Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

3 ème étage, porte de gauche

Cela faisait pas mal de temps que je voulais franchir le pas. Marié depuis plus de vingt ans, je m'ennuie au lit avec ma femme. Après les vidéos de cul en tous genres notamment gay, j'ai longtemps hésité à franchir le pas. Après de longues recherches, j'ai enfin réussi à trouver le partenaire idéal. Bonne lecture !

Proposée le 20/04/2020 par sorggulp

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


« 3ème étage porte de gauche » me répond une voix masculine dans l’interphone.
Clac ! Le bruit caractéristique de la fermeture électromagnétique libérant la porte d’entrée de l’immeuble me donnait le signal d’entrer. Je gravissais les marches tout en repensant à la raison pour laquelle je me trouvais dans cet endroit encore inconnu quelques heures auparavant.
Marié depuis plus de vingt ans, j’étais un homme heureux mais les relations sexuelles avec ma femme ne suffisaient plus à satisfaire ma libido. Je satisfaisais celle-ci en regardant des vidéos en tous genres. Avec le temps et un ras le bol de regarder toujours les mêmes scénarios, je passais de la rubrique « hétéro » à la rubrique « Bi ». Les scènes bisexuelles me donnaient beaucoup de plaisir. Plus tard, je m’aventurais dans la rubrique « Gay ». Ayant quelques accessoires que nous utilisions dans nos années « dévergondées » avec ma femme, je les ressortais afin de les utiliser en solitaire. Je découvrais la sodomie avec un petit godemichet. Plus tard, je commandais discrètement d’autres jouets plus adaptés à ma recherche. C’est ainsi que je découvrais les plugs, les boules de geishas, les cockrings. Mon jouet préféré était sans conteste un gros gode réaliste en latex. Je me souviens de la première fois où je me suis laissé glisser sur celui-ci. Je l’avais plaqué sur le sol de la salle de bain grâce à la ventouse intégrée. Je me positionnais à genoux juste au-dessus du gland bien lubrifié. J’observais le tout dans le miroir de la salle de bain. A la vue de la taille du gode entre mes fesses, je frissonnais à la fois de peur et de l’envie d’aller plus loin. Le contact du latex sur ma rondelle me procurait déjà des frissons de plaisirs mêlés à une certaine crainte due à la taille de l’engin. Il fallait y aller doucement. Par pressions successives, je sentais le gode se glisser en moi. Je me retirais plusieurs fois pour le laisser aller plus loin. Soudain, je sentis le gode entrer d’un coup ; le gland avait franchi le petit passage me procurant une sensation inouïe. Le gode coulissait de plus en plus facilement. Quelques minutes plus tard, je prenais un pied pas possible.
Une idée me trottait dans la tête depuis un bon moment. Alors je me caressais à la vue d’une scène de gorge profonde, je décidais de passer à autre chose. Il me fallait du réel !
Comment faire ? Je faisais des recherches sur le net. Je découvrais alors tout un monde fait de petites annonces d’hommes mariés ayant les mêmes envies que moi. Au fil des jours, je répondais à de nombreuses demandes semblant correspondre aux miennes. Mais les déceptions furent nombreuses. L’immense majorité des annonces étaient postées par des mythomanes en tous genres. Il y’avait toujours une excuse pour lâcher l’affaire quand on trouvait (enfin !) un jour et un créneau horaire compatible sans que nos femmes ne trouvent notre absence suspecte. J’allais lâcher l’affaire lorsqu’un mail attirait mon attention. Celui-ci contenait deux photos. La première montrait une queue en érection. Sur la deuxième, un homme nu se tenait debout dans une salle de bain. Le visage était dissimulé par le flash du smartphone ayant servi à prendre la photo dans le miroir. J’observais longuement cette dernière. Mon regard était comme hypnotisé par le sexe du personnage. Celui-ci semblait être particulièrement gâté par la nature !
Un petit mot accompagnait le courrier :
« Libre demain après-midi »
Sans trop y croire, je répondais de la même façon, c’est-à-dire minimaliste.
« Où ? »
La réponse arrivait quelques instants plus tard.
« Viens à cette adresse : ********»
Ayant enregistré les deux photos sur mon ordinateur, je me caressais le soir même. Cependant, j’éprouvais une sorte d’anxiété liée certainement à la grande part d’inconnu.
Le lendemain, je prenais le volant en direction de l’adresse indiquée. C’était à une vingtaine de minutes de mon domicile ce qui réduisait considérablement le risque que je connaisse mon interlocuteur.
Je m’étais préparé méticuleusement pour ce rendez-vous. Epilation intégrale du bas-ventre, lavage anal (on ne savait jamais), lavage minutieux de toutes les parties intimes , je n’avais rien laissé au hasard.
Arrivé à l’adresse indiquée, je me garais sur le premier parking trouvé. J’envoyais un message pour prévenir de mon arrivée. Le cœur battant, je lisais les instructions. « Bâtiment 3, appuie sur la touche ****, je t’indiquerais l’étage et la porte d’entrée »
La porte était entrouverte. Une odeur de cigarette se dégageait de l’appartement. Mécaniquement, je me dirigeais vers la salle de séjour. La télévision était allumée. Je déposais mon manteau sur le dossier d’une chaise. Au fond de la salle se trouvait une banquette de cuir blanc. Une table de salon complétait le décor. Mon cœur battait la chamade mais je faisais un gros effort pour rester le plus naturel possible.
« Salut, comment t’appelle-tu ? » demandais-je en souriant.
Il tira une bouffée sur sa cigarette en me répondant nerveusement. Il devait être âgé d’une quarantaine d’années et correspondait exactement au souvenir que j’avais de lui en photo mis à part le visage que je découvrais. Il paraissait sympathique mais très timide.
« Gabriel et toi ? »
« Dominique »
Gabriel m’invitait à prendre place sur la banquette tandis qu’il éteignait sa cigarette. Il était très nerveux, faisant semblant de s’intéresser à ce qui se passait à la télévision. Il était vêtu d’un jogging noir et d’un T-shirt.
Pendant les minutes qui suivirent, nous bavardions de tout et de rien. J’orientais la conversation sur les raisons de notre recherche commune. Il m’avouait que c’était seulement la deuxième fois qu’il rencontrait un homme. Comme il avait gardé un bon souvenir de cette première expérience, il avait répondu à mon annonce.
Tandis qu’il parlait en regardant la télévision, je regardais ostensiblement son entrejambe repensant sans cesse aux photos, enfin surtout une.
« Tu me fais voir ce que tu caches là-dessous ? » lui demandais-je sans plus réfléchir en posant ma main sur son entrejambe. Je me surprenais par ma question directe mais il fallait passer à l’action.
Je massais sa queue au travers du jogging. Rien qu’au toucher, je pouvais deviner qu’il y’avait de quoi s’amuser.
« Bien sûr » répondit Gabriel en se laissant aller contre le dossier de la banquette. Je soulevais l’élastique du survêtement. Gabriel ne portait pas de sous-vêtement.
Place au réel !
Et c’était encore mieux que je ne l’imaginais.
« Ta queue est superbe » dis-je en la prenant en main. Je le branlais lentement, découvrant par la même occasion la sensation de caresser une queue inconnue. J’étais à la fois intimidé et curieux d’aller plus loin. Je sentais le membre durcir très rapidement. Quelques instants plus tard, il était raide comme du bois. Purée ! Elle était vraiment imposante ! Elle semblait même disproportionnée par rapport au corps de Gabriel ! Pour une première, j’étais gâté !
« Ahhhh, c’est bon ! » murmura Gabriel en s’affalant sur la banquette, les cuisses largement ouvertes, le sexe dressé à la verticale. Je massais les boules d’une main tandis que l’autre coulissait sur le membre dressé. Celui-ci était parcouru de pulsions continues, signe d’un plaisir évident.
« Enlève ça, on sera plus à l’aise » lui demandais-je en désignant le jogging. Il s’exécuta immédiatement sans doute trop heureux de se faire caresser de la sorte. J’étais impressionné par la rapidité avec laquelle sa queue s’était redressée ! Ma main parcourait le membre dur comme du bois,. Je décalottais le gland violacé de plaisir. Gabriel était vraiment gâté par la nature. C’était le moment de réaliser mon fantasme. Me positionnant à genoux à ses côtés, je me penchais vers le dard dressé. J’avais du mal à réaliser que ce que je voyais était vrai depuis le temps que j’attendais ce moment !
Le tenant d’une main, je le dirigeais doucement entre mes lèvres. Purée ! Le gland était vraiment gros ! Gabriel poussa un gros soupir lorsque mes lèvres enveloppèrent celui-ci. Il était d’une douceur incroyable. Progressivement, sa queue allait de plus en plus loin dans ma bouche. Prenant confiance, je suçais Gabriel comme j’aurais aimé l’être. Visiblement, cela semblait parfaitement fonctionner car Gabriel gémissait de plaisir. La tête renversée en arrière, il accompagnait mes mouvements d’une main sur ma nuque. J’étais devenu en quelques minute une vrai salope et j’aimais ça. Comme je l’avais tant de fois imaginé, il n’y avait aucun sentiment juste une envie commune de sexe à l’état brut. Je tentais même une gorge profonde. Renouvelant plusieurs fois l’opération, je me surprenais à prendre sa queue entièrement en bouche. Gabriel poussait carrément des grognements de plaisirs à chaque fois que sa queue franchissait le fond de ma bouche. Il se lâchait complètement, profitant à fond de ce moment de sexe total.
« Putain, tu suce trop bien ! » grogna-t-il en donnant des coups de rein sauvage. Sa queue tapait au fond de ma bouche provoquant parfois des hauts le cœur mais qu’importe !
Soudain, son téléphone portable sonna. Je pensais qu’il allait le laisser sonner et pourtant ! Il se retira pour aller chercher son téléphone tout en priant de l’excuser puis répondit d’un air faussement tranquille tout en revenant s’assoir à mes côtés.
Reluquant sa bite dressée tandis qu’il discutait, je ne pouvais résister à la tentation de le sucer pendant qu’il parlait. Ce scénario m’excitait comme un dingue. Je me plaçais à genoux entre ses cuisses ouvertes. Enserrant sa queue d’une main pour la branler, je léchais ses boules, les gobant une à une pour ensuite faire coulisser sa queue avec gourmandise entre mes lèvres. J’exagérais volontairement les gestes afin de donner un maximum de plaisir à Gabriel. Celui-ci tentait tant bien que mal de rester naturel au téléphone, coupant fréquemment la conversation pour fermer les yeux sous mes assauts répétés sur sa tige. Il écartait les cuisses au maximum en me caressant les cheveux.
La scène était surréaliste mais surtout très excitante. Gabriel terminait sa conversation, jetant le portable sur la banquette. La tête renversée, il tenait ma tête des deux mains pour mieux baiser ma bouche.
« Arrête ! Je vais jouir ! » dit-il en me bloquant la tête. Dommage car j’étais parti pour aller au bout de cette expérience.
« Moi aussi, je veux ta queue » me dit-il en souriant. Top ! pensais-je en balançant mon pantalon au pied du canapé. Je me plaçais à genoux sur la banquette à la hauteur du visage de Gabriel. Celui-ci observa quelques instants ma queue qui n’attendait qu’une chose : qu’on s’occupe d’elle ! Il suffisait de regarder les mouvements incontrôlés de celle-ci pour comprendre que c’était un appel à la baise ! Gabriel la prit timidement en main. Je sentais qu’il hésitait à me branler.
« Continue, tu te débrouille très bien » Ces paroles le mirent en confiance. Imperceptiblement, je m’avançais vers son visage tandis que sa main s’activait de plus en plus sur ma queue. Sa bouche n’était plus qu’à quelques centimètres de celle-ci . Voyant qu’il n’avait pas débandé d’un millimètre, je reprenais sa bite d’une main pour la branler. L’effet fut immédiat : Gabriel avait pris mon sexe entre ses lèvres et le suçotait tout d’abord timidement . C’était rigolo car je pensais être le novice ! Je donnais des coups de reins évocateurs dans sa bouche afin de lui faire comprendre que j’aimais ce qu’il faisait mais que j’en voulais encore plus. Il prenait confiance me laissant entrer de plus en plus loin. Mais c’est qu’il me suçait divinement bien à présent ! Ma queue allait et venait régulièrement dans sa bouche tandis que je massais son paquet. Gabriel respirait bruyamment sans pour autant cesser de me pomper.
Tenant ma queue à la verticale, il entreprit de me sucer les boules une par une ce qui, comme je le sentais venir, provoqua le point de non-retour. Une sorte de tremblement parcourait tout mon corps se concentrant rapidement dans le bas-ventre. Je bloquais à mon tour le visage de Gabriel en criant :
« Attention, je vais jouir ! »
Gabriel se retirait sans pour autant cesser de me branler.
« Ahhhhhhhhh !!! » criais-je en jouissant dans la main de Gabriel qui observait attentivement la scène. Il me caressait quelques instants, recueillant dans le creux de sa main toute ma semence. Je revanis sur terre.
« Attend, je reviens » dit-il en se redressant et dans une autre pièce. Pendant ce temps, je reprenais une position plus conventionnelle en m’asseyant sur la banquette. Gabriel revenait avec un morceau de sopalin. Il marchait à poil dans la salle. Je pouvais admirer sa queue toujours aussi raide.
« Tiens » me dit-il en me tendant le sopalin. Il était face à moi.
« Viens » lui demandais-je.
J’enfilais sa queue directement au plus profond de ma gorge. Tenant Gabriel par les hanches, j’imprimais le mouvement de va-et-vient dans ma bouche. Régulièrement celle-ci disparaissait jusqu’à la garde provoquant parfois des hauts le cœur. Pourtant, j’appréciais de plus en plus de la sentir plantée dans ma gorge.
Tout en lui malaxant les couilles, j’accélérais la cadence. Gabriel respirait de plus en plus fort, tenant ma tête par la nuque pour mieux pénétrer ma bouche.
« Ah c’est bon ! continue comme ça, je vais jouir ! » souffla-t-il
« Oooohhhhhhh ! » cria-t-il en se retirant de ma bouche. Je le branlais, dirigeant sa queue vers la banquette. Plusieurs longues giclées blanchâtres allèrent maculer celle-ci en plusieurs endroits. Quelle virilité ! Ralentissant la cadence, je libérais le sexe de Gabriel de ma main.
Le calme revenait doucement. Gabriel poussait un long soupir.
« Je t’envoie un mail dès que possible pour te raconter mon ressenti » dis-je en enfilant mon pantalon. J’avais ma petite idée pour la suite.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

sorggulp
Attendez de lire la suite, vous allez être scandalisés alors !
Posté le 24/04/2020

cokine
veinard moi aussi j'ai envie qu'un homme bien membré fasse de moi sa femelle soumise je suis sur Gay mec mon pseudo chaudine
Posté le 22/04/2020

Pongodu21
Je suis d'accord avec le commentaire laissé par une personne anonyme L'utilisation de préservarif serait plus que recommandée c'est à dire indispensable pour ce genre de pratique.
Posté le 21/04/2020

Anonyme
Le tout sans capotes !!
Posté le 20/04/2020


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
3 ème étage, porte de gauche (Suite)
La Corse me porte chance 1
La corse me porte chance 2
La corse me porte chance 3