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Housewives pas si desperate… (Partie 2)

Certaines histoires ont inspiré Eva qui entreprend de s'en inspirer dans sa vie de couple. Les soirées entre copines continuent et chacune raconte ses expériences sexuelles. Ce soir-là, chacune raconte sa première confrontation avec un pénis.

Proposée le 11/07/2022 par Scribouilleur

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Roman


§ Les premières §


La semaine suivante, la soirée poker avait lieu chez Eva. Elle avait acheté des macarons et mis des bières au frais. Quatre jours plus tôt, ils avaient fait l’amour avec Pierre. Avant qu’il ne s’endorme, elle avait entamé la conversation dans le noir de leur chambre sur un ton badin.

— « Est-ce que tu te branles tout seul de temps en temps ? » lui avait-elle demandé alors qu’elle était blottie dans ses bras. Il parut quelque peu surpris, mais parler de cul après ce qu’ils venaient de faire n’était pas incongru.

— « Non, pourquoi me demandes-tu cela ? » lui répondit-il sur la défensive.

— « Pour rien. Je me posais la question parce qu’on ne fait pas souvent ce qu’on vient de faire et que je me disais que tu avais peut-être besoin… tu sais de te soulager un peu plus souvent. ». Pierre qui avait craint une question piège se détendit un peu.

— « Tu sais, avec les vies qu’on a, le boulot et le rythme qu’on subit, je ne me plains pas. »

— « Oui je sais, mais je te parle de besoin physique. Tu ne te tapes pas une petite branlette de temps en temps pour te sentir plus léger ? ». Pierre émit un soupir résigné.

- « Bon d’accord, ça m’arrive effectivement. Mais pourquoi tu parles de ça ? ». Eva changea légèrement de position pour se tourner un peu plus vers lui et comme par inadvertance lui effleura les couilles. Faisant mine de les découvrir, elle les saisit avec douceur.

— « A qui et à quoi tu penses quand tu fais ça ? » dit-elle sur un ton ingénu. Pierre se raidit craignant de nouveau une embuscade.

— « Enfin à toi, à qui veux-tu que je pense ? » répondit-il en s’agitant de plus en plus et s’inquiétant alors que sa femme le tenait littéralement par les couilles.

— « Parce que moi tu sais j’ai mon vibro, et je me masturbe parfois. J’imagine plein de trucs, je fais appel à mes fantasmes dans lesquels je pense à des acteurs par exemple… » dit-elle sur un ton mutin.

— « Oui c’est naturel, tu as tout à fait le droit. J’avoue moi aussi que je pense à d’autres femmes dans ces moments-là ». Tout à coup Eva serra fermement ses testicules et Pierre sentit son scrotum se rétracter. En avait-il trop dit ?

— « Je pourrais être jalouse de ça tu sais ? » dit-elle sur un ton de reproche avant de relâcher sa pression et de pouffer de rire.

— « T’es con, je croyais que tu allais me faire une scène », lui reprocha-t-il, soulagé.

- « Nan, ce que je voulais te dire, c’est que j’aimerais qu’on essaie de jouer à un jeu si tu es d’accord. »
Elle avait piqué sa curiosité et son sexe flasque après avoir éjaculé tout à l’heure commença à se ragaillardir ce qui n’échappa pas à Eva.

— « Un jeu sexuel, je suis partant », lui dit-il sur un ton tout à coup libidineux.

— « Alors voilà, on dirait que ton sexe m’appartient et que dorénavant tu n’as plus le droit de te branler. Plus du tout. Tu as juste le droit de le toucher pour pisser et te laver. C’est à moi et moi seule de décider quand tu éjacules. ». Inquiet, Pierre demanda :

— « Et si j’ai envie ou… besoin comme tu dis, je fais comment ? »

— « Tu me demandes et je décide si oui ou non tu mérites d’éjaculer. Excitant n’est-ce pas ? » dit-elle en saisissant le sexe de Pierre qui s’était dressé, preuve qu’il était réceptif à l’idée. Tout doucement, elle finit de le faire grossir et Pierre soupira d’aise.

— « D’accord ma petite salope, mais pour le moment… » il la fit basculer sur le dos pour la pénétrer à nouveau dans un râle de contentement.


Repenser à cette nuit venait de lui procurer une bouffée de chaleur au niveau du bas-ventre, mais déjà les copines d’Eva arrivaient pour le poker. Comme la dernière fois, au bout de quelques parties de cartes la conversation dériva sur les sujets grivois. Romane interrogea Rose :

« Quand tu libères Paul de sa cage et que tu as décidés qu’il pouvait éjaculer, tu fais comment, tu le branles ? ». Visiblement le sujet n’avait laissé personne indifférente et particulièrement Romane se dit Eva. Rose posant ses deux mains à plat sur le tapis de jeu de manière chaste et appliquée, répondit de bonne grâce, ravie de pouvoir jouer au professeur.

« Il existe des centaines de variantes, je peux vous en dire quelques-unes que nous avons pratiquées mais je ne vais pas vous apprendre à faire éjaculer un homme. ». A voir l’expression d’Anne-Marie, ce n’était pas si sûr.

« Le plus simple bien évidement est de lui demander de se masturber. Cela ne demande aucun effort de ma part. Cela peut se pimenter en lui demandant d’arrêter juste avant de venir puis de reprendre une minute plus tard et de s’arrêter de nouveau, etc. Vous le savez certainement, plus ils sont excités longtemps, meilleure est la libération. Rien n’empêche même de changer d’avis après plusieurs fois et de lui refuser finalement d’éjaculer en lui disant qu’on verra ça demain » dit-elle avec un clin d’œil.

Eva fit remarquer « Ce n’est pas un peu salope de faire ça ? ».

Rose haussa les épaules : « Si, bien-sûr ! », et Romane ricana « Et les mecs adorent les salopes… ». Nouveau clin d’œil de Rose : « Tout à fait. D’autres fois je peux faire la même chose en le masturbant moi-même. Mais si vous voulez éviter les crampes, je vous suggère de simplement tenir son membre pendant qu’il fait des va-et-vient dans votre main. Mieux encore, je le fais en le tenant seulement entre mon pouce et mon index pendant qu’il bouge. Ça l’agace délicieusement que je lui dise qu’avec seulement deux doigts je suis capable de le faire jouir. Il a toujours du mal à y croire, et pourtant… Quand je suis vraiment paresseuse, je lui passe mon vibro sur la queue et ça fait le job. Je peux aussi le lui attacher sur la verge avec deux élastiques comme ça je n’ai même plus à intervenir. ». Eva prit note mentalement de tout ça en se disant que c’était dans ses cordes. Elle jeta un regard en coin à Romane qui visiblement pensait la même chose.

« Dans un autre style, j’ai remarqué que Paul apprécie également quand je lui demande de se taper ma jambe comme un chien le ferait. ».

Anne-Marie se souvint du chien qu’avaient leurs voisins à une époque et qui avait la manie de se frotter sur la jambe des visiteurs. « Comment est-ce que… ». Elle n’arrivait pas à formuler sa question. Rose comprit et lui répondit : « C’est tout simple, je m’assois sur une chaise, dans un fauteuil ou sur le bord du lit, je croise les jambes comme ceci, et il vient se frotter sur mon tibia… Tu as l’image ? ».

Anne-Marie devint pivoine, elle avait bien compris. Elle essaya d’imaginer Jean-Eudes dans cette position avilissante. Comprenant le fil de sa pensée, Romane ajouta « Tu sais, un homme surexcité sexuellement est plus proche de l’animal que de l’humain ! ». Elles rirent toutes.

Rose enchaîna : « Parfois je lui attache les mains et il doit se débrouiller pour éjaculer. Il essaie de se frotter partout comme un dément pour essayer de jouir, surtout si je lui ai dit qu’il n’a qu’une minute pour y arriver et que sinon c’est tintin… ».

Depuis leur dernière réunion Eva avait découvert Rose sous un nouveau jour, mais elle était de plus en plus étonnée. Rose continuait à donner des exemples.

« Imaginez, cela fait une semaine que votre homme n’a pas éjaculé. Il a porté sa cage toute la journée. Il a les mains attachées dans le dos. Vous libérez sa queue, vous le masturbez un peu en lui disant de vous dire quand il est proche de venir. Là, vous arrêtez tout, vous prenez votre téléphone ou votre montre et mettez le chrono en lui disant qu’il a une minute pour jouir tout seul sinon rien. Je vous garantis qu’il va s’activer ! Le mien fait du "air-sexe" : il se secoue le bassin pour agiter son sexe frénétiquement qui rebondit dans tous les sens comme s’il mimait une pénétration dans l’espoir de gicler. Une vraie séance de zumba. ». Hilarité générale.

Anne-Marie essayait d’imaginer son mari en train de se trémousser de la sorte : « Jean-Eudes me traiterait de sorcière si je lui infligeais ça ! ». Les rires redoublèrent.

Romane lança : « Que chacune raconte une façon originale de masturber son homme. Je commence. Je coince sa bite entre mes seins et il lime jusqu’à venir. ».

Eva fit la moue : « Ça ne m’étonne pas avec ta poitrine. » dit-elle faussement blasée. « Moi je me penche en avant, il se met derrière et je serre sa queue entre mes cuisses. » Romane lui répondit que ce n’était pas plus original qu’elle, vu son joli petit cul. Elles rirent.

« On est d’accord qu’on ne se juge pas… », c’était Sarah qui hésitait à se lancer dans les confidences. Rose la rassura et toutes l’encouragèrent.

« Parfois Adrien me fait une éjaculation faciale », elles furent toutes interloquées et à part Rose, elles ne comprirent pas immédiatement et Anne-Marie pas du tout. Sarah entreprit de s’expliquer : « Il est debout. Je suis à genoux et je le suce. Peu avant de venir, il se retire de ma bouche. On se regarde dans les yeux. J’aime être à ses pieds et qu’il me domine de sa hauteur. Il se masturbe et se finit en éjaculant sur mon visage. Il adore que je lèche son sperme qui coule sur ma bouche en le remerciant… Euh, ce que j’aime, c’est que je suis à sa merci. Je ne peux empêcher ce qui va arriver. Il éjacule à cause de moi, sur moi, en regardant mon visage et je reçois… tout ce que je mérite… dans la figure. Voilà… ».


Romane siffla, « ça, c’est hardcore ! ». Eva ajouta : « Personnellement, je préfère sur les seins ou sur les fesses… ».

C’était au tour de Rose. « Cette fois-ci je ne vais pas être la plus hard comme tu dis Romane. Ce qui me vient à l’idée, c’est quand avec deux bouts de scotch je lui ai collé le sexe sur la table et qu’il devait aller et venir. Comme toujours dans nos jeux, soit je lui parle sur un air de salope comme vous dites, soit je l’encourage ou je me moque gentiment de lui. Et il adore aussi », clin d’œil à Sarah.

Anne-Marie avoua qu’elle n’avait jamais masturbé Jean-Eudes. Les autres furent stupéfaites. En fait, elle n’avait qu’effleuré ou touché son sexe, soit par inadvertance, soit pour le positionner correctement devant le sien pour la pénétration. Ses amies découvrirent que tout au plus elle entrapercevait l’oiseau de son mari et qu’elle ne l’avait jamais vraiment regardé en face. Les filles n’en revenaient pas. Comment était-ce possible après toutes ces années de mariage et après avoir fait quatre enfants !

Toute penaude, Anne-Marie raconta leur éducation à lui et à elle, les pyjamas pour lui, les longues chemises de nuit pour elle et le missionnaire du samedi soir. C’était là toute leur sexualité.

Elle les remercia de pouvoir participer à leurs bavardages qui l’instruisaient mais aussi la rassuraient par rapport à ses pensées impures. Romane s’emporta en pestant contre la religion et le patriarcat.

Anne-Marie expliqua que quand elle était chez les sœurs, en classe de seconde la surveillante de son dortoir leur avait expliqué que pour se débarrasser des mauvaises pensées il fallait se caresser le sexe avant de s’endormir. C’est comme ça qu’elle avait commencé à se masturber mais qu’à son corps défendant, plus elle se touchait, plus de vilaines pensées lui venaient.

Romane loua cette sœur qui avait fait œuvre de vraie charité en encourageant ces jeunes filles à se découvrir.

Anne-Marie précisa qu’elle n’avait pas connu d’homme avant son mari et qu’elle s’était mariée vierge. Ce qui n’étonna guère les autres.


Rose proposa alors que chacune raconte ses premières fois. « Qu’entends-tu par nos premières fois ? » demanda Sarah.

« Et bien commençons par la première fois où vous avez touché un pénis. » lui répondit Rose avec un sourire sans équivoque. « Qui commence ? ». Anne-Marie baissa les yeux signalant qu’elle passait son tour. Eva prit la parole.

« Moi j’étais en cinquième et c’était un soir chez des connaissances de mes parents. Ils avaient un fils de mon âge. Nous étions dans sa chambre pendant que les adultes traînaient à table. Nous discutions et il se moqua de mon absence de sein. ».

Eva jeta ses épaules en arrière pour faire ressortir ses petits seins et les prendre en coupe dans ses mains. « Et oui, figurez-vous que cette magnifique poitrine ne s’est développée qu’en classe de troisième ! ». Elles rirent ensemble. « Alors que ce sale petit con se foutait de moi, je lui ai dit que je n’avais pas de leçon à recevoir d’un gamin qui n’avait pas de poil sur la bite. Il se fâcha et me répondit : "ah oui, parce que tu en as vu beaucoup peut-être des comme ça ?". Et là, il baisse son froc et exhibe son sexe. Je suis restée scotchée devant ce spectacle. Je ne pouvais détacher mon regard de son pénis, le premier que je voyais en vrai.

"Alors, ça te la coupe hein ?" disait-il en passant fièrement sa main sur son pubis garni d’une toison clairsemée. Comme j’étais pétrifiée, il dut croire que j’étais en admiration devant tant de poils alors que ce je regardais c’était ses deux couilles et son sexe qui pendouillaient devant moi.

"Tu veux toucher ?". Sans attendre ma réponse il me prit la main pour la poser sur son bas-ventre poilu. Il était persuadé que ses poils m’impressionnaient. Après un instant d’hésitation, j’ai doucement fait glissé ma main vers le bas jusqu’à toucher son pénis. Je l’ai laissé dessus quelques secondes avant de le sentir commencer à grossir au creux de ma paume. Je retirais vivement ma main comme si je m’étais brulée et je n’ai pu apercevoir son sexe en train d’entrer en érection qu’une fraction de seconde avant qu’il n’ait remonté précipitamment son pantalon. »

« Et alors, la suite ? » s’écria Romane. Eva se rassit dans le fond de sa chaise et répondit :

« Désolée les filles, pas de suite. Il était furieux et ne m’a plus adressé la parole. J’ai fini la soirée à lire des BD dans le canapé du salon et à me demander si je lui avais fait mail ou non et si à cause de moi son sexe resterait gonflé à vie. »


Romane se moqua d’elle gentiment et prit son tour pour raconter son expérience.

« J’étais en troisième et nous étions au cinéma avec ma classe pour voir un film sur Cyrano qu’on avait étudié en cours. J’étais dans le fond de la salle avec mon petit copain du moment qui s’appelait Éric. ». Lançant un clin d’œil à Eva tout en mimant la pose qu’elle avait prise au début de son histoire, elle ajouta en soutenant sa poitrine généreuse : « Et j’avais déjà cette superbe poitrine que mon petit copain voulait toujours peloter ! ».

Elles l’applaudirent en riant. « Bref, je ne me laissais pas faire facilement. Quand le noir se fit dans la salle, ses mains se firent baladeuses. Je le repoussais sans conviction lui saisissant la main de temps en temps pour la remettre sur sa cuisse avant qu’il ne revienne à la charge. Ce petit manège nous excitait tous les deux et à un moment en reposant sa main, la mienne glissa au niveau de la poche de son pantalon ou je sentis une protubérance. ».

Les filles ricanèrent.

« Laissant ma main sur cette bosse, je commençais à appuyer dessus pour essayer de la faire disparaître me doutant bien de ce que c’était. Mais j’avais beau presser, frotter, rien n’y faisait, la bosse était toujours là… J’avais le feu aux joues… et pas que ! Mon copain lui ne bougeait plus d’un cil, comme paralysé. Alors que je continuais ma besogne, son souffle se fit plus rapide et tout à coup il attrapa mon poignet pour bloquer ma main sur sa bosse. Je le sentais frémir quand une humidité se répandit dans ma paume qu’il gardait plaquée sur sa poche. Il finit par me lâcher. Je ne savais plus quoi faire de ma main et je finis par l’essuyer sur son bras. Quant à lui, il eut la honte de sa vie quand on est remonté dans le car et que tout le monde a constaté que son pantalon était souillé. »

Les copines applaudirent l’histoire de Romane en connaisseuses. Ce fut ensuite le tour de Sarah.


« Moi je devais avoir dans les seize ans. On était en vacances au camping dans le sud avec mes parents. Je m’étais fait une bande d’amis. On passait notre temps à se charrier, à crâner. Il y avait une fille, Zara, qui disait qu’elle avait tout fait, qu’elle avait couché et qu’elle savait y faire avec les garçons, bref qu’elle était la meilleure. Ça m’énervait et quitte à mentir, j’en rajoutais moi-même alors que je n’avais quasiment aucune expérience. Le chef de la bande finit par nous proposer un défi pour nous départager. En gros c’était celle qui branlerait un mec le plus vite qui gagnerait le titre de meilleure de la bande. J’ai refusé en le traitant de pervers, Zara se moqua de moi en disant que je n’avais pas le courage et que je n’avais jamais touché un garçon. J’ai fini par accepter le concours pour ne pas perdre la face. »

Romane et Eva lancèrent des cris d’encouragement pour que Sarah continue son histoire.

« Vint le moment de l’épreuve. Cela se passait dans les douches communes. Deux douches étaient occupées par un garçon et les rideaux avaient été roulés jusqu’à mi-hauteur de façon à ce qu’uniquement le bas du corps soit visible. De cette façon, on ne savait pas qui se cachait derrière.

On tira au sort et Zara et moi nous retrouvâmes devant notre inconnu. Je n’avais qu’une vague idée de ce qu’était une branlette et je n’en menais pas large. Étonnamment Zara ne semblait pas à son aise non plus. Au coup de sifflet, les deux mecs dans leur douche firent tomber leur serviette dévoilant leur sexe. Je regardais celui qui m’avait été attribué avec curiosité. Ça me paraissait plus petit que ce que j’imaginais. Je ne savais pas trop comment le prendre. Je m’en saisis gauchement et ne sachant quoi faire, je le malaxais comme je l’aurais fait avec de la pâte à modeler. Mais il ne se passait rien.

Je me suis mis à essayer de le traire en tirant dessus vers le bas comme je pensais qu’on trayait une vache ou une chèvre. Toujours rien. Je jetais un coup d’œil à Zara histoire de copier ce qu’elle faisait. Mais je constatais qu’elle en était au même stade que moi. De mon autre main je saisis alors les couilles de mon cobaye qui sous mon assaut sursauta. Je les fis rouler dans ma main, mais ma poigne étant trop forte, le garçon commençait à se tortiller dans tous les sens.

Je les relâchais me disant que ce n’était pas par-là que ça se passait. J’avais la pression comme si je participais à une épreuve sportive et je redoublais d’ardeur en secouant mon asticot en le tenant par la base. Les secondes passaient et je ne voyais pas comment m’en sortir quand je constatai avec soulagement que le pénis que j’avais en main commençait à durcir.

Encouragée, je repris et intensifiais mes malaxages et finit enfin par obtenir une bite en érection. J’étais surprise de constater qu’elle avait plus que doublé de volume. Je me tournais vers Zara qui galérait avec son sexe mou entre les doigts. Elle vit la bite raide dans ma main. Elle pesta et se plaignit que le gars qui lui avait été attribué ne savait pas bander. Elle le lâcha violemment et sortit en courant.

Je levais alors les bras en signe de victoire et en criant sous les acclamations. On me fit remarquer que je n’avais pas fait éjaculer le mec. Mais je n’en n’avais plus rien à faire, j’avais gagné. Et comme je ne savais pas comment faire pour le faire gicler, j’étais pressée de partir. J’ai retrouvé Zara dehors. Elle s’était réfugiée dans un coin pour pleurer. Nous avons fait la paix et nous nous sommes avouées être aussi peu expérimentées l’une que l’autre. »


Applaudissements nourris de l’auditoire. Toutes se tournèrent vers Rose, c’était la dernière à raconter son expérience.

« J’étais en troisième et j’avais des copines qui avaient de l’avance en matière de petits copains. J’étais déjà sorti avec un garçon, mais on n’avait fait que s’embrasser. J’en voulais plus. Je voulais faire mon expérience avant la classe de seconde pour ne pas être godiche le moment venu avec un garçon qui me plairait. Je rentrais chez moi en car.

De l’arrêt du car à la maison, j’avais un kilomètre à pied à faire sur une route à travers champs. Je faisais cette marche tous les matins et tous les soirs avec le fils des voisins qui lui était un petit de cinquième.

Un soir qu’il restait en arrière, je me retournais pour lui demander ce qu’il faisait. Il me dit de continuer à marcher et qu’il allait pisser dans le champ derrière la haie. Je me suis dit que je devais profiter de l’opportunité et j’ai saisi ma chance.

Je lui dis que s’il me laissait le regarder faire, il pourrait me regarder pisser à son tour. Il accepta immédiatement. Je le regardais avec attention pour ne pas en perdre une miette. Il sortit son petit zizi et malgré la gêne finit par réussir à uriner devant moi. Lui fut plus déçu quand je me suis accroupie en relevant ma robe. Il ne put pas voir grand-chose.

Néanmoins dès cet instant, je devins sa passion. J’ai eu beau lui dire que je n’avais rien à faire de lui et que je ne serais jamais son amoureuse, il insistait pour porter mon cartable sur le chemin. Un soir il me proposa de le regarder de nouveau pisser. Je lui répondis que j’avais déjà vu ce qu’il y avait à voir et que je n’en avais plus rien à faire.

En y réfléchissant bien, le soir suivant je lui demandais s’il voulait se masturber pour moi. Flatté de l’attention que je lui portais de nouveau, il accepta. Et c’est comme ça qu’il se mit à l’ouvrage et que je découvris comment cela se passait. J’étais étonnée qu’une si petite chose puisse doubler, voire tripler de taille. Je lui demandais si c’était douloureux. Il me dit que d’une certaine façon, oui, mais que c’était bon aussi.

Il m’expliqua dans quelles circonstances son zizi gonflait et je retins notamment qu’imaginer une fille nue l’inspirait beaucoup. Alors qu’il s’escrimait comme un diable, il ne semblait pas parvenir au bout. Sans le quitter des yeux, j’ai eu l’idée de remonter tout doucement ma robe. Au moment où il aperçut ma culotte il déchargea son sperme dans un cri à la fois de surprise et de plaisir.

Le jour suivant, c’est moi qui le branlais. C’était étrange de sentir son sexe pulser dans ma main. Il restait quinze jours d’école avant les vacances et tous les soirs sur le chemin du retour j’ai amélioré ma technique en demandant conseil à mon heureux cobaye pour savoir si je faisais bien. Vinrent les vacances et considérant que je savais tout de la branlette, jamais plus je ne le touchais même si lui espérait toujours et continuait à porter mon cartable jusqu’à la fin de l’année scolaire. »

Les bières étaient vidées et les gâteaux mangés. Il n’était pas encore trop tard. On sortit le gin et le jet. Tout en faisant tourner ses glaçons imbibés d’alcool dans son verre, Rose les encouragea : « Que celles qui ont des premières fois mémorables n’hésitent pas à nous les raconter. »


C’est Sarah qui prit la parole.

« A 19 ans, je suis sortie avec un garçon de la fac dans une fête. Nous nous sommes isolés dans une chambre de l’appart où nous étions. On s’embrassait. Je sentais son excitation contre mon ventre et je me suis dit que c’était le moment de lui tailler une pipe, ma première pipe. »

Eva et Romane firent un roulement de tambour avec leurs doigts tendus sur la table tout en s’esclaffant. Sarah continua.

« J’avais entendu des filles en parler, et je voyais à peu près ce qu’il fallait faire. Je me suis lentement laissée glisser à ses pieds. J’ai descendu son pantalon pour me retrouver nez à queue avec lui. »

Les filles pouffèrent. Se retenant de rire, Sarah acheva son histoire :

« Et pouf… Je n’ai pas eu le temps d’ouvrir la bouche qu’il m’a giclé à la gueule. J’avais la figure couverte de foutre ! Passé l’étonnement, je regardais dépitée son sexe qui se dégonflait à vue d’œil devant moi comme un ballon de baudruche. Le pauvre garçon n’arrêtait pas de s’excuser tout en essayant désespérément de remonter son futal avec dignité. Il s’est littéralement enfui de la pièce me laissant à genoux, le visage couvert de sa semence. Je ne l’ai jamais revu ! »

Toutes les filles étaient hilares. Eva dit à Sarah « C’est peut-être de là que vient ton plaisir de l’éjaculation faciale ? ». Sarah pouffa et répondit « Je n’y avais pas pensé, mais maintenant que tu le dis… »

Romane intervint « Je ne pense pas parce qu’il m’est arrivé la même chose sauf que c’était pour ma première fois, enfin vous voyez, ma première pénétration… qui n’a pas eu lieu parce que quand le pauvre garçon a approché sa queue de ma chatte, il a explosé en m’arrosant la vulve sans avoir rien fait ! Et à ce que je sache, depuis je ne raffole pas plus que ça de me faire asperger l’entre-jambe ! » elles rigolèrent à gorges déployées.

Quand Rose reprit son calme, elle demanda : « D’autres premières fois mémorables ? »

Romane répondit : « Je crois que là, il est difficile de faire plus mémorable ! ». La soirée se finit en bavardages divers, les unes se remémorant tout ce qu’elles s’étaient raconté, les autres donnant des précisions.

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