Jeu de mains, jeu de vilains

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Proposée le 18/04/2013 par Sathine89

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Soirée entre amis autour d'une bonne raclette et quelques jeux de société. Nous sommes une dizaine réunis exceptionnellement chez Thomas ce soir-là puisque la moitié du groupe a fait le déplacement de Nantes à Bordeaux pour le week-end.

La soirée se déroule comme un charme. Tout le monde s'amuse. Surtout Pierre, qui me jette des regards en coin depuis quelques heures. Pierre, c'est le copain de Lisa et mon Dieu qu'il est beau ! Regard à tomber par terre, de vraies tablettes de chocolat, la peau légèrement bronzée en plein hiver, bref : un beau brun. Mon copain est là aussi. La plupart de ceux présents ce soir sont d'ailleurs en couple.

Un petit jeu s'est installé à l'insu de tous pendant une partie de « Bonne Paye ». Pierre et moi, assis l'un à côté de l'autre, nous amusons à chercher nos doigts sous la table. La première fois qu'il l'a fait, je suis restée surprise mais étant grande joueuse, je me suis prêter au jeu.
Cela doit faire 3h maintenant que l'on se cherche comme ça et la tension monte un peu entre nous. Parfois, seule la main de l'un caresse gentiment la cuisse de l'autre. A un moment, c'est ma main qui joue avec la sienne. Je la fait remonter un peu plus que d'ordinaire. Je surprend le regard de Pierre, bloqué par un désir naissant. Je m'arrête là.

Notre petit jeu continue puis la soirée prend fin vers 4h du matin. Tous partent se coucher. Tous sauf Pierre et moi, pas du tout fatigués par cette soirée de « jeux » qui a éveillé nos sens.

Décidant de se mettre dans la cuisine, nous discutons un peu. Sa famille, mes amis, ma vie à Nantes, la sienne à Bordeaux... On reste loin de l'autre.
- Il se fait tard, si Lisa se réveille, elle va se demander ce que je fais. Je devrais y aller, tu la connais.
- Oui, bien sûr. Je vais y aller aussi.
Pierre se dirige vers la porte, je le suis. J'éteins la lumière et m'apprête à avancer quand il fait marche arrière et se retourne gentiment vers moi. Nous nous retrouvons dans la pénombre, face à face, si proches l'un de l'autre que je sens la chaleur de sa respiration. Cela me rend folle...
- Pierre, embrasses-moi.
S'en suit un silence. J'ai peur d'avoir été trop directe et regrette ma parole. Puis il me répond :
- Laisses-toi faire alors.

Celui-ci approche timidement ses lèvres des miennes. Il y dépose un simple baiser et s'arrête quelques secondes. Puis il m'enlace et m'embrasse cette fois avec passion. Sa langue joue avec la mienne, j'aime ça. Je sens le désir m'envahir et ma culotte en dentelles s'humidifier. Sa main prend la mienne, il l'embrasse. Je m'attend à ce que cela s'arrête là. Mais finalement, Pierre me colle contre le mur et m'empoigne vigoureusement un sein tout en m'embrassant comme un fou. Je sens sa verge durcie contre moi. Je n'ai qu'une envie : qu'il me fasse l'amour. Puis il dégrafe mon soutien-gorge. Il soulève mon t-shirt et commence à me sucer un sein. Ma respiration s'accélère, je lâche un gémissement et il s'arrête. Sa respiration est haletante comme moi.

- Ça fait des heures que j'ai envie de toi, me sort-il.
Sans plus de cérémonie, il glisse sa main dans mon jeans et trouve ce qui lui donne envie depuis des heures. Mon clitoris est déjà gonflé, je gémis fort alors Pierre met sa main sur ma bouche pour m'empêcher d'être plus bruyante. Tout en continuant, il me lèche l'autre sein et petit à petit descend vers mon ventre. Je me trouve sans jeans ni culotte. Sa langue est déjà enfouie dans mon intimité. Je mouille comme une pucelle à chacun de ses coups de langue. Je commence à n'en plus pouvoir et décide de m'amuser un peu aussi. J'écarte son visage de mon sexe et folle de plaisir, plonge ma main dans son pantalon et trouve sans difficulté son membre viril qui n'attend qu'une chose : qu'on s'occupe de lui. Je ne me fais pas prier et sort sa bite hors de son boxer. Quelle vigoureuse verge j'ai face à moi ! Je commence à embrasser par petits baisers toute la longueur de son pénis en n'oubliant pas de caresser ses fesses et ses bourses. Puis je gobe son gland et le titille avec ma langue. Le sentant en train de donner de légers coups de reins, j'attrape sa verge en érection et l'empoigne fort avec un grand mouvement de va et viens. Je sens son plaisir monter car il commence à gémir à son tour. Alors j'avale sa bite au plus profond de ma gorge et le suce allègrement. Ça m'excite tellement de donner du plaisir à un homme juste avec ma langue !

Il ne tient plus et retire son pénis. Il ouvre un tiroir et prend un préservatif. Quel coquin... Il sait où Thomas a ses cachettes ! Puis il m'attrape et m'allonge sur la table de la cuisine. Il me regarde tendrement tout en enfilant la capote et me prend d'un coup sans prévenir. Je pousse un cri de surprise alors il me ramène contre lui et m'embrasse rageusement. Je suis en extase, lui me prenant debout, moi assise les jambes autour de lui. Ses coups de reins me tuent et sa bite me donne un plaisir fou. Je sens son orgasme approcher, lui aussi. Il se retire mais pour ne pas que je me refroidisse, Pierre me pénètre de ses doigts, combien je n'en sais rien tellement mon désir est fort pour lui. Je veux qu'il me baise encore. Je cherche sa bouche avec mes lèvres, je cherche sa bite avec mes doigts. Je le branle puis il n'en peut plus, il me reprend à nouveau. Cette fois-ci, c'est encore plus violent. Je sens la table bouger sous moi, lui s'en fiche et me fait l'amour comme si cela faisait des années qu'il n'avait pas touché une femme. La jouissance arrive d'un coup, libératrice pour chacun de nous deux. On jouis ensemble, le plus discrètement possible mais il laisse échapper un cri quand il gicle en moi.

Se retirant, il enlève la capote et remonte son boxer tout en me disant :
- Il est temps d'aller dormir je crois.
- Oui, il est temps.
Il m'embrasse tendrement. On se rhabille prestement et lui se dirige déjà vers sa chambre. Je fais de même. Allongée dans mon lit, encore sous le coup de l'émotion, je me demande comment sera la prochaine fois.