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Comment je suis devenues un acteur porno 3 et fin

La suite des mésaventures d'Hugo un acteur porno amateur qui est loin de comprendre où il a mit les pieds.

Proposée le 3/01/2020 par goelan

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Thème: Homme dominé
Personnages: HH
Lieu: Inclassable
Type: Roman


Deux jours plus tard, je reçu un message et une adresse. Je pu me libérer pour ce jour là et me rendit de bon matin dans une maison isolée dans la banlieue de Paris.
Grégoire m'accueillit me faisant monter à l'étage. Je retrouvais la boss, Louise, et il y avait trois autres gars en plus de Grégoire et moi. Pas d'autres filles en vues, j'étais peut-être en avance.

"Mets tes affaires ici et ensuite suis-nous dans la chambre du fond.

La chambre était grande, très grande. Un lit XXL au milieu trônait superbement. Il y avait du matos déjà installé. Lumière, caméra au sol, etc.

"Bon Hugo, le scénario est simple. Tu joueras le rôle d'un jeune gars qui veut découvrir le plaisir entre homme. Tu feras semblant de ressentir les choses comme ta première fois et…

"Attendez, c'est un tournage gay ? M'exclamais-je ahuri.

Louise me fixa fronçant les sourcils.

"Bien entendu enfin, je t'ai bien demandé si tu pratiquais la fellation et la sodomie, tu m'as répondu par l'affirmative. Et tout était indiqué dans le contrat que tu as signé. N'oublie pas, si tu refuses de tourner avec nous, tu devras au studio 10 fois ton salaire.

Mais ce n'était pas du tout ce que j'avais compris. Et ce contrat, tellement de pages, de closes, de paragraphes à lire… Je pensais qu'on parlait de faire l'amour avec des filles, pas des mecs. Dans quelle merde je me trouvais, vite, trouver une réponse.

"Euh, non, enfin, j'aime les femmes aussi, enfin surtout, je pensais qu'il y en aurait quand même.

Louise paru soulagée mais resta suspicieuse tout de même. 

J'étais tétanisé, mes mains tremblais, j'avais l'impression d'être tombé dans un piège. Qu'ils allaient tous se jeter sur moi et me…

"Bon reprenons. Hugo, tu joueras donc le candide dont les penchant pour les hommes t'ont toujours attiré mais sans jamais passé à l'acte. Voici le résumé et les quelques lignes de textes, le reste, c'est surtout de l'impro. 

Elle me tendit un carton avec des notes écrites dessus.

"Le temps que nous terminons de préparer la chambre, lis-le et apprends les quelques lignes de texte. Ensuite, déshabille toi et lorsque je t'appellerai, rejoins nous pour tourner la première scène.

La démarche raide, je serrai les fesses et fixant la porte salvatrice, je m'y précipitais pas trop vite. Dans le couloir j'eu vraiment envie de courir et m'enfuir. Mais rembourser 3000 euros comme exigé dans ce contrat, impossible ! Je ne pouvais même pas faire de prêt pour moi survivre.

Mon rôle était simple, je devais subir les attouchements des autres acteurs, dont Grégoire. Je devais feindre d'être attiré par eux, jusqu'à… Enfin bref, on ne va pas y venir dessus. Merde, et remerde. Impossible. Je n'étais pas gay, j'étais puceau, je n'étais pas attiré par les mecs et maintenant il faudrait que… Ahhh, rien que d'y penser j'étais révolté.

Grégoire vint me trouver l'air inquiet.

"J'ai vu que tu étais un peu contrarié. Le film va commencer dans 20 minutes. Es-tu prêt ? Je peux t'aider ? Te conseiller ?

"C'est à dire que… 

Je fis une tête de 6 pieds de long et j'étais blanc comme un linge.

"Attends ! En fait... C'est pas vrai, tu n'as jamais eu de relation avec un homme ? C'est cela ?Si Louise savait cela, elle piquerait une crise. Elle n'aime pas les puceaux, ça ne tiens jamais la route. Déjà que c'est ton premier film porno.

"Elle n'a jamais été claire dans ses propositions. Répondis-je pour me justifier

"Tu n'as pas lu le contrat ?

"Tu as vu dans quelles conditions cela c'est passé, j'avoue que je n'étais pas du tout concentré.

"T'as pas le choix mec. Mais rassures-toi, il n'y a rien de bien méchant ou pire que baiser une nana. moi je suis bi, j'aime les femmes et les hommes et cela ne m'a jamais tué. Je suis sûr que tu aimerais aussi. Et tu pourras nous rendre la pareil si cela peux te consoler.

"Facile à dire pour toi. Louise s'en apercevra et je vais devoir lui payer une somme que je n'ai pas. Je suis déjà sans le sous et mon compte en banque est dans le rouge. Je le regardais les yeux suppliant. Je ne suis pas de ce genre là, je n'ai aucune affinité avec les hommes. Je me suis fait avoir, je suis dans la merde.

J'étais partagé entre la colère, l'affolement et une peur profonde.

Grégoire paru sincèrement attristé par ma situation. Il me tapota l'épaule.

"Tu te souviens samedi passé ? Louise nous a bien chauffé, tu as pu toucher ma bite sans en vomir, elle nous a sucé l'un et l'autre sans distinction, et franchement tu es bien monté, je suis un peu jaloux.

Je souris et rougis un peu sous le compliment. 

"J'ai vu ton appréhension lorsque je t'ai sucé, pourtant tu n'as pas eu mal, au contraire, n'est ce pas ? 

Je ne pouvais nier que sa fellation avait été du tonnerre. Pour le peu que j'avais en expérience;

"Mets toi déjà à poil, au moins si elle vient, tu n'auras pas à t'expliquer. As-tu lu la fiche ?

"Oui, rien de bien sorcier et ce n'est pas les répliques qui vont m'étouffer. 

Cette discussion me changeait les idées, Grégoire m'était d'un soutien sympathique. Je me dévêtis donc, la queue molle et pendante. Il se mit à poil aussi, il bandait déjà.

Grégoire me la toucha et j'eu un réflexe de retrait.

"Calme toi mon vieux, je n'ai que peu de temps à te consacrer, et je te conseille de m'écouter pour avoir l'air moins prude et moins quiche.

J’acquiesçais pendant qu'il continuait à me toucher la bite.

"D'abord, tu parleras à Louise, tu lui diras de ne pas s'inquiéter de tes manières de faire durant le tournage. Ton rôle est celui d'un puceau, ce que tu es, qui va passer à la casserole. Désolé de mes mots, mais c'est ainsi. Donc tu feras ton possible pour montrer tes appréhensions, dis lui que tu as fais un peu de théâtre étant jeune, ment, elle n'en saura rien, ou de jeux de rôle, bref, que tu sais simuler. Dis lui que tu tenteras de faire passer tes premières impressions, après tout, c'est ce qu'elle voudra. Elle aime superviser, et plus elle sera contente, plus tu auras des chances de revenir pour un autre rôle et ainsi gagner encore l'argent dont tu as besoin. Tous les films ne sont pas gay, cela dépend des commandes. Donc la prochaine fois tu pourrai tomber sur de belles suédoises à la lourde poitrine. Dans tous les cas, tu feras tes dents sur ce tournage, et profites en aussi ! Après tout il y aura des petits culs à défoncer, pas que le tiens. Mon credo est d'en profiter autant que possible dans toutes les situations, et je n'ai pas vécu que des choses biens.

Pendant qu'il me conseillait, sa main me branla de plus en plus. Je tentais de me détendre et j'avoue qu'il savait s'y prendre, ma bite pris de la taille.

"Tu vois, ce n'est pas difficile de bander. Je t'aiderai, j'ai un rôle aussi dans ce tournage. Tu pourras avoir confiance en moi pour ne pas te brusquer. Mais l'heure tourne, je vais te demander de me faire une fellation. Ne fais pas cette tête là, tu n'en as jamais fait et cela se verra. Mets toi à genoux et remémore toi tout ce que tu as pu ressentir dans tes expériences précédentes, dans les films de cul que tu as pu voir, ou dans tes rêves les plus fous. Et surtout, évites les dents, ça fait mal et surtout très puceau.

Les yeux brillants limites aux larmes, contraint, je me mis à genoux et devant moi se dressait la bite noir de Grégoire. Il m'encouragea et je la pris dans la main. Elle était chaude et dure à la fois. Vivante et étrangère. Il se racla la gorge et je fermais les yeux avançant ma bouche. Je sentis le contact de son gland sur mes lèvres, j'eu un temps d'arrêt mais il poussa son bassin en avant. Je sortis ma langue et il poussa sa bite entre mes lèvres le laissant la guider dans ma bouche. J'étais paniqué, qu'est-ce que j'étais en train de faire ! Je devais reprendre le contrôle de moi-même, sinon j'allais pleurer. Le temps battant à tout rompre, le ventre serré, je me mis à le téter puis le sucer très gauchement, mais au moins j'eu l'impression de ne pas lui faire mal avec mes dents. J'ouvris les yeux et il me fixa levant le pouce. Je continuais comme cela quelques temps puis il me repoussa.

"C'est bon, tu t'en sors bien. Mais ne continue pas ainsi, tu m'excite tellement que je pourrais finir de suite et Louise ne serait pas contente du peu de mes performances.
Je m’essuyais la bouche avec le dos de la  main me relevant.

"C'est étrange comme sensation.

"Tu as aimé ?

"Je ne saurais dire, mais avec tes conseils au moins il me semble ne pas t'avoir fait mal.

"Juste un peu au début mais tu as vite maîtrisé.

Il regarda sa montre, seul objet sur lui, puis reprit.

"Nous avons moins de 12 minutes pour la suite.

"Quelle suite, demandais-je naïvement.

"Hum, tu crois qu'ils vont se contenter de ta bouche ?

"Tu ne penses tout de même pas me... 

J'ouvris de grands yeux, j'étais paniqué.

"Tu as deux solutions, soit je t'initie rapidement ici et disons que le passage sera fait, soit tu verras une fois sur place. Et j'avoue que la calibre de Bertrand n'est pas tendre.

Je palis encore plus. Lui bandais toujours par contre, moi je me ramollissais à vu d'oeil.

"A toi de décider mais il faut agir vite pour ne pas te faire mal.

"J'ai peur, avouais-je.

Il se colla à moi et me caressa, ses mains glissèrent dans mon dos puis mes fesses. je me contractais fixant un point derrière lui.

"Détend toi, me susurra-t-il collé à moi.

Sa main me caressais les fesses et je sentis ses doigts glisser dans ma raie. Je me contractais d'office.

"Retourne toi, cela sera peut-être plus facile.

"Tu es sûr ? On n'est peut-être pas obligé ? Louise pourrait changer d'avis...

"Tu perds du temps là, et non, jamais elle ne le fera, c'est le business !

Contraint, je me laissais me retourner. Il me poussa vers le mur et me pencha en avant, mon cul vers lui.

Il alla fouiller dans un sac posé au sol non loin de mes affaires. Il en sorti un tube de gel et revint rapidement derrière moi. J'étais fébrile, j'avais mal partout, j'avais peur que quelqu'un n'entre là maintenant et me voit ainsi. Pourquoi ? Vu qu'ensuite cela ne pourrait pas être pire. Mais j'avais l'impression de faire une bêtise, de ne pas respecter les règles.

Il m'écarta les fesses et je sentis un produit gras poussé par un doigt sur ma rosette sèche et contractée. Je la resserrais d'instinct, impossible de faire autrement. 

"Détends-toi bon Dieu.

Lorsque je sentis son doigt forcer mon anus, même avec le gel, j'eu le sentiment qu'on me forçait. Il du le sentir, car il se colla à nouveau à moi. Je sentis sa bite chaude contre ma cuisse. Il passa sa main devant et me branla vivement.

Il poussa son doigt dans mon cul avec impatience. Mes sphincters cédèrent sous la pression et le gel gluant. 

"Tu me fais mal, grognais-je. Vas-y doucement.

Il ne bougea plus, j'étais gêné par cette impression d'élément étranger en moi. Je voulais pousser pour le faire sortir. 

Je sentais son excitation à travers sa chaleur, son empressement, sa bite qui battait contre ma cuisse. Il me branlait vite, un doigt fiché dans le cul, les mains tendus contre le mur, il avait tout pouvoir sur moi. Il remua son doigt et j'eu envie de chier. Il retira son
majeur et le renfonça, je serrai à nouveau mon anus dessus. Il grogna et me lécha le cou. Je le sentis glisser entre mes fesses sans que cela me procure un plaisir quelconque, au contraire.

"Vu ta tête, heureusement que Louise ne te vois pas comme cela.

"Va te faire foutre, répondis-je du tac au tac.

"C'est juste un conseil d'ami, laisse couler et détends toi, sinon tu va le sentir passer, et je pris de croire que tu en as eu d'autres dans l'autre sens. Mais si tu te serres comme ça...

"Ce n'est pas de ma faute, je n'y arrive pas. Je n'aime pas cette intrusion, cela me gêne et j'ai envie d'aller aux toilettes.

"Tu n'y as pas été avant ?

"Si, mais ton doigt, il me donne envie.

Il ne répondit pas et continua à m'enculer de plus en plus vite. Son doigt glissait dans un bruit gras, sa respiration était forte, et il me branlait avec vigueur. Ma bite était bien droite, j'en étais étonné vu ce l'outrage que je subissais derrière.

"Arrête, je crois que je vais juter.

Il s'arrêta soudain et je sentis l'intrusion quitter mon cul.

"Prêt ? Me demanda-t-il ?

Il fit glisser son gland de ma cuisse à me fesses et le fit jouer sur mon anus gluant.

"Non pas du tout. Grognais-je la respiration forte, la poitrine comprimée par appréhension.

C'est à ce moment que nous entendîmes une voix dans le couloir.

"Vous êtes près les garçons ? 

C'était Louise...

"Merde, fais chier. Marmonna-t-il. On arrive, cria-t-il, je termine de mettre en confiance Hugo et on est là.

Il avait l'air visiblement stressé et contrarié. Il s'excitait derrière moi.

"OK, pas plus de 2 minutes on est déjà à la bourre ! 

"Oui, oui, il relit son texte et on arrive.

Je ne relisais rien du tout, je sentais quelque chose de rond et gros pousser entre mes fesses s'agitait avec impatience. Son gland glissais dans ma raie poussant sur mon anus déjà maltraité. J'ouvris la bouche et croassais.

"Il faudrait... peut-être... y aller... Louise nous aaaaaaaaaaattteeeeeenn....

Comment définir l'impression ressentie à l'instant ? Grégoire voulait mon cul, je venais de m'en rendre compte vu son impatience et son insistance. Il avait senti que j'étais puceau rapidement et toute cette comédie de venir me voir, me conseiller c'était juste pour griller la priorité à un de ces congénères là-bas. 

Louise nous attendait, et lui, aahhhhhhhhhh. 

J'avais mal, il me tenait par la hanche. Son doigt m'avait préparé mais pas suffisamment à mon goût. Je sentis une intrusion en moi et d'un coup sa bite me remplit le cul ! 

"Arrêtes, j'ai mal ! Soufflais-je me crispant de partout.

Il poussa encore et me prenant par les hanches fit entama rapidement des mouvements de bassin. Grognant il poussa son ventre le plus loin possible en moi, m'enculant pour de bon. Il fit quelques mouvements pour bien montrer qu'il me prenait, sa bite allant et venant dans mon postérieur. Je me sentais inférieur, impuissant, victime même, pas comme un viol puisque je n'avais pas refusé. Mais coincé par un contrat et des problèmes d'argent, n'étais-ce pas une forme de prostitution ? Vendre mon corps pour du fric afin de payer mes dettes. Son bassin claquait contre mon cul, il me sodomisait pour la première fois, ça y était j'étais devenu gay ou un truc du genre ?

"Vous venez les garçons ? Louise semblait s'énerver.

Je paniquais, Grégoire ne semblait pas vouloir s'arrêter, il accélérait même, feulant et soufflant. Je m'avançais brusquement vers l'avant. Sa bite glissa hors de mon cul. Et me dégageant de ses bras, je lui fis face, tremblant, le cul gluant et douloureux.

"En fait, tu voulais être le premier c'est ça ! Toute cette mascarade, c'était uniquement pour passer avant les autres ?

Grégoire eu un rictus satisfait.

"Parce que tu crois qu'ils ne vont pas te ramoner en profondeur là-bas ? Tu vas y passer gamin, et pas qu'avec ma bite, je t'assure. C'est dans le texte, ne l'oublie pas ! Remercie moi plutôt, car ils sont mieux membré que moi et que toi. Tu es peut-être bien loti mais l'un d'eux est plus épais qu'un concombre. Au moins grâce à moi tu le sentiras moins passer. Et oui, je voulais ton cul depuis que je t'ai vu chez  Louise. Merci du cadeau… Et surtout pas un mot !

Il se pencha, pris mon t-shirt, frotta sa bite dedans et me laissa là, seul. Quel salopard.

Où avais-je mis les pieds…

Peu de temps après, je me retrouvais dans la chambre. Louise m'attendait les poings sur les hanches. Elle portait une longue robe noire et... rien en haut ! Mais strictement rien ! Ses seins gros et lourd s'épanouissaient à ma vue et soudain mon sexe devenu flasque grossit à vue d'oeil. Ses auréoles étaient larges et brunes. Ses tétons épais et pointus. Son ventre plat sans être musclé et sa taille qui devait être fine jadis, mais avec un peu de chair, était visuellement bandante, il n'y avait pas d'autres mots.

"Vous voyez, il suffisait d'un peu de motivation pour voir le petit oiseau sortir ! Referme ta bouche mon mignon et allonge toi sur le lit.

Les spots éclairaient le lit, deux des gars me fixaient avec un sourire, caméra à l'épaule ou à la main. Grégoire, nu, me fixant avec un air vicieux se tenait plus loin. Deux autres gars, nus aussi, attendaient avec lui. Ils ne bandaient déjà se branlant avec impatience.

Et en effet, l'un deux, s'il était de taille normale, était bien épais. 

"Ok, réussis-je à répondre sous l'émotion cumulée. J'ai fait un peu de théâtre au collège.

Je vais tenter de, enfin de faire mon mieux, comme si c'était la première fois.

"Ce n'est pas Shakespeare ici, gloussa-t-elle avec amusement, tant que tu fais le job comme convenu, pas de défection, hein ? Allez, sur le lit et que sa saute !
Avec ce que m'avait mis Grégoire, il était inutile de tenter de fuir. Je venais de passer de l'autre côté du miroir. Je venais d'avoir ma première expérience gay et elle ne faisait que commencer.

Mais Louise avait réussi à me détendre en 30 secondes. J'eu du mal à me décrocher de ses seins. La seule présence féminine en ces lieux me rassurait. Même si le fait de voir ces caméras me suivre me rendait nerveux.

Le lit crissa lorsque je montais dessus. je devais me glisser sous les draps et faire semblant de dormir. Fermant les yeux, le silence ce fit et j'entendis un "action".

Ça y était, je devenais un acteur de film porno. J'avais peur, c'était clair. 

"Ne bouge pas chéri, on va filmer quelques séquences comme ça. Rappelle toi, tu va rêver ce qui t'arrive ensuite. On fera le montage plus tard avec quelques effets spéciaux.
D'abord tu dors et lorsqu'on te préviens, redresse-toi comme si tout cela n'était qu'un rêve, que tu es étonné d'être seul.

Je fis tout ce qu'elle me demanda. On du rejouer 2 fois la scène, j'étais très nerveux.
Satisfaite, Nous allions passer à la suite, au rêve proprement dit. Pour moi cela serait tout sauf un rêve.

Je frémis lorsque le lit craqua et que quelqu'un, ce n'était pas Grégoire, pas son odeur, donc l'un des deux autres types, me rejoignit. C'était quoi déjà le script ? je l'avais oublié. Une main me caressa les cheveux, la voix de l'homme débita des conneries du genre

"Je sais que tu le désires, de la façon dont tu m'as regardé, que tu suivais mon regard, dont tu fixais mon short au bord de la piscine. Ce n'est qu'un rêve, un rêve mais tu vas l'apprécier

J'aurai bien aimé que cela en soit un. Sa main était rêche et sans aucune tendresse, il faisait ce pourquoi il était payé. Je serrais les poings feignant de dormir. Il me caressait à travers le draps et trouvant mon sexe, commença à le tripoter tout en déclarant son texte très peu poétique.

Je me remémorais les seins de Louise pour tenter de gonfler ma bite sans non plus être arriver à être raide. C'était un exercice difficile. Je n'étais pas du tout à l'aise, et une grande honte m'envahie.

Le lit craqua de l'autre côté. D'autres mains me caressèrent faisant glisser les draps vers le bas, dévoilant mon corps en chien de fusil. 

C'est à ce moment que je devais me réveiller, enfin dans ce "rêve" et être étonné d'avoir de si beaux compagnons autour de moi pour jouer avec. Ce que je fis tant bien que mal.

Ma prestation m'aurait sûrement valu la plus dure des notes, mais comme dirait Louise, je n'étais pas là pour ça.

Assis contre la tête de lit, le visage à la fois étonné et normalement ravis, je tentais de ne pas regarder les caméras. De chaque côté de moi se trouvait 2 comédiens, nus, à genoux, la bite tendue. Je jetais un coup d'oeil à Louise qui surveillait un écran sur une tablette. Celle-là, si je pouvais me la faire, rien que pour passer ma frustration...

Je fus ramené à la réalité lorsque celui de droite frotta son sexe dressé contre ma joue, il poussa ma tête de la main dessus et profitant de ma réaction étonnée, je n'avais pas pensé que ça irait aussi vite. Il poussa son gland entre mes lèvres et glissa son sexe dans ma bouche.

Ce fut le début de la fin. L'homme de l'autre côté pris la même position, frottant son sexe sur mon oreille. Prenant sur moi, je dus prendre les deux bites dans mes mains et... leur faire faire une fellation, passant de l'une à l'autre. Si le premier sentait bon l'odeur de gel douche, le second sentait fort. J'eu du mal à respecter mes conseils de Grégoire. Je m'y prenais mal, il me tenaient la tête et me forçaient la bouche de force, faisant glisser leur sexe tendu chacun leur tour entre mes lèvres.

Je croisais le regard de Louise, il capta le mien et mit un pouce vers le haut me souriant de toutes ses dents. Elle balança ses seins pensant m'excitait.. Mais pour le moment je subissais plutôt. J'avais déjà mal à la bouche, j'étais en sueur et les deux autres en profitaient pour me caresser. Grégoire m'écarta les jambes et l'autre, celui à la grosse bite, s'empara de mon sexe mou et ajoutant une remarque désobligeante sur ma mollesse, l'engouffra dans sa bouche afin de me faire durcir.

Les caméras filmaient tout, bougeant, zoomant, faisant de gros plans. Je ne maîtrisais plus rien.  Le gars savait y faire, il suçait mon sexe, le léchait, l'aspirait, me branlait, tant et si bien que je finis par l'avoir bien dure. Il fut content de son travail et tout en me branlant, il se mit aussi à genoux et se mit face à moi pour...

Bref, au lieu d'avoir deux bites, j'en eu trois à lécher et sucer. Dans un état second, je tentais de m'appliquer. Ma tête allait et venait d'avant en arrière sur l'un ou l'autre des sexes tendus. j'avoue que le dernier avait du mal à passer et suppliant du regard, je tentais de seulement le lécher. Mais peine perdue, ils me tenaient la tête et fourraient leur bite le plus loin possible entre mes lèvres quitte à me faire tousser. J'avais les yeux brillants, la salive coulait de ma bouche.

Grégoire lui s'occupait de moi ailleurs. Il m'avait écarté les jambes et le second cameraman suivait ses faits et gestes. Après m'avoir massé les couilles, comme si c'était la première fois, il passa sa mains plus bas et me tripota le trou de balle. Je me refermais d'office paniqué soudainement. Je ne sais d'où cela provenait, mais il m'appliqua à nouveau du gel entre les fesses. Il me les écartait pour bien être visible depuis l'oeil de la caméra.

Louise c'était approché et regardait la scène avec intérêt. Si elle savait, Grégoire m'avait déjà dépucelé juste avant de venir. Si elle aussi avait eu des doutes sur mes expériences dans le domaine, elle se mettait un doigt dans le fion pensant passer ma première fois à l'écran. 

Les doigts de Grégoire jouèrent avec mon anus et enfonça doucement non seulement son index mais aussi son majeur. J'eu un sursaut et criais de surprise. Les autres me laissèrent un peu de champs libre, me laissant reprendre mon souffle et m’essuyer la bouche. Ils se branlaient, leur bite luisante de ma salive, pendant que Grégoire me doigtait le cul.

Affalé, les jambes bien écartée, le sexe tendu toujours branlé, tout le monde se focalisait sur les deux doigts allant et venant dans mon cul.

A peine une poignée de secondes plus tard, Grégoire du laisser sa place et le bien membré me tira plus loin sur le lit et se plaça entre mes jambes qu'il releva bien haut. Il me fit mal et sans attendre, sauf les cameraman, il glissa sa bite entre mes fesses et après plusieurs mouvements pour trouver mon anus, il poussa dessus le regard fixé sur son travail, tenant une de mes jambes d'une main, de l'autre guidant son sexe à l'oeuvre.
Je serrais les dents et les poings dans les draps. Putain qu'il était gros,.

"Doucement, lâchais-je malgré moi.

J'ouvris la bouche pour aspirer de l'air, mon cul se distendait et lui continuait à m'emplir de son boudin épais. A part ses grognement et ma respiration forte, personne ne fit un bruit et lorsqu'avec un bon coup de rein il m'encula, me soulevant d'un coup, je n'empêcher de crier.

Il s'adonna tout de suite à ce qu'il était venu faire, c'est à dire qu'il me sodomisa à grands coups qui me firent souffrir. 

"Trop gros, trop gros, gémissais-je.

Mon corps était secoué, il avait passé mes jambes au-dessus de mes épaules et s'allongea sur moi. Les caméras n'en perdait pas une miette. Le floc floc gras de sa bite dans mon cul excitait tout le monde sauf moi. J'avais débandé et je subissais, juste pour du fric.

Grégoire se pencha et profitant de ma bouche ouverte cherchant de l'air, il me fourra son sexe dedans. Je paniquais, je voulais le repousser pour pouvoir respirer mais il me força à le sucer.

Je ne sais combien de temps je fus maltraité. Chacun d'entre-eux m'encula dans diverses positions. On me fit chevaucher aussi, mon cul était si ouvert que les bites glissaient dedans sans effort. J'avais le visage rouge et la bouche douloureuse. Grégoire m'avait peut-être aidé avant mais je crus avoir l'anus déchiré et en compote à force de me faire bourrer. J'avais eu droit aussi à casser du cul, je ne m'étais pas privé de défoncé

Grégoire avec de grands coups de butoir, le tout pendant que je me faisais enculer of course. .

Exténué, affalé de travers sur le lit, couvert de sperme, autant dans la bouche que dans le cul, je n'aspirait qu'à rentrer chez moi pour ne plus penser à rien.

Je fus étonné lorsque Louise monta sur le lit, ses seins ballottant mais ne me captivant pas autant que je l'aurai voulu.

"Tu étais bien puceau, c'est cela ? Me demanda-t-elle avec un regard brillant.

Je fis un signe de tête par l'affirmative.

"Je m'en doutais... Désolé pour tout cela, mais tu as été super. Je te donnerai même une petite prime pour ton dépucelage en direct. 

Elle se pencha vers moi et m'embrassa fougueusement. Sa langue était délicieuse et chaude. J'acceptais ce cadeau mais j'étais incapable de bouger une main pour venir la peloter. Et puis si elle savait...Sacré Grégoire, il l'avait coiffé sur le poteau !

Elle passa au dessus de moi, ma bite gonfla aussitôt. Elle évasa sa jupe et chercha mon sexe tendu passant sa main sous le tissu. Pourquoi ne voulait-elle pas l'enlever ? 
Je sentis ma queue glisser dans un étroit fourreau accueillant. Je gémis et j'eu tout de même le courage de venir lui attraper les seins et d'y goûter à qui mieux mieux. Les cameramans filmaient encore et toujours. Les autres acteurs avaient quitté la chambre, sauf Grégoire qui regardait Louise avec un air envieux.

Celle-ci sautait sur moi avec un bonheur partagé. Ce que je pouvais aimer les seins ! Les siens étaient chauds, fermes et gonflés. Elle m'embrassa à plusieurs reprises et je finis pas cracher une nouvelle fois mon sperme, mais en elle cette fois-ci.

Elle s'affala sur moi, haletante. Je lui caressais les cheveux avec douceur, sentant son parfum sucré.

Elle se leva et me chuchota quelque chose.

"Je ne t'ai pas tout dit non plus...

Elle dégrafa sa jupe et la retira, au lieu d'une chatte, je vis une bite comprimée dans un slip rouge dont l'arrière était ouvert. Merde, elle était quoi au juste ? 

Elle l'enleva et se plaça entre mes jambes. Mon cul était si lubrifié par le gel et le sperme rependu dedans qu'elle ou qu'il n'eu aucun mal à me sodomiser. D'un seul coup elle fourra sa queue en moi. Avec douceur et lenteur elle fit aller sa bite entre mes fesses.

Elle se pencha, m'embrassa, me caressant le corps et la bite gluante de sperme. 
Étrangement, je n'eu pas mal et cela ne me dérangea pas comme avant. Cet être mi-homme, mi-femme m'excitait. Elle se pencha et chuchota à mon oreille.

"C'est moi qui t'ai remarqué sur ton groupe de photos. Dès que j'ai vu ta bite, j'ai eu envie de l'avoir entre mes mains, de la sucer et aussi de t'enculer mon petit puceau.
Cette révélation me dopa, je ne savais pas comment je devais le prendre, ni pourquoi cette créature m'attirait, mais pour la première fois, je pris plaisir à cette sodomie et je ne mimais pas mon plaisir...

FIN

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