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Souvenir d'une autre époque (récit de mon mari)

J’ai essayé d’enlever certaines abréviation pour que les non Biker comprennent J’étais Biker à l’époque et j’ai laissé transformer ma copine en une femme insatiable et tellement exhib’ qu'elle passait ses soirées à poil au milieu de tous les hommes. Elle était devenue la salope que l’on se partage lors de nos soirées...

Proposée le 18/04/2021 par

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: Groupes
Lieu: Autres lieux publics
Type: Histoire vraie


J’étais Biker à l’époque et j’ai laissé transformer ma copine en une femme insatiable et tellement exhib’ qu'elle passait ses soirées à poil au milieu de tous les hommes. Elle était devenue la salope que l’on se partage lors de nos soirées ainsi que pendant nos virées de plusieurs jours sous la tente à l’occasion de concentrations HD.

Souvenir d'une autre époque (récit de mon mari) Nous sommes vendredi en fin d’après midi, suite à l’invitation d’un MC voisin, nous avons pris la route a plusieurs motos.

Nous venons d’arriver sur place. Le local est bondé de monde ; tous mes frères sont présents le plus souvent agglutinés le long du bar une bière à la main. Nous passons de l’un à l’autre joyeusement en attendant le show (une fille doit faire un strip ce soir). Ma chérie est la seule femme présente ; je les soupçonne de l’accepter uniquement à cause de son physique avantageux.

C’est une superbe plante de trente ans, brune, les cheveux très longs, pratiquement jusqu’aux fesses, qu’elle a fines et musclées par une fréquentation assidue de la salle de muscu. Sa poitrine avantageuse dénuée de tout soutien-gorge est surprenante de tonicité : elle est très loin de s’avachir, tendant avec arrogance son débardeur qui dévoile avec impudeur les pointes de ses tétons à travers le tissu.

Le temps passe rapidement d’une bière à l’autre. Elle commence à devenir chaude de partout ; je la connais, et sa familiarité en est un exemple.

Au bord de l’estrade aménagée pour le show je remarque que la discussion est animée. J’apprends en même temps que tout le monde que la nana qui devait se produire devant nous ce soir ne viendra pas. J’aperçois plusieurs regards et gestes dans ma direction jusqu’à ce que l’on vienne me voir pour me demander si Lilou ne pourrait pas la remplacer, les organisateurs étant embêtés. Leur question est logique, ma copine étant la seule femme, et sexy de surcroît.

Je donne immédiatement mon accord en leur disant de lui demander directement, ce qui est fait en suivant. Voyant son regard interrogatif, d’un signe de la tête je lui stipule mon accord. Je remarque à ses mimiques qu’elle est hésitante, mais contre toute attente je l’entends accepter. Je pense que les bières ne sont pas étrangères à sa décision.

Elle vient se faire câliner et m’embrasse fougueusement tout en me disant que si je ne le sens pas il sera toujours temps de tout arrêter.

— N’importe quoi ! Tu peux y aller. Pour une fois que je vais pouvoir te regarder, je ne vais pas m’en priver.

Je la sens tout excitée. Ses tétons ont durci ; ils font pratiquement un centimètre. Je ne peux m’empêcher de les pincer méchamment ; je sais qu’elle adore ça. Ses yeux se ferment ; elle est tellement réceptive…

Suite à un changement de musique elle me fait un petit bisou et s’avance vers le podium sommairement aménagé. Tous les regards sont maintenant captivés par la vue de cette jolie brune qui commence à danser lascivement ; son corps ondule en suivant la musique.

Je regrette à ce moment-là de ne pas avoir pris de minijupe : avec le jean, c’est moins facile. Pourtant ça n’a pas l’air de la déranger. Je la regarde onduler en suivant la musique. D’une main je la vois défaire tout doucement les deux boutons de son jean pendant que sa main droite passe doucement sur sa poitrine. Elle s’arrête sur ses pointes durcies de désir, et je remarque qu’elle ne peut pas s’empêcher de les pincer, ce qui décuple la sensualité de sa danse.

Petit à petit son débardeur remonte jusqu’à la lisière de ses seins. Elle l’enlève en se cachant d’une main. Le temps qu’elle jette son haut dans la foule d’hommes pressés en bordure de la scène, son pantalon a commencé à descendre lentement sous les sifflets joyeux des spectateurs.

Je la félicite mentalement : c’est pas facile d’enlever gracieusement un jean moulant et humide, car je remarque que ma coquine mouille énormément. La cochonne… elle n’a pas mis de sous-vêtements !

Quelques minutes plus tard elle est nue et danse devant les hommes. L’ambiance est brûlante quand elle s’assoit sur le bord d’une chaise. J’hallucine… elle commence à se caresser devant nous ! Je vois avec étonnement une femme que je ne connaissais pas. Je vois ses doigts pénétrer sa fente. Sa mouille coule le long de ses cuisses. C’est grandiose, c’est fabuleux de la voir ainsi se donner devant tous ! Je bande comme un âne. C’est le moment où elle se met à jouir que je vois des jets de cyprine gicler. Décidément, je ne l’avais jamais vue comme ça !

Les hommes sont complètement fous. Je les entends hurler et siffler. Pour une première fois, c’est énorme ! Le temps qu’elle réussisse à traverser pour me rejoindre je commande deux bières pour fêter ça.
Putain, je percute… elle est encore nue !

— Qu’est-ce que tu fous à poil ?
— Tu sais, mon chéri, quand j’ai tout envoyé dans la foule je n’ai plus rien vu. Ne t’inquiète pas, ça va revenir.
— Perso, ça m’est égal. C’est pour toi.
— Je m’en fous. De toute manière, ils ont vu plus que ça !

Quelques verres plus tard elle commence à ne plus avoir soif et danse devant moi lascivement. Un homme l’entraîne sur le semblant de piste. Je sens mon coeur se serrer quand je la vois se faire peloter par plusieurs hommes. Mais je rêve ? Elle se met à genoux devant lui. Je la vois sortir le sexe du mec et elle commence à le sucer. De quoi j’ai l’air, moi, avec ma copine qui pompe devant tout le monde ? Je décide de ne pas faire d’esclandre. J’attends donc que madame finisse. Boooo, c’est dingue : le mec vient de lui gicler une bonne dose de sperme sur la figure, et il y en a tellement que ça coule sur ses seins !

De retour, elle se remet à discuter naturellement :

— Dis moi, mon chéri, je vais où pour me laver ?
— Je suis peut-être dégueulasse, mais que dalle : tu restes comme ça. Tu fais la salope, t’assumes !
— Tu plaisantes ? Regarde-moi, je suis toute collante…

C’est vrai qu’elle est minable ; des filets de sperme zèbrent son visage ainsi que le haut de son corps, mais ça m’excite trop de l’exhiber comme ça. Je pense triomphalement que je tiens ma vengeance !

C’est mal la connaître ; disons tout simplement que je ne la connais plus du tout : c’est pas croyable ce changement si rapide ! Je sens sa main caresser mon sexe sur mon pantalon. Je bande comme jamais…

— Dis-moi, mon chéri, tu as l’air d’être bien à l’étroit là-dedans…

Je sens ses doigts habiles défaire mon pantalon. Je suis vaincu. La salope, elle me tient !

Accroupie face à moi, je ne vois plus rien. Je ferme les yeux. Je sens sa bouche absorber mon sexe. La chaleur de sa salive et quelques va-et-vient rapides ont vite fait de vaincre ma résistance. J’ouvre les yeux ; je vois son regard amoureux. Elle ne me lâche pas du regard. Je sent ma sève monter, je ne peux plus rien faire ; c’est trop pour moi, alors je me laisse aller. Il me semble que ça ne s’arrêtera jamais. Je m’accroche à sa tête ; elle ne peut plus bouger, et je me déverse longuement dans sa gorge. Elle avale tout sans souci. C’est vraiment trop bon !

Pendant toute la fin de la soirée elle se prête au jeu. Je la regarde sucer à plusieurs reprises ! C’est vraiment surprenant : certains viennent me demander l’autorisation, et moi, blasé, je la leur donne, tellement j’aime la regarder à l’œuvre.

C’est au petit matin que nous décidons de rentrer. Disons que c’est moi qui veux rentrer. Trop d’émotions pour une soirée ; j’ai besoin de me retrouver avec elle pour faire le point. Heureusement qu’elle a son blouson : plus trace de son débardeur ni de son jeans. C’est donc cul nu qu’elle rentre derrière moi sur ma bécane.

Quelques heures plus tard le téléphone sonne : c’est notre président qui m’appelle pour me remercier de la soirée. Il regrette seulement notre départ un peu précipité à son goût. Il me demande si Lilou serait open pour recommencer ce genre de prestation car dans l’avenir ils aimeraient beaucoup avoir une salope à disposition. Je lui réponds que je demanderai à Lilou et que je le tiendrai au courant. Pour le coup je décide de prendre l’apéro pour discuter de la soirée, oubliant volontairement de mentionner la demande du préz. Quelques verres plus tard je me sens bien. Comme je vois que c’est réciproque, nous entrons dans le vif du sujet.

— Au risque de te choquer, j’ai beaucoup apprécié la soirée et je serais open si tu es d’accord pour recommencer ; ça fait parti de mes fantasmes depuis longtemps, me dit-elle.

Je la regarde, surpris. Elle me dit qu’elle a vraiment adoré se montrer, et tout le reste. Je me décide alors de lui parler de la discussion avec le préz et commence à lui expliquer, mais elle n’attend pas la fin elle me dit que si je suis d’accord elle est OK.

— Par contre il y a quand même quelques obligations.
— Et quoi donc, dis-moi ?
— À compter d’aujourd’hui, tu t’engages à ne plus mettre de sous-vêtements. Les pantalons sont interdits : uniquement des minijupes avec des hauts très échancrés et des cuissardes. Tu devras te mettre à la disposition de tous les hommes du club à tout moment. Lors des soirées extérieures, tu t’exhiberas à la demande. Pour faire simple, tu seras la salope du MC.
— Je n’ai pas besoin de réfléchir : ça correspond totalement à ce que je souhaite ! Regarde dans quel état tu me mets…

Elle me prend la main et la met entre ses cuisses. Je la trouve liquide, elle coule littéralement !
À partir de ce jour je constate qu’elle joue le jeu, et moi qui suis candauliste je suis au paradis !

Quelques mois plus tard, tout était lancé. Les habitudes étant prises, ma chérie est devenue depuis cette fameuse soirée la salope officielle du club. Elle s’applique à sa tâche, et de nombreux MC nous envient Lilou. Tout le monde sait que quand elle se déplace, chacun passera une bonne soirée.

Cette année-là, dans les années 2000, nous sommes invités en plein été au Atlantic show à Vieux Boucau. Nous décidons d’y passer deux jours : les gars étaient chauds, et tout le monde voulait s’amuser avec Lilou : c’était l’occasion de l’exhiber comme jamais ! Un frangin bricoleur a fixé sur la selle à l’arrière de ma bécane un gode de belle taille qui doit servir pour balader notre salope : tout a été étudié pour se faire et lui faire plaisir.

Nous somme samedi ; il est 11h30 quand nous arrivons au local. De nombreux membres du groupe sont déjà là. Nous arrivons pile pour l’apéro dînatoire. Lilou s’est faite belle : elle est resplendissante avec ses cuissardes et sa microjupe, et son haut à pressions est tellement ouvert qu’il ne cache pas grand-chose de sa superbe poitrine.

Au moment de partir, nous décidons que je roulerais au milieu du groupe pour plus de discrétion. Le frangin bricoleur vient d’installer le gode sur ma brêle, et nous allons chercher Lilou. Je la trouve dans les toilettes en train de pomper. Quelle coquine… elle ne peut pas s’en empêcher !

Personne ne manquerait pour rien au monde le moment ou elle découvre son jouet. Elle est tout émoustillée à la vue de l’engin qui est bien gros, selon elle. Au moment de prendre place, elle se rend compte du piège que nous lui avons tendu : avec cette jupe, impossible d’enjamber ! Je l’aide pour l’enlever ; de toute manière, elle ne lui sert à rien. Les trois malheureuses pressions ne résistent pas longtemps, et c’est les seins et le cul a l’air qu’elle s’empale sur le monstre devant les mecs pliés de rire ; je me rappellerai toute ma vie ce moment !



Nous sommes en train de rouler tranquillement ; il nous reste environ une heure de route. Le délice du vent chaud sur mon corps nu, entourée par toutes ces motos, le bonheur de me sentir remplie par ce sexe surdimensionné… je me sens couler. Je ne peux pas m’empêcher de rouler des hanches et de me relever pour mieux m’empaler ; c’est vraiment incroyable !

Je suis tout absorbée par ces sensations quand je ressens une puissante vibration à l’intérieur de mon utérus. Je crie de surprise, et submergée par le plaisir, je m’empile à toute vitesse à la recherche de cette jouissance, de cette vague que je sens monter en moi et qui éclate tout à coup. Je hurle de plaisir sous les klaxons de tous ces coquins qui n’en perdent pas une miette.
Je me sens vidée, j’ai tellement joui…

Par deux fois ils me torturent de la sorte pendant le trajet. À mi-parcours nous nous arrêtons sur un parking un peu en retrait de la route : ces messieurs ont une envie pressente d’uriner. Quant à moi, je suis tellement excitée que je me fais prendre à la sauvage par plusieurs membres du groupe. J’en ressors ivre de plaisir !

Nous arrivons sur place. Toujours autant de monde. Comme nous traversons la ville à petite vitesse, je suis loin de passer inaperçue : les sifflets des hommes n’arrêtent pas de retentir ! Une fois descendue de la moto, je ressens un grand vide l’espace d’un moment : mon sexe s’est tellement habitué à ce compagnon de plaisir… Je remets ma microjupe pour déambuler le long des stands, n’arrêtant pas de faire des smacks à toutes les personnes que nous connaissons. Certains en profitent pour me pincer les tétons ; j’adore ça.

La fin de l’après-midi s’écoule tranquillement avec un tour au terrain pour monter les tentes.


C’est bon tout est fin prêt pour profiter de la soirée. Lilou est encore sous les effets de ses jouissances de l’après-midi. Je la trouve craquante avec sa minijupe au ras du cul et son haut bien ouvert ; elle respire le sexe. Accoudés à la buvette depuis un bon moment, nous attendons le show qui ne vas pas tarder.

Quelques minutes plus tard la musique commence. Notre belle est tout accaparée au bar où elle discute avec des jeunes que je vois se contorsionner pour essayer de mater ses seins, je ne peux pas m’empêcher de m’approcher deux pour leur dire :

— Regardez, les jeunes, comment il faut faire…

J’attrape les deux côtés de son haut et je tire d’un coup. Les pauvres boutons restants sautent immédiatement et elle se retrouve les seins à l’air.

— Pour le reste, vous êtes assez grands !

En revenant vers mes frangins, je vois ma chérie se faire peloter par les petits.

L’apéro est très agréable en cette fin de journée relativement chaude. Je ne quitte pas Lilou du regard : c’est un plaisir de la voir se frotter entre deux garçons. Étant à l’extrémité du bar, elle est suffisamment abritée des regards ; je la vois s’agenouiller pour les sucer sans aucun regard vers les personnes présentes. Quelle coquine !
Quelques minutes plus tard elle vient nous rejoindre tout en essuyant des traces de sperme sur ses seins et son visage.

La soirée s’écoule tranquillement. Les copains s’amusent avec Lilou ; ils se sont mis à faire des paris, et invariablement ma chérie perd ou fait semblant de perdre. Elle se retrouve rapidement nue en fond de buvette. Le verre suivant déclenche un dernier gage. Comme il y a trop de monde à proximité, elle s’éclipse entre deux camions où je la devine en train de se faire prendre par plusieurs hommes.

C’est la fin de la soirée ; les bruits des moteurs s’éloignent petit à petit. Nous nous décidons à suivre le mouvement. Lilou est encore nue ; je lui demande de monter derrière moi. Je la sens se blottir contre moi en frissonnant : au bord de l’océan, la température redescend pas mal la nuit.

Ce soir, c’est le grand soir pour ma chérie. Nous lui avons monté une tente rien que pour elle ; l’extérieur de l’abri a même été personnalisé à la bombe : sur les deux faces est tagué « SALOPE ». Le ton est donné. Plusieurs hommes l’attendent en discutant ; la voir arriver nue les enflamme, et elle disparaît avec eux sous la tente.

Pendant une bonne partie de la nuit je n’arrive pas à trouver le sommeil ; je l’entends jouir à plusieurs reprises, ce qui me dérange et m’empêche de dormir.

Au petit matin je la sens se faufiler contre moi. Elle sent le sperme et l’urine, ce qui me fait bander à m’en faire mal, c’est terrible ! Je la prends de toutes mes forces, lui arrachant de superbes gémissements.
Lorsque je me suis complètement vidé, elle se blottit contre moi et nous nous endormons comme des enfants.

Je me réveille tard. Lilou n’est plus là. En sortant de la tente je l’entends couiner : la cochonne s’envoie en l’air ! Décidément, elle est intenable… Je m’étire en repensant à la nuit passée ; ça me paraît un peu surréaliste, mais pourtant c’était de la grande Lilou. Je n’aurais jamais cru qu’elle devienne aussi gourmande !

En fin de matinée Madame daigne enfin sortir de la tente, complètement crevée, de grands cernes attestant sa nuit de débauche, et des traces de sperme séché sur tout le corps. Elle n’a pas grand-chose à se mettre ; son haut étant déchiré depuis hier soir, il ne ferme plus, alors elle est obligée de faire un nœud, ce qui lui permet d’être un peu plus présentable.

Le retour se passe tranquillement ; tout le monde est crevé, et nous quittons nos copains aussitôt arrivés au local.

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Il y a eu beaucoup de prise de risque. En plus je pensais les bikers beaucoup plus possessif avec leur compagne. De mémoire il existe la compagne et la brebis celle qui baise avec tout le monde.
Posté le 22/04/2021


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