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Une Famille en Or (2)

Forts de nos dernières expériences, nous poussons un peu plus nos exhibitions, d'abord en famille puis aussi au travail. Et comme ça passe très bien, nous y amenons petit à petit notre entourage, cousine ou collègue, en attendant d'aller plus loin…

Proposée le 20/12/2019 par Hannapurna

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FFH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


Mercredi 2 août 1989

Une Famille en Or (2) J’ai des nouvelles de Valy qui est rentrée ce week-end de la colo où elle travaillait. D’abord elle respire mieux à la maison, car son père est enfin parti. La procédure de divorce est entamée. Son frère est aussi absent, il est allé passer deux semaines chez un de ses copains. Du coup, pour tâter le terrain avec sa mère qui est d’ordinaire plutôt cool, Valy a commencé dès lundi à bronzer à poil dans le jardin. En rentrant, Marie-Lou n’a rien dit jusqu’à ce que ma cousine reste comme ça le soir aussi dans la maison:
- Dis donc, c’est nouveau ça, de te balader toute nue dans la maison? Tout à l’heure pour bronzer, OK, mais là… Et c’est quoi cette épilation? On te voit tout!
- Oh, maman, c’est la mode. Et c’est mignon, non? D’ailleurs, Anna est encore plus épilée que moi, elle n’a plus aucun poil!
- Parce que tu as vu Anna nue?
- Oh, ça va, entre cousines, on va pas se gêner, on a fait un peu de naturisme.
- Et Bernard, il était là?
- Evidemment, et je savais déjà comment c’est fait, un mec! Et lui aussi est épilé.
- Ah bon? Admettons. Mais pense à ton frère!
- Justement, d’’abord mon frère est assez grand puisque c’est mon jumeau, ensuite il est pas là pour la quinzaine, alors laisse-moi en profiter et je te promets d’enfiler quelque chose chaque fois qu’il est là. Quoique, je crois que ça lui plairait plutôt, à son âge…

Marie-Lou a capitulé. Je donc propose à Valy d’aller la soutenir ce week-end.


Dimanche 6 août 1989

J’arrive en fin de matinée à Bouc-Bel-Air, et c’est Marie-Lou qui m’ouvre la porte alors que Valy rentre de la terrasse, à poil:
- Viens Anna, avant de manger on a le temps de profiter un peu du soleil!

Sa mère l’apostrophe:
- Dis donc, tu aurais pu t’habiller! Décidément…

J’interviens tout de suite:
- Allez, Marie, on s’est vues comme ça jour et nuit pendant toute la semaine, en juin! Donc, on va faire un peu de bronzage intégral. OK?

Lorsqu’elle vient nous prévenir que le repas est près, elle nous trouve étalées, les jambes écartées, et je crois qu’elle est un peu gênée en voyant mon épilation totale.
Pour la rassurer un peu, je remet un string pour le repas, et Valy m’imite. Après le dessert, nous l’aidons à débarrasser, puis nous lui proposons de faire une sieste digestive au soleil. Comme elle garde tout de même un bas de maillot, je la chambre un peu:
- Allez, on est entre nous, lâche-toi, enlève tout!

Elle proteste un peu, mais finit par céder:
- Ce que vous me faites faire…
- Bravo maman!

Je rajoute:
- Dis donc, Marie, avec ta toison abondante, c’est comme si tu avais un maillot! Tu devrais t’épiler, au moins sur les côtés!
-Tu as raison, je me néglige un peu trop ces derniers temps, je l’avoue.
-Tiens, attends, je vais te le faire tout de suite! J’ai l’habitude de le faire à maman et à Sève, et c’est moi qui ai fait sa coupe à Valy.

Elle accepte en optant plutôt pour un ticket de métro un peu large. Je lui fais une coupe bien dégagée, mais je me rate un peu en entamant un côté du ticket. Du coup, je fais la même chose de l’autre côté. Elle tressaille un peu quand je la rase le long de la fente jusqu’à l’anus, mais elle se laisse faire. Sa nouvelle coupe forme une flèche orientée vers le bas, et je lui fait remarquer que c’est sympa. Nous la complimentons pour son nouveau look. Je vois à ses tétons pointés que cette séance l’a un peu troublée. Elle promet à Valy de refaire du naturisme lorsqu’elles sont entre elles à condition que Valy renouvelle sa promesse de porter quelque chose quand Ben sera de retour.


Jeudi 17 août 1989

Ber est en train de me prendre en levrette quand le téléphone sonne. Je décroche, et c’est Valy qui me tiens au courant:
- C’est bon, ma mère prend goût à la vie sans vêtements. Il a fallu que je la pousse encore un peu le lendemain, mais dès le mardi elle s’est mise directement à poil dès son retour du boulot. Mais quand Ben est revenu dimanche, ça a été la fin.
- Oui, il fallait s’en douter. Elle allait pas te laisser rester nue en sa présence.
- Oh, mais je suis pas restée inactive! Dès son retour, j’ai tenu la promesse de pas me balader à poil devant lui. Donc, je portais un string et un débardeur. Ma mère à un peu protesté, mais elle a été obligée de reconnaitre que ma tenue, c’était «quelque chose», comme promis, même si ce n’est pas beaucoup. Et depuis, je mets rien de plus, et parfois seulement le string.
- J’imagine la tête de ton frère!
- Ah, c’est sûr, ça l’a d’abord estomaqué, mais ça lui plait bien vu la forme de son short. Il en fait même profiter ses deux potes hier.
- Raconte!
- Quand ils sont arrivés, j’étais dans le jardin en train de bronzer.
Comme ils étaient du côté de mes pieds, je me suis redressée sur les coudes et j’ai tourné la tête pour leur dire bonjour.
Imagine la vue qu’ils avaient sur la ficelle dans ma raie! Un peu plus tard, je suis entrée pour aller me chercher à boire.
Ils étaient prêts à exploser quand je leur ai tourné le dos pour me pencher en prenant une bière au frigo.
Je pense que le soir ils se sont tous branlés en pensant à moi, même Ben!
Et je n’ai même pas la moindre honte à ce que ce soit mon frère.
- Eh bien, bravo, continue! Oh oui, plus fort!
- Comment ça plus fort?
- Euh, rien, c’est Ber qui est en train de me bourrer pendant qu’on parle.
- Ah, évidement, j’aurais du m’en douter! Alors profitez bien, et à bientôt!


Samedi 2 septembre 1989

Ber est de retour de Corse, avec des nouvelles intéressantes. En octobre, il doit monter à Jausiers, dans les Alpes du Sud, pour remettre en marche une Auberge de Jeunesse et en prendre la direction. Courant septembre, nous devons y monter pour qu’il fasse le point des travaux à faire dans le centre pour la réouverture. Pour fêter ça, nous recevons Valy à la maison.
Elle est de plus en plus libérée dans les ébats. M’ayant déjà vu le faire, elle met un doigt dans le cul de Ber en le pipant.


Mercredi 13 septembre 1989

Nous sommes sur l’autoroute qui descend des Alpes, assez tard dans la soirée. J’ai un bonne envie de pisser depuis un bon moment, et là, je ne peux plus tenir. Ber sort à l’aire du Pont Mirabeau, et s’arrête à quelque distance du bloc sanitaire. L’aire étant déserte, il me lance :
- Chiche, tu y vas à poil !

Je ne me dégonfle pas. J’enlève ma robe légère sous laquelle je ne porte rien, et je garde juste mes sandales pour marcher. Je vais tranquillement aux toilettes, et je me soulage enfin. Juste comme je finis, j’entends le bruit d’une voiture qui s’arrête pile devant le bloc. J’entends une voix de femme qui dit à quelqu’un qu’elle fait vite. Sans me démonter, je tire la chasse et sors du WC. Je tombe pile sur une femme qui reste bouche bée de se trouver devant ma nudité. Je prends un air décontracté, et je me rince les doigts au lavabo en lui disant :
- Avec cette chaleur, on ne sait plus quoi se mettre !

Puis en sortant du bloc, je me retrouve au niveau de leur voiture, avec son mari médusé, et à l’arrière un ado, sans doute leur fils, qui vu son air ahuri mettra du temps à réaliser ce qui se passe. Je leur adresse donc un petit signe en souriant, et je m’éloigne sans me presser pour qu’ils profitent au maximum du balancement de mes fesses. Dès que je suis dans la voiture, Ber démarre. Il s’est mis à poil pendant mon absence et il bande dur. Je le branle pendant que nous reprenons la route. Au péage de Meyrargues, nous sommes encore à poil, et la caissière est tellement étonnée qu’elle n’a pas le temps de réagir. Nous nous arrêtons sur l’aire suivante pour nous nous rhabiller.


Samedi 23 décembre 1989

Depuis octobre, rien de spécial. Nous sommes installés à Jausiers et en attendant de trouver un appartement, Bernard occupe une chambre de fonction derrière le bureau.
Tout est calme jusqu’à aujourd’hui, véritable début de la saison. Comme il y a un groupe de clients à l’Auberge dès mardi pour la semaine du réveillon, nous sommes descendus passer un peu Noël en famille avant.

Dimanche soir nous allons chez celle de Ber, et lundi midi chez la mienne. Aussi, pour s’amuser un peu, ce soir nous avons invité Valy à la maison. J’en profite pour étrenner mon costume de Mère Noël, trois petits coeurs rouges bordés de dentelle sur les tétons et le pubis, plus une pince rouge dans les cheveux. Malgré cette tenue, je n’ai pas froid car nous nous activons assez pour nous réchauffer.


Lundi 1er janvier 1990

Ce matin, les clients de l’Auberge se réveillent assez tard, et je mets un peu d’ambiance en allant au bloc sanitaire juste entourée d’une petite serviette qui couvre l’essentiel.


Jeudi 12 avril 1990

Ben étant allé passer une semaine chez son père, Valy a relancé un stage intensif de naturisme familial pour sa mère. Et apparemment Marie-Lou s’y est remise sans problème. Ce soir, Valy m’appelle pour me raconter sa mésaventure de la veille.

Elle venait de prendre une douche pour se rafraîchir, mais comme en fait elle s’était un peu tripotée en se lavant, elle a continué sur son lit avec son vibro. Elle était tellement absorbée par sa manœuvre qu’elle n’a pas entendu sa mère l’appeler pour venir dîner. Il semblerait pourtant qu’elle ait appelé plusieurs fois, sans succès. N’ayant pas de réponse elle est montée la chercher. Elle est entrée sans prévenir, croyant la trouver avec des écouteurs à fond sur la tête, mais elle l’a surprise jambes grandes ouvertes et le gode planté dans la chatte. Elle sont restées figées toutes les deux:
- Alors, Valy, tu… mais qu’est-ce…
- Dis, tu pourrais frapper avant d’entrer!
- Euh… oui, excuse-moi… Euh, le dîner est prêt…
- OK, j’arrive tout de suite. Tu m’as coupé l’envie, de toute manière!

Elle l’a rejointe à table et elles ont parlé de l’incident. Finalement, Valy a fait valoir que c’était assez naturel à son âge d’avoir des besoins et Marie-Lou a admis qu’en effet ça lui manquait à elle aussi depuis quelque temps. Mais elle n’a pas accepté la proposition de Valy de lui prêter son jouet. Jouet que Valy s’est empressée de ré-utiliser dès qu’elle est retournée se coucher, en repensant à la situation précédente qui la faisait mouiller. Affaire à suivre…


Jeudi 24 mai 1990

Coup de fil de Valy:
- J’ai fait très fort hier! ma mère était sortie pour l’après-midi, et les deux copains de Ben étaient là. Comme d’habitude depuis le retour des beaux jours, j’étais en string sur la terrasse et eux me mataient à mort les fesses par la fenêtre du salon. Tout à coup, j’ai fait semblant de réaliser l’heure qu’il était, et je suis rentrée en disant que j’allais être en retard à mon rendez-vous en ville, rendez-vous fictif évidemment. Je suis allée prendre une douche, et je suis redescendue mal entourée dans une serviette trop petite qui s’ouvrait sur mon minou, sous le prétexte que ce que je voulais mettre était sur l’étendage. Je suis passée comme ça devant eux, médusés. Je suis revenue avec des affaires à la main et j’ai laissé tomber au milieu du salon un string en dentelle en faisant mine de ne pas m’en apercevoir. Quand je suis repassée une fois habillée, le string avait disparu. Je suis allée à la porte d’entrée, que j’ai claquée pour leur faire croire que j’étais sortie, mais je me suis planquée dans le recoin de l’entrée. Je les ai entendu faire des commentaires sur mon épilation et sur mon string, qu’ils avaient ramassé et ça a été l’escalade. Un des amis a proposé de l’enfiler, et Ben est monté en chercher deux autres dans mes tiroirs. J’ai profité de la confusion pour jeter un coup d’œil discret. Ils étaient trop mignons, dans mes strings! Comme ils bandaient, leurs bites dépassaient au dessus du tissu, ça cachait tout juste leurs couilles. Soit dit en passant, mon frère en a une belle, pas autant que Ber, mais correcte! Ça c’est terminé par un concours de branlettes et ils ont giclé sur le carrelage. Pendant qu’ils étaient occupés à tout nettoyer j’ai pu quitter la maison sans bruit. Quand je suis revenue, ma mère était rentrée, les copains étaient partis, et les strings avaient réintégré leur place.
- Super, il faut absolument qu’on monte un coup à ton frère!

Lundi 25 juin 1990

Je suis en train de bronzer au plan d’eau de Jausiers quand je vois arriver Isa, la fille de service de l’Auberge.

Elle profite des horaires de fermeture de l’Auberge pour venir prendre un bain.
Comme elle passe près de moi, je lui fais signe et elle s’installe à mes côtés.

En papotant, je lui fais part de mon regret:
- J’ose pas bronzer topless, je serais bien la seule ici.
- C’est vrai, ils sont plutôt classiques dans ce village.
- Et si on profitait de la terrasse de l’Auberge, demain?
- Oui, c’est une bonne idée, tu seras plus tranquille, comme ça.

Comme elle est en bikini, je note au passage qu’elle est super bien foutue et le soir je parle de ma petite idée à Bernard:
- Tu sais, on s’était dit qu’on pourrait se trouver des partenaires sexuels ici. Et en voyant Isa au plan d’eau, j’ai pensé: pourquoi pas elle?
- Ah non, pas avec quelqu’un du travail, ça peut devenir une source de problèmes.
Mais sinon, j’aurais été plutôt pour, elle est assez bandante.
- Je me doutais que tu l’avais remarqué. On pourrait tâter un peu le terrain. D’ailleurs, je me suis entendue avec elle pour bronzer sur la terrasse de l’Auberge pendant les heures de fermeture. Je vais me mettre en string, histoire de voir sa réaction.
- Chiche, moi aussi!


Mardi 26 juin 1990

En fin de matinée, je me mets donc directement en string dans un transat sur la terrasse de l’Auberge alors qu’Isa est en bikini normal.

Elle est évidemment un peu surprise quand Ber revient en string lui aussi, un modèle bandeau, mais elle n’a pas l’air trop gênée tout de même.
Quand je me rhabille pour aller au boulot, il reste dans cette tenue pour attaquer du rangement à l’accueil et finalement elle de faire pareil en enfilant juste son tablier de ménage sur son maillot.

Ber me rapporte le soir que Lisette, la cuisinière qui a la cinquantaine passée, n’a rien dit en arrivant dans l’après-midi pour préparer son service du soir, mais elle avait l’air de ne pas trop approuver ça.

Comme elle était encore en train de maugréer dans la cuisine un bon moment plus tard, il a vite mis les choses au point:
- Nous sommes entre adultes.l n’y a pas dans notre règlement intérieur interdisant le port du maillot de bain sur le lieu de travail. Et ces maillots sont en vente libre.
Donc vu la chaleur, attends-toi désormais à me voir comme ça pendant les heures de fermeture à la clientèle. Et pareil pour qui le voudra. Des choses à dire?

Isa a voté pour et Lisette s’est abstenue, donc motion adoptée.


Vendredi 29 juin 1990

Isa s’est vite habituée à nous voir bronzer dans cette tenue, et elle commence aujourd’hui à nous accompagner en enlevant enfin le haut.

Elle a des seins superbes qui tiennent bien droit avec des tétons pointus.
Du coup, elle fait le ménage en monokini sous son tablier.

Par contre, Lisette ne sait pas quelle attitude prendre devant cette nouvelle mode.
Elle se cantonne dans sa cuisine.


Jeudi 28 juin 1990

Ce matin, Isa nous fait la surprise de porter elle aussi un string, un rouge aux ficelles un peu larges. En fait, elle l’avait déjà utilisé à la mer, mais elle n’avait pas encore osé le porter ici.


Samedi 30 juin 1990

Aujourd’hui, étant de repos, il est prévu que je reste déjeuner avec eux.
Pour l’occasion, nous avons réduit la voilure, moi en mettant un string très mini, genre confetti et Ber un cache-sexe qui est juste une poche avec trois ficelles.

Après le déjeuner, depuis mon transat sur la terrasse j’ai une vue directe sur le hall d’entrée. Ber fait de la paperasse au comptoir et regarde le cul d’Isa qui fait le ménage. Quand elle se baisse, le tablier baille sur ses seins qui ballottent et s’ouvre sur ses fesses séparées par le cordon du string.
Heureusement qu’il est derrière le comptoir car je sais qu’il est en train de bander.

Je vais le rejoindre et je jette un coup d’œil à sa bite qui pointe fièrement au dessus de la poche du string qui ne contient plus que les couilles. Histoire de l’aider, je le branle discrètement sans gestes trop visibles jusqu’à ce qu’il me fasse signe qu’il va venir. Je me baisse alors rapidement derrière la banque et reçois ses giclées dans la bouche. Je me relève et monte à l’étage pour me branler tranquillement sur notre lit car ça m’a vraiment bien excitée.
Quand je redescends, je constate que la bite de Ber a réintégré le string. Isa, toute à son travail, ne s’est rendu compte de rien.

Plus tard dans la soirée, Ber me dit qu’après avoir bien calculé le pour et le contre il a finalement décidé de ne pas essayer d’inclure Isa dans nos jeux sexuels.
Comme elle dort dans une chambre de service juste à côté de la notre, elle entend forcément nos ébats. Mais malgré ça elle n’a pas l’air de montrer de l’excitation nos même de l’intérêt.

De plus, en cas de refus ça foutrait un gros malaise au travail.


Lundi 9 juillet 1990

Quand je reviens de faire des courses à Gap, Ber me raconte la blague qu’il vient de faire à la fois à Isa et à la nouvelle commerciale de leur fournisseur en surgelés.

Il savait qu’elle devait faire sa tournée de présentation, mais il n’a pas prévenu Isa de cette visite. Comme elle a pris l’habitude maintenant de faire le ménage en tenue légère, il a veillé à ce qu’elle reste juste en string pendant la pause du midi.

Le timing était bon, car Ber a entendu un quart d’heure plus tard par la porte grande ouverte de l’Auberge un “Oh” de surprise. C’était la représentante qui venait de tomber sur les fesses d’Isa sur la terrasse.

Surprise aussi, Isa s’est justifiée de sa tenue légère en se masquant les seins:
- Oh pardon, je ne savais pas que quelqu’un allait venir, ce sont nos heures de fermeture. Et comme il fait chaud, j’ai l’habitude de me mettre à l’aise…
- C’est moi qui m’excuse de faire irruption. Mais je dois dire que votre tenue, euh, minimaliste m’a un peu surprise. Votre directeur est là?
- Oui, il est à l’intérieur. Venez, je vous accompagne.

Ber a fait mine de s’affairer dans le local des matériels de sport. Isa l’a appelé:
- Bernard, il y a quelqu’un qui te demande!

Et elle a fait entrer la femme qui s’est retrouvée un peu gênée de se retrouver face à Ber en string lui aussi. Tandis qu’Isa s’éclipsait discrètement vers la cuisine, il lui a proposé de se mettre au comptoir, et ils ont commencé à faire le point de la saison et des nouveautés au catalogue. Puis, comme il était question des améliorations à porter aux livraisons, il lui a proposé de lui montrer la configuration des lieux:
- Bon, voila, on y va? Ça ne vous dérange pas trop que je sois en maillot?
- Euh un peu tout de même. Surtout ce type de maillot…
- Si je peux me permettre une plaisanterie, pour quelqu’un qui vend des surgelés, vous me paraissez un peu frileuse.

La femme a fini par passer outre sa surprise et l’a suivi. Ils ont retrouvé Isa dans la cuisine, et c’est entourée de toute cette quasi-nudité qu’elle a fait la visite.

En l’absence de gestes et d’attitudes équivoques, elle s’est un peu décontractée tout de même. Du coup elle a demandé à Ber:
- Dites, vous faisiez comme ça avec mon prédécesseur?
- Oh, vous savez, il se contentait de téléphoner et d’envoyer les brochures.
- Et vous n’avez pas peur que quelqu’un soit choqué par vos tenues…euh…légères?
- Evidemment, on ne reçoit pas les clients comme ça. Mais quand l’Auberge est fermée, on ne se gêne pas entre nous, puisque personne ne nous voit.
- Oui, mais là, moi je l’ai vu.
- C’est vrai, j’étais plongé dans mon rangement de matériel et que je n’avais pas vu l’heure, et de plus je n’avais pas prévenu Isa de votre venue. J’y veillerai à l’avenir.

Elle doit repasser en fin d’été.


Lundi 27 août 1990

Ce matin, la commerciale des surgelés revient pour présenter les nouveautés.

J’ai décidé de les assister un peu, et quand elle arrive vers 11 heures, je suis dans un transat en train de prendre le soleil en sling.
Isa et Ber sont dans une tenue aussi légère, elle faisant un peu de rangement dans la cuisine, lui mettant de l’ordre au comptoir.

L’ayant vue arriver, Ber sort sur la terrasse.

La femme est un peu étonnée de cet accueil:
- Euh, bonjour, vous ne m’attendiez pas, cette fois encore?
- Oui, bien sûr, je n’ai pas oublié notre rendez-vous. Mais comme vous nous avez déjà vus comme ça, on s’est dit que maintenant nos tenues décontractées ne vous gêneraient plus. Et par la même occasion, je vous présente ma femme.

Elle regarde le sling dont les bretelles passent pile sur mes tétons et dont l’entre-jambes très échancré en haut révèle bien que je n’ai aucun poil par là. Puis le maillot string de Ber et celui d’Isa qui sort à son tour sur la terrasse.

Elle en conclut:
- Oui, bon, c’est vrai que ce n’est pas la première fois. Mais tout de même…

Ber lui propose de prendre place dans les transats près de moi pour examiner les catalogues, et j’en profite pour suggérer à la nana:
- Vous savez, le mieux pour vous sentir moins gênée, c’est de faire comme nous.
- Oh, je n’oserai pas, surtout chez des clients!
- Oubliez ce détail, ça restera entre nous. Allez, lâchez-vous et profitez du soleil!

Comme Ber abonde dans mon sens, elle objecte qu’elle n’a pas de maillot. Je propose donc de lui en prêter un et elle capitule en marmonnant :
- Je le crois pas, ce que vous arrivez à me faire faire…

Elle me suit dans la chambre ou elle se change rapidement. Elle s’appelle Sophie et je choisis de la tutoyer. Elle aurait bien aimé mettre un haut, mais je lui dis que je n’en ai pas. De toute façon, elle n’a pas grand chose au balcon.

Je la ramène dehors et elle s’assoit comme ça, entourée de Ber et Isa qui prennent connaissance des nouveautés du catalogue. Elle est un peu empruntée tout de même au début, mais de parler de travail ça la décontracte enfin.

Je le lui fais remarquer et elle répond:
- Oui, c’est vrai qu’on s’y fait. Mais tout de même, avoue que ton maillot est assez… disons… léger. Même pour un string. Et ces bretelles sur les tétons…
- C’est vrai, mais on s’y fait, non?
- Oui, mais j’avoue que ces minuscules bouts de tissus qui dévoilent presque tout m’ont bien gênée au début.

Elle nous quitte en étant tout de même bien plus à l’aise.

A suivre…

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Superbe trop hâte de lire la suite
Posté le 4/12/2023

Anonyme
super la suite svp merci
Posté le 11/06/2023

Anonyme
Un récit bien emoustillant..
Posté le 21/10/2020


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