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Travaux d'isolation

Elsa et Patrice sont propriétaires d'un appartement situé au 7ème et dernier étage d'un immeuble. Celui-ci doit être rénové notamment en effectuant des travaux d'isolation extérieurs. ils vont faire connaissance de Ben, un employé de la société d'isolation. celui-ci va leur faire oublier les désagréments liés aux travaux...

Proposée le 28/11/2020 par sorggulp

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Thème: Homme soumis
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Et voilà ! Ces satanés travaux allaient commencer. Le bruit des camions déchargeant le matériel parvenaient jusqu’au 7ème étage alors que toutes les fenêtres étaient fermées !
Bon, il est vrai que ces travaux étaient devenus indispensables. Non seulement le ravalement datait de plus de 20 ans mais l’isolation thermique était déplorable. Il s’agissait donc de procéder à la réfection de tout l’immeuble. Un chantier qui devait durer plus de deux mois.

Travaux d'isolation C’est donc de mauvaise humeur que Patrice sortit de son lit pour se diriger vers la salle de bains. Sa femme, Elsa, était partie au travail de très bonne heure afin d’éviter les embouteillages parisiens.

Ils avaient acheté cet appartement quelques années auparavant. Ils étaient tombés sous le charme de celui-ci pour deux raisons. La première est qu’il était situé au 7ème et dernier étage et la deuxième pour la vue sans vis-à-vis. Une grande plaine constituait l’unique décor face à eux. Ils pouvaient même en été faire quelques séances de bronzage intégral sans être importunés. Ils formaient un couple très libre sexuellement. Ils avaient au cours de leur vie commune tenté de nombreuses expériences notamment les clubs libertins, les saunas mais également le triolisme. Ils avaient pris beaucoup de plaisir au cours de ces soirées mais aussi beaucoup de déconvenues.
Patrice resta un bon moment sous la douche, émergeant lentement de son sommeil.
Tout en se séchant, Patrice jeta un coup d’œil au miroir de la salle de bains. Il posa une main sur sa queue. Il se dirigea vers la chambre. Il faisait bon, un peu d’air frais arrivait de la porte-fenêtre entrouverte.
S’allongeant sur le lit, il ferma les yeux en se caressant. Sa main s’activait de plus en plus rapidement. Les premiers signes de jouissance se firent sentir. Quelques instants plus tard, son bas-ventre était maculé de semence et c’est ainsi qu’il s’assoupit quelques minutes, appréciant ce moment de plénitude.
Rouvrant les yeux, Patrice eut la sensation étrange d’être observé. Il regarda autour de lui. Il était pourtant seul dans la pièce.
Les jours passèrent et l’on pouvait voir le chantier se mettre en place tout autour de l’immeuble. Les échafaudages enveloppaient entièrement celui-ci. Ils étaient recouverts d’une grande toile blanche.
Evidemment, la vue sur la grande plaine n’était plus du tout la même. Patrice put le constater en allant sur le balcon de la chambre. La vue se limitait maintenant à la toile au travers de laquelle on avait du mal à distinguer l’horizon. Seul point positif, la lumière diffuse créait une ambiance intimiste dans tout l’appartement.
Elsa rentra à son tour dans la chambre. Elle venait de prendre une douche et ne portait pour seul vêtement qu’une robe de chambre en satin noir très échancrée qui mettait parfaitement en valeur ses formes. Patrice lui fit remarquer l’état du balcon.
Sa femme jeta un œil désintéressé sur celui-ci puis laissa tomber sur le lit.
« Vient plutôt me rejoindre, je vais te faire voir une autre vue »
Patrice ne se fit pas prier, se ruant littéralement sur sa femme. Elle le connaissait par cœur et savait qu’une bonne partie de jambe en l’air réglait quasiment tous les problèmes rencontrés.
Lui retirant rapidement ses vêtements tandis qu’il s’affairait à la caresser sous la robe, elle glissa une main dans le slip de Patrice. Son sexe était déjà dur. Elle joua quelques instants ainsi à le caresser sous le tissus. Vincent respirait de plus en plus fort.
Il poussa un grognement de plaisir lorsque Elsa se plaça en position du 69. Il ne se fit pas prier pour dévorer la fente dégoulinante de plaisir tandis qu’Elsa libérait le sexe de sa prison de tissu. Elle le caressa quelques instants, contemplant le membre dressé juste sous son visage puis approcha sa langue du gland violacé de plaisir ; elle fit exprès de l’effleurer plusieurs fois car elle savait que cela rendait fou son mari. D’ailleurs, il donnait des coups de bassin évocateurs. Soudain, Elsa fit coulisser le membre tout au fond de sa bouche tout en massant les bourses d’une main.
Patrice ferma les yeux sous les assauts de sa femme. Sa langue fouillait l’intimité de celle-ci passant des grosses lèvres totalement lisses au bouton de chair dressé de plaisir.
Il adorait ces séances imprévues. Elsa ne tardait pas à contracter ses cuisses autour de son visage tout en poussant un cri étouffé. Elle resta quelques instants immobile puis reprit en main la queue de son mari pour la sucer encore plus fort. Elle la voulait en elle.
Elle présenta sa croupe à Patrice qui la saisit par les hanches. Il regarda sa queue coulisser entre les lèvres trempées d’excitation. Il se plaqua contre ses fesses en malaxant les seins ballotants. Elsa était particulièrement fière de son 95 D et ne manquait jamais une occasion de mettre en valeur sa poitrine. Il sentit les tétons se dresser sous ses doigts. Fou d’excitation, il se redressa en accélérant la cadence. L’agrippant par les hanches des deux mains, il donnait de grands coups de bite dans la chatte d’Elsa. Il ne sentait arriver le point de non-retour.
Patrice se cambra en poussant un cri rauque. Il adorait ce moment appelé « la petite mort ».
Il se laissa lentement retomber sur le dos de sa femme. Tournant la tête vers la porte-fenêtre, il crut alors distinguer une ombre. Il était encore dans un état second. Était-ce son imagination qui lui jouait des tours ou avait-il vraiment vu une ombre sur le balcon ?
Tandis qu’il essayait de se remémorer la scène, il finit par s’assoupir. Elsa quant à elle, n’avait absolument rien remarqué.
Quelques jours passèrent. Alors qu’ils étaient tous les deux en télétravail, Patrice se dit qu’une petite pause crapuleuse serait la bienvenue.
Elsa semblait très concentrée sur son écran d’ordinateur. Passant derrière elle, il l’embrassa dans le coup. Elsa frémit tout en continuant de travailler ;
« Ça te dirait de faire une pause ? » lui demanda-t-il en lui caressant la nuque.
« Pourquoi pas ? Ce travail m’abrutit complètement ! » dit-elle en se relevant. Elle portait une robe de coton légère qui mettait parfaitement en valeur sa chute de reins ainsi qu’un chemisier qui avait du mal à dissimuler sa poitrine.
Ils se dirigèrent dans la chambre. La porte-fenêtre était légèrement entrouverte, laissant passer un peu d’air frais. Elsa s’allongea sur le dos. Patrice s’agenouilla entre ses cuisses ouvertes. Relevant sa robe, il découvrit un string quasiment transparent. Les grosses lèvres apparaissaient sous le petit morceaux de soie ; Il glissa un doigt sous celui-ci. Ecartant le string, il glissa sa langue dans le sillon trempé de plaisir. Les yeux fermés, Elsa gémissait de plaisir, écartant largement les cuisses tout en tenant la tête de son mari des deux mains.
Celui-ci s’en donnait à cœur joie, triturant le bouton de plaisir d’Elsa dans tous les sens. Pourtant, il eut la sensation d’être observé. Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il découvrit dans le reflet de la porte-fenêtre une présence sur le balcon! Patrice feignit de ne rien voir.
Elsa poussa un grognement de plaisir en cambrant les reins. Elle semblait assommée par la violence de l’orgasme qu’elle venait de ressentir. Patrice se déshabilla puis présenta sa queue juste au-dessus du visage d’Elsa. Elle caressa distraitement le sexe d’une main puis le dirigea dans sa bouche. Elle entreprit alors une fellation dont elle avait le secret. Patrice observait les yeux mi-clos ce qui se passait sur le balcon. Un homme de type africain les observeinat alors que sa main droite
Patrice se positionna entre les cuisses d’Elsa et la pénétra d’un seul coup. Celle-ci poussa un cri de surprise. Patrice s’activa dans sa chatte en lui écartant largement les jambes des deux mains. Le voyeur avait une vue imprenable sur la bite de Patrice coulissant dans le fourreau détrempé de sa femme.
Patrice poussa un cri de jouissance. Il s’affala sur Elsa et reprit lentement ses esprits. Lorsqu’il rouvrit les yeux, le voyeur avait disparu.
Il ne dit rien à Elsa de la scène vécue mais il était fortement troublé au souvenir de celle-ci.
Ben, c’était son prénom, s’était fait une belle frayeur lorsqu’il avait croisé le regard de Patrice alors qu’il se régalait de la scène. Mais heureusement, il ne semblait pas avoir été découvert. Il avait pris un pied pas possible en matant le couple s’envoyer en l’air.
Cela faisait quelques jours qu’il avait remarqué l’appartement de Patrice et Elsa. Ben était resté comme paralysé lorsqu’il avait surpris Patrice se masturber seul. Il s’était récemment découvert une préférence pour les hommes malgré un succès indéniable avec la gente féminine. Il n’osait cependant pas franchir le pas.
Cette fois, il avait été comme hypnotisé par le sexe de Patrice. Il s’était caressé plusieurs fois chez lui en repensant à la scène de masturbation. A chaque fois qu’il retournait sur le chantier, il montait directement au 7eme au cas-où…
Le lendemain après-midi, Patrice était seul dans la chambre lorsque Ben arriva en haut de l’échelle sur le balcon. Il devait préparer les murs pour la pose de plaques isolantes. Lorsqu’il découvrit Patrice allongé sur le lit en robe de chambre, son rythme cardiaque monta en flèche. Il ne pensait plus du tout à son travail.
D’ailleurs, Patrice tournait justement la tête vers la porte-fenêtre. Il lui fit un sourire auquel Ben répondit par un petit signe de la main.
Quelques minutes plus tard, Elsa faisait son apparition dans la chambre. Elle s’affalait sur le lit tout en se plaignant de sa journée au bureau. Patrice lui caressait les cheveux tout en écoutant Elsa lui raconter ses déboires.
Il glissait une main dans le décolleté et caressait les seins prisonniers d’un soutien-gorge de satin blanc. Elsa profitait du moment en fermant les yeux. Patrice jeta un œil vers la fenêtre. Ben s’était placé dans l’angle de la fenêtre , ne perdant pas une miette du spectacle.
Patrice lui fit signe de rester silencieux en lui faisant un clin d’œil.
Il dégrafa le chemisier d’Elsa puis libéra les seins de leur prison pour les téter à tour de rôle. Elsa fit glisser une main entre les jambes de Patrice. Elle trouvait rapidement ce qu’elle cherchait. La température montait en flèche lorsque Patrice retroussa la jupe d’Elsa. Elle portait un string de satin blanc ainsi que des bas de soie noires du plus bel effet.
Ben assistait à la scène, une main déjà dans sa combinaison. Il bandait comme un fou en observant Elsa faire coulisser la queue de Patrice de plus en plus loin dans sa gorge.
Patrice murmura alors à Elsa :
« Je crois que nous sommes observés, ma chérie »
Elsa ralentit ses caresses, tout en regardant discrètement autour d’elle.
Elle découvrit alors Ben qui tentait désespérément de dissimuler sa queue dans sa combinaison. Trop tard, le regard d’Elsa s’était posé sur son sexe. Le temps semblait s’être arrêté.
Elle se dirigea vers le balcon. Ben ne savait plus où se mettre.
« Tiens-donc ! Quelle bonne surprise ! Comment t-appelle-tu ?» demanda Elsa en s’approchant de lui.
« Ben, je suis désolé, je ne voulais pas… »
« Non, ne sois pas désolé au contraire, tu es le bienvenu, moi c’est Elsa et mon mari Patrice » dit-elle en reluquant avec gourmandise le sexe bandé comme un arc. Elsa sentit son rythme cardiaque s’affoler. Elle n’avait jamais vu une si belle queue. Il ne fallait pas laisser passer une si belle opportunité !
Sans hésiter, elle entraina Ben dans la chambre. Ils
« Tu sembles en pleine forme dis-donc ! » dit-elle en refermant ses doigts autour du membre couleur ébène. Ben restait silencieux, ne sachant plus quoi faire. Elsa caressait la tige sur toute le longueur dévoilant peu à peu un gland d’une taille impressionnante.
Patrice observait attentivement le sexe de Ben. Il se rendit compte qu’il bandait comme un fou rien qu’à la vue de celui-ci.
Elsa s’asseyait sur le rebord du lit, demandant à Ben de rester debout face à elle.
« Très pratique ce système ! » dit-elle en tirant vers le bas la double fermeture éclair de la combinaison. La queue de Ben se dressa tel un trophée.
Elle resta interdite devant la taille de sa bite. Elle enroula ses doigt autour. Pas de doute, il était monté comme un âne ce jeune homme ! sa main coulissa lentement sur la colonne de chair ébène, découvrant peu à peu le gland qui ressemblait à un champignon rosâtre.
Elle dirigea le pieu de chair entre ses lèvres. Du bout de la langue, elle fit le tour de l’énorme champignon. N’étant pas habitué à ce genre de calibre, elle s’y reprit à plusieurs fois avant de le faire entrer complètement.
Ce cap franchi, elle laissa entrer progressivement la queue de plus en plus loin jusqu’à ressentir un haut le cœur. Il lui faudrait un peu de pratique pour sucer un tel engin !
Afin de profiter au mieux du spectacle, Patrice s’était positionné derrière sa femme. Il lui caressait les seins. Quelle queue ! pensait-il tout en glissant ses doigts dans la chatte détrempée de sa femme. Il trouvait immédiatement le bouton de chair dressé et le tortura sans ménagement. Elsa gémissait, s’activant de plus en plus sur la queue de Ben. Elle la guidait des deux mains de plus en plus loin dans sa bouche.
Soudain, elle poussa un long gémissement étouffé. Son corps fut traversé par un orgasme comme elle en avait rarement connu.
Elsa se retourna, présentant sa chatte à Ben. Celui-ci positionna sa queue devant celle-ci puis poussa légèrement. Elsa sentit les lèvres de sa chatte se distendre. Ben se retirait puis revenait en allant à chaque fois un peu plus loin. Le gland disparut entièrement, arrachant à Elsa un cri mêlé de douleur et de plaisir.
-Incroyable ! pensa-t-elle en caressant la queue de son mari. Elle prit celle-ci en bouche.
Patrice ne pouvait quitter des yeux la bite de Ben qui disparaissait progressivement dans la chatte de sa femme.
Ben avait bien remarqué les coups d’œil insistants de Patrice.
Elsa poussait de petits cris étouffés à chaque poussée, sentant la bite de Ben progresser inexorablement au plus profond d’elle. Les sensations procurées étaient inexplicables.
Elle tentait désespérément de se concentrer sur la queue de son mari mais en vain.
Ben la prit des deux mains par la taille. Il la pénétra alors jusqu’à la garde, arrachant à Elsa un cri de surprise. Glissant une main entre ses cuisses, elle caressa les deux énormes testicules qui étaient plaquées contre son bas-ventre. Ben se retira lentement ; Elle put ainsi réaliser à quel point le sexe de Ben était hors normes.
Patrice semblait calquer son rythme sur celui de Ben, pénétrant sans ménagement la bouche de sa femme.
Celle-ci suffoquait fréquemment, laissant fréquemment la queue de son mari aller jusqu’au fond de sa gorge.
Ben grognait de plus en plus fort. Soudain, il poussa un râle profond. Il pénétrait Elsa sans ménagement, qui gémissait à chaque coup de bite. Elle sentit la chaleur de la semence de Ben se répandre en elle.
Eberlué, Patrice observait la grosse quantité de foutre qui giclait avec un bruit de clapotis de la chatte de sa femme à chaque coup de boutoir.
L’effet ne se fit pas attendre. Patrice déchargea à son tour dans la bouche d’Elsa en poussant des cris rauques.
Sa femme n’en perdit pas une goutte, léchant consciencieusement la queue de son mari ; elle se comportait comme une chienne en chaleur.


Elle se laissa retomber sur le ventre, complétement épuisée, la queue de Ben toujours plantée en elle.
Celui-ci se retira tout doucement, laissant de longs filets blanchâtres s’écouler du sexe d’Elsa.
Ben se rhabilla tout en bredouillant qu’il devait retourner au travail.
« N’hésite pas à taper à la fenêtre si tu as envie de prendre une pause » murmura Elsa
« C’est très gentil à vous » répondit Ben en ajustant sa combinaison .

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Commentaires de l'histoire :

lecocu
J'ai connu ça Depuis je jouis d'être cocu et recocu
Posté le 12/12/2020


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