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Axelle : Première expérience de groupe

Quand je découvre que mon épouse, Axelle, est exhibitionniste, le désir de la montrer me saisit. Puis vient le désir de la partager... Je vous raconte-là notre première expérience pluraliste dans un club de rencontres catalan.

Proposée le 7/07/2021 par Sizaxe

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: Groupes
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Histoire vraie


Au début des années 90, peu de filles attachaient encore la moindre importance à leur pucelage. La tradition catholique fortement ancrée dans la famille d’Axelle fit qu’elle arriva vierge au mariage. Ce qui ne veut pas dire que ma femme était une oie blanche ! En matière de sexe, elle pratiquait en effet presque toutes les disciplines, pénétrations exclues, et j’étais persuadé que quelques semaines de formation accélérée en feraient une maîtresse assez délurée. Elle m’avait avoué, avec une certaine fierté, avoir commencé à se masturber entre 6 et 8 ans, et poursuivre depuis cette pratique avec assiduité ; j’en étais d’ailleurs régulièrement témoin – j’adorais la voir se faire l’amour – et elle me laissait même la photographier en action.

Il ne me fallut que quelques jours de vie commune pour m’apercevoir qu’elle avait une tendance marquée à l’exhibitionnisme : elle passait par exemple l’aspirateur totalement nue. Quand je lui en fis la remarque, elle s’étonna : nous habitions au 3ème étage, et qui donc pourrait bien la voir ? Eh bien, lui dis-je, la rue étant fort étroite, le voisin d’en face, par exemple. Tu crois ? J’en étais d’autant plus certain que je l’avais surpris à la mater avec une paire de jumelles. Bof ! Si ça l’amuse, dit-elle…

L’affaire commençant à m’exciter un peu, je me mis moi aussi à surveiller le petit curieux. Il ne me fallut que quelques jours pour m’apercevoir que les jumelles étaient maintenant remplacées par un appareil photo, muni d’un télé. Je ne dis rien à ma femme, laissai passer quelques jours et me décidai à rendre une visite au monsieur. Visite de pure courtoisie, les activités du garçon me semblant éminemment sympathiques. Je traversai donc la rue un jeudi soir, jour où Axelle avait chorale. Dire que le gars fut surpris est un euphémisme. Surpris et gêné, voire anxieux. Il avait manifestement peur d’en prendre une – nous n’étions pas du même gabarit. Je le rassurai de mon mieux, l’assurant que sa curiosité me semblait être une qualité plutôt qu’un défaut, à condition toutefois que les photos soient bonnes ! Il sourit et me proposa de me les montrer. Nous passâmes tous les deux une excellente soirée à discuter des charmes d’Axelle en feuilletant l’album qu’il avait commencé. Certaines photos montraient sans aucun doute que ma petite femme se savait admirée : coups d’œil directs au photographe, poses lascives ou évocatrices, avec usage du tuyau de l’aspirateur, par exemple. Il hésita longtemps avant de se décider à me montrer deux agrandissements sur lesquels la coquine était indubitablement occupée à se donner du plaisir. Et vous-même, demandai-je ingénument ? Il avoua, en rosissant, penser beaucoup à elle, « et même parfois davantage, si vous voyez ce que je veux dire ». Je fis mine de ne pas voir, et lui demandai avec un sourire de me prêter son appareil photo – sans le télé – et de me montrer. Il devint écarlate. J’interrompis son bafouillement en lui disant que ça me semblait la moindre des courtoisies de sa part, et le rassurai : il n’avait rien à craindre de ma part, je n’étais pas homo. Ce qui ne m’empêcha pas de bander ferme pendant qu’il se masturbait devant moi. J’en aurais volontiers fait autant, mais je voulais des photos, et pris donc un maximum de clichés durant l’opération. Puis je récupérai le film, lui disant que, faisant moi aussi ce genre de photos, j’assurerai développement et tirage.

Les jeudis suivants furent bien occupés. Nous avions bien travaillé tous les deux, acteur et photographe. Et tirer ces photos était si excitant qu’Axelle finit par s’apercevoir que je ne la baisais plus jamais le jeudi soir. Je prétextais sa rentrée tardive, ne voulant pas lui avouer mes masturbations répétées devant mes chefs-d’œuvre. Elle continuait par ailleurs à faire son ménage à poil, mais le coquin avait abandonné sa fenêtre – je ne lui avait pas demandé de cesser ses coupables activités, mais il ne devait pas être tranquille. Elle s’en aperçut très vite, et me fit remarquer que j’étais totalement parano.

Je décidai de passer à l’action. Un beau soir, je la rejoignis au lit avec un portfolios que je lui tendis. Il contenait très exactement 12 photos, 10 d’elle, et 2 de son admirateur en action. La dernière était la plus explicite : le sperme giclait sur une photo de la douce Axelle se masturbant avec le tuyau de l’aspirateur. Pas gênée le moins du monde, ma douce compagne conclut : « Finalement, tu n’avais peut-être pas tort… Et comment les as-tu eues ? ». La soirée fut torride !

Bien entendu, l’épisode fit l’objet de nombreuses discussions, qui nous amenèrent à trouver, sans aucun mal, un consensus que nos politiques peuvent nous envier : oui, Axelle adorait s’exhiber (« d’ailleurs, je ne t’ai jamais refusé de photos ») ; oui, elle se masturbait en imaginant le voisin d’en face lui rendant hommage ; oui, elle adorerait le faire devant des voyeurs, mais elle avait peur. Et oui, qu’elle s’exhibe m’excitait ; oui, que des mecs se branlent sur elle m’excitait - voir faire le voisin m’avait fait bander ; oui, j’aimerais même l’offrir à d’autres, mais en ma présence.

Bref, oui, j’étais candauliste.

Et non, je n’étais pas jaloux…

Le monde n’est finalement pas si mal fait que çà : nous formions un couple composé d’une femme gourmande et exhib’, et d’un mari partageur ! Ceci posé, il ne restait qu’à passer à l’étape suivante : l’élaboration d’un plan, et le passage à l’acte. Il y avait quelques évidences : tout d’abord, pas question de jouer à çà dans notre petite ville de province. Ensuite, un club échangiste semblant l’endroit idéal, il fallait juste trouver le bon, pour éviter le possible côté glauque… Nous en étions là quand arrivèrent les vacances. Par curiosité, nous descendîmes au Cap d’Agde pour « prendre la température ». Se promener à poil à la plage et dans les commerces nous sembla sans intérêt, et la chair bien triste. Mais nous n’avions pas perdu notre temps, parce qu’un couple de belges avec lesquels nous avions sympathisé nous donna un conseil, qui devait s’avérer bon : l’adresse d’un club échangiste de Barcelone qu’ils avaient visité : « assez classieux, ma foi » dit Frida, « bien tenu, et offrant tout ce qu’une jolie petite Dame comme vous peut souhaiter » ajouta Arie avec un clin d’œil. Axelle, des étoiles dans les yeux et des papillons dans le ventre, se pencha vers lui pour l’embrasser. Il profita ostensiblement de la vue imprenable qui lui était offerte et ajouta : « Et l’entrée est gratuite pour les dames. Il est vrai que celles qui le désirent prennent cher…D’ailleurs Frida peut vous le confirmer ». Il adressa un clin d’œil complice à son épouse, qui rosit comme l’honnête femme qu’elle était. « Bon, il faut être membre, mais je vais vous laisser ma carte, c’est pas nominatif. Nous rentrons en Belgique. Je vous envie… ».

C’est ainsi que nous nous sommes retrouvés à Barcelone, où nous étions allés déjà à plusieurs reprises. La boîte était située près de la Diagonale. Axelle ne parlait pas plus espagnol que moi, mais compte tenu du programme, cela ne semblait pas bien important. Au rez-de-chaussée se trouvent deux bars, dont l’un très américain ; nous choisissons l’autre, qui semble plus couleur locale. Une fois juchés sur des tabourets et munis d’un quelconque cocktail, nous essayons de nous faire une idée de l’endroit. Il y a une piste de danse où s’agitent une douzaine de couples, certaines filles déjà largement dévêtues. Axelle commençant à se trémousser je l’invite à rejoindre la piste pendant que je me ferai expliquer un peu les habitudes locales. Je trouve un barman qui comprend le français et parle anglais. Il me signale l’existence d’un restaurant à l’étage et me fait comprendre que c’est le meilleur moyen de « faire des rencontres ». Je récupère une Axelle déjà bien chaude, et lui explique la chose. Nous grimpons un escalier transparent – ma femme porte une jupe fort courte, et a « oublié » de mettre une culotte. Elle ne passe pas inaperçue – un maître d’hôtel nous propose une table. Comme le but n’est pas de passer la nuit à table, nous commandons champagne et poissons fumés. Autour de nous, des tables occupées par des couples, mixtes ou non, et deux grandes tables de 6-8 personnes. Pas de femmes seules ici, sans doute celles-ci sont-elles occupées à draguer sur la piste.

A la table voisine, une blonde superbe accompagnée d’un homme paraissant à peu près notre âge, très élégant, et très espagnol, croisent fréquemment notre regard. Nous répondons à leurs sourires. Après quelques échanges muets, la femme s’adresse à l’homme en nous regardant et lui glisse quelques mots. Il se lève, s’approche de nous, se présente. Il parle un excellent français, et ajoute
- Pardonnez mon impertinence, mais nous venons de commander une seconde bouteille de champagne. Ma femme trouve que ce n’est guère raisonnable et se demande si vous voudriez nous faire le plaisir de la partager avec nous.

La dame nous fait son plus beau sourire. Axelle et moi nous regardons, échangeons un sourire et quittons notre table. Présentations faites, Pénélope et Sergio, Axelle et Richard, nous commençons à bavarder comme de vieux amis, d’où venons-nous, comment sommes-nous arrivés ici, qu’y cherchons-nous. Pénélope, qui maîtrise moins bien le français, qu’elle semble parfaitement comprendre, parle peu. Tous deux sont habitués des lieux, que Sergio décrit, à notre demande : l’établissement propose un hammam, des alcôves individuelles et des…, la, il butte un peu, « des lieux permettant d’accueillir un plus grand nombre de personnes. Les règles sont simples. En fait, il n’y en a qu’une : tout repose sur le consentement de chacun. Mais le plus simple serait sans doute que Pénélope fasse faire une visite guidée à Axelle, pendant que nous terminerions cette bouteille. ». Voté à l’unanimité !

La visite dure près d’une heure, pendant laquelle Sergio se montre aussi brillant qu’intarissable. N’eût été la présence de Pénélope aux côtés de mon épouse, je me serais inquiété, le deal étant que je sois toujours présent. Je finis tout de même par risquer une question :
- La visite est bien longue, l’établissement est si grand ?
- Sergio sourit : Ah ! Il n’est pas exclu que Pénélope ait un peu abusé d’Axelle ! Elle qui adore les petites brunes trouve votre femme très excitante…

Me voilà rassuré ! Les deux filles redescendent peu après, Axelle avec un sourire penaud qui en dit long.
- Pénélope a été une guide formidable, j’ai vu plein d’endroits qui vont bien t’intéresser. Tu viens, Richard ?
- Je te laisse faire le guide, Axelle, dit sa nouvelle amie. Amusez-vous bien. A tout à l’heure…

Je suis Axelle qui m’entraîne vers la « zone chaude ». Certaines alcôves sont fermées par un rideau de velours bleu nuit, d’autres ouvertes. On y voit, ou on y devine, selon l’éclairage, des corps qui s’agitent. Nous entrons dans la première alcôve libre. Je ferme le rideau d’un geste réflexe.
- Ah oui ! On peut commencer comme ça si tu veux…
- C’était bien, avec Pénélope ?
- Génial, mais là, j’ai envie d’une belle queue !
- Une ?
- Pareil que pour le rideau : pour commencer…

Elle s’allonge sur le divan surélevé qui occupe le centre de l’alcôve. Sur le dos, se trousse et écarte les cuisses comme une ribaude. Je défais ma ceinture et sans même enlever mon pantalon je l’enfile brusquement. Elle jouit presque aussitôt. Bruyamment. M’arrête.

- J’en pouvait plus… Mais retiens-toi un peu… Pour la suite, j’aimerais vraiment avoir du public ! Tu veux bien ouvrir le rideau ?

Je m’exécute avec plaisir. Ses cris ne sont pas passés inaperçus : deux couples se sont arrêtés à proximité, qui me regardent, quêtant une approbation, que je leur accorde d’un hochement de tête avant de rejoindre Axelle qui a retiré sa jupe et déboutonné son chemisier. Je reprends où j’en étais resté. Les deux hommes l’interrogent du regard avant de se déshabiller. Ils bandent comme des ânes. Une des femmes commence à caresser les seins d’Axelle, pendant que l’autre lui pose un baiser léger sur les lèvres, avant de lui proposer son sexe. Je vois pour la première fois ma femme faire un cunni… Bien entendu, je jouis aussitôt ! Axelle, qui n’en a pas fini, recommence à se masturber. Quel gâchis ! J’invite l’un des hommes à prendre ma place. J’éclaire un peu plus la pièce. Les gémissements de tout ce petit monde attirent d’autres participants. Quand je reprends possession de ma femme, une demi-douzaine d’hommes se masturbent sur elle, qui en branle elle-même deux pendant qu’elle en suce un autre. Il reste quelques femmes, à l’écart, qui ne perdent pas une miette du spectacle. Quand je jouis enfin, le dernier, une dizaine d’hommes a dû honorer ma femme avant de quitter la pièce. Axelle est décorée de guirlandes de sperme, comme un arbre de Noël. Appuyé à la porte, Sergio sourit. Pénélope s’approche et embrasse Axelle, baiser profond et partagé.

- Tu as aimé, ma chérie ? Ma femme n’est pas en état de répondre.

Son chemisier n’est plus mettable, sa jupe perdue – sans doute quelqu’un est-il reparti avec ce trophée. Après passage au hammam, qui l’a remise sur pieds, Pénélope lui procure de quoi s’habiller à peu près dignement – ces cas n’étant pas rares, la boîte a l’habitude de dépanner. Ce soir-là, nous coucherons chez nos nouveaux amis, les deux filles dans le même lit, moi dans la chambre d’amis et Sergio sur le canapé du salon…

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