Je n'aie pas pu m'en empêcher, je suis arrivée nue à ma consultation chez mon dentiste en fin de journée j'adore ces petites folies Suivie par une sortie avec plusieurs hommes dans les Landes pour une féria très renommée
Proposée le 13/01/2021 par sexyelfes
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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie
Nous sommes samedi. Je suis d'humeur joueuse et je décide d'en profiter.
J'ai cet après-midi de nombreuses courses à effectuer en compagnie de mon époux. En fin d'après-midi, je dois me rendre en visite chez mon dentiste.
Je décide de faire une surprise à mon petit mari : je m'habille simplement d’un mignon porte-jarretelles de dentelle, de bas en voile noir et d’une petite robe légèrement coquine.
Au moment d'endosser mon manteau, à l’insu de mon chéri, je retire rapidement ma robe qui me semble superflue. Il est treize heures. Nous voilà partis. Je suis heureuse et je me sens tellement bien, nue sous mon vêtement ! En marchant, mes seins qui ballottent librement sont délicieusement excités par le doux frottement de la doublure soyeuse sur les aréoles.
Quel immense plaisir que de circuler nue sous mon manteau dans la foule qui grouille dans les magasins ! Qui peut imaginer ma nudité et mon bonheur parmi ces clients affairés ?
Mon mari ne se sépare jamais de son appareil-photo lors de nos sorties. C'est donc une grande surprise pour lui quand, en plein supermarché, je profite d'une allée déserte entre les rayons chargés de vins et de liqueurs pour ouvrir en grand mon manteau. Vite inspiré, il donne un coup de flash sur mon corps nu un instant dévoilé.
Quelques clichés plus tard, il est pratiquement l'heure de mon rendez-vous chez le dentiste.?
Heureusement, je sais encore ce que je fais lorsque je demande un rendez-vous en fin d'après-midi : je serai la dernière cliente et la secrétaire sera partie à cette heure-là.
Je crois savoir que le dentiste quant à lui est un brin coquin et libertin. Mais il n'a jamais eu le loisir de m'observer dans cette tenue. Cela sera une première pour tout le monde !
Effectivement je rentre dans une salle d'attente déserte. Je suis plus qu'émue. J’ai du mal à me calmer. Mon corps vibre d’inquiétude. Osons ! Je ne vais pas me dégonfler si près du but ! J’enlève mon manteau et je m’assieds.
À son entrée dans la salle d'attente, le praticien ouvre de grands yeux surpris. Il me découvre nue. Il balaie mon anatomie d’un doux regard lubrique. Éberlué, il se ressaisit au bout de quelques secondes. Avec un grand sourire il me demande d'entrer dans son cabinet.
Je suis intérieurement soulagée. J’avais tout de même une certaine appréhension dans ma petite folie. J’ignorais quelles seraient ses réactions !
Il me fait asseoir sur le siège. Qu’il incline lentement. Je suis renversée, allongée sur le dos. Il me parle de choses et d'autres en me détaillant du regard. La promiscuité d’un galant dentiste vicieux et d’une perverse patiente à poil aide à détendre l'atmosphère ! Ses mains commencent à effleurer mon corps délicatement, délicieusement, savoureusement. Il a une exquise manière de parcourir ma peau avec des doigts d’une douceur ensorcelante. Abandonnée à ses soins, je me laisse aller au plaisir de ses caresses indiscrètes.
Du coin de l’œil je devine son sexe tendu sous ses vêtements de travail. Sans précipitation, je défais la blouse blanche. Hardiment, je baisse le pantalon de toile bleue. Le coquin n'a pas de sous vêtements ! Ses doigts fouillent mon sexe. Je prends en main son membre en pleine érection. Je caresse doucement l’objet de ma convoitise. Je l’attire vers mes lèvres en feu. Je l'engloutis immédiatement avec envie. Je le suce avec gourmandise. Je le branle de plus en plus rapidement jusqu'à la jouissance. De longs jets brûlants de sperme se déversent dans ma bouche et sur mon visage. Mummm… c'est vraiment trop bon ! J’adore !
Nous reprenons lentement nos esprits. Il m'embrasse avec volupté. Au moment où je prends congé, il me confie :
- J’espère vivement vous revoir bientôt dans mon cabinet !
Puis il rajoute, d'un air coquin :?
- Savez-vous madame que le sperme rend les dents blanche
Enfin les beaux jours reviennent.
Je voulais rompre la monotonie de mes sorties du vendredi soir. Je ne suis pas très friande des ambiances sans excentricité, sans folie, trop conventionnelles. Pour changer de milieu, j'avais décidé d'accepter de me rendre dans une des ferias très célèbres en Aquitaine. Plusieurs hommes m’avaient invités pour l'occasion.
Comme convenu, je me suis présentée en début de soirée, nue, sous une courte – et très fluide – robe blanche à fines bretelles. Un foulard rouge complétait ma tenue. La chaleur accumulée dans le sol par cette journée d‘été remontait du bitume. Dans la foule amassée, l’atmosphère était suffocante. Il faisait très chaud. Après avoir fait le tour de quelques buvettes, je dégoulinais littéralement de sueur. Ma belle robe blanche collait au corps moite et même humide en maints endroits. Elle laissait apparaître par transparence, plusieurs parties intimes de mon anatomie.
À la nuit tombée, nous étions tous passablement éméchés. Avec nos amis, nous nous retrouvâmes scotchés au comptoir d'une bodega. Il y avait tellement de monde que nous étions collés les uns aux autres. Dans la pénombre, je sentais des mains courir sur mon corps. Je me laissais faire : c'était tellement agréable, j’étais dans l’impossibilité de voir à qui elles appartenaient. De la taille je les sentis descendre sur mes fesses. Je commençais à sentir ma robe remonter, je me laissais faire c’était tellement agréable. Elles ne tardèrent pas à s’immiscer entre mes cuisses qui s’écartaient naturellement. Mon bassin s’avança de lui-même à la recherche de cette main inconnue, qui trouva tout naturellement sa place sur mon sexe lisse. Les doigts commençaient à jouer avec mon petit bouton. Je ne savais plus où me mettre. L’autre main quant à elle descendait le haut de ma robe, pinçant les pointes de mes seins si sensibles. Je sentais petit à petit la jouissance monter en moi. Quand elle a éclaté c’était tellement fort que sans l’aide de mon inconnu je me serais retrouvée par terre. J’étais une véritable loque.
Le temps de récupérer quelques minutes plus tard tout allait pour le mieux.
En me servant à boire, on me renversa un verre de bière sur la poitrine. Je sentais le liquide froid couler entre mes seins, sur le ventre et les jambes. Des mains qui suivaient les méandres du liquide sur mon corps pétrirent ma poitrine ; d'autres, plus hardies, passèrent sous ma robe et s'insinuèrent entre mes cuisses trempées de désirs. Je ne pouvais plus me contrôler. Mon bassin ondulait et partait à la rencontre de ces doigts osés qui fouillaient mon entrecuisse. Ainsi, ma robe remontée sur les hanches et les seins à l'air, je m'offrais aux plaisirs des hommes qui m'entouraient.
Dans la cohue, lorsque l'on m'obligea à m’agenouiller dans la sciure qui jonchait le sol poisseux, personne ne s'aperçut de ce que je faisais : je suçais plusieurs verges qui s'offraient à moi, d'autres en profitèrent pour me pisser dessus. Je fus douchée copieusement par tous ces hommes. Le sperme et l'urine mêlés à la bière coulaient sur mon visage et ruisselaient le long de mon buste.
Une fois à l'extérieur de la bodega, ma robe était méconnaissable. Couverte de taches, le tissu distendu au niveau de la poitrine, laissant apparaître mes seins.
Alors que je passais à côté d'un square, ils m'allongèrent dans l'herbe humide et malodorante pour me prendre à tour de rôle. Je ne sais combien se vidèrent sur moi ce soir là.
À mon grand étonnement, je me réveillais au petit matin, totalement nue dans mon véhicule. J’étais dans un état de plénitude total. Je n’avais pas conscience de ma folle nuit. Des souvenirs plus ou moins flous me revenaient par intermittence. Mon corps ainsi que mes cheveux étaient couverts de poussière maculée de traînées de sperme et d'urine séchée. Je vous laisse imaginer dans quel état j'étais !
Pour la petite histoire, je n’ai jamais retrouvé ma jolie robe blanche : elle avait disparu pendant la nuit !
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