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La punition de Brigitte

Histoire déjà publiée sur l'ancien site mais remaniée, je vous la propose à nouveau. La punition de Brigitte, femme mariée, pour sa première infidélité. Elle découvrira un plaisir inconnu pour elle entre les mains de multiples partenaires choisis par son mari.

Proposée le 12/09/2018 par Marc Paul

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Thème: Femme soumise
Personnages: Groupes
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Roman


Brigitte était couchée sur la banquette arrière du monospace que Thierry conduisait à vive allure, comme d'habitude, peut-être plus vite que d'habitude. Brigitte avait les yeux bandés, Brigitte ignorait où Thierry l'emmenait. Mais Brigitte n'était pas inquiète, elle était heureuse même. Heureuse que Thierry lui pardonne enfin. Et pour cela elle était prête à tout pour qu’il oublie sa faute.

Une petite faute, Brigitte l'avait trompé, une seule fois, en dix ans de vie commune. Avec un jeune homme, un vendeur de vêtements d’une vingtaine d’années. Elle en aurait quarante dans deux mois.

Mais ce jeune homme était si beau, un véritable apollon, qu'elle n'avait pas su résister au charme de ce vendeur de vêtements qui lui avait fait une cour rapide, intense, brutale même. Ils étaient seuls dans la boutique en ce début de cette après-midi où sa vie allait basculer. Brigitte avait tout son temps et passa une bonne heure à choisir, à essayer, et à rejeter des robes, des jupes. Le vendeur commença rapidement à la draguer, il lui fit des compliments sur sa silhouette, sur ses formes. Petit à petit, il entrouvrit le rideau de la cabine alors qu'elle était encore en sous-vêtements. Pas une seule fois, Brigitte ne protesta. Pas une seconde, elle ne songea à fuir. Au contraire, elle minaudait, ne refermait plus totalement le rideau de la cabine. Elle avait envie qu'il la regarde de son regard brillant. Elle voulait qu'il la désire.
Brigitte était comme folle, sous le charme de ces yeux noirs. Il aurait suffi que quelqu'un entre dans la boutique pour que le charme soit rompu. Mais personne n'entra.
Brigitte frémit quand il la toucha la première fois, quand sa main se posa sur son épaule dénudée. Et quand ses doigts fins effleurèrent ses reins, elle se retourna et lui offrit sa bouche. Ils s'embrassèrent longuement, leurs langues s'enroulèrent l'une autour de l'autre, collés l'un à l'autre dans la cabine exiguë. Ils se séparèrent ensuite et le vendeur alla tranquillement verrouiller la porte de la boutique et fit descendre le rideau métallique.

Brigitte l'attendit debout dans la cabine dont le rideau grand ouvert ne la cachait pas. Elle n'avait que sa culotte et son soutien-gorge. Elle attendit que le beau vendeur revienne. Il l'emmena vers l'arrière de la boutique en l'entraînant de son bras enlacé autour de sa taille. Il la conduisit vers son bureau, une petite pièce sans fenêtre. Il l'embrassa encore, sans un mot, la poussant doucement vers la petite table encombrée de papiers qui lui servait de bureau. Ses fesses heurtèrent le bord de la table. Il l'embrassait encore et toujours. Ses mains s'affairaient dans son dos, bataillaient un peu avec l'agrafe de son soutien-gorge. Le soutien-gorge perdit la bataille. Brigitte sentit ses seins s'affaisser légèrement, libres. Les fines bretelles glissèrent sur ses bras. Il jeta le sous-vêtement sur une chaise. Puis le vendeur posa ses mains sous ses fesses, et la souleva pour la faire s'asseoir sur la table. Dans le même mouvement, il la poussa en arrière pour qu'elle s'y allonge et des épaules à la taille, ses doigts parcoururent son buste, ses seins aux tétons durcis, son ventre palpitant de désir et agrippèrent la ceinture élastique de sa culotte. Le petit morceau de dentelle offrit beaucoup moins de résistance que le soutien-gorge. Il glissa sur ses cuisses avant de le rejoindre sur la chaise. Le vendeur tomba à genoux comme terrassé par le spectacle de cette beauté offerte. De ses deux mains, il lui saisit les chevilles et levant les bras dans un V de victoire, il lui ouvrit les jambes en les relevant.

Brigitte se cambra, offrant à l’homme son pubis à la courte toison, soigneusement épilée. Sa vulve gonflée s'ouvrit comme un bourgeon en exhalant son parfum enivrant. L’homme posa ses lèvres sur cette fleur violacée, sa langue s'enfonça entre les replis de chair. Brigitte gémit de plaisir.

La langue du vendeur parcourait cette vallée en tous sens, n'hésitant pas à s'aventurer dans ses recoins les plus profonds, dans ces renfoncements sombres, chauds, humides et odorants.

Brigitte gémissait. Mais la langue du vendeur, taquine, évitait soigneusement l'entrée de cette vallée de plaisir, là où un petit bouton s'érigeait. Brigitte était délicieusement frustrée. Quand, enfin, Il s'intéressa à son clitoris durci par le désir, quand des ondes de plaisir irradièrent son ventre, ses seins gonflés, ses tétons érigés, Brigitte poussa un petit cri. A partir de cet instant, elle perdit un peu le sens des réalités, la langue du jeune homme exécuta alors une farandole tourbillonnante sur sa vulve, n'en négligeant désormais plus aucun recoin. Brigitte se cambra violemment, brutalement, en appui sur l'arrière de son crâne, les épaules décollées de la surface du bureau, les mains agrippées au rebord. Brigitte jouit en criant, le corps agité de contractions violentes.

Quand le jeune homme lui saisit à nouveau les chevilles pour les poser sur ses épaules, Brigitte reprit ses esprits. Il était nu.

Brigitte sentit son membre inconnu forcer l'entrée de son ventre, dilater ses chairs, prendre possession de son intimité. Il fit coulisser sa verge dans son sexe béant. Dix ans qu'aucun autre homme que son compagnon n'avait visité sa grotte, ce beau jeune homme était le premier depuis dix ans. Brigitte se sentait comme une vierge que l'on déflore. Elle aima cela et en jouit une seconde fois, sans qu'il n'accélère ses coups de reins. Le jeune homme laissa retomber ses jambes et la releva. Il la retourna pour lui appuyer le buste sur le bureau. Brigitte, la joue posée sur une facture, saisit de ses mains les globes de ses fesses et les écarta. Il ne lui avait rien demandé, mais elle savait qu'il voulait cela et elle en avait envie. Il la sodomisa doucement, s'enfonça dans ses entrailles offertes.

Brigitte jouit de nouveau, empalée par ce dard qui lui donnait tant de plaisir. Malgré les brumes de son orgasme, Brigitte sentit le dard enfler, les mouvements de bassin du vendeur devenir plus rapides, plus brutaux, violents quand sa semence se répandit dans son ventre.

Brigitte rentra un peu chancelante, après avoir embrassé longuement son bel amant sur le trottoir devant la boutique à nouveau ouverte.

Ce baiser d'adieu fut l'erreur que Brigitte commit et qui allait la conduire sur cette banquette arrière, les pieds et les mains liés, les yeux bandés.

Thierry passait par là, sortant du métro pour rentrer chez lui. Et Thierry la vit, elle, Brigitte, embrasser un jeune homme sur le trottoir devant une boutique de mode. A cent mètres de chez eux. Il fit quelques photos avec son téléphone.

Thierry lui montra les photos, lui jetant presque le téléphone à la figure. Brigitte sanglota, tenta de trouver des excuses. Mais pendant des semaines, Thierry ne desserra pas les mâchoires, dormit dans la chambre d'ami. Brigitte était désespérée, ne voyant pas d'issue, ou plutôt n'en voyait qu'une seule mais qu’elle refusait d'envisager. Elle était prête à tout sauf à la séparation. Brigitte lui en fit part...L'issue arriva au bout d'un mois. Elle devait accepter, pour une soirée, de se soumettre. Thierry, et lui seul, déciderait de ce qu’elle devrait subir pour sa pénitence.

Et c'est ainsi que Thierry conduisait le monospace rapidement vers une destination que Brigitte ignorait. La voiture ralentit enfin et s'arrêta. Il ouvrit la portière et dénoua la cordelette qui liait ses chevilles. Il l'entraîna.

Brigitte le suivit encore engourdie par sa longue immobilité forcée. Thierry la fit entrer dans un bâtiment, toujours aveugle, elle sentait maintenant un sol lisse et dur sous ses semelles. Elle marcha un peu, guidée par son homme. Puis la pression de sa main sur son bras cessa, et Brigitte entendit ses pas s'éloigner. On lui délia ses poignets. Qui la libérait ? Brigitte l'ignorait. Elle ne se posa pas plus de questions. Depuis que Thierry lui avait communiqué les conditions de son châtiment, elle avait décidé de ne plus s'interroger. Thierry l'avait voulu soumise, elle le serait totalement, pour le garder, pour qu’il reste avec elle.

Silencieusement, on lui délia les mains puis on ôta ses vêtements. Sa robe légère, puis son soutien-gorge et sa culotte. Thierry ne lui avait donné aucune indication, aucun ordre concernant sa tenue vestimentaire. Brigitte avait donc choisi ses vêtements elle-même, prenant ses plus beaux atours. Elle aurait aimé savoir ce qui se tramait, même si elle le savait au fond d'elle-même, même si elle redoutait, malgré sa docilité, ce qui allait se passer. Enfin on lui enleva le bandeau qui l'aveuglait. Brigitte cligna des yeux, aveuglée par la lumière crue qui agressait ses yeux trop longtemps contraints à l'obscurité totale. Elle se trouvait dans une pièce aux murs couverts de faïence blanche. Une sorte de salle de bains avec une douche dans l'angle devant elle. Une salle de bains fortement éclairée. Un homme, chauve, le visage couvert d'une barbe poivre et sel, habillé d'une tunique et d'un pantalon blanc se trouvait dans la pièce. Sa tenue vestimentaire ressemblait à celle d'un infirmier. Brigitte l'observa. L'homme était grand, très grand, corpulent, des bras énormes, des mains puissantes. Il avait un visage impassible, ses yeux noirs surmontés de sourcils broussailleux n'exprimaient rien, pas même un peu de désir à la vue de son corps dénudé. Brigitte frémit. Elle avait peur d'être seule avec cet homme terrifiant, de ce qu'il pourrait lui faire subir.

L’homme la fit s'asseoir sur une table d'examen médical. Brigitte avait déjà vu ce genre de table chez son gynécologue et il lui fit prendre la même position que le médecin. Couchée sur le dos, Brigitte avait les talons dans les étriers, offrant à l’homme son sexe exhibé. Il se saisit d'un rasoir et lui rasa soigneusement le pubis et le périnée. Puis, abandonnant le rasoir, il prit d'une poire à lavement et introduisit la canule dans son vagin. Brigitte se sentit remplie d'une eau tiède. Elle tenta de la retenir mais la grosse patte de l’homme appuya sur son ventre et elle se vida dans la cuvette sous la table. Deux fois, trois fois, il recommença avant de faire subir le même traitement à son rectum. Brigitte était morte de honte de cette toilette intime imposée par ce colosse à l'aspect inquiétant qui la traitait comme un objet, comme un morceau de viande.

Il la fit enfin se relever. Brigitte se sentit un peu soulagée car pendant qu’elle était allongée, à la merci de cet homme qui la révulsait, elle avait craint qu'il ne la viole, qu'il ne la baise comme une chienne. Debout, elle pensa que ce danger était écarté...Il la conduisit sous la douche et ouvrit le robinet. Sous le jet de la douche, il la savonna à main nue, ne négligeant aucun endroit de son anatomie, insista même sur les endroits les plus intimes. Puis il la sécha dans une grande serviette, avant de frictionner tous son corps avec un lait de toilette parfumé. L’homme la coiffa ensuite, un brushing rapide - ses cheveux bruns coupés court n'en exigeaient pas plus - et il termina en plaquant ses cheveux sur son crane avec un gel. Il la fit de nouveau s'allonger sur le lit médical et posa à nouveau ses jambes dans les étriers. Brigitte sentit son cœur s'accélérer. Cette fois, pensa-elle, il va me baiser... Mais elle ne dit rien... docile... mais aussi un peu rassurée par la douceur de la douche qu'il venait de lui faire prendre. Le colosse passa des gants en latex et déposa sur les doigts de sa main droite un peu de gel translucide. Il introduisit deux doigts dans son vagin asséché par le lavement. Il fit tourner ses doigts dans son ventre, provoquant un début de lubrification. il retira ensuite ses doigts et remit du gel sur son index. Cette fois-ci, il força son anus de son gros doigt. Il lubrifia ce deuxième orifice, aussi consciencieusement qu'il l'avait fait pour le premier. Brigitte était sûre maintenant, qu'après l'avoir lavée, coiffée, lubrifiée, il allait maintenant prendre du plaisir avec elle, qu'il allait la baiser comme une chienne, la sodomiser inévitablement. Sinon pourquoi aurait-il pris tant de soins ? A quoi cela rimerait-il, s'il ne jouissait pas de son corps offert ?

Mais Brigitte se rendit compte rapidement qu'elle se trompait lourdement car l’homme la fit s'asseoir sur la table d'examen après avoir essuyé méticuleusement l'excédent de gel sur sa vulve et son anus. Elle sentit son pouls s'accélérer. L’homme se saisit d'une trousse de maquillage sous la table et la farda habilement. Son cœur battait la chamade, son rythme cardiaque atteint des sommets car si cet homme ne la baisait pas, s'il prenait tant de précautions à soigner son aspect plutôt que de se satisfaire, c'est parce qu'il avait des ordres. C'est parce que quelqu'un lui avait ordonné de la préparer en vue de quelque chose d'autre. Quelque chose de bien plus terrible qu'une simple copulation, agrémentée d'une sodomie, avec un géant à l'aspect repoussant. Brigitte frémit en tentant d'imaginer ce que son homme lui avait préparé comme punition. Quand le colosse lui passa un serre-taille et serra les lacets à lui couper le souffle, Brigitte eut la confirmation de ses craintes. D'autant plus qu'il chaussa ses pieds de sandales à talons vertigineux et attacha à ses poignets et à ses chevilles de larges bracelets de cuir noir auxquels pendaient quatre chaines qu'il réunit dans son dos.
L’homme l'entraîna dans un long couloir. Brigitte se vit dans un miroir et ne put s'empêcher de se trouver belle, sexy en diable. Les talons de quinze centimètres la grandissaient, affinaient sa silhouette. Le corset qui l'empêchait de respirer resserrait sa taille, faisait ressortir ses seins, élargissait ses hanches, augmentant encore la grâce de ses jambes. Elle remarqua que le maquillage que lui avait fait l’homme était parfait. Même si le bleu pailleté sur ses paupières, le vermillon de ses lèvres était trop vifs, trop licencieux, même si le trait d'eye-liner qui ourlait ses paupières était trop large, trop gras, trop noir, Brigitte supposait que son apparence avait de quoi réveiller la libido de n'importe quel mâle. « J'ai tout de même l'air d'un putain. », pensa-t-elle.

Le colosse la conduisit sur une sorte d'estrade à peine plus grande qu'un lit, entourée de rideaux. Il l'attacha sur une croix, fixant ses chaines à des anneaux, les bras en l'air, les jambes écartées. Une lumière crue, violente tombait du plafond. Il ouvrit les rideaux et un murmure d'approbation parcourut la pénombre devant elle.
Brigitte ne voyait rien, ne distinguait aucun visage, aveuglée par les projecteurs pointés sur elle mais elle devinait des regards lourds, nombreux, concupiscents, posés sur elle. Elle ne vit que Thierry, assis dans un fauteuil, face à elle. Thierry et un autre homme debout derrière un pupitre.

L'homme demanda le silence et quand le bourdonnement de l'assemblée cessa, il demanda :
- Mes amis, si vous vous voulez annuler vos propositions, il est encore temps !

Il laissa passer quelques secondes avant de s'adresser à Thierry :
- Cher ami, c'est à vous...

Thierry arracha une feuille d'un carnet qu'il avait sur ses genoux et le tendit à l'homme qui annonça :
- Le numéro 32 pour quinze minutes !

Brigitte frémit en pensant qu'il y avait au moins 32 personnes ici pour la baiser.

Car elle n'avait plus aucun doute maintenant que Thierry avait organisé toute cette mise en scène, tout ce protocole, pour qu’elle se fasse baiser par des hommes en sa présence. Elle en comprit un peu plus quand N°32 s'approcha de Thierry et lui tendit un billet de 100€. Non seulement, son mari la donnait à des hommes mais il vendait son corps. Il la traitait comme une putain. Elle était sa putain.

N°32 s'approcha de Brigitte. Perdue dans ses pensées, elle remarqua à peine qu'il semblait assez jeune et plutôt beau gosse. Brigitte n'eut pas le temps de le détailler plus que cela avant qu'il ne commence à lui pétrir les seins à pleines mains, lui tordant les tétons. Après cette brève entrée en matière, N°32 mit ses doigts dans sa bouche, la forçant à les sucer puis il enfonça ses deux doigts dans son vagin. N°32 la branla violemment pendant cinq minutes. En effet, le colosse un peu en retrait derrière elle, tenait le chronomètre et annonçait d'une voix grave, impassible le temps restant. Et quand il annonça « 10 minutes », N°32 cessa de la branler pour libérer ses mains et la faire se mettre à genou. Il couvrit son membre avec le préservatif que Thierry lui avait donné en échange du billet. N°32 passa derrière Brigitte et la prit en levrette. Il la défonça d'abord lentement en la prenant par les hanches. Brigitte ne fermait pas les yeux comme elle en avait l'habitude quand elle baisait. Cette fois-ci, Brigitte regardait fixement son compagnon, impassible qui observait la scène mais le regard absent, sans la voir. Quand le colosse annonça « 5 minutes ! », N°32 accéléra la cadence en grognant et soufflant comme un bœuf. A « 3 minutes ! », il se vida en elle puis se relevant, il ôta sa capote remplie de semence et lui fourra son membre dans la bouche. Brigitte le suça, nettoyant sa verge de tout le sperme jusqu'à ce que « Terminé » retentisse derrière elle. N°32 disparut dans la pénombre pendant que Thierry tendait un nouveau papier arraché du carnet à l'homme au pupitre. Celui-ci annonça :- Numéros 8 et 9. Quinze minutes !

Deux hommes s'approchèrent et tendirent chacun un billet à son compagnon toujours impassible. Brigitte avait gardé sa position à genou et l'un des deux hommes, N°9 la fit se relever pendant que l'autre se tenait devant elle, le sexe en pleine érection. N°9 la prit par les hanches tandis que N°8 la saisit par les épaules pour la faire basculer en avant. N°9 lui enfonça son sexe dans le vagin et pour garder son équilibre, Brigitte s'accrocha à la taille de N°8. Dans cette position, N°8 eut juste à appuyer sur sa tête pour que son membre entre dans sa bouche. Brigitte n'avait pas d'autre choix que de recevoir son sexe dans sa bouche, au fond de sa gorge même en fonction des coups de reins de N°9.
Brigitte se faisait pénétrer par les deux hommes et chaque avancée de la verge de N°9 au fond de sa grotte provoquait inévitablement la pénétration du membre de N°8 au fond de sa gorge. Brigitte étouffait, avait des haut-le-cœur, tentait de repousser N°8, essayait de résister aux assauts de N°9. Après quelques minutes, Brigitte parvint à caler sa respiration sur les mouvements de N°9 et ainsi à limiter ses nausées. La séance avec N°32 avait été trop courte pour lui provoquer la moindre once de plaisir. Mais, maintenant, le coulissement du membre de N°9 dans son vagin bien lubrifié, les caresses que celui-ci infligeait à son clitoris, les massages que N°8 faisait sur la poitrine pendante, les pincements de ses tétons commençaient provoquer des ondes de plaisirs dans son ventre. Au fil des minutes que le barbu égrenait avec application, Brigitte oublia les personnes qui la regardaient se donner à deux hommes, Brigitte ne regardait plus son homme. De toute façon, le ventre poilu de N°8 était son seul horizon possible. Brigitte se prit à espérer que le barbu se trompe dans son compte à rebours. Brigitte avait envie de jouir, Brigitte allait jouir devant une trentaine de personne, peut-être plus, devant son compagnon qui ne ratait rien du spectacle. Quand le géant barbu annonça 5 minutes, Brigitte ferma les yeux, oublia les regards qui l'observait, oublia le regard de son compagnon et Brigitte se laissa submerger par le plaisir qui montait en elle depuis dix minutes. Avec élégance, N°8 se retira de sa bouche pour la laisser exprimer son plaisir, elle cria comme jamais elle n'avait crié de plaisir. N°9 n'eut pas ce genre de délicatesse et continua de la défoncer avec la constance d'une horloge. Fermement maintenue par les hanches et les aisselles par les deux hommes, Brigitte ne risquait pas de s'écrouler sous le séisme orgasmique qui la fit trembler de tous ses membres.

La courtoisie de N°8 avait des limites : Dès que Brigitte cessa de crier, il enfonça à nouveau son membre dans sa bouche. N°8 et N°9 coordonnaient leurs coups de reins et ils la baisèrent en cadence jusqu'à ce que l'un et l'autre se vident en même temps, l'un dans son vagin, et l'autre dans sa bouche. Et si N°9 portait un préservatif, N°8 en avait été dispensé. Brigitte reçut dans sa bouche sa liqueur grasse et salée. Brigitte avala la crème acre, chose qu’elle avait toujours refusée. Même à Thierry, elle lui imposait de mettre des préservatifs parfumés quand il voulait une fellation totale.

Les deux hommes disparurent dans la pénombre sous les applaudissements de l'assemblée qui semblait les féliciter de l'avoir fait jouir.

A quatre pattes sur l'estrade, la tête basse, le cerveau embrumé par cet orgasme ravageur, Brigitte revenait lentement à la réalité. Brigitte leva les yeux et vit qu'enfin, Thierry lui souriait alors qu’il tendait à nouveau un papier à l'orateur qui annonça :
- Numéros 19, 20 et 21 pour 45 minutes.

Brigitte se préparait avec appréhension à subir trois hommes même si le pâle sourire dont Thierry l'avait gratifiée lui avait redonné une envie toute nouvelle de s'exhiber en totale impudeur et le courage de se donner à des hommes que Thierry choisissait. Sa surprise fut totale quand, au lieu des trois mâles qu'elle redoutait, ce furent trois femelles dont l'une d'elle tendit à son compagnon un gros paquet de billets que Thierry compta avec sérieux. Celle qui avait payé -N°19- était l'aînée du trio. Elle devait avoir une bonne quarantaine, peut-être cinquante ans. Les deux autres étaient plus jeunes, surtout une -N°20- à moins que sa minceur juvénile ne trompe sur son âge réel. N°20 semblait avoir à peine vingt ans. La troisième faisait une petite trentaine. Les trois femmes se ressemblaient beaucoup, Brigitte eut du mal à imaginer qu'une mère puisse accompagner ses deux filles dans un lieu pareil et pour les activités qu'on y proposait.

Mais ce qui la troublait le plus, ce n'était pas la parenté potentielle des trois femmes mais le fait que justement, que des femmes avaient payé pour passer trois-quarts d'heure à avoir des relations saphiques avec elle.

Brigitte n'avait jamais eu envie de coucher avec une fille, ne l'avait même jamais envisagé. Et voilà que Thierry l'obligeait à baiser avec trois filles en même temps. Brigitte espérait de ces femmes un peu plus de douceur mais Brigitte redoutait aussi leur perversité.
Les trois femmes montèrent sur l'estrade. N°19 portait un peignoir blanc, N°21 était dans la plus totale nudité et N°20 ne portait qu'un serre-taille assez semblable à celui qui comprimait sa taille. N°21 tenait un sac en toile. Brigitte s'était relevée pendant que N°19 payait son dû et attendait ses trois futures partenaires debout les jambes écartées car aucun des hommes n'avait pris la peine de libérer ses chevilles de leurs chaines. N°21 s'approcha d'elle et fixa les chaines de ses poignets à la croix. Elle retendit celles de ces chevilles également. Brigitte était écartelée sans pouvoir faire le moindre mouvement. Brigitte était à la merci des trois filles. N°21 profita du corps qui lui était offert pour le caresser. Elle faisait glisser ses mains sur les hanches, sur sa belle poitrine.N°20 fouillait dans le sac et en sortit un objet qu'elle tendit à N°19. Bien que Brigitte n'en ait jamais utilisé, Brigitte connaissait ce que N°19 lui donnait maintenant à sucer. C'était un plug anal de forte taille. Brigitte frémit tout en suçant le morceau de plastique noir. Le plug était si gros que Brigitte était épouvantée par l'idée qu'une de ces trois vicieuses allait lui enfoncer dans l'anus. Brigitte le suça de plus belle pour en accroître la lubrification.
Brigitte vit ses craintes confirmées quand N°19 rendit le plug à N°20 et se mit à l'embrasser. C'était la première fois de sa vie que Brigitte embrassait une fille. Rien de bien différent qu'avec un garçon... peut-être un peu plus de douceur et de tendresse mais Brigitte n'eut pas vraiment le loisir d'apprécier ce premier baiser lesbien. N°20 s'était accroupie devant Brigitte, entre ses jambes largement écartées et Brigitte sentit la pression du plug sur son anus. Brigitte remercia en pensée l’homme qui l’avait toilettée de l'avoir si bien lubrifiée et se félicita d'avoir sucé convenablement le plug. Brigitte gémit de douleur quand N°20 poussa l'objet, dilatant son anus. Brigitte aurait crié, probablement protesté si N°19 ne la bâillonnait pas de ses lèvres collées sur les siennes et si sa langue ne s'entourait pas autour de la sienne et fouillait les moindres recoins de sa bouche. La douleur disparut brutalement quand ses sphincters se resserrèrent autour de la collerette du plug. Brigitte ne ressentit alors qu'une simple gêne entre ses fesses.N°19 se détacha de Brigitte pendant que N°21 la libérait de la croix.N°20 et N°21 l'accompagnèrent au milieu de l'estrade et la firent s'allonger sur le dos. N°19 se mit à genou, chevaucha sa tête et posa son sexe sur son visage. Ses deux associées lui liaient maintenant les poignets et les chevilles ensemble. Brigitte comprit quel était le désir de N°19. La femme voulait que Brigitte la suce. Brigitte sortit sa langue et commença de lécher la fente odorante à sa portée. Brigitte ne voyait rien mais elle sentait que l'une des deux filles lui caressait la poitrine et le ventre pendant que l'autre s'occupait de son sexe inondé.
Brigitte avait presque oublié la présence du plug, sauf quand les contractions de son ventre provoquées par les caresses de N°20 sur son sexe et surtout sur son clitoris dardé venaient lui rappeler sa présence.N°20 introduisit deux doigts dans son vagin. Brigitte sentait parfaitement la menotte de la jeune fille s'agiter en elle. Puis un troisième doigt lui procura des sensations plus fortes.

Brigitte ne devait pas être trop maladroite dans son cunnilingus car N°19 commençait à gémir et à onduler sous ses coups de langue habiles. Sa cyprine s'échappait de son sexe, Brigitte en recevait dans sa bouche et sur son menton. N°19 fut prise d'un râle bref, soudain qui se termina par des petits cris aigus. Elle se fit remplacer par N°21 qui prit la même position. Brigitte continua de sucer cette nouvelle fente avec la même ardeur.N°19 avait maintenant introduit ses quatre doigts dans son vagin et le branlait furieusement pendant qu'elle lui titillait le clitoris de l'autre main. Brigitte se sentit partir, ne put crier ce plaisir qui partait de son sexe, semblait rebondir sur le plug dans son anus, envahit tout son corps mais les mouvements frénétiques de son bassin était une manifestation si évidente de son orgasme que quelques applaudissements félicitèrent les trois femmes.N°20 avait maintenant sa main entière enfoncée dans son vagin et continuait de la branler. Brigitte jouit de nouveau quelques minutes après. Brigitte donna du plaisir à N°21 qui tomba sur le côté en gémissant.N°20 prit la place qu'avaient occupée précédemment ses deux comparses. Brigitte se sentit vidée, ressentant comme un manque son sexe dilaté par la main de la jeune fille et qui ne contenait maintenant plus rien. Quand l'une des deux femmes enfonça sa main jusqu'au poignet dans son sexe béant, Brigitte eut un nouvel orgasme. Au milieu de son plaisir, Brigitte réussit quand même à faire jouir N°20.

L’homme dit d'une voix forte « Terminé » et les trois filles mirent fin à leurs activités. Brigitte se rendit compte qu’elle avait jouit pendant quasiment trente minutes et fait jouir les trois filles l'une après l'autre. Ces trois-quarts d'heure la laissaient épuisée, un vide énorme dans son ventre, Brigitte ressentit presque douloureusement l'absence du plug dans son anus et du poing de la fille dans son vagin. Elle découvrit avec effarement qu’elle avait encore envie de se faire baiser et souhaita ardemment que sa punition ne s'arrête pas là.

C'est presque avec plaisir qu'elle entendit la voix de l'homme au pupitre annoncer :- N° 12 et N°13 pour 30 minutes.

Deux hommes montèrent sur l'estrade. Brigitte était allongée sur le côté en position fœtale et l'un deux vint s'allonger à sa gauche. Son compère la fit rouler sur N°12, la forçant à le chevaucher. C'est à peine si Brigitte sentit le sexe pourtant dur et gonflé de N°12 pénétrer son vagin distendu. De ses deux mains glissées sous son corset, N°12 la faisait monter et descendre sur son dard. Brigitte ressentait de plus en plus les pénétrations car son sexe se resserrait autour du membre de N°12. N°13 se mit derrière elle et la sodomisa. Brigitte venait de découvrir les charmes et les plaisirs de la double pénétration. Elle ne ressentait aucune douleur de se faire prendre ainsi car ses deux orifices avaient été suffisamment travaillés par les filles que Brigitte s'imagina pouvoir recevoir deux hommes de plus. Ce fantasme vicieux la fit jouir de nouveau.

N°12 et N°13 la firent jouir longtemps, plusieurs fois, synchronisant leurs coups de reins, faisant des pauses pour ménager leur résistance. A chacun de ses cris de plaisir, des applaudissements fusaient de la salle. Brigitte les entendait dans les brumes de ses orgasmes et en tirait une fierté indicible.

Brigitte n'entendit pas l’homme égrener le temps mais à un moment, N°13 se retira de son anus et lui mit son sexe dans la bouche. Brigitte le suça avec frénésie jusqu'à ce qu'il se vide dans sa gorge. N°12 glissa sous elle, et se fit sucer à son tour. Brigitte recueillit les derniers jets de sa semence quand le barbu annonça « Terminé ». Des applaudissements célébrèrent la fin du temps imparti aux deux hommes.

Brigitte entendit alors l'homme au pupitre annoncer que la séance était presque terminée. Brigitte en fut soulagée car elle était au bord de l'évanouissement après près de deux heures d'extase quasiment ininterrompu. Mais il avait dit « Presque »... Brigitte appréhendait ce que pouvait être le bouquet final de cette soirée.

Le barbu l'attacha sur le sol de l'estrade, les bras et les jambes en croix pendant que plusieurs couples ou des hommes seuls s'approchaient, tendait chacun un billet de vingt euros et venaient se mettre autour d'elle. La plupart des hommes étaient accompagnés d'une femme. Ceux qui ne l'étaient pas se masturbaient seul sinon c'était la femme qui les branlait. Certaines filles avait même une verge dans chaque main et masturbait deux hommes en même temps.

Brigitte reçut une douche de sperme. Les jets de semence atterrirent partout sur son corps et son visage, sa bouche, l'obligeant à fermer les yeux pour ne pas se faire aveugler. Cela dura quelques minutes avant que la douche ne se tarisse et que l'homme au pupitre remercie tout le monde.

Le colosse barbu nettoya ses yeux pour lui rendre la vue. Il l'emmena en la soutenant dans la salle de bain, chancelante, le corps moulu. Il se retira pendant qu'elle prenait une douche brûlante, se coiffait, et s'habillait.

Quand Brigitte sortit de la salle de bain, Thierry l'attendait derrière la porte. Il l'enlaça tendrement et l'embrassa. Ils reprirent la route vers leur appartement mais cette fois-ci Brigitte était à la place du passager, heureuse qu’il lui ait pardonné, heureuse qu’il lui ait dit enfin :
- Ceci était ta punition pour m'avoir trompé. Mais, si tu le veux, j'aimerai te partager avec d'autres hommes ou femmes dans l'avenir.

Ce à quoi elle répondit avec un pâle sourire :
- Je vais y réfléchir. Que vas-tu faire de tout l'argent que tu as récolté ?
- Il servira à payer notre inscription dans le club où nous étions...pour nous deux et pour une année...

Et Brigitte s'endormit sur son épaule, heureuse. C'était tout réfléchi...

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Commentaires de l'histoire :

Henic
Cette séance multiple est fort bien montée (si l'on peut se permettre ce jeu de mots). Brigitte a une robuste constitution, car autant d'orgasmes en si peu de temps le nécessite. Mais que Thierry veuille poursuivre ce qui fait de lui un candauliste est plutôt surprenant compte tenu de sa réaction à l'infidélité "accidentelle" de sa femme.
Posté le 21/07/2021


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