Suite à la création de mon site, ma vie avait considérablement changé suite à la notoriété de celui-ci je me devais de représenter au quotidien mon image de salope sexy. Dans le cadre de mon travail les personnes qui travaillaient avec moi en profitèrent pour me soumettre à leurs désirs les plus Hot.
Proposée le 11/01/2021 par sexyelfes
Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme dominée
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie
Quand je descendais voir mon chéri au bar j'étais toujours habillée en mini-robe, souvent tellement moulante que mon absence de sous-vêtements sautait aux yeux des clients. De nombreuses personnes souhaitaient me payer à boire pour avoir le plaisir de m'approcher.
Un jour, arrivant à l'improviste, je passais par la porte de la cave et je surpris deux de nos barmans accompagnés d'un client, qui étaient en train de visionner mon site internet. Un gros plan me montrait nue et couverte de sperme au milieu d'un groupe d'hommes. Tout surpris de me voir à côté d'eux, déjà excités par les photos qu'ils visionnaient, je ne pouvais rien leur dire. Un des barmans descendit d'un trait la fermeture de ma robe et je me retrouvai nue devant eux. Rapidement, je jouai avec un sexe dans chaque main et un dans la bouche. Après m'avoir baisée à tour de rôle tout en me prenant en photo, ils reprirent le travail avec l'assurance que dorénavant je leur viderais les couilles à la demande.
Le ton était donné, mais je ne pensais plus être inquiétée par eux vu ce qu'il s'était passé ce jour-là.
Nous sommes mardi après-midi, il fait beau. J'arrive sur les coups de 15 heures au bar. Mon chéri vient de s'absenter pour faire quelques courses. Je suis comme à mon habitude habillée avec une petite robe bustier moulante sans bretelles. Les garçons travaillent en binôme. En passant derrière le bar, Maxou me caresse les fesses en me faisant la bise. J'entre dans la réserve et tombe sur Jean qui lui aussi n'a pas les mains dans les poches. Il me fait également la bise tout en me caressant les seins. Je me laisse faire, surprise. Il en profite pour tirer sur le haut de ma robe qu'il descend sur mes hanches. Je n'en reviens pas de son audace. Je suis tellement surprise que je ne sais quoi dire sur le moment. J'entends les clients du bar à quelques mètres, je n'ose crier. Surpris par mon manque de réaction, il me pince les seins, ce qui ne manque pas de me faire gémir, dans un mélange de douleur et de plaisir. Je suis tellement sensible.
Sur ce, j'entends Maxou qui arrive derrière moi. J'essaie en sursaut de remonter ma robe, mais Jean ne l'entend pas de cette façon. Il m'attrape les mains et j'entends :
- Toi, salope, tu bouges pas.
Quelques secondes plus tard, je suis nue en train de me faire caresser. Je me soumets avec plaisir à ces attouchements. J'entends que les clients s'impatientent. Maxou revient rapidement au service pendant que je me fais défoncer. Jean ne tarde pas à jouir dans mon sexe trempé. Le temps de se rajuster, il remplace son collègue qui se dépêche de me rejoindre. Je n'ai pas bougé d'un pouce alors que je savoure encore ma récente jouissance. Il rentre sa bite d'un coup au plus profond de mon sexe, ce qui me fait gémir de plaisir. Quant à lui, noyé par la semence de Maxou, il ne sent plus rien et décide de me prendre par-derrière. Je jouis très rapidement, suite au rythme imposé par son sexe puissant. Tout d'un coup, je le sens se contracter et il se vide dans mon cul en étouffant un cri de plaisir.
Sachant que je ne pouvais leur dire non ils profitaient quotidiennement de la situation.
Je savais à quoi m'attendre lorsque j'arrivais en fonction de leurs désirs du moment je finissais généralement nue dans la réserve offerte à leurs sexes. Certains clients étaient parfois invités à me baiser sous leurs regards moqueurs. Je leur étais soumise et ils en profitaient. Je rentrais fréquemment à la maison la robe tachée et les cuisses couvertes de leur sperme.
Les jours de nocturne étaient propices à de nombreux jeux. Ce soir-là un groupe de plusieurs hommes se sont mis à jouer aux cartes en cours de soirée. C'étaient de bons clients, ils consommaient pas mal. Le moment de la fermeture approchant, Maxou le serveur me demande d'aller leur signaler la fermeture prochaine de l'établissement.
Je m'approchais donc de la table avec mon plus beau sourire. Je les vois me regarder en douce et j'entends : « Tiens, la salope qui se pointe ». Je ne réagis pas, je fais semblant de les regarder jouer. Je sens leurs regards sur mon corps, c'est agréable. Ils me demandent un dernier verre. Je les préviens que le bar va fermer. Ils me rétorquent que ce n'est pas un problème, le temps que l'on ferme ils auront le temps de finir.
Pendant que les barmans s'affairent, je reste avec eux pour les regarder jouer. Je suis parfaitement consciente que je suis en train de les chauffer en restant à côté d'eux. Ils sont loin d'être insensibles à mes charmes, qu'ils devinent sous le fin tissu de ma robe.
Je regarde le rideau métallique se baisser quand je sens une main courir sur ma cuisse à la limite de ma robe. Je ne dis rien, mais je commence à mouiller. Je vois très bien que ce geste n'est pas passé inaperçu. Il se retourne sur sa chaise pour me faire face. De ses deux mains, il saisit le fond de ma robe et commence à la relever de plus en plus haut, révélant mon sexe nu puis mes hanches. La robe continuait à monter, j'avais maintenant les seins à l'air. Il finit par la retirer. J'étais maintenant nue devant mes derniers clients, les yeux mi-clos sous les caresses. Je les sentais s'approcher. Une main appuya sur ma tête, je me penchais pour avaler un sexe déjà bien dur pendant qu'un autre me pénétrait par-derrière. Ils m'ont fait jouir à de nombreuses reprises avant de m'abandonner complètement défaite sur une banquette où je m'endormis immédiatement. L'endroit où me retrouva mon mari quand il vint me chercher.
C'est mardi matin, il fait gris. Suite à un rendez-vous pris chez mon gynécologue, je décide de me promener en traversant la ville à pied. Perplexe et nue dans mon dressing, j'hésite : je ne sais quoi mettre comme vêtement. Je me sens chaude de partout. Une impulsion subite me prend : aujourd'hui, je vais m'amuser.
Pour tout vêtement, je saisis mon petit imper Vichy. Celui-ci a la particularité d'être très léger. Il s'arrête bien au-dessus des genoux et se ferme en se croisant, uniquement maintenu par une ceinture. J'enfile mes escarpins. Une fois dans la rue je me sens légère.
Après avoir parcouru quelques centaines de mètres, l'air frais court agréablement le long de mon corps. Mes tétons durcissent en frottant contre la doublure. En marchant sur le trottoir, au milieu de nombreux passants qui lèchent les vitrines, je frissonne de plaisir. Tandis que je descends la grande rue qui traverse la ville, des automobilistes qui reconnaissent ma silhouette klaxonnent pour attirer mon attention. Ah ! Ces hommes ! Ils doivent se douter que je suis à poil sous l'imper. J'ai les seins et le sexe en feu, ma mouille coule le long de mes cuisses.
Je traverse le pont qui enjambe la rivière. J'ouvre mon téléphone et j'appelle mon chéri pour lui faire une surprise. Au moment où j'ai la communication, je le vois arriver en voiture. Il est tout étonné de me voir en ville à cette heure matinale. Il me croyait encore à la maison. J'avais oublié de le prévenir. Il s'arrête et me demande de monter à son côté. Je lui propose de prendre un peu de son temps et de bien vouloir m'accompagner à mon rendez-vous.
L'auto est garée dans un parking. Main dans la main, nous partons vers le cabinet du praticien qui m'attend. Je suis tout heureuse de la surprise que je réserve à mon gynécologue.
Une fois dans la salle d'attente déserte, j'interpelle discrètement mon mari qui s'est assis en face de moi. Tout en écartant les cuisses et les pans de l'imperméable, je lui dévoile tour à tour mes seins et mon sexe trempé de désir. Il éclate de rire. Je vois à ses yeux que j'ai réussi ma surprise !
À peine mon unique vêtement réajusté, une porte s'ouvre. Le docteur nous demande de le suivre. Laissant mon mari dans le bureau, il me demande de passer dans le cabinet des visites. Je dois me déshabiller pour procéder à ses examens. En une seconde, mon imper est enlevé. Je me présente nue à sa vue. Il se met à rire. Il va dans le bureau en disant à mon chéri qu'il a beaucoup de chance d'avoir une femme comme moi, et qu'il aimerait avoir plus de patientes de ce style. Mon mari, flatté par ce compliment, lui demande s'il peut prendre quelques photos. Le docteur n'y voit aucun inconvénient. Le pauvre ne doit pas s'amuser tous les jours.
Pendant l'examen, j'ai beaucoup de mal à contrôler mon corps. J'ai tendance à onduler au rythme des palpations du vagin. Des flots de mouille coulent de mon sexe grand ouvert. Je devrais avoir honte ! Le gynéco, et c'est tout à son honneur, reste très professionnel. De temps en temps, il m'essuie consciencieusement l'entrecuisse baveux, en continuant ses investigations.
L'examen fini, je reviens au bureau. Je prends mon imperméable que j'enfile lentement. Quelques minutes plus tard, je suis dans la rue, tremblante d'excitation et de désir.
À peine suis-je de retour à la maison que le téléphone sonne. Un rendez-vous est pris avec plusieurs jeunes de l'équipe de rugby de la ville pour la fin d'après-midi ! Cela tombe bien ! J'ai un désir fou et plus encore.
Avec un immense plaisir et une fierté toute féminine, je suis devenue pour eux la salope toujours disponible qu'ils viennent prendre et défoncer quand ils le désirent.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Alain
Une vraie chienne docile j'aurais bien aimé venir dans ce bar je t'aurais donnée mon sperme avec plaisir dis moi dans qu'elle ville ?
Posté le 1/02/2021
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email