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Métro (suite)

Nous sortons du métro à la prochaine station ! Sabine qui a mouillée ses dessous, cherche et trouve rapidement les toilettes, car le moins, qu’on puisse dire, c’est que sa jolie paire de jambes présente des preuves irréfutables d’une excitation arrivée à son terme.

Proposée le 16/04/2022 par maximilien7

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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: Transport
Type: Fantasme


Nous sortons du métro à la prochaine station ! Sabine qui a mouillée ses dessous, cherche et trouve rapidement les toilettes, car le moins, qu’on puisse dire, c’est que sa jolie paire de jambes présente des preuves irréfutables d’une excitation arrivée à son terme.

Nous ferons l’amour aujourd’hui et je n’en peux plus d’attendre cette amie adulée qui s’est refusée à moi depuis des lustres. Une convention idiotie et surannée basée sur une amitié sincère nous obligeait à refuser l’évidence. Il ne fallait surtout pas, évoquer des sentiments amoureux, ou un quelconque désir sexuel. C’était, qu’on le veuille ou non, une sorte de prison mentale, qui nous contraignait à désirer l’autre sans jamais passer à l’action. Nous avons poussé cet état de fait à son paroxysme, et je me rappelle d’un jour où, n’en pouvant plus de reluquer Sabine qui venait de plonger toute nue dans un lac de montagne, je perdais le contrôle de mes sens.

Survolté par la vue de son superbe corps, je la prenais dans mes bras en poussant ma verge en érection contre son ventre. Mais rien ne s’est fait, elle s’en est emparé, pour la masser et la masturber jusqu’à ce que j’éjacule, il m’était impossible de résister à cela. Sabine en cela était experte et quiconque n’aurait su s’extraire de cette possession physique et mentale. Je me rappelle de ses yeux quand le jet de sperme a jailli dans sa main en éclaboussant son ventre. Un petit sourire, un bisou sur ma joue clôtura l’affaire, mon Dieu que je l’aime.

La petite brune, du siège d’en face, passe juste devant moi, et entre elle aussi dans l’espace réservé aux dames, elle est trop belle cette petite ingénue, , mais peut-on seulement l’être ? Une femme, peut-elle être trop belle ? Nous ne comprendrons jamais le mystère qu’il y a dans la beauté d’une femme, ce picotement mental qui nous sidère lorsqu’elles nous apparaissent au détour d’une rue. C’est une petite puce, à la peau ambrée qui cache sous son tee-shirt une paire des seins amples, qui s’agitent à chaque pas. Elle n’est pas très grande, mais c’est ce qui fait son charme, et oui, elle est très coquine son allure chaloupée est merveilleusement attrayante. J’attends longtemps avant que Sabine, enfin, ne ressorte de là, accompagnée par notre nymphe voyeuse.
Mon amie affiche les joues rosées des beaux jours, et un sourire mesquin, il s’est passé des choses dans ces toilettes ! Je remarque dans le sac à main la petite culotte de Sabine, et une autre, plutôt petite.

Ce n’est qu’un charmant, petit triangle de tissus très appétissant, qui à l’évidence ne sert plus à sa destination primaire. Elles sont à poil sous leurs robes et tout ça, ça annonce de très belles choses pour les heures à venir. Elles marchent devant moi en balançant leurs postérieurs et se tiennent par la taille. On dirait des amoureuses, leurs gestes sont sans équivoques, lascives et tendres, elles s’éloignent en gloussant, tout en visant l’hôtel d’en face, d’un pas rapide, nous franchissons le boulevard, le gars à la réception me sourit, il a compris !
- Chambres 214, vous êtes à trois ? Pour la journée ?
- Oui, merci...
Puis, nous prenons l’ascenseur, Sabine coince la jeunette contre la paroi, soulève sa robe et prend d’assaut la foufoune glabre, on dirait celle d’un nouveau-né. C’est la mode de nos jours, et je le regrette, car j’aime les toisons qui embellissent les pubis et attisent notre curiosité, celui-ci serait d’airain, peut-être bouclé, non…, ce buisson-là, s’étalerait plutôt en subtiles ramures sur ce délicat pubis, c’est bien dommage !
Celui de Sabine, est volumineux et doux, c’est un joyau qu’elle soigne avec beaucoup d’attention. Elle ne s’en cache pas, car elle est plutôt fière de son corps, et l’ami que je suis, a pu l’admirer, mais ne devait pas toucher. J’ai adoré la regarder faire sa toilette intime, j’aimais voir ses doigts se promener avec délicatesse à cet endroit-là, de temps en temps, elle fermait les yeux, en jouissant d’une caresse plus ou moins insistante, une pénétration furtive, un câlin subtil.
- Comment tu t’appelles ?
- Jade !
Nous arrivons au deuxième, Sabine retire sa main de la vulve de Jade et goûte les mouilles qui enrobent ses doigts, puis elle la prend par la main. Je suis ému par cette façon maternelle de conduire la jeune fille vers une aventure sensuelle qui se construit déjà dans nos esprits, nous rejoignons la chambre 14.

Il n’a pas fallu plus d’une minute pour que Jade soit nue, car mis à part sa petite robe et un tee-shirt, elle ne porte plus rien, cela lui suffit pour être belle à croquer. Nous aurons confirmation de l’extrême sensualité de cette petite, Sabine s’en occupe déjà. Les deux filles roulent, s’enroulent et serpentent sur le lit, se bécotent et se caressent avec passion. Sabine avait raison, notre friponne s’est spontanément ouverte aux attouchements de mon amie, je la regarde qui s’étalle comme une étoile de mer, pour s’offrir aux mains expertes qui l’envahissent. C’est une poupée de bronze qui miaule comme une chatte, et en son centre, hors de son sexe d’ébène s’épanche un filet d’ivoire qui se perd sur la langue de Sabine. Elle avoue n’avoir jamais fait l’amour, moins encore avec une femme, alors sa bouche se plaque sur celle de Sabine, et leurs langues s’amusent de leurs salives que j’imagine sucrées.

Je me couche à mon tour à côté de mon amie, puis, je me colle à elle et mon pénis glisse doucement entre ses cuisses, sur mon ventre ses superbes fesses, s’ajuste parfaitement à notre anatomie. Ses fuseaux à cet endroit sont accueillants et très lubrifiés, alors je m’aventure plus haut encore. Sabine cède, ses fesses se soulèvent et forment l’angle parfait qui me permette de trouver l’ouverture tant espérée, ses lèvres s’écartent, c’est voluptueusement magique, Jade me fixe avec des yeux avides, puis elle ferme les yeux pour mieux apprécier sans doute les chuintements et le clapotis de nos ébats.

Tandis que Sabine fouille entre les jambes de Jade, j’entre en elle jusqu’à la garde, mais je ne suis pas en mesure de décrire le ressenti perçu de ce coït ! C’est impossible, je ne saurai pas dire, ni expliquer ce qui n’a pas de mots ! Était-ce du bonheur, bien plus que ça évidemment, je lui ai dit que je l’aime, ça, je m’en souviens, puis, je l’ai baisé avec amour, elle s’est agitée et quelques fois révolté, elle a jouis avec moi, longtemps passionnément. Pourquoi avons-nous attendu si longtemps pour nous unir ? Que de temps perdu !

Alors, je la fourre par toutes les ouvertures, un peu brutalement même, me rappelant de la douleur qu’elle m’a infligée tout le long des années, refusant l’instant qu’enfin, nous vivons aujourd’hui.
La petite sirène en a pris plein la vue, elle en tremble et Sabine n’abandonne pas, bien au contraire, elle s’aventure au plus profond de son otage, car elle l’est devenue bien sûr, alors, la criante et plaintive proie, subit ce qu’elle ne s’était pas imaginée. Sabine à des ressources illimitées et se fait préceptrice, c’est un rôle qu’elle affectionne particulièrement. Elle frappe le petit cul, puis le sexe et Jade mugit, elle la retourne et la fourre encore jusqu’aux limites du supportable, et elle, elle agonise d’un orgasme torride. Puis, mon amie estime qu’elle devrait subir, je ne sais quelles conséquences, elle la prend par la taille et l’enferme de ses bras contre son ventre, les cuisses s’écartent, la fente basanée est distordue, mouillée et prête à être percée, Sabine se
fait impérative !

- Ma petite vierge, tu vas être baisée, Jade, tu n’as jamais fait l’amour, alors mon copain te le fera ! Je veux te voir jouir, tu verras, c’est super, alors détends toi, et tu apprécieras, d’accord ?

La petite acquiesce d’un signe de tête et ferme les yeux, alors je la pénètre doucement, et c’est un délice de geignements qui accompagnent l’acte, une litanie d’onomatopées sensuelles et désordonnées. Sabine joue l’entremetteuse, elle conseille, rassure et interdit, puis caresses les petits seins, et finalement s’obstine sur le clitoris qui pointe en sortant de son capuchon. Jade exulte, puis silencieuse, elle se fige, inspire encore profondément avant de crier, ses jambes se débattent, Sabine redouble d’efforts, alors ce corps tremblotant tente de s’échapper. Moi, j’arrive au bout, je la bloque par le bassin, et dans un dernier élan injecte mes semences dans ce vagin qui se ferme aussitôt comme une huître.

Un instant encore nous restons unis, collé l’un à l’autre et les yeux humides de notre nouvelle amie, sont explicites. Elle reste là, empreinte d’une étrange sérénité, Sabine laisse ses lèvres courir sur son corps, c’est beau à voir, c’est tendre et émouvant.

Nous quittons cet endroit pour prendre un café un peu plus loin. Jade est attendrissante, elle se colle amoureusement contre Sabine, qui entoure la jeune fille de beaucoup d’attentions, alors elles parlent et rient aux éclats, et déjà rendez-vous est pris pour d’autres rencontres.


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