Les aventures d'un puceau

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Proposée le 6/03/2013 par pitchoun62

ATTENTION : © Copyright HISTOIRE PROTÉGÉE PAR LE CODE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

A l'âge ou l'on ressent les premiers prémices d'une adolescence, voici mon histoire.
Je vous narre l'histoire d'un temps qui comme le dit la chanson que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître, nous étions dans les années 1970.
A 12 ans, à peine sorti de la puberté, l'âge auquel les jeunes garons commencent à regarder de plus près les filles j'ai vu, ce qu'il y a pour un gamin, de plus beau, de plus joli, de plus sensuel, de plus érotique, les seins d'un femme. En vrai en chair et en nature. Et quels seins, ceux d'une femme de 20 ans, et qui plus est une femme que j'étais amené à rencontrer très souvent. Il s'agissait de la superbe poitrine de ma belle sœur. Je l'ai vue tout naturellement, sans être voyeur. En arrivant par inadvertance dans sa cuisine alors qu'elle était enceinte et que sa poitrine lui faisait mal, tant elle était lourde. Elle avait pris la décision d'ôter son soutien gorge sans penser que j'allais arriver. Quel ne fut pas mon état. Pour la première fois, j'apercevais une poitrine en vrai. Je tombais alors amoureux de cette poitrine et de cette femme qui n'était autre que la femme de mon frère.
Dès lors toutes les occasions furent bonnes pour me frôler à elle, pour lui faire du pied sous la table, pour coller ma cuisse contre la sienne car bien sur dorénavant, j'étais son chevalier servant et je me trouvais à chaque repas dominical à sa gauche. Son silence devant mes gestes de plus en plus marqués, avait pour effet d'accentuer cette sensation d'amour réciproque. Le soir je pratiquais le plaisir solitaire en fantasmant sur cette poitrine. J'idéalisai ma belle sœur comme Michelle Mercier l'indomptable Angélique. Pour moi elles se ressemblaient, tant par leur beauté que par leur opulente poitrine. Mes caresses devenaient à son encontre de plus en plus appuyées, de plus en plus dirigées. Je me permettais alors que nous étions côte à côte de poser ma main sur le haut de sa cuisse sans jamais oser aller plus loin.
Je n'étais qu'un gamin, pour moi elle était une femme et quelle femme.
Un jour lors d'un repas de famille, elle s'amusa à me mettre mal à l'aise en disant à toute la famille réunie : « Jean Paul me fait du pied sous la table ». Qu'elle ne fut pas ma gêne. Je dus rougir de honte me dépêchant d'enlever ce pied si maladroit. Mais elle frôla sa cuisse contre la mienne dans un geste de pardon.
Vers 14 ans, toujours amoureux fou de cette femme qui avait pour prénom Régine, (alors que je ne cessais depuis deux ans de la coller chaque dimanche, de profiter de chaque occasion pour la voir, voulant être le premier à lui dire bonjour et le dernier pour lui dire au revoir ayant le sentiment ainsi de la garder plus longtemps pour moi), je m'approchais d'elle alors qu'elle cuisinait près de la gazinière de mes parents et que nous étions seuls dans la pièce. Soudain, dans un geste autoritaire, elle posa volontairement sa main à hauteur de mon sexe, m'emprisonnant, dans sa main, et me disant d'un air coquin "C'est cela que tu veux, voilà... depuis le temps, nous sommes quittes..."
J'étais le plus heureux des adolescents. La femme pour laquelle mon cœur battait, pour laquelle chaque soir, je me caressais, venait de toucher volontairement mon sexe.
De relater ces faits aujourd'hui me procure encore un doux plaisir. Et pourtant c'était il y a 40 ans.
Avec cette première caresse je me sentis "aimé" même si la caresse n'avait été que furtive. Et je m'enhardissais dans mes frôlement envers Régine. Ma main quand je me trouvais à ses côtés montait un peu plus haut sur la cuisse. Mais je n'osais encore rien de véritablement sexuel. J'avais par contre pris l'habitude de la retrouver chaque vendredi après le collège pour l'accompagner en ville faire ses courses à pieds. Nous discutions, je lui posais des questions sur le sexe, les femmes, l'amour..
J'allais à la plage avec elle et ses amies. Je n'étais qu un adolescent. Je les entendais discuter entre elles, elles parlaient librement de sexe, se livrant à des études sur les jeunes hommes qui passaient en maillot de bain et sur la taille de leur sexe. Je me souviens que dans ces moments là, je me trouvais complexé. Je me mettais sur le ventre pour qu elles ne s'amusent pas à faire de commentaires sur moi.
Et un jour...
Je vins chez elle, je m'en souviens comme si c'était hier. je frappais à la porte et j'entrais comme je faisais chaque fois. Elle n'était pas dans la salle ni dans la cuisine. Elle me dit qu 'elle était couchée car fiévreuse. Je suis allé dans sa chambre qui se trouvait à droite dans le couloir de l'entrée. Elle était alitée. Je m'approchais pour l'embrasser. Je remarquais tout de suite qu'elle était nue sous les draps. J'ai approché ma main, et j'ai saisi le drap, découvrant lentement son corps. Ses seins m'apparurent merveilleux et magiques, si près de moi.. Elle se laissa faire. Je descendis le drap en entier et là pour la première fois de ma vie, je voyais le corps totalement nue et en réel d'une femme.. Et quelle femme, celle que j'aimais, qui ressemblait à Angélique, celle pour qui je me masturbais chaque soir...
J'étais excité et paniqué à la fois. Devant moi ce corps de femme. j'ai posé ma main doucement sur la figure de Régine, lui disant ce que tant de fois je lui avais déjà dit, "que je l'aimais, qu elle était superbe que j'avais envie d'elle. j'ai approché ma bouche de la sienne j'ai posé mes lèvres sur les siennes, sa bouche s'est entrouverte et nos langues se sont mêlées.
Enhardi, ma main est descendue sur cette poitrine tant convoitée. j'ai caressé comme un gamin ses superbes seins. j'ai quitté sa bouche, et j'ai tété ses seins comme un gamin. Elle m'a dit de les sucer, de les embrasser.. Plus je les embrassais plus le téton durcissait et plus je prenais plaisir à l'embrasser.
Régine étant nue, sous mes yeux, sous ma bouche et sous mes mains, elle m'a demandé de me déshabiller. Imaginez vous un adolescent de 16 ans à qui une jeune femme de 23 ans demande de le voir nu. J'étais très excité mais en même temps très troublé et très timide. Un peu complexé aussi, elle, habituée à voir la verge d'un homme allait voir la verge d'un adolescent... La femme de qui je rêvais depuis des années m'était offerte. Je me suis dévêtu complètement de façon très désordonnée, oubliant même dans un premier temps d'ôter mes chaussettes. Mon sexe était dur comme jamais. elle m'a directement pris la verge en main, je pense pour voir l'effet que je lui faisais. Elle m'a de nouveau embrassé. Elle m'a demandé ce que je voulais, relâchant la pression autour de ma verge. Je lui ai dit que je voulais manger son sexe. Elle s'est positionnée en travers du lit, les pieds touchant le sol, les jambes repliées m'offrant sa vulve touffue et oui, à l'époque les minous rasés ce n'était pas la mode. J'ai posé ma bouche sur son sexe et là elle m'a guidé, m'indiquant ce que je devais faire. Je l'ai léché longuement, y mettant tout mon coeur, cherchant à être le meilleur possible lui titillant de la langue ce petit bouton dont nous parlions tant lors de nos promenade, le clitoris , pénétrant de la langue son sexe ruisselant de plaisir. Je me sentais prêt à jouir alors qu elle n'avait fait aucun geste vers ma verge, me caressant simplement la tête; mais quelle sensation merveilleuse. je goûtais pour la première fois de ma vie à la cyprine d'une femme, je trouvais cela salé, mais délicieux à la fois. Je lui léchais l'anus je lui mordillais l'intérieur des cuisses le tout à sa demande. Puis elle s'est redressée sur le lit s'asseyant me faisant ainsi comprendre que mon tour était fini, elle souriait et me demandait si j'avais aimé je ne pense pas qu'elle ait joui, mais elle mouillait abondamment ...Ma verge lui prouvait que j'avais plus qu'aimé et qu il ne faudrait pas grand chose pour que mon plaisir jaillisse. j'ai mal interprété sa question, je croyais l'avoir déçue, elle me dit que non, que je devais encore progresser mais que cela avait été délicieux. Avec cette première caresse je me sentis "aimé" même si la caresse n'avait été que furtive.
Elle m'a allongé sur le dos la tête sur l'oreiller, elle a saisi mes bourses doucement, a décalotté mon gland et je l'ai vu approcher sa langue. j'avais mal à la nuque de la regarder faire.
Sa langue a effleuré ma verge de haut en bas doucement elle en a fait le tour tendrement puis d'un coup, l'a engloutie. je me suis laissé tombé en arrière lui posant ma main sur sa chevelure. Elle a entrepris une lente et douce succion. Bon sang que c'était bon. c'était donc cela que les adultes appelaient tailler une pipe.
Je sentais le plaisir monter de mes testicules je long de ma verge. Je ne pouvais plus résister, je me laissai aller totalement ivre de plaisir. Alors que je me sentais prêt à exploser, je prévins Régine que j'allais jouir. Je sentais ma verge grossir. Régine se retira, me regarda d'un sourire entendu et me dit "J'espère bien". Elle reprit sa douce et tendre fellation. Je me répandis dans sa bouche et je jouis comme je n'avais jamais joui. Elle avala les longs jets de sperme, me nettoya le gland avec sa langue.
Puis elle remonta vers mon visage et m'embrassa.
Elle me dit :
- Tu ne comptes pas me laisser comme cela.
Elle reposa sa main sur ma tige et la masturba doucement afin de lui faire reprendre de la vigueur. Moi ivre de joie, je lui pétrissais la poitrine, je cherchai à embrasser la moindre parcelle de peau.
Je redescendis ma bouche vers son puits d'amour afin de boire à nouveau à cette fontaine de plaisir.
Ma langue lui mordilla son bouton qui jaillissait tel un petit pénis.
elle gémit doucement. Je savais qu'elle appréciais. j'introduis un doigt dans son sexe, je me pris à souffler doucement sur son bouton, elle me dit "c'est bon ce que tu me fais continue."
Mon pouce lui caressa doucement l'anus, je cessai de souffler sur son bouton et ma langue descendit vers son anus, je lui léchais tendrement, l'odeur et le goût était plus ambré, plus fort, mais ma verge sous la caresse de Régine et sous le plaisir que j'avais de la lécher reprenait de la vigueur.
son anus tout mouillé de ma salive, je poussais un peu mon pouce sur sa belle étoile. Elle me dit "Dis donc tu veux tout explorer pour ta première fois toi."
j'arrêtais aussitôt comme un gamin pris en faute
Elle me dit "Mais non nigaud, vas-y continue ton frère a déjà pratiqué de ce côté là."
Doucement je remis mon pouce après l'avoir de nouveau salivé. je poussai doucement, sa douce étoile s'ouvrit doucement, elle avala mon pouce d'abord la première phalange puis la seconde. je n'osais pas aller plus loin. Surtout que ma verge avait de nouveau retrouvé une taille très raisonnable
Je cessais mes investigations et me retournais nous étions tête à tête, mon pénis collait au ventre de Régine, dans sa toison brune.
J'étais en appui sur mes bras, nous nous regardions et je lisais du plaisir, et il me prenait l'envie d'y lire de l'amour dans les yeux de la femme de mon frère.
Régine m'embrassa et me dit : "Alors tu es prêt."
Je lui dit :
- à quoi?
- A me faire jouir.
Elle me prit la verge, sa main était douce.
Doucement elle me dirigea vers son sexe. elle avança le bassin. Ses lèvres s'ouvrirent sous la lente pression.
Mon phallus tout entier fut aspiré dans son minou.
Elle posa alors ses mains sur mes fesses est me montra la cadence à imprimer.
Je pénétrai la femme que j'aimai pour la première fois.
Je sentais déjà le plaisir monter en moi, je m'en voulais de ne pas pouvoir le retenir...