pas, il aurait bien voulu que je puisse le prendre en photo.

«  J’ai besoin de belles photos de nu et comme je suis seul, les « selfies » ça ne marche pas très bien »

Je fus un peu surpris. Il se tenait debout près de moi qui était assis sur le sol. Son érection frôlait presque mon visage. J’eus envie de la prendre dans une main juste pour palper un peu cet objet de plaisir. Et, levant la tête , je lui répondis que oui, pourquoi pas.

Il me confia son appareil:

« J’aimerais de belles photos de nu dans ce décor paradisiaque. Tiens, là par exemple »

En me montrant de la main un énorme rocher de granite avec derrière une plage très longue

«  Je peux prendre des poses contre le rocher, m’exposant au soleil, de face et de dos « 

Il se positionna le dos au rocher et leva la tête vers le soleil. Sa silhouette ressortie aussitôt du paysage et que dire de son érection qui perdurait, bien dressée devant son ventre plat, les mains croisées derrière lui.

« Comme ça c’est bon? »

«  Oui «  lui répondis-je «  la pose est parfaite » Il n’y avait rien à dire, ce gars savait mettre en valeur sa nudité et son érection était devenu le point de focalisation des prises de vues.

J’avais quand même déjà utilisé un appareil photo pour mes recherches. La lumière était encore très belle et reflétait sur la peau bronzée et lisse de ce gars.

A mon grand bonheur, il pris de multiples poses toutes plus belles les une que les autres. J’y pris goût. Je ne pouvais plus détourner les yeux de ce bel homme nu. J’en profitais pour admirer ses formes fermes et les moindres recoins, les petits mamelons, les fesses bien fermes mais ce qui me fascinais le plus, cette belle érection qui me donnait une envie irrésistible de l’attraper.

Que se passait il? Jamais je n’avais ressenti une telle attirance pour un homme, pour son sexe bandé. C’était en effet ce qui me donnait le plus envie.

Et comme si il avait compris exactement ce qui se passait dans ma tête, il ajouta:

« Vous pouvez aussi faire des plans rapprochés si vous le voulez bien. Allez y sans retenu profitez de mon érection pour en faire de gros plans»

Me lança-t-il en se retournant pour me faire face. Je me rapprocha pour faire de jolis plans de proche et surtout de sa bite qui me fascinait tant. Il est assez rare de se retrouvé devant une personne nu qui s’offre entièrement à notre regard et que l’on peut sonder à volonté. J’en profita.

Je pris un réel plaisir lorsqu’il se dirigea vers l’étendue d’eau et s’y enfonça jusqu’à la taille. Il ne se redressa que pour faire jaillir son sexe qui curieusement restait bien droit, bien gonflé et qui ne demandait qu’à être tripoté.

Cela dura encore quelques minutes interminables. Puis il s’enfonça dans l’eau et disparu pendant quelques secondes. Lorsqu’il rejaillit, son corps dégoulinait de milles étincelles de lumières. Je ne tenais pas à ce que l’eau de la mer tombe sur l’appareil et je retourna et me mis à genoux sur le sable afin de vérifier qu’aucune goutte n’eu tombée sur la caméra.

Lorsque je releva la tête, il était là debout devant moi, sa belle bite raide juste devant mon visage. Je leva les yeux pour voir son visage qui me souriait. Mon regards replongea sur son sexe. Il fit un petit pas vers moi et je sentit l’eau qui dégoulinait du gland près de mes lèvres; J `entrouvrit la bouche et le prit juste du bout des lèvres. J’avais franchi l’impensable, de la langue je me lis à le lécher tournant autour de son gland ce qui provoqua chez lui de petits frémissements.

Il restait là, debout les deux mains sur ses hanches et se mit à onduler enfonçant sa bite dans ma bouche doucement. Je ne pu m’empêcher de la lui sucer. Déposant l’appareil sur le paréo, je me saisi de ses testicules et le prit plus profondément allant et venant sans relâche, suivant le mouvement de ses hanches.

J’adorait, comme si les portes d’un fantasme refoulé s’étaient fracturées. Je my jetais tête baissée et m’ouvrit pleinement à ce plaisir nouveau. J’étais surexcité, bandé à tout casser. Tout en continuant à le sucer, je pris de l’autre main mon sexe raide pour me masturber.

Les mouvements se précipitèrent et je sentis venir le moment de l’explosion, leva les yeux vers lui qui leva la tête au ciel et fermant les yeux je sentis le liquide chaud emplir ma bouche. N’y tenant plus, j’éjacula à mon tour dans une jouissance démesurée.

Je m’étendis sur le dos et mon modèle resta debout à me regarder.

«  Vous avez aimé? » me demanda-t-il

«  Oui bien entendu. Pour moi c’est la première fois et certainement pas la dernière je suppose »

Je n’avais pas imaginé vivre un tel moment. Donner une fellation à un autre homme? Goûter ce phallus raide, le sucer, le lécher toutes ces choses je les avaient appréciées et je recommencerais volontiers si cela se représentait.

Mais on ne rencontre pas toujours un Apollon sur la plage. Je venais de vivre l’impensable. Une nouvelle porte s’ouvrait devant moi et je n’un aucun doute, elle resterait ouverte.

Il s ‘accroupi devant moi et empoigna mon sexe d’une main.

« Laisse toi faire » me dit-il. «  c’est ton tour maintenant, j’ai bien envie de te sucer.


Puis je vis mon homme se détourner. Il avait sans doute remarqué quelque chose. Suivant son regards, je vis à quelques mètres plus loin le corps splendide d’une femme, allongée sur son côté et nous faisant face. La tête légèrement relevée, elle nous regardait avec attention. Elle avait surement assistée à tous nos ébats.

Elle souriait. Elle se leva lentement et se dirigea vers nous. Une vraie déesse? Arrivant devant nous, elle laissa tomber le fin tissu qui recouvrait à peine son corps pour s’exposer à nos regards.

Nous restâmes figés devant la beauté de cette femme. Je sentis aussitôt monter le désir et mon sexe gonfler. L’autre aussi bandait de nouveau.

Elle nous examinait et baissant les yeux sur nos deux sexes, afficha un sourire au coin des lèvres:

«  Salut les gars » lança-t-elle

«  Puis-je me joindre à vous? » en s’agenouillant.

Mais ça, c’est une autre histoire.

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Commentaires de l'histoire :

Sextoy3
Comme j'aime, la plage, les dunes. J'aime m'offrir aussi.
Posté le 29/04/2023

Anonyme
Très belle histoire qui me rappelle de bons souvenirs des plages naturistes dans le sud de la France . Et surtout fréquenté par des Apollons gays ou pas , je me souviens des virées à l'arrière des plages dans les dunes ou j'ai pu faire d'agréables rencontre entre mecs bien bronzés et en bonne forme.
Posté le 12/12/2022

Guépiere
Belle histoire j'attends la suite une suite. penseZ à noter mes récits et à faire des commentaires. De plus vous pouvez partager avec tous vos contacts un lien vers mes aventures bien réelles. Merci d'avance bisous Marie
Posté le 20/11/2022


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