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Housewives pas si desperate… (Partie 8)

Les confidences continuent mais Sarah n’ose pas raconter en détail sa relation trash avec son ex. Contre toute attente, Anne-Marie a également une histoire inavouable à confesser.

Proposée le 22/07/2022 par Scribouilleur

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman


§ Sarah §

A l’âge de vingt ans quand elle était en fac, Sarah avait rencontré Clovis, de dix ans son aîné. Elle était complètement subjuguée. Il était beau et intelligent.

Il l’initia à toute sorte de choses et elle ne pouvait plus passer une heure sans être à ses côté. Elle était complètement dépendante de lui et elle faisait tout pour lui plaire. Elle était totalement soumise à ses désirs et elle avait toujours peur de mal faire et de le perdre.

Rapidement, il établit une relation de domination et elle ne vivait que pour satisfaire son pygmalion. Elle commença à aller moins en cours. Elle passait du temps chez lui, même quand il n’était pas là. Elle récurait la maison tout comme l’aurait fait une servante du XIXe siècle. A ceci près que chez lui, Clovis ne l’autorisait à ne porter que des talons hauts, un collier et… rien d’autre. Elle devait aussi avoir en permanence un plug dans l’anus et des boules de geishas dans la chatte de façon à être toujours prête à recevoir sa verge comme bon lui semblait.

Parfois Clovis invitait un ami à prendre l’apéritif à la maison. Sarah savait ce qu’on attendait d’elle. Elle faisait le service silencieusement avec un plateau sous les yeux amusés de son homme et les regards concupiscents de leur invité. Ensuite, sur la proposition de Clovis, elle passait sous la table et suçait leur hôte tandis qu’il discutait avec le maître de maison.

Elle savait que si elle se comportait bien, le soir Clovis accepterait qu’elle dorme contre lui dans son lit et peut être même use de son corps. Quand il n’était pas satisfait, elle devait dormir sur un matelas par terre au pied du lit.

Cette relation dura une année jusqu’à ce fameux soir où Clovis l’emmena pour la première fois dans le club privé où il avait ses habitudes. Une fois à l’intérieur, tout le monde portait un loup sur le visage histoire de préserver l’anonymat.

Ils rejoignirent les amis de Clovis, trois hommes et une femme, dans une pièce qu’ils avaient vraisemblablement réservée. Cinq fauteuils rouges ainsi qu’un lit circulaire meublaient la pièce tapissée de miroirs dont un au plafond au-dessus du lit. Une musique syncopée à peine audible en ambiance de fond et lumières tamisées. Clovis avait simplement dit à Sarah avant d’arriver qu’il souhaitait qu’elle soit très obéissante.

Ils s’assirent tous excepté elle, Clovis au centre, la femme à sa droite et les autres sur les fauteuils restants. Clovis lui ordonna de danser un peu tout en se déshabillant. Bien qu’elle ait eu la sensation de bouger gauchement, elle s’appliqua sous les regards intéressés des trois hommes.

La femme quant à elle ne cessait de la dévisager tout en chuchotant avec Clovis. Sarah se raidit quand elle s’aperçut qu’elle lui tenait la main.

Elle avait fait glisser sa robe et se retrouva en petite tenue. Alors qu’elle dégrafait son soutien-gorge, les trois hommes se levèrent et se déshabillèrent. Elle enleva sa culotte et ces messieurs étaient déjà nus. Elle retira ses chaussures, détacha son porte-jarretelles et entrepris de retirer ses bas tandis que les trois hommes se masturbaient déjà et commençaient à bander.

Elle s’efforçait de capter le regard de Clovis toujours en conversation avec cette blonde qui était en train de lui descendre la braguette.
Les trois hommes l’entourèrent et l’enjoignirent à se mettre à genoux pour les sucer.

Les trois hommes étaient maintenant bien raides et l’un d’eux s’assis sur le bord du lit. Il la tourna face à lui et délicatement lui ôta les boules de geishas. De ses mains vigoureuses, il la saisit par la taille et l’empala sur son sexe érigé. Elle ne put réprimer un cri de surprise.

Un autre homme venait de lui retirer son plug anal et la penchant en avant sur le premier, il l’encula avec douceur. Elle en eut le souffle coupé.

Ils commencèrent à aller et venir en rythme en elle. Elle se sentait emplie de leurs sexes. Elle devinait que chaque fois qu’ils sortaient, leurs queues se frottaient. Leurs quatre testicules venaient buter contre elle quand ils entraient. La frontière entre son cul et son vagin était tellement ténue qu’elle avait l’impression qu’ils formaient un tout.

Le rythme s’accélérait encore et elle gémissait sous les assauts redoublés de ces deux étalons.

Elle tourna la tête et constata que Clovis la regardait mais surtout que la femme à genoux maintenant, avait couché la tête sur son ventre de façon à la voir elle, tout en suçant la queue de son homme. L’inconnue lui lança un regard de défi.

Sarah allait crier pour la traiter de salope, quand une main lui fit tourner la tête. Le troisième type était debout jambes écartées au-dessus de son comparse allongé (qui était en train de lui labourer la chatte) et lui faisait face avec sa bite qu’il lui fourra dans la bouche.

Au début chaotique, le rythme finit par s’établir. Sarah accompagna les mouvements auxquels elle était soumise. Quand les deux bites du bas se retiraient, celle du haut s’enfonçait dans sa bouche. Les deux du bas s’enfonçaient de nouveau quand celle du haut se retirait.

Parfois ils étaient en décalé. Son cul s’emplissait quand sa chatte se vidait et vice versa. Elle n’était plus qu’un objet de plaisir qu’on remplissait de bites. Elle finit par s’abandonner à l’instant, emportée par ses sens, le temps n’existait plus. Elle se sentait remplie de ces sexes exigeants.

Puis celui qui était dans sa bouche éjacula dans un râle. Elle but avidement son nectar jusqu’à la dernière goutte. Ensuite ce fut celui qui la sodomisait qui se vida en elle, quelques instants avant le dernier qui la prenait par devant.

Elle entendit gémir du côté de Clovis. Hagard, tournant la tête, elle vit la femme nue face à elle et tournant le dos à Clovis, en train de monter et descendre sur sa queue et qui la défiait toujours de son regard moqueur.

Puis cette dernière se leva et contre toute attente elle tendit son pied à Clovis qui se mit à le lécher passionnément. Nouveau regard de la femme vers elle. Elle ordonna ensuite à Clovis de la lécher. Il se jeta à genoux et fourra sa tête dans son sexe.

Sarah n’avait jamais vu Clovis aussi docile. Semblant satisfaite de la caresse buccale de son amant, la femme se rassit et croisant les jambes elle dit à Clovis : « Branle toi, sale chien ! ».

N’en croyant pas ses yeux et toujours empêtrée entre les deux corps des hommes qui venaient de la baiser et qui se reposaient, elle vit Clovis se taper la jambe de sa rivale comme un animal. La femme rit et alors qu’il s’activait comme un forcené, elle lui demanda s’il l’aimait. Il répondit que oui. Elle lui demanda de le répéter plus fort, encore et encore. Clovis se branlait sur sa jambe en beuglant « Je t’aime, je t’aime ».

Il finit par se répandre sur sa jambe. Impériale, elle exigea qu’il lèche tout le sperme qui était sur elle. Puis le délaissant prostré au sol, elle se leva et vint vers Sarah qui avait enfin réussi à s’extirper des corps des deux hommes qui la maintenaient en sandwich. « Clovis est à moi et à personne d’autre. ».

Sarah avait compris et était retournée à ses études.


§ §


Sarah n’allait pas dévoiler tous ces détails à ses amis qui attendaient son histoire, mais seulement la version édulcorée où elle s’était faite sautée par trois hommes lors d’une soirée. Les filles furent pantoises devant un tel dévergondage mais ne la jugèrent pas.

On faillit oublier Anne-Marie qui malgré tout avait aussi une histoire inavouable.

« Vous souvenez-vous du père André ? » demanda-t-elle. Comme personne d’autre ne fréquentait l’église, personne ne s’en souvenait.

« C’était un jeune prêtre qui a été remplacé il y a cinq ans par le père Auguste. ». Super se dit Eva, nous voilà parties au pays des curés !

« J’aimais beaucoup le père André. Au catéchisme, au groupe de prière, dans toutes les activités de la paroisse il était sensationnel… et il était beau. ». Voilà qui devient intéressant pensa Eva.

« Jean-Eudes et moi, nous nous confessons une fois par semaine. Du temps de père André, j’y allais même plusieurs fois… Je lui ai expliqué les pensées inconvenantes que j’avais. »

« Tu veux dire les pensées érotiques. Et ça n’a rien d’inconvenant, c’est tout à fait normal ! » lança Romane toujours prête à se battre contre la religion.

« J’ai confessé que pour les expulser je faisais comme la sœur du dortoir nous avait appris, je me caressais, mais que ça ne me passait pas. J’ai commencé à décrire toutes ces idées qui me venaient. Chaque fois il m’écoutait avec attention et bienveillance. Je finis même par lui dire que dans tout ce que j’imaginais, il était présent… et acteur… »

Romane siffla « Ouah, confesser à son curé qu’on fantasme sur lui, c’est du lourd ! Excuse-moi ma chérie, continue. »

« Depuis que nous faisons notre club poker et que je vous écoute, en y réfléchissant maintenant, pleins de petits indices auxquels je n’avais pas prêtés attention à l’époque me reviennent et me font penser que quand il m’entendait dans le confessionnal, il se … masturbait. »

Les conversations fusèrent, tous les mêmes, y compris les prêtres. Puis Anne-Marie reprit.

« Un jour il m’a proposé un rite de purification qu’il avait recherché pour moi dans des livres de théologie, pour essayer de me soulager de ma souffrance. J’ai accepté avec joie. C’était un jeudi après-midi. Je l’ai rejoint dans le presbytère.

Il m’a demandé de me déshabiller complètement pour me revêtir d’une grande aube. Il s’est bien sûr retourné le temps que je m’exécute. Puis nous avons commencé les prières. Tout en psalmodiant, comme convenu, à son signal je me suis penchée en avant sur la table. Il s’est saisi d’une badine et a commencé à m’en donner des tapes sur les fesses.

J’acceptais de bonne grâce cette pénitence dans l’espoir de la délivrance. Puis pour augmenter mes chances de réussite, il m’a demandé de relever l’aube jusqu’à dévoiler mon cul nu qu’il continuait à fouetter.

Mes fesses commençaient à chauffer. Puis, toujours pour accélérer le processus, j’ai descendu ma main entre mes jambes et ait commencé à me caresser le sexe. Le constatant, il me félicita et m’encouragea à continuer. Perdue dans mes mauvaises pensées, j’arrêtais de prier.

Le père André ne faisait plus qu’ânonner des paroles inintelligibles tout en continuant de me punir. Mes fesses étaient aussi chaudes que l’enfer et mon sexe aussi trempé qu’une rivière. A ma grande honte, je finis par jouir et restais là pantelante, toujours couchée sur la table.

Je pris conscience que le père André s’était tu et qu’il avait cessé de me frapper. Je n’osais pas bouger, je l’entendais derrière moi respirer de plus en plus fort. Puis une averse tomba sur mes fesses brûlantes. J’attendis encore un instant et j’entendis claquer la porte.

Je me relevais et passais ma main sur mon derrière maculé de sperme. Honteuse, je me rhabillais et rentrais chez moi. Le soir en me couchant je repensais à tout ça et finis par me rassurer en me disant que cela faisait partie du rite.

Les jours passèrent comme si de rien. Le père André agissait tout à fait normalement. Dès qu’on se retrouva dans le confessionnal, je lui dis que j’avais besoin d’une nouvelle séance. Il en convint.

Trois jeudi d’affilé, nous avons réitéré l’opération. J’y prenais atrocement goût. Le quatrième jeudi alors que je m’étais donné du plaisir sous ses coups de baguette, je n’ai pas attendu et je me suis retournée en me laissant tomber à ses pieds.

Il venait tout juste de sortir son sexe en érection de sa braguette. Je croisais mes mains autour de sa verge et lui demandais de me bénir parce que j’allais beaucoup pécher. A peine avait-il commencé sa bénédiction que je le suçais avec passion.

Voyez-vous je n’ai pas toute votre expérience. C’était ma première et jusqu’à aujourd’hui ma seule pipe, comme vous dites. Mais je peux vous assurer que je suis une excellente suceuse !

Père André a failli défaillir quand il a joui dans ma bouche. J’ai avalé son sperme goulûment et j’aurais voulu qu’il y en ait plus. Il finit par me demander d’arrêter. A regret je luis rendis son sexe repu, devenu tout flasque dans ma bouche. Il m’a relevée et serrée très fort et est parti sans un mot. Deux jours plus tard, nous avions changé de prêtre. »

Les filles étaient sur le cul. Jamais elle n’aurait pensé Anne-Marie capable d’une telle chose !

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