Histoire Erotique

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Sitôt marié déjà cocu.

Des jeunes mariés partent en lune de miel en Thaïlande. Ils vont se découvrir des côtés insoupçonnés qui loin de les séparer va les rapprocher.

Proposée le 12/12/2021 par cerisemoche

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Thème: Homme soumis
Personnages: Groupes
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme


Mon épouse et moi avons décidé pour notre lune de miel de partir en Thaïlande pendant tout le mois de Juillet, nous nous connaissons depuis le collège puis au lycée notre amitié c'est transformé. Sur de notre amour nous nous sommes marié dès nos dix huit ans. Français de confession juive nos parents respectif donnèrent leurs consentement, eux aussi s'étaient marié jeune. Dans l'avion je ne me lassais pas de regarder Esther mon épouse endormit qui faisait battre mon cœur de bonheur, elle avait toujours eu de longs cheveux châtain clair attaché pour le vol en chignon stricte qui dégageait son visage ovale harmonieux. Ses yeux étaient vert elle avait un petit nez retroussé des lèvres plaines qui d'un sourire me faisaient fondre. En quelques années son corps avait pris des formes généreuses, de mon siège je pouvais qu'admirer de lourds seins qu'une courte robe d'été cachait à peine, comme ses longues jambes galbés qui lui donnait ma taille. Sa taille de guêpe ajouté à ses rondes fesses faisaient tourner la tête de plus d'un homme, j'ai même surpris mon père la reluquer à la dérobée. J'étais donc marié avec une ravissante jeune femme qui me remplissait de joie, je croyais que cella me suffirait je me trompais lourdement.

Arrivé à Bangkok nous primes un deuxième avion pour un archipel d'îles au sud de la Thaïlande. Un bateau fini de nous transporter sur des petites îles resplendissantes de verdure, j'étais assez d'accord avec mon épouse un vrai petit paradis. Loin des vacanciers de masse nos parents respectif nous avaient financé ce voyage de noce, nous avions pour nous seul une petite maison sur pilotis identique à une vingtaine éparpillé le long d'une plage de sable blanc. Nous passions les premiers jours entre la plage et notre lit, c'est à ce moment que je découvrir une facette de mon épouse plutôt agressive. Sans mâcher ses mots elle me reprocha après un coïte d'être trop rapide, sans imagination, sans douceur. Elle savait pourtant qu'à la rentrée je comptais intégrer une école religieux en vu de devenir rabbin, pour moi le sexe était avant tout pour concevoir. Elle savait aussi que j'ai grandis dans une maison sans télé ni ordinateur, mes parents me disaient qu'avoir ces objets chez soit était une porte ouverte à la dépravation du pays, l'éducation religieuse stricte régissait ma vie depuis toujours. Loin de s'en contenter Esther qui avait pourtant été dans les mêmes établissements privés que moi où la religion était enseigné voulu une nuit descendre me sucer, je la retenais avant de sortir du lit choqué d'une telle initiative digne d'une habitante de Sodome ou Gomorrhe. Ce fut notre première dispute, j'avais beau argumenter texte à l’appui que notre religion interdisait bon nombre d'acte déviant Esther ne dénia même pas jeter un coup d’œil à mon bouquin sur la sexualité dans judaïté que j'avais acheté avant même notre mariage. La journée qui suivit elle me fit la tête, mieux elle me provoqua en allant sur la plage seins nues. La plupart de nos voisins étaient en couple, certains avec des enfants aussi je la laissais faire. J'étais Juif bien sur mais je n'étais pas non plus un ultra orthodoxe puis dans les regards en coins des hommes les plus proches quelque chose me plaisait. Chaque soir on allait dans un petit village à moins d'un kilomètre manger boire et danser, quelque peu calmer mon épouse à notre retour dans notre maison me fit lire un prospectus en Anglais. On avait déjà essayé les célèbres massages Thaïlandais, le prospectus proposait aux couples de s'ouvrir l'un à l'autre sans aucune retenue. De ce que je comprenais ils proposaient par le massage une sorte de thérapie pour aplanir toute tension entre les époux. Esther n'eut pas de mal à me convaincre de s'y essayer tant elle accompagnait sa demande de petits baisés de réconciliation qui fini sur un rapide coïte.

Le lendemain après le petit déjeuné mon épouse et moi traversions l'île pour nous rendre à la l'institue de massage. Face à la mer isolé entre des rochets la maison avait une partie des pilotis dans l'eau, elle me faisait penser à une maison de pécheur. Main dans la main on gravit les marches jusqu'à une terrasse où une vieille Thaïlandaise haute comme trois pommes nous salua en joignant ses mains. Il fallait s'y attendre elle ne parlait ni Français ni Anglais mais sans plus attendre elle nous invita à renter, la pièce tamisé par des volets fermés sentait l'encens, la propreté et l'équipement moderne me plu. Deux tables de massage comme celle des kinés étaient côte à côte, de couleur beige elles avaient des reposes têtes et pouvaient se plier en chaise longue. Des tabourets dans le même ton ainsi que des traversins rond et triangulaire étaient à côté. La vieille femme nous indiqua une étagère où déposer nos affaires ainsi que des serviettes pour nous cintrer la taille puis elle alluma bon nombre de bougies odorantes qui trônait sur des petites tables et commodes. Laissé seul je regardais ma belle épouse passer par dessus tête sa robe, ses dessus en dentelle noire me fit détourner les yeux, je ne voulais pas avoir d'érection quand la vieille dame reviendrait. « Mon amour tu dois retirer aussi ton caleçon, me dit Esther en déposant ses dessus plié sur sa robe. » « Les serviettes disponible me semblaient bien mince pour tout retirer. » « Toi qui respecte à la lettre les commandements c'est écrit sur le prospectus de quitter tous ses vêtements pour apprécier pleinement le massage thérapeutique. » Un sourire me fit obtempérer mon épouse était dans ces moments là irrésistible, je voulais la rendre heureuse. À peine ceinturer de la serviette qui m'arrivait à la rez des fesses la vieille dame revint avec un plateau, Esther la remercia en Thaïlandais avant de me tendre un verre d'une boisson qui me brûla la gorge. Par signe la vieille dame nous fit allonger sur le ventre, sans doute pour soulager l'opulente poitrine de mon épouse elle glissa sous son ventre le traversin triangulaire relevant du même coup ses belles fesses rondes. Je fus décontenancé quand la vieille dame tapant des mains fit venir dans la pièce deux jeunes filles qui devaient avoir à peine dix huit ans. Les trais asiatiques assez fin aussi petite de la grand mère leurs cheveux noir de jais étaient coiffé en chignon retenue par une grappe de fleurs, l'une rouge l'autre blanche. Elles portaient une tenu traditionnel que j'avais déjà vu dans un restaurant, gilet blanc à manches courtes et robe blanche brodé aux encolures de motif géométrique de couleur chaude. Souriantes elles nous saluèrent avant de se placer de chaque côté des tables face à face, la mienne avait de petites fesses et une petites poitrine celle de mon épouse avait des formes moyens. Fermant la porte en partant la vieille dame nous avait laissé aux lueurs des bougies qui rendaient l'atmosphère intime, mon épouse la tête tourné vers moi me fit encore un de ses sourires désarmant.

Ma masseuse commença par une de mes mains, se huilant régulièrement les doigts dans un bol elle appuyait fermement sur ma paume avant de remonter sur mon avant bras. La masseuse de mon épouse commença sur sa nuque l'obligeant à enfouir son visage dans le repose tête, malgré leurs âges elles étaient doué, sans doute pratiquaient-elles ce métier depuis l'enfance. Sous les doigts huileux je commençais à perdre ma gêne de ma courte serviette, ma masseuse passa sur ma nuque elle me fit rentrer la tête dans le cercle matelassé. J'entendais mon épouse pousser des expirations de contentement, le massage était plaisant c'était indéniable le meilleur jusque là. Nous avions essayait une première fois à Bangkok après le long vol mais situé près d'une avenue bruyante le massage Thaïlandais n'avait pas été aussi relaxant. Sur un petit nuage tout le haut de mon corps couvert d'huile ma masseuse descendit s'occuper de mes pieds, les pressions sous la plante me donna un coup de fouet, sans être douloureux c'était intense. Ma masseuse poussa un petit rire avant de chuchoter à l'autre dans sa langue, même leurs voix ténus qui accompagnaient le bruit de la mer était agréable. M'écartant les jambes ma masseuse vint s'agenouiller entre, je repensais alors à ma serviette qui devait à peine cacher mes parties, gêné j'essayais de la tirer au maximum cela fis encore rire la jeune fille. La pression devint plus forte, je croyais qu'elle en avait fini avec mon dos mais non, c'était comme un deuxième massage qui commençait bien plus tonique. Se servant de son poids la jeune fille appuyait fermement sur des points le long de mon échine, j'avais l'impression qu'elle libérait mon corps de tensions don j'ignorais jusque là l’existence. Je dus lâcher ma serviette car la jeune fille me prit les poignets en me commandant par geste de serrer les siens. Les bras en arrière elle me tira comme on tire sur des rênes, je poussais une râle à l'étirement qui frôlait entre soulagement et douleur. Elle continua un instant avant de me remettre les bras le long du corps, c'est à ce moment que j'ai entendu que les expirations de mon épouse avaient changé. La tête toujours encastré dans le cercle matelassé je tendais l'oreille à ce qui sonnait comme de petites plaintes, pensant à des étirements sans chercher plus loin je replongeais dans le bien être que me prodiguaient des doigts huileux sur ma nuque.
Toujours agenouillé entre mes jambes je revins au problème de ma serviette quand me malaxant une cuisse elle remontait toujours plus haut, entre les plaintes de mon épouse et les douces mains d'une jeune fille qui frôla plusieurs fois mes fesses je commençais à m'échauffer bien malgré moi. Son massage me faisait tant de bien que je n'osais mettre le holà, sous les vas et viens des petites mains la serviette fini par se dénouer, la jeune fille se pencha à mon oreille. « Relax. » À ce mot soufflé comme un secret je sentis mon excitation monter inexorablement, ma queue reposé vers le bas ma masseuse ne pouvait pas manquer mon érection grandissante pourtant les mains sur mes cuisses elle me redit de me relaxer puis sans se formaliser elle fit tombé ma serviette au sol. Cul nu à porté de bras de mon épouse je ne bougeais pas une oreille tant l'alcool fort avait quelque peu entamé ma pudeur.
Les doigts remontèrent malaxer mon fessier sous les chuchotements des masseuses, j'étais presque sur qu'elles parlaient de moi et de mon épouse. Les yeux clos, la tête bien calé je me laissais aller à cette étrange massage. Plus rude la jeune fille m'écarta plusieurs fois les fesses, ses pouces finirent par me frôler l'anus. Pensant à une maladresse je ne dis rien avant qu'un pouce s'arrête dessus pour le caresser, je restais hébété d'un telle geste avant de me reprendre. « Miss don't touch me in this place. » « Don't think about anything relax. » J'allais quitté la table avant qu'elle ne rajoute dans un souffle. « Your wife has agreed. » Redressant la tête mon sang fit qu'un tour au spectacle que donnait mon épouse. Toujours sur le ventre, les fesses relevé par le traversin, sans plus de serviette sa masseuse face à moi de l'autre côté de la table avait une main clairement sur sa vulve. Je fus d'autant plus frappé qu'Esther n'avait plus la tête dans le cercle mais sur la table tourné vers moi les yeux grands ouverts, depuis combien de temps m'observait-elle. Elle tendit le bras pour me prendre la main, les yeux brillants son visage avait pris des couleurs, sa respiration était lourde, cella m’enflamma pour de bon. « Laissa la te faire découvrir des caresses que tu pourras me donner. Tu veux bien, rajouta-t-elle d'une voix suppliante. » Le pouce huileux tournait toujours autour de mon anus, je ne sais pas si c'est le plaisir diffus qui me fit rester ou bien la supplique mais j'entrecroisais mes doigts avec ceux de mon épouse sans plus la quitter des yeux. Les masseuses durent comprendre mon consentement car elles s'enhardirent. Celle de mon épouse passa une main sous son bassin retrouver sa vulve, son autre main au-dessus même se je ne voyais pas devait lui caresser l'anus. La mienne appuya ostensiblement son index sur ma rondelle pendant que son autre main remonta sur mon échine pour me donner ses doigts à sucer.
Nous étions à l'autre bout de la France, de nos familles, j'étais trop faible pour me dérober à ces gestes obscène qui aurait du me faire quitter ma table sur le champ. Les intenses yeux vert de mon épouse, sa main qui serra la mienne fini par me faire sucer l'index et le majeur de ma masseuse. Je n'étais plus maître de la situation, pour la premier fois de ma vie je laissais les commandes à mes pulsions que j'avais toujours maîtrisé. Aux deux petites mains entre ses fesses mon épouse expira son plaisir avec régularité, sa masseuse fit un geste qui comprima mon tors sous une bouffée de chaleur. Ramenant une de ses mains vers son visage elle croisa mon regard en écartant les doigts, je vis alors un filé visqueux relier deux doigts qui n'avait rien à voir avec de l'huile. Elle me sourit avant de sucer doucement chacun de ses doigts, profitant de mon émoi ma masseuse me pénétrer d'un doigts. Mortifié j'avais pensé naïvement qu'elle en resterait à la caresse, j'oscillais entre lâcher la main de mon épouse pour arrêter le massage ou m'enfoncer un peu plus dans l’innommable. « Mon amour, me dit-elle dans un souffle. Tu ne peux pas savoir le plaisir que j'ai à te regarder en prendre. » C'était réciproque, nous nous excitions l'un l'autre et ça dépassait déjà l’intensité de notre première fois qui fut il est vrai bien plus bref. Ma masseuse me pénétra d'un deuxième doigt en amorçant un mouvement de vas et viens qui irradia mon rectum d'un plaisir ténu, haletant comme mon épouse main dans la main nous étions esclave de nos passions qui s’alimentaient l'un l'autre. Les jeunes filles continuèrent un bon moment, je fini par comprendre qu'elles nous maintenaient à la limite de la jouissance. Ma queue tendu écrasé sous mon poids m'en faisait mal, j'avais envie que ma masseuse me branle, même mes pensées m'échappaient.


Très déçu je croyais que le massage allait s'arrêter là, ma masseuse descendit de la table pour rejoindre sa collègue qui était partie dans un coin de la pièce. Elles parlèrent comme si mon épouse et moi n'étions pas là, puis se tournant vers nous les jeunes filles tirèrent sur la ficelle qui tenait leurs gilets à manches courtes. Le cœur à tout rompre je découvrais les petits seins de ma masseuse et ceux moyen de celle de mon épouse, leurs mamelons étaient bien plus sombre que ceux de mon épouse d'origine Ashkénazes. Sous la lueur des bougies elles nous sourirent avant de défaire leurs robes, ma masseuse avait un sexe glabre, celle de mon épouse un triangle noir avec les hanches plus marqué. Je tenais toujours la main de mon épouse en regardant avec honte deux autres femmes aux charmes certain. « Elles sont belles, me dit mon épouse sans une once de jalousie. » La suite de sa phrase allait me mettre dans tout mes états. J'étais à demi saoul, chauffé à blanc, enfermé dans une pièce tamisé avec trois jolies jeunes femmes totalement nues aussi je bus les paroles sans réfléchir aux conséquences. « Tu sais mon amour tant que ce n'est pas avec une juive je ne me considérerais pas comme trompé. Les gentils ne compte pas alors si tu as envie d'en baiser une demande moi juste la permission d'accord ? » Je répondais positivement en regardant les masseuses se huiler mutuellement, la mienne un peu plus petite passait ses mains sur la poitrine de l'aînée. J'avais une furieusement envie de me lever pour les baiser toutes les deux. Moi qui m'était toujours retenu de me branler jamais je n'avais éprouvé de telle pulsions qui me faisait presque perdre la tête, je soufflais comme un bœuf quand elles revinrent vers nous brillantes d'huile. Un sourire aux lèvres ma masseuse passa derrière ma table en me caressant le corps du bout des doigts avant de monter dessus. Celle de mon épouse fit de même. Synchronisé les jeunes filles vinrent nous envelopper de leurs corps nus, je sentais de doux seins coulisser contre mon dos, le pubis appuyer sur mes fesses. Je dus lutter pour ne pas me retourner, la main de mon épouse que je tenais était comme une amarre. Malgré ce qu'elle m'avait dit une partie de moi voulait lui rester fidèle.

Sous la douce pression des jeunes filles qui allaient et venaient sur nous, mon épouse et moi nous regardions amoureusement, entrecroisant nos doigts Esther poussa un soupir. Sur elle sa masseuse couraient ses doigts sur les flans caressant une partie des lourds seins en donnant de petits coups reins sur les fesses exposées, je fus embarrassé que la mienne l'imite allant jusqu'à trouver mes tétons à énerver. Elle m'avait déjà mis des doigts dans le cul, chose qu'à froid je savais ne jamais pouvoir assumé mais là elle mimait un coïte, j'étais d'autant plus troublé que cela me plaisait. Elles continuèrent ainsi emplissant la pièce des soupirs de mon épouse avant de nous demander de nous retourner, je bandais comme un âne. Les jeunes asiatiques je suis certain commentaient ma queue circoncis. La honte reflue je cache mes parties sans oser regarder mon épouse, c'était allé beaucoup trop loin pourtant je ne voulais plus quitter ma table tant la jeune fille agenouillé entre mes jambes était attirante. Ses yeux bridés plongèrent dans les miens, me prenant les mains elle les plaça autoritairement au dessus de ma tête. Passant à cheval son sexe glabre frôla ma verge ce qui m'électrisa. Sa petite poitrine vint contre mon tors, son souffle chaud dans mon cou elle commença à aller et venir, mon épouse poussa de petits soupirs réguliers qui ajouta à mon excitation. À dessin la jeune fille ne rentrait pas en contacte avec ma queue, son pubis venait frotter contre le haut de mon ventre avant de descendre en gardant de la hauteur ce qui me rendait dingue.

Ma queue me faisait presque mal, n'y tenant plus je descendais mes mains sur les petites fesses de ma masseuse pour l'inciter à s'appuyer sur mon sexe. Je reçu une petite tape sur le nez et entendit ce qui devait être des remontrances. Elle avait peut être une tête de moins de moi pourtant se redressant ma masseuse ne doutait pas de sa force en me ramena mes mains au dessus de ma tête. Se penchant elle prit sous la table deux épais bracelets de cuir avant de me faire non du doigt. C'est moi qui décide ce à quoi tu as droit me dit-elle dans un Anglais approximative. Sous le regard de mon épouse et de sa masseuse je la laissais m'attacher les poignets au sommet de la table. Je ne sais pas pourquoi mais ça me déchargea aussitôt de mes remords à vouloir trompé mon épouse. La jeune fille reprit son massage en évitant ma queue, de temps à autre elle venait me sucer le cou. À ses moments sa vulve était juste au-dessus de mon gland, enfiévré sans me soucier de mon épouse je fini par gémir ma frustration en levant mon bassin ce qui fit encore glousser la jeune fille. Je commençais à bouillir quand elle remonta me baiser menton, joues, nez. Avant de trouver mes lèvres, assise sur mon ventre elle enfonça sa langue pour pétrir la mienne. Heureusement que j'étais attaché car je mourais de la prendre par les hanches pour l'empaler sur ma queue, les soupirs de mon épouse me fit jeter un coup d’œil. Elle aussi se faisait embrasser par sa masseuse, plus sage que moi Esther gardait les bras le long du corps.

Nous étions entre les mains des jeunes filles, soumis à leur art. Rompant le baisé ma masseuse me présenta un de ses petits seins que je suçais avec joie. Elles continuèrent à ce parler dans leur langue pendant que nous obéissions à leurs demandes. Suçant un mamelon j'entendais mon épouse soupirer sous un sein, jamais j'avais imaginé qu'elle puisse prendre du plaisir avec une femme. Du coin de l’œil je l'observais passant d'un sein à l'autre en s'agrippant à la table pour ne pas subir mon sort. Elle ondulait du bassin, j'aurais tout donner pour me glisser entre ses cuisses. Ma masseuse se redressa, je pouvais admirer son corps tonique brillant sous les flammes. Ses petits seins dressés, son ventre plat, son pubis glabre tout me faisait tourner la tête. Passant ses genoux entre ma tête elle m'offrit une vue imprenable de fente luisante de nectar. Les petites lèvres bien plus sombre que celle de mon épouse dépassait à peine des grandes, son odeur m'enivra. Elle resta à bonne distance de ma bouche, je comprenais que la jeune fille s'amusait de me tourmenté. Ce que je refusais à mon épouse à cause d'un commandement religieux je mourais de le faire à une autre sans la moindre hésitation. J'étais comme possédé encore capable d'y voir l'interdit mais incapable de m'y soustraire, sans me quitter des yeux la séduisante asiatique commença à se caresser les seins. Haletant en tirant sur mes liens je me retenais de lui demandait de s’asseoir sur mon visage. Une de ses mains descendit sur son ventre continuant elle me cacha la vu de sa fente.

Comme moi mon épouse regardait sa masseuse se masturber au dessus de son visage, les mains agrippées à sa table elle amorça un mouvement de bassin en gémissant sa frustration de ne plus être massé. Deux doigts visqueux se posèrent sur ma bouche, je poussais une expiration de contentement en suçant le nectar, les jeunes filles échangèrent dans leur dialecte avant de venir nous délivrer de notre attente. En feux ruisselant de sueur je passais ma langue entres les lèvres intimes si désiré, emplissant ma bouche de l'odorant nectar je découvrais émerveillé la douceur de la vulve, sa chaleur, son goût. J'adorais entendre la jeune fille pousser de petits bruits presque inaudible à ma caresse buccal. Enfonçant ma langue dans le vagin j'avalais toujours plus de nectar, lui donner du plaisir était comme un exutoires au mien frustré. Sous son regard je léchais avec plaisir sa fente avant qu'elle ne baisse un peu son bassin pour que je m'occupe d'une petite boule rose grosse comme un petit pois. « Slowly. » Susurrant l'éminence elle se cabra dans gémissant d’allégresse, pris entre mes lèvres je jouais ma langue sur le petit bout de chair en suivant les gémissements de la jeune fille comme des consignes. Mon épouse devait aussi savoir se servir de sa langue car sa masseuse gémit de concert avec la mienne. Je ne voyais pas le temps passer, alternant entre le petit bourgeon et la fente brûlant la jeune fille fini par basculer en arrière en poussant un gémissement final. Elle souffla un moment avant de passer à cheval sur mon ventre, avec un large sourire elle frôla de ses fesses ma queue tendu heureuse de constater son attrait sexuel sur moi. Soulevant son bassin elle vint appuyer sa vulve contre ma queue, je poussais un râle à ce contacte qui m'électrisa. Avec langueur les douces lèvres que j'avais léché coulissaient sur ma queue, les mains retenue je ne pouvais que soulever mon bassin pour inciter la jeune fille à la mettre à la vertical et s'y empaler. Se retenant sur mes cuisses elle continua à me faire pousser des râles, sentir la vulve sur mon gland avant qu'elle ne reparte sur vers mes couilles fut un supplice. Les jeunes filles se parlèrent puis celle de mon épouse se pencha à son oreille, je les entendais chuchoter en Anglais avant que mon épouse tourne sa tête de comploteuse vers moi. « Ta masseuse a très envie de baiser avec toi, me dit-elle. Elles veulent faire venir un homme pour s'occuper aussi de moi. » Mon épouse attendit ma réponse le regard pétillant de malice. Ce matin encore j'aurais demandé le divorce mais là avec cette jolie jeune fille qui doucement pressait son sexe sur le mien en me couvant d'un ardent désir me fit perdre mes moyens. « Mon amour nous ne sommes plus au temps de Moïse j'ai envie de pimenter notre vie conjugal ce qui n'a pas l'air de te déplaire. Tu es d'accord ? » Silence vaut accord, pendant que l'esprit en feux je cherchais un moyen de tromper mon épouse sans être trompé celle ci dit oui aux jeunes filles, l'aînée appela un homme.

Nous saluant comme si de rien il s'approcha de mon épouse étendu sur le dos complètement nue, à son regard je vis aussitôt qu'il plaisait à Esther alors que pour ma part je le trouvais quelconque. D'une quarantaine d'années il aurait pu être son père, déjà tors nue assez velue il était de taille moyenne qui accentué sa carrure costaux. Il avait des cheveux courts, la peau tanné par le soleil qui le rendait bien plus sombre que les jeunes filles. Comme beaucoup d'Asiatique il avait un grand visage plat, des yeux noir bridés, un nez large, une fine moustache arborait sa bouche. Coté physique un cou de taureau, des pectoraux saillant, de larges épaules avec les bras qui vont avec. Je me sentais immédiatement intimidé d'autant que j'avais les poignets attaché en haute de la table, il pouvait déjà tout faire à mon épouse. Je tiltais quand il retira son short, à la lueurs des bougies je voyais une queue au repos déjà massive, de grosses veines courait sur le manche cachant en bonne parti des couilles velue. C'est à ce moment critique que j'aurais du tout arrêter mais la jeune fille sur moi du sentir mon désarroi car d'un mouvement de bassin mon gland fut enserré par ses lèvres intimes, une poussé et je pouvais la pénétrer.
La masseuse de mon épouse embrassa le quinquagénaire pile poil entre les deux tables, visiblement ils voulaient nous monter un spectacle qui nous fit redresser la tête. S'agenouillant la jeune fille attrapa la queue déjà moins flasque, baisant le prépuce elle suça le gland poussant de la langue la peau protectrice avant d'y aller plus franchement, sa langue tournait sous le gland avant que ses lèvres ne le fasse disparaître. Je regrettais de ne pas avoir laissé mon épouse me prodiguer les mêmes soins. L'engin prit tout son volume, ça taille n'avait rien d’extraordinaire mais son épaisseur était hors norme, les doigts de la jeune fille n'en faisait pas le tour. Une grosse main se posa sur la cuisse de mon épouse, ce qui me décontenança c'est que c'est moi que l'homme regarda. Me toisant je détournais les yeux honteux de m'être laissé attaché, de n'avoir pas su dire non mais surtout de ressentir un plaisir malsain à lui laisser mon épouse, sur qu'il serrait mieux s'y prendre que moi. La jeune fille agenouillé entre les tables sorti de sa bouche une queue raide qui point au ciel, elle me paraissait encore plus imposante. « Je peux le branler, me demanda mon épouse. » J'eus une bouffé de chaleur à ces mots, mon corps fonctionné en dépit du bon sens. Ma réponse devait se lire sur mon visage car elle approcha ses doigts de l'engin un sourire coquin aux lèvres. C'était surréaliste l'instant d'avant elle léchait une jeune fille maintenant elle branlait un homme. Je l'avais connue la moitié de ma vie pourtant je découvrais maintenant sa vrai nature d'une rare perversité. La jeune fille sur moi continu à faire onduler sa vulve sur ma queue pendant que je restes fixé sur les frasques de mon épouse, ses doigts couraient sur le manche veineux flattaient les couilles puis revenaient reprendre la masturbation.
L'homme, mon épouse, les jeunes filles, tous me regardaient avec des yeux brillants de perversités, je sentais une complicité entre eux que je ne m’expliquais pas. La masseuse de mon épouse passa aux pieds de la table de mon épouse. Baisant un mollet, caressant les jambes de ses petites mains huileuse elle remonte doucement pendant que l'homme d'une main s'occupe de la généreuse poitrine. Expirant son bonheur Esther continua la masturbation, je restais fasciné par cette créature que Dieu m'avait donné, une vrai nymphomane. Je ne sais pas si c'était du à mon épouse ou à l'homme toujours est-il que l'engin se rapprocha dangereusement de la bouche d'Esther, presque de profil l'un ou l'autre voulait aussi que je vois tout. Quand la queue fut mise dans la bonne direction je compris que c'était mon épouse qui avait envie de le sucer, redressant la tête yeux dans les yeux elle posa ses lèvres sur le gland. « Mon amour dis moi la vérité tu veux me voir lui sucer la bite. » « Non bien sur que non, dis-je sans conviction. » « Allons je suis ta femme tu n'as pas à me cacher tes pulsions d'autant qu'elle me fond plaisir. Dis moi que tu as envie de me voir sucer un autre homme. » « J'ai envie de te voir sucer cette homme. » Je cédais sans même le vouloir tout ça à cause d'une jeune fille qui me maintenait au bord de la jouissance, dès que ma queue palpitait contre sa vulve elle ralentissait ses mouvements de bassin. Entre ça et le spectacle obscène je ne savais plus ce que je disais ni ce que je faisais, la situation m'échappait totalement. L'engin de profil mon épouse suça le manche en poussant des gémissements sans doute lié à la jeune fille entre ses cuisses. J'oscillais entre jalousie et excitation, si l'homme n'était pas si costaux je crois que je les aurais arrêté. Esther continua un moment, reposant sa tête plusieurs fois en gémissant sous la langue de la jeune fille entre ses jambes. Je voulais jouir, mon épouse prolonger son plaisir.
Recrachant l'engin visqueux de sa bave Esther quitta sa table pour prendre la place de ma masseuse. Je me retenais de me plaindre comme un enfant à qui on a pris son jouet, la jeune fille me faisait tourner la tête je rêvais de la baiser. Ce qui me frustra d'avantage c'est que mon épouse ne dénia même pas appuyer son sexe contre le mien. À cheval sur mon ventre me crassant le visage elle me contempla un instant, ses lourds seins comme des obus pointaient, je tirais mécaniquement sur mes liens pour les prendre en mains. Le visage rougie de mon épouse avait pris un air impérieux, sous son regard implacable je suçais ses doigts qu'elle me présentait, ceux qui avait tenue la bite d'un autre. Elle se coucha sur moi pour que je goûtes aussi sa bouche souillé, sous la langue je captais bien un arrière goût viril qui dans mon état n'atténua pas mon excitation. Sous le fougue baisé je sentis les jeunes filles me caresser les jambes. L'une me suça un par un mes orteils, l'autre pour mon bonheur vint malaxer mes couilles. Je découvrais l'homme debout à notre droite au niveau de nos têtes, ses gros doigts passèrent dans les cheveux de mon épouse, je devinais ce qu'il voulait. Encore une fois j'oscillais entre jalousie et excitation mais je ne trouvais pas la force de le chasser.
Rompant le baisé mon épouse lui attrapa l'engin pour le mettre à l'horizontal, juste sous mon nez elle suça le gland massif en reprenant la masturbation. J'étouffais de jalousie et de frustration, ma queue palpitait sans être touché malgré les deux paires de mains à proximité. J'avais l'impression d'une torture charnel, la jeune fille qui me suçait un orteil me disait tacitement. « Voilà ce que tu n'auras pas pour ta queue. » L'autre qui jouait avec mes couilles me disait tacitement. « Jamais je ne remonterais plus haut. » Le cœur à tout rompe ce n'était plus du sang qui coulait dans mes veines mais de la lave, bien malgré moi je poussais une plainte. Mon épouse sorti l'épaisse queue de sa bouche pour se pencher sur mon cas. « Tu as envie de m'accompagner mon amour. » Elle fit pencher l'engin, le gland massif comme étranglé par le prépuces frôla ma bouche. Un mélange de bave et de liquide pré-séminal passa mes lèvres, j'aurais du détourner la tête je ne pus que me perdre dans les yeux de mon épouse qui lécha le haut de l'engin. Une des jeunes filles trouva mon anus à énerver avant de me pénétrer. Un doigt me fit lâche une honteuse expiration, un deuxième doigt me fit lever le bassin, sous les doigts qui étiraient toujours plus ma rondelle. Mon épouse qui passait de l'engin à ma bouche pour m’inciter à franchir l'interdit. J'étais un hétéro pure sucre juif de sur croix pourtant loin de m'en révolter mon corps enflammait de plus belle.
Attaché sous mon épouse qui était l’instigatrice de tout ça, je le comprenais à présent. J'avais envie de m'abandonner à ses mains. Sentait-elle ma faiblesse toujours est-il qu'Esther posa franchement le gland sur ma joue, trouvant mes lèvres elle m'embrassa fougueusement. L'engin dans l'axe de nos bouches l'homme d'un lent mouvement de rein nous sépara peu à peu. Ma langue rentra en contact avec le gland, mon épouse suça le haut, sous l'ardent désir de ses yeux je ne résistais pas plus longtemps. Je suçais la jointure du gland sans arriver à m'en dégoûter, mon épouse poussa son avantage d'une main ferme elle me tourna la tête pour facilité ma déchéance. « C'est bien mon amour je savais avant même de t'épouser que tu étais d'une nature soumis. Loin de me déplaire cela m'enchante, continues à te soumettre deviens mon soumis. » Écrasant ma langue le gland massif emplit ma bouche. Je tirais sur mes liens pour me donner bonne conscience mais j'entendais une vérité que j'avais toujours nié, être à la merci de mon épouse me plaisait énormément. Esther quitta la table pour venir se faire encadrer d'un bras musculeux, l'homme l'embrassait alors même que je lui suçais la bite.Ma masseuse profita de la place libre pour remonter à cheval dos à moi. Je sentis son souffle sur ma queue avant que sa bouche me suce une couille, l'autre jeune fille continuait à pénétrer de ses doigts huileux irradiant mon rectum d'un plaisir palpable. Gémissant sous le gland massif je me laissais subjuguais. Mon épouse roulant sa langue contre celle de l'homme en continuait à le masturber. Ses doigts venaient buter contre ma bouche comme pour s'assurer de mon obéissance. Sous la lueur des flammes je restais médusé sur les petites fesses de ma masseuse, je voyais ces lèvres intimes et son anus, sans le gland dans ma bouche j'aurais redressé la tête pour la lécher. Passé le goût viril je suçais avec plus de plaisir, roulant ma langue sur la jointure du gland titillant l'urètre je me laissais prendre au jeux pervers. Rompant le baisé mon épouse et ce que je présentais comme son amant me regardèrent un moment fière de m'avoir soumis, dégagé de l'épaisse queue je reprenais mon souffle à la fois effrayé et excité par la suite.


Les tables étaient sur des roulettes, l'homme joint la libre à la tête de la mienne, puis y fit monter mon épouse en l' agenouillant entre ma tête. Montant à son tour il se positionna derrière pareillement en l'encadrant Esther de ses cuisses. Mon épouse posa ses mains sur la croupe de la jeune filles toujours tête bêche avec moi, elle caressa les petites fesses frôlant les grands lèvres luisante de nectar puis les écarta. Aussitôt je redressais la tête pour lécher la douce fente. Collant son bassin aux fesses de la jeune fille mon épouse me commanda tacitement de m'occuper aussi de sa chatte. Bordé de poils drus trempé de mouille je gémis mon bonheur en passant ma langue entres ses lèvres intimes. Je ne pouvais plus retenir mon bassin d'onduler, ni de pousser des petits bruits obscènes. Entre la succion de mes couilles, les doigts qui s'enfonçaient dans mon rectum et la vulve de mon épouse qui emplissait ma bouche de nectar j'étais à la limite de devenir fou. Mon épouse comme la jeune fille par leurs plaintes répétés me faisaient passé d'une vulve à l'autre, ma nuque commençait à me faire mal mais aucune douleur n'aurait pu m’empêcher de continuer. Quittant mes couilles la jeune fille se redressa contre mon épouse pour gémir sans pudeur, je m'attardais à lui susurrer son petit bouton quand son bassin se mis à trembler. Après un dernière gémissement elle retomba sur moi lourdement, la tête contre ma cuisse je l'entendais haleter bruyamment. Je voulais continuer à lécher mon épouse mais elle se déroba. L'homme lui malaxait les seins depuis le début peut être, elle ondulait contre cette armoire à glace qui léchait son cou en me défiant encore du regard. Cette fois je ne baissais pas les yeux, la vive honte qui m'habitait envolé je prenais plaisir à être ainsi soumis. J'avais envie qu'il la baise sous mes yeux, voir son épaisse queue étirer la vulve de mon épouse. En un peu plus d'une heure je découvrais une facette de moi même qui était resté dans l'ombre écrasante de ma stricte éducation religieuse, le massage m'avait libéré de tension musculaire mon épouse d'une tension sexuel jusque là inassouvi.

Mon épouse n'avait jamais été aussi belle que contre un autre homme, perlé de sueur, joues et nez rougie, yeux brillants de désir posé sur moi, bouche pulpeuse qui esquissait toute sa perversité, lourds seins caressé par de grosses mains, vulve gonflée don le bourgeon brillait pour ma langue comme un phare dans la nuit. Tout me la rendait irrésistible au point que je tirais vainement sur mes liens tant mes pulsions me commandaient de caresser cette déesse désormais hors de ma porté. La jeune fille qui m'écrasait de son poids revint dans le jeux, à cheval sur mon tors me présentant ses petites fesses je sentis sa bouche me baiser mes couilles avant d'en gober une. Sa consœur continuait à me doigter le cul à la limite de la douleur en irradiant mon bas ventre d'une chaleur qui passait de ténue bien présent. J'accompagnais bien malgré moi cette infâme caresse de petits mouvements de bassin. Mon épouse aussi ondulait contre son amant, je devinais l'épaisse queue contre ses fesses, à son regard je savais que ce n'était plus qu'une question de temps avant qu'elle face de moi un cocu. Attaché je ne pouvais que parler pour l'en dissuadé mais aucun mot ne me venait pour la retenir, mon extrême jalousie était muselé par mes vils pulsions. D'un mouvement de bassin elle fit passer l'engin devant elle juste sous mon nez, dressé la queue ne me parut énorme menaçant ma propre virilité. Doucement mon épouse fit coulisser sa vulve contre le manche qui passa à l'horizontal, je voyais le nectar tremper bien vite toute la queue pour venir perler sur mon visage. Mon épouse était en feux possédé comme moi par un instinct primordiale, elle voulait s'offrir au mâle qui dominait les autres. Je m'en apercevais à présent l'homme pour un asiatique était extrêmement viril, malaxant la lourd poitrine ses yeux sur moi étaient à la fois dure et sur d'eux. Même détaché je ne lui aurais pas contesté mon épouse, celle ci poussa le vice toujours plus loin sa voix suave raisonnait à mes oreilles comme un enchantement. « Mon amour désormais dans notre intimité je serrais celle qui commande, tu m'obéiras comme un bon soumis en me donnant du madame à chacune de tes phrases. Le vouvoiement est de rigueur, tu as compris? » « Oui madame. » Ondulant doucement sur le manche le gland fini par frôler mon nez, Esther reprit sur même ton. « Tu serras présent à chaque fois que j'inviterais un amant chez nous, pendant ces moments je veux que tu nous serves avec le sourire. Tu participeras aux préliminaires qui te font tant défaut, quand le moment viendra je veux t'entendre demander avec les formes combien tu serrais ravi que mon amant du jour me baise sous tes yeux. Je te promets que tu vas être un cocu heureux. » J'étais sonné par le mot cocu dit avec tant de force, jeune marié jamais j'aurais pu imaginé ce terme si rabaissant pour me désigner. Les jeunes filles étouffèrent bien vite la colère qui afflua, une couille dans la bouche de l'une qui courait ses mains sur mes jambes, l'autre de ses doigts me fouillait le rectum qui faisait enfler l'étrange chaleur. Au-lieux de crier à l'infamie je poussais un petit bruit honteux. « Bien mon soumis maintenant je veux entendre ce que ton corps exprime, si tu souhaites une récompense ne te fais pas prier. » « Tu...vous voulez que... » « Oui mon amour je veux que tu supplies mon amant de me baiser. Arrêtes de te mentir tu en meurs d'envie, quand à la récompense une jeune fille se langui déjà de toi. » La croupe levé la fente glabre luisante de nectar j'avais la récompense sous les yeux. Je voulais déjà depuis un moment baiser cette jolie asiatique, sans plus attendre j'entérinais ma déchéance. « Sir please fuck my wife, i want you to fuck that bitch hard. » Mon épouse fit une moue réprobatrice mais à cette instant je la voyais comme la dernière des salopes. Elle chuchota à l'homme dans son dos puis lentement pour que je n'en perde pas une miette leva son bassin. Les lèvres intimes se posèrent sur le gland massif sans s'y enfoncer, mon épouse joua un instant dessus en me couvant d'un regard impérieux, je lui renvoyais celui d'un soumis prêt à tout pour lui plaire. Doucement la vulve descendit en s'étirant comme jamais, mon épouse poussa de petites plaintes en bougeant son bassin d'avant en arrière englobant la moitié du gland. L'homme dans son dos continuait à lui malaxer les seins en me décochant un sourire de vainqueur. Esther s'empala toujours plus avant, sa vulve formait un arc de cercle qui descendit sur la colonne de chair. Sous un gémissement de mon épouse le gland massif disparu, sans plus me quitter des yeux elle amorça un lent va et viens qui l'enfonçait toujours plus sur l'engin.

Sitôt marié déjà cocu, cette pensé en tête aurait du m'abattre pourtant je me sentais à regarder mon épouse heureuse de se balancer sur une épaisse queue. Je restais médusé sur sa vulve qui épousait le manche veine, dans un rythme régulier sortant presque de l'engin elle descendait s'écraser jusqu'aux couilles. De temps à autre Esther tournait la tête vers son amant pour trouver ses lèvres puis revenait plonger son regard dans le mien s'assurer de ma soumission. J'aurais pu redresser la tête pour lécher la jeune fille qui me suçait mes couilles mais je préférais les yeux brillants de perversité de mon épouse. Je lui appartenais corps et âme elle le comprit et en profita, sortant l'engin elle avança sa vulve qui reprenait sa forme. Je poussais une expiration de bonheur en passant ma langue entre les lèvres intimes poisseuse, je percevais le goût viril de l'homme qui ne me dérangeait plus du tout. « C'est bien mon soumis tu sais comment faire plaisir à ton épouse. » J'emplis ma bouche de nectar en enfonçant ma langue dans son vagin brûlant, j'entendis les jeunes filles parler puis s'adresser à mon épouse. « He's coming. » « It's too early. » Sous la vulve je gémis ma frustration quand la jeune fille sur moi arrêta de me sucer les couilles, l'autre bougea ses doigts bien plus lentement. À un cheveux de jouir en désespoirs de cause je donnais un coup de bassin qui les fit glousser. « Tu te comportes comme une petite chienne en chaleur, me dit Esther sèchement. Je vais te dresser pour pas que tu me fasses honte devant mes amants. La jouissance pour un soumis est une récompense que tu n'as pas encore mérité. » Esther se dégagea de mon visage pour venir s’empaler sur le manche, elle s’accroupit les pieds de part et d'autre de ma tête. Son amant passa ses mains sous ses fesses pour accompagner ses vas et viens. Mon épouse se balança beaucoup plus violent en gémissant de plus belle que je n'avais jamais entendu jusque là. Ses lourds seins ballottaient à un rythme endiablé, sa vulve étiré avalait et recrachait l'engin presque entièrement, les couilles velue perlait de son nectar. Suivant mes vils pulsions je me tordais le cou pour venir les sucer, j'entendis l'homme pousser un râle à ma succion cella m'encouragea à continuer. Dans un état second je ne voulais que plaire à mon épouse, n'être qu'un objet à son service, me libérer du libre arbitre, du quand dira-t-on. La jeune fille sur moi se retourna pour venir me lécher le cou en courant ses petites mains douce sur mon tors, l'autre jeune fille dit quelque mots dans sa langue avant que je sente toute sa main passer dans mon rectum. Je poussais un gémissement à la terrible chaleur qui irradia mon bas ventre, ma queue palpita, j'étais encore à un cheveux de jouir. Ne pouvant continuer à sucer le nectar de mon épouse qui trempait les couilles de son amant je haletais en poussant de petites plaintes pour que la jeune fille accélère juste un peu pour me libérer d'une chaleur insupportable. « Je vais jouir, me dit mon épouse entre deux gémissement. Mon amant aussi. » Perlé de sueur Esther ondula d'avant en arrière de manière saccadé, se cabrant contre son amant elle poussa un ultime gémissement. Son bassin fut secoué de tremblement, je ressentis son orgasme qui la terrassait. Le souffle court je la contemplais entrain de reprendre le sien, jamais dans nos coites je ne l'avais mise dans un telle état. Perlé de sueur adossé contre son amant la tête contre son épaule elle me sourit, un sourire de béatitude. « Mon amour tu veux me faire plaisir ? » Je ne demandais que ça m'en remettre entièrement à elle. « Oui madame. » « Je veux que tu renonces à baiser cette délicieuse jeune fille. » Le coup était rude, ma masseuse m'avait chauffé à blanc je mourrais d'envie de la baiser néanmoins l'amour que je portais à mon épouse fut plus fort. « D'accord madame. » « Bien maintenant mon soumis nettoies ma chatte pleine de foutre. » J'aurais du être révulser, me rebeller pourtant quand elle se dégagea de l'engin j'avais à la rencontre de sa vulve poisseuse de la passion des amants. Mélangé au nectar j'avalais le foutre brûlant qui avait souillé mon épouse, je lapais la douce fente avec plaisir. « C'est bien mon soumis tu as mérité une récompense. » Mon épouse du faire un signe aux jeunes filles car celle sur moi me lécha le cou avec fougue l'autre sa main dans mon rectum amorça un mouvement de piston, je gémis sous la vulve. Continuant à avaler foutre et nectar j'ondulais du bassin, mes fesses furent prises de tremblement. Sans même être masturbé je sentis une étrange jouissance arriver, bien plus lentement et diffus que celle de mes coïts. Tirant sur mes liens je priais pour que la jeune fille de ne s'arrêter pas, mon épouse se dégagea. Posant une main sur mon visage elle me donna son pouce à sucer, gémissant sans aucune honte je sentais la chaleur qui irradiait mon rectum prêt à m'emporter. À un énième vas et vient de la petite main dans mon rectum je fus électrifier par un plaisir insoupçonné d'une intensité à la hauteur de toute la frustration emmagasiné. Je me tendais sous la décharge de plaisir qui inondait tout mon être de bonheur. Ma queue palpita toute seul en déchargeant sur mon ventre mon foutre, étrangement plus comme une coulé qu'un jet. Exsangue, comblé, vibrant encore des vives émotions je reprenais mon souffle sous le regard malicieux de mon épouse, de son amant et de jeunes filles.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
comment un jeune couple en voyage de noce aller dans un bordel et le mari découvre que sa femme est une salope fini .si je pouvais donner un zéro
Posté le 6/07/2022

Anonyme
Amusant, les juifs sont pourtant réputé être bien montés... Par contre j'ignore où est l'amour dans ce texte... Et c'est la même histoire que le pôv pasteur Afrique. Enfin, faut de tout pour faire un monde
Posté le 13/12/2021

Anonyme
L'auteur pourrait, par exemple, faire corriger l'orthographe ce qui rendrait le texte plus agréable.
Posté le 13/12/2021


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